Recherche des anticorps et des antigenes urinaires de legionella pneumophila

LES INFECTIONS RESPIRATOIRES BASSES

Les infections respiratoires basses se dรฉfinissent comme une atteinte du parenchyme pulmonaire, des bronches et de la trachรฉe [20].
Les pneumopathies aiguรซs sont retrouvรฉes chez 80% des malades immunodรฉprimรฉs. Au stade prรฉcoce de la maladie, ce sont surtout les bactรฉries qui sont incriminรฉes dans les pneumopathies.
Au stade avancรฉ, on note une pneumocystose et une tuberculose ร  Mycobacterium tuberculosis.
Au stade tardif, on observe une tuberculose ร  Mycobactรฉries atypiques.
Les pneumopathies aigues bactรฉriennes peuvent survenir ร  n’importe quel stade de la maladie [91].

Germes en cause

Dans les pneumopathies aigues bactรฉriennes de l’immunodรฉprimรฉ, les germes les plus frรฉquemment rencontrรฉs sont les suivants :
Streptococcus pneumoniae, Streptococcus sp, Haemophilus influenza, Pseudomonas aeruginosa, Mycobacterium tuberculosis, Mycobactรฉrium sp, Staphylococcus aureus [91].
On note l’รฉmergence de bactรฉries responsables de pneumopathies atypiques qui sont : Legionella pneumophila, Mycoplasma pneumoniae, Chlamydophila pneumoniae [11, 22, 24,73].
Le rรดle de ces germes dans les pneumopathies aigues de l’immunodรฉprimรฉ n’est pas encore bien connu car de diagnostic difficile.

LEGIONELLA PNEUMOPHILA

HABITATย 

L. pneumophila et d’autres espรจces sont des bactรฉries d’origine hydro tellurique. Elles sont prรฉsentes ร  l’รฉtat naturel dans les eaux douces (lacs et riviรจres). A partir des rรฉservoirs naturels, la bactรฉrie colonise les systรจmes de climatisation dรฉfectueux, les bains ร  remous, les รฉquipements des stations thermales, les fontaines et certains appareils dans les hรดpitaux (humidificateurs, respirateurs,…).

CARACTERES BACTERIOLOGIQUES

Morphologieย 

L. pneumophila est un bacille ร  Gram nรฉgatif, faiblement colorรฉ, non sporulรฉ, non acido-rรฉsistant, non capsulรฉ, de 0,3 ร  0,9 ยตm de large sur 2 ร  20 gm de long.
L. pneumophila est l’espรจce type de la famille des Legionellaccae. Cette famille comporte 46 espรจces et 64 sรฉrogroupes.

Pathogรฉnie

L. pneumophila est une bactรฉrie intracellulaire facultative. Elle infeste et se multiplie dans les macrophages alvรฉolaires, les monocytes et les cellules รฉpithรฉliales chez l’homme.

Gรฉnรฉralitรฉs

La contamination des personnes exposรฉes se fait essentiellement par inhalation d’eau contaminรฉe diffusรฉe en aรฉrosol. Ces aรฉrosols atteignent les alvรฉoles pulmonaires ; les bactรฉries infestent les macrophages alvรฉolaires, survivent et se multiplient dans les phagosomes ร  pH neutre. L’inhibition de la fusion des phagosomes et des vacuoles lysosomiales permet la survie intracellulaire de L. pneumophila et entraรฎne la destruction des macrophages.
Le dรฉclenchement d’une infection dรฉpend de la pathogรฉnicitรฉ de la souche, de l’รฉtat immunitaire du sujet exposรฉ et de la concentration de bactรฉries dans l’eau.

L’immunitรฉ

L’immunitรฉ contre L. pneumophila est essentiellement de type cellulaire T dรฉpendant : une rรฉaction d’hypersensibilitรฉ retardรฉe a รฉtรฉ mise en รฉvidence chez le cobaye.
La croissance intramacrophagique est inhibรฉe par des lymphokines activant les macrophages.
Il existe รฉgalement une immunitรฉ humorale passive transfรฉrable expรฉrimentalement chez le cobaye mais non protectrice vis-ร -vis de l’infection par des bactรฉries virulentes [10, 34, 35].
Les anticorps de type IgG, IgM et IgA sont probablement opsonisants en synergie avec le complรฉment.
Les anticorps sont faibles ou absents chez les immunodรฉprimรฉs et peuvent persister ร  des taux รฉlevรฉs toute la vie chez certains malades [2].

DIAGNOSTIC BACTERIOLOGIQUE 1341

Prรฉlรจvementsย 

Les prรฉlรจvements d’oรน peuvent รชtre isolรฉs les lรฉgionelles sont : le LBA (Lavage Broncho Alvรฉolaire), les expectorations, les aspirations trachรฉales, les aspirations bronchiques, les biopsies pulmonaires, le liquide pleural.

Diagnostic direct

Dรฉtection de L. pneumophila dans les prรฉlรจvementsย 

Immunofluorescence directe (IFD)

Les lรฉgionelles sont des bacilles Gram nรฉgatif faiblement colorรฉs et la coloration de Gram rรฉalisรฉe sur un prรฉlรจvement pulmonaire ne permet pas d’รฉvoquer le diagnostic.
L’examen direct des prรฉlรจvements cliniques est rรฉalisรฉ par IFD ร  l’aide d’anticorps monoclonaux ou polyclonaux qui reconnaissent tous les sรฉrogroupes de L. pneumophila.

Cultureย 

La culture des Lรฉgionelles est lente et difficile. Les lรฉgionelles sont des bactรฉries exigeantes nรฉcessitant l’utilisation de milieux spรฉcialisรฉs. Le milieu de base est le milieu BCYE. Le dรฉlai de rรฉponse est de 10 jours.
Les colonies de Lรฉgionelles prรฉsentent un aspect caractรฉristique dit en ยซ verre frittรฉ ยป lorsqu’elles sont observรฉes ร  la loupe binoculaire.
L’identification des colonies est rรฉalisรฉe par IFD.
Les milieux peuvent รชtre rendus sรฉlectifs par adjonction d’antibiotique (vancomycine et colistine).
La culture demeure la mรฉthode de certitude diagnostique. La spรฉcificitรฉ est de 100% et elle est sensible ร  50%-80% 1341.

Diagnostic indirect

Les anticorps apparaissent en 4-8 semaines aprรจs le dรฉbut de la maladie.
Les anticorps dรฉtectรฉs sont en majoritรฉ dirigรฉs contre le lipopolysaccharide (LPS) de la membrane externe des lรฉgionelles.
La technique d’immunofluorescence indirecte reste la mรฉthode de rรฉfรฉrence, mais des techniques ELISA sont actuellement proposรฉes [47].
Une ascension du titre d’anticorps spรฉcifiques anti-L. pneumophila (>4N) dans un sรฉrum tardif (prรฉlevรฉ 4 semaines plus tard) soit un titre unique >256 en IFI, affirme le diagnostic. Pour un titre รฉlevรฉ prรฉcoce la sensibilitรฉ est faible [10, 45,61].
Avantage : le sรฉrodiagnostic permet un diagnostic de lรฉgionellose dรปe ร  des sรฉrogroupes de Legionelles non diagnostiquรฉs par une recherche d’antigรจnes urinaires ou difficilement isolรฉs par culture [47]. Inconvรฉnient : le sรฉrodiagnostic ne permet qu’un diagnostic tardif voire rรฉtrospectif. De nombreuses rรฉactions croisรฉes en IFI ont รฉtรฉ dรฉcrites avec : les Mycobactรฉries, les Leptospires, les Chlamydia, les Mycoplasma, Citrobacter, Campylobacter et Coxiella burnetii [47].

SENSIBILITE AUX ANTIBIOTIQUESย 

L. pneumophila possรจde une bรชtalactamase d’oรน une rรฉsistance aux bรชtalactamines.
Il prรฉsente une rรฉsistance naturelle ร  la vancomycine et ร  la colistine [2].
Trois mรฉthodes peuvent รชtre utilisรฉes pour dรฉterminer la sensibilitรฉ des lรฉgionelles aux antibiotiques : ร  les tests extracellulaires ; les tests intracellulaires ; les รฉtudes de traitement des cobayes infectรฉs. Les lรฉgionelles รฉtant des bactรฉries ร  dรฉveloppement intracellulaire, l’รฉtude in vitro de la sensibilitรฉ aux antibiotiques de ces bactรฉries ne peut รชtre directement corrรฉlรฉe avec l’activitรฉ clinique des molรฉcules. En plus la prรฉsence de charbon, d’extrait de levures ainsi que l’aciditรฉ des milieux ont un effet inhibiteur pour certains antibiotiques.
Le traitement des formes non sรฉvรจres fait gรฉnรฉralement appel ร  l’รฉrythromycine ou ร  d’autres macrolides (clarithromycine, azithromycine). Pour les lรฉgionelloses sรฉvรจres on utilise soit des fluoroquinolones (ciprofloxacine, ofloxacine, lรฉvofloxacine, pรฉfloxacine), soit une association de fluoroquinolones et de rifampicine ou de macrolides et de rifampicine.

MYCOPLASMA PNEUMONIAE

HABITAT

Transmis par contage, M pneumoniae colonise les voies respiratoires basses et provoque des infections respiratoires d’allure endรฉmique du fait de la persistance. Cependant, il n’appartient pas ร  la flore commensale des voies respiratoires et son rรดle pathogรจne est certain [6]. Ils sont frรฉquents dans la nature et capable de vivre dans des conditions inhabituelles [78].

CARACTERES BACTERIOLOGIQUES

Taxonomie

M pneumoniae appartient ร  la classe des Mollicutes ou Tenericutes (regroupant des bactรฉries dรฉpourvues de paroi), ร  l’ordre des Mycoplasmatales, ร  la famille des Mycoplasmataceae qui comprend 85 espรจces de genre Mycoplasma et 5 espรจces de genre Ureaplasma [7].

Morphologie

Ce sont les microorganismes les plus petits (150-250 nm) qui soient capables de pousser sur milieu acellulaire.
Leur caractรฉristique inhabituelle est l’absence de paroi rigide. La membrane de M. pneumoniae prรฉsente une structure trilamellaire, contenant des glycolipides, des glycoprotรฉines et des stรฉrols qui assurent sa fluiditรฉ. Il n’est pas colorable au Gram et n’est pas visible au microscope photonique. Sa morphologie peut par contre รชtre apprรฉciรฉe ร  l’examen en contraste de phase ou mieux au microscope รฉlectronique oรน on note la prรฉsence d’une structure terminale ร  extrรฉmitรฉ effilรฉe : le ยซ tip ยป qui permet l’adhรฉsion aux diffรฉrents supports (cellules cibles et verre).

Caractรจres culturauxย 

M pneumoniae est une bactรฉrie trรจs exigeante. L’isolement se fait sur milieu artificiel (contenant des extraits de levure, du sรฉrum et du stรฉrol) entre 35ยฐ et 37ยฐC, en atmosphรจre micro aรฉrophile (95% N2 ; 5% CO2) ou sous 5% de CO2 .
Il est trรจs sensible aux variations de pH du milieu. Les milieux proposรฉs sont : le milieu de Hayflick, le milieu SP 4 et le milieu PPLO.

PHYSIOPATHOLOGIE

Pouvoir pathogรจne naturel

M pneumoniae est responsable de pneumonie atypique atteignant des adolescents et des adultes jeunes sans antรฉcรฉdents.
Le dรฉbut est progressif en quelques jours. On observe des signes d’atteinte des voies aรฉriennes supรฉrieures, parfois une atteinte du tympan (mรฉningite bulleuse).
Le tableau clinique associe une fiรจvre, des signes gรฉnรฉraux variables, une toux sรจche, incessante et invalidante. L’examen physique est pauvre avec quelques rรขles [32].
A la radiographie du thorax, on observe une opacitรฉ hรฉtรฉrogรจne localisรฉe, rรฉticulo-micro-nodulaire, de topographie hilo-basale.
La numรฉration sanguine montre une anรฉmie hรฉmolytique, le plus souvent avec un test de Coombs positif et agglutinines froides positives.
On note d’autres complications inhabituelles telles que les encรฉphalites, un rush ou รฉrythรจme multiforme [78].
L’infection est le plus souvent bรฉnigne, voire inapparente. Cependant on note des formes graves prenant l’allure d’une pneumonie bactรฉrienne nรฉcrosante, des formes abcรฉdรฉes, des dรฉtresses respiratoires et des รฉpanchements pleuraux chez les sujets ร  risque (immunodรฉprimรฉs).

Pathogรฉnie

Elle diffรจre beaucoup de celle des autres formes de pneumonie car elle est limitรฉe ร  la muqueuse bordant les voies respiratoires.
Il existe un infiltrat de cellules mononuclรฉรฉes entourant les bronches et les bronchioles infectรฉes entraรฎnant une atteinte de type broncho-pneumopathie.
Certains patients immunodรฉprimรฉs infectรฉs par M pneumoniae n’ont pas d’infiltrat pulmonaire visible, ce qui suggรจre que la rรฉponse immune doit jouer un rรดle dans les manifestations de la maladie.
L’infection ร  Mycoplasmes n’a pas d’action destructrice sur les tissus, c’est la fonction ciliaire qui est inhibรฉe. On pense que cette inhibition est due ร  l’รฉlaboration de substances toxiques comme la peroxydase d’hydrogรจne.
M pneumoniae dรฉclenche les principales cellules de la rรฉponse inflammatoire que sont les lymphocytes et les polynuclรฉaires neutrophiles. On note รฉgalement une auto-immunitรฉ par antigรฉnicitรฉ croisรฉe entre la membrane des Mycoplasmes et les membranes humaines.

IMMUNITE

Les infections entraรฎnent une immunitรฉ protectrice partielle, ce qui explique la prรฉpondรฉrance chez l’enfant de plus de 6 mois et l’adulte jeune [36].
La protection paraรฎt beaucoup plus liรฉe ร  la prรฉsence d’IgA sรฉcrรฉtoires au niveau des sรฉcrรฉtions respiratoires qu’ร  celle d’anticorps sรฉriques [3, 8].

DIAGNOSTIC AU LABORATOIRE

Le diagnostic biologique d’une infection ร  M pneumoniae est plus souvent rรฉalisรฉ par la sรฉrologie que par la culture ou la PCR.

Prรฉlรจvementsย 

La recherche des Mycoplasmes dans les expectorations est ร  dรฉconseiller, en raison de leur contamination par de nombreuses bactรฉries.
Ils sont ร  rechercher dans : les prรฉlรจvements de gorge, les aspirations nasopharyngรฉes chez le jeune enfant, le lavage broncho alvรฉolaire, le brossage endobronchique [39].
Quelle que soit la mรฉthode de prรฉlรจvement, elle doit ramener des cellules auxquelles les Mycoplasmes adhรจrent. Une fois effectuรฉs, les prรฉlรจvements sont mis en culture sans dรฉlai pour obtenir de meilleurs rรฉsultats.

CHLAMYDOPHILA PNEUMONIAE

CARACTERISTIQUES BACTERIOLOGIQUES

Taxonomieย 

Le genre Chlamydophila constitue avec le genre Chlamydia la famille des Chlamydiaceae.
Le genre Chlamydia regroupe 3 espรจces dont Chlamydia trachomatis est la seule espรจce d’intรฉrรชt mรฉdical.
Le genre Chlamydophila regroupe 6 espรจces dont 2 sont responsables de pneumopathies : C. pneumoniae, C. psittaci.
Cette classification a รฉtรฉ proposรฉe par Everett et Coll. en 1999. Elle est fondรฉe sur de rรฉcentes dรฉcouvertes, concernant l’analyse des sรฉquences des gรจnes codant pour l’ARN ribosomal.

Le rapport de stage ou le pfe est un document dโ€™analyse, de synthรจse et dโ€™รฉvaluation de votre apprentissage, cโ€™est pour cela chatpfe.com propose le tรฉlรฉchargement des modรจles complet de projet de fin dโ€™รฉtude, rapport de stage, mรฉmoire, pfe, thรจse, pour connaรฎtre la mรฉthodologie ร  avoir et savoir comment construire les parties dโ€™un projet de fin dโ€™รฉtude.

Table des matiรจres
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: GENERALITES
I-INFECTION A VIH ET LES INFECTIONS RESPIRATOIRES AIGUES
I- 1 -INFECTION A VIH
I-2-LES INFECTIONS RESPIRATOIRES BASSES
I-2-1-Germes en cause
II-LEGIONELLA PNEUMOPHILA
II-1-HABITAT
II-2-CARACTERES BACTERIOLOGIQUES
II-2-1-Morphologie
II-2-2-Caractรจres culturaux
II-2-3-Caractรจres biochimiques
II-2-4-Caractรจres antigรฉniques
II-3-PHYSIOPATHOLOGIE
II-3-1-Pouvoir pathogรจne naturel
II-3-1-1-Fiรจvre de Pontiac
II-3-1-2-Formes extra pulmonaires
II-3-1-3-La maladie des lรฉgionnaires
II-3-2-Pathogรฉnie
II-4-L’IMMUNITE
II-5-DIAGNOSTIC BACTERIOLOGIQUE
II-5- 1 -Prรฉlรจvements
II-5-2-Diagnostic direct
II-5-2-1-Dรฉtection de L. pneumophila dans les prรฉlรจvements
II-5-3-Culture
II-5-4- Diagnostic indirect
11-6-SENSIBILITE AUX ANTIBIOTIQUES
III-MYCOPLASMA PNEUMONIAE
III- 1 -HABITAT
III-2-CARACTERES BACTERIOLOGIQUES
111-2- 1 -Taxonomie
III-2-2-Morphologie
III-2-3-Caractรจres culturaux
III-2-4-Caractรจres mรฉtaboliques
III-2-5-Caractรจres antigรฉniques
III-3-PHYSIOPATHOLOGIE
III-3-1-Pouvoir pathogรจne naturel
III-3-2-Pathogรฉnie
III-4-IMMUNITE
III-5-DIAGNOSTIC AU LABORATOIRE
III-5-1-Prรฉlรจvements
III-5-2-Diagnostic direct
111-5-2-1- Coloration
III-5-2-2-Recherche d’antigรจnes
III-5-2-3-Dรฉtection des acides nuclรฉiques
III-5-2-4- Culture
III-5-3-Diagnostic indirect ou sรฉrologique
III-5-3-1-Rรฉaction de fixation de complรฉment
111-5-3-2-ELISA et immunofluorescence indirecte (IFI)
III-5-3-3-L ‘agglutination passive de particules sensibilisรฉes
III-6-SENSIBILITE AUX ANTIBIOTIQUES
IV-CHLAMYDOPHHA PNEUMONIAE
IV-1-CARACTERISTIQUES BACTERIOLOGIQUES
IV-1-1 -Taxonomie
IV-1-2-Morphologie et cycle de dรฉveloppement
IV-1-3-Caractรจres antigรฉniques
IV-2-PHYSIOPATHOLOGIE
IV-2-1-Manifestations cliniques
IV-2-1-1- Les infections respiratoires
1V-2-1-2-L’athรฉrosclรฉrose
IV-2-2-Pathogรฉnie
IV-2-2-1 Mรฉcanismes immunopathologiques de l’infection
IV-2-2-2-Notion de persistance
IV-3-IMMUNITE
IV-4-DIAGNOSTIC AU LABORATOIRE
IV-4-1-Diagnostic bactรฉriologique
IV-4-1-1-Prรฉlรจvements
IV-4-1-2-Dรฉtection des antigรจnes
IV-4-1-3-Isolement
IV-4-1-4-Dรฉtection des acides nuclรฉiques
IV-4-2- Sรฉrologie
IV-4-2-1-Techniques de dรฉtection des antigรจnes de genre
IV-4-2-2-Techniques de dรฉtection d’antigรจnes d’espรจces
IV-4-2-3-Critรจres de sรฉrodiagnostic de C. pneumoniae
IV-5-SENSIBILITE AUX ANTIBIOTIQUES
V-CINETIQUE DES ANTICORPS AU COURS D’UNE INFECTION
V-1-CINETIQUE DE LA PRODUCTION DES ANTICORPS
V-2-INTERPRETATION DU SERODIAGNOSTIC
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
CHAPITRE I : METHODOLOGIE
I – MATERIEL ET REACTIFS
I-1- MATERIEL
I-1-1-Cadre d’รฉtude
I-1-2-Population cible
I-1-3-Prรฉlรจvements
I-1-3-1- Sรฉrum
I-1-3-2- Urine
I-1-4-Matรฉriels contenus dans les Kit
I-1-5-Matรฉriels supplรฉmentaires de laboratoire
I-2-REACTIFS
II- METHODOLOGIE
II-1-PRINCIPE DE L’ELISA
II-2-RECHERCHE DES ANTICORPS ET DES ANTIGENES URINAIRES DE LEGIONELLA PNEUMOPHILA
II-2-1- Recherche des anticorps anti-Legionella pneumophila dans le Sรฉrum
II-2-1-1- Procรฉdure d’รฉtude
II-2-1-2-Interprรฉtation des rรฉsultats
II-2-2-Recherche des antigรจnes urinaires de Legionella pneumophila serogroupe
II-2-2-1- Procรฉdure d’รฉtude
II-2-2-2-Interprรฉtation des rรฉsultats
II-3-RECHERCHE DES ANTICORPS
ANTI-MYCOPLASMA PNEUMONIAE
II-3-1-Recherche des IgM anti-Mycoplasmes
II-3-1-1-Procรฉdure d’รฉtude
II-3-1-2-Interprรฉtation des rรฉsultats
II-3-2-Recherche des IgG anti-Mycoplasmes
II-3-2-1-Procรฉdure d’รฉtude
II-3-2-2-Interprรฉtation des rรฉsultats
II-4-RECHERCHE DES ANTICORPS ANTI-CHLAMYDOPHILA PNE UMONIAE
II-4-1-Recherche des IgM anti-Chlamydophila pneumoniae
II-4-1-1-Procรฉdure d’รฉtude
II-4-1-2-Interprรฉtation des rรฉsultats
II-4-2-Recherche des IgG anti-Chlamydophila pneumoniae
II-4-2-1-Procรฉdure d’รฉtude
II-4-2-2-Interprรฉtation des rรฉsultats
CHAPITRE H : RESULTATS
IANTIGENURIE ET SEROLOGIE DES LEGIONELLES
I-1- ANTIGENURIE
I-2-IMMUNOGLOBULINES M ET G ANTI-LEGIONELLES
III MMUNOGLOBULINE M ET G ANTI-MYCOPLASMES
IIII MMUNOGLOBULINE M ET G ANTI-CHLAMYDOPHILA
CHAPITRE HI : DISCUSSION
IAPPROCHE METHODOLOGIQUE
IIRECHERCHE D’ANTIGENE ET D’ANTICORPS
II-1-LEGIONELLA PNEUMOPHILA
II-2-MYCOPLASMA PNEUMONIAE ET
CHLAMYDOPHILA PNEUMONIAE
III-RECHERCHE D’ANTIGENE ET ISOLEMENT DE LA BACTERIE
IV- ETUDE COMPAREE DU SERODIAGNOSTIC ET
L’ISOLEMENT DES BACTERIES INTRACELLULAIRES
IV-1-LEGIONELLA PNEUMOPHILA
IV-2-MYCOPLASMA PNEUMONIAE
IV-3-CHLAMYDIPHILA PNEUMONIAE
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

Lire le rapport complet

Tรฉlรฉcharger aussi :

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiรฉe. Les champs obligatoires sont indiquรฉs avec *