Réalités socio-économiques et caractéristiques des facteurs de vulnérabilité

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METHODOLOGIE ET OUTILS DE TRAITEMENT DE DONNEES

L’analyse de contenus documentaires est d’une importance capitale pour la réalisation des recherches. En effet, les publications, les revues scientifiques, les livres ainsi que les sites web aident à des informations nécessaires concernant l’étude. Sur terrain, si l’on veut qu’une enquête donne les résultats souhaités, il faut accorder une attention particulière aux préparatifs qui doivent précéder son exécution. Une fois revenue sur terrain, les spécimens doivent être déterminés, conservés et analysés au laboratoire. Pour les travaux au laboratoire, il faut intervenir à des matériels spéciaux pour l’extraction, la conservation avant de passer à des études de déterminations et des analyses morphologiques.

Méthodologie

Avant la descente sur terrain, une investigation bibliographique est nécessaire pour bien orienter la recherche. Des travaux de documentation et de consultation de données déjà existantes auprès des différents organismes (SIRSA, SAP et PERIPERI) et des personnes ressources sur le thème de recherche ont été initiés pour mieux connaître et choisir le milieu d’étude. Aussi, des prospections de données électroniques et sur Internet ont été également enrichissantes. En plus, des imageries satellitaires, des études cartographiques se rapportant à la zone d’étude ont été bien observées pour collecter les informations sur l’occupation du sol, ainsi que la couverture végétale en général. Cette approche permettra de procéder à des recoupements, de recueillir des informations complémentaires et de bien voir à tout moment l’état actuel du milieu d’étude.
La nécessité de vérifier les hypothèses avancées, par des faits d’observations et des entretiens avec les principaux acteurs concernés, nous a conduit à effectuer une descente sur terrain.

Planification et exécution des recherches

La présentation de toutes les missions et les calendriers d’activités aux autorités locales et aux personnes ressources telles que le maire, le Président de « Fokontany » et le chef du village est primordiale. L’aval de toutes ces personnalités facilite l’exécution des recherches.
Concernant surtout les calendriers d’activités et l’exécution des recherches, la planification des auditions a été programmée en raison de six ménages par demi-journée.

Choix de villages et de ménages enquêtés

Les échantillons sont constitués des « Fokontany » souscrits dans les deux communes respectives (Ambohimalaza et Tsihombe) classées dans le niveau de vulnérabilité très critique (cf. annexe VI). Le choix tient compte de leur répartition spatiale dans le milieu d’étude, de leur accessibilité, du nombre de ménages et aussi de la proximité par rapport à la forêt environnante. Dans chaque village, le choix des ménages à enquêter a été fait de façon aléatoire. Les groupes cibles sont tous les individus qui forment une famille de différentes catégories socioprofessionnelles : agriculteurs, éleveurs, autorités administratives.

Collectes de données socio-économiques pour l’analyse des facteurs de vulnérabilité

Les enquêtes directes au niveau de la population sont parmi les principales sources de données socio-économiques, de statistiques sociales et démographiques. Elles sont utilisées pour rassembler des données socio-économiques ou sociodémographiques détaillées et variées concernant les conditions dans lesquelles vivent les populations, leur bien-être, les activités auxquelles elles se livrent pendant la période de soudure et de sècheresse, voire la famine.
Pour la collecte de données de base relatives à la sècheresse, les enquêtes sur les ménages ont été adoptées. Pour cela, des fiches d’enquêtes concernant le mode de vie de la population locale ont été établies comme guides d’entretiens (cf. annexe XII). Elles sont remplies au moment de l’audition sous forme : « d’interview directe et individuelle du chef de ménage ». Principalement, les questionnaires ont été cadrés dans les neuf facteurs de vulnérabilité (Insécurité alimentaire, le manque d’éducation et d’information, la précarité des infrastructures, l’accès à l’eau insuffisant, la précarité de la situation pour la couche pauvre, la croissance démographique rapide, la dégradation de l’environnement et les facteurs socioculturels) et la réaction de la famille pour faire face à une crise alimentaire.

Enquêtes ethnobotaniques sur les moyens de survie et échantillonnages

Des questionnaires préétablis concernant les espèces collectées dans les forêts environnantes, consommées et considérées comme des aliments de survie pendant la sècheresse et l’insuffisance alimentaire ont été entretenus auprès des ménages enquêtés. Aussi, des inventaires biologiques et des échantillonnages ainsi que des herbiers des essences forestières existantes, consommées par la population locale pendant la période de soudure ou de la sècheresse, voire pendant la famine, doivent être faits et confectionnés pour leur identification et d’éventuels usages en analyse biochimique dans un laboratoire.

Etude au laboratoire

Cette troisième étape concerne les analyses systématiques des spécimens des espèces consommées par la population locale pendant l’insuffisance alimentaire et les études nutritionnelles de la partie consommée, de la nature biologique des espèces collectées dans les forêts communautaires.

Détermination des spécimens collectés

La détermination des espèces végétales est réalisée dans le centre d’herbier du Parc Botanique et Zoologique de Tsimbazaza d’Antananarivo. Dans son département biologie végétale, le principe de détermination consiste à comparer la morphologie des feuilles, des tiges et des tubercules des herbiers collectés sur terrain avec les spécimens de référence dans les salles de stockage des planches d’herbiers. Aussi, des analyses et des échanges, en consultant des documents, ont été effectuées sur les spécimens étudiés au centre de FOFIFA Antananarivo.

Détermination des valeurs nutritionnelles

Les aliments et les nutriments

L’alimentation est un ensemble de produits consommés par un individu dans le but de se procurer des satisfactions sensorielles et de couvrir les dépenses de son organismes (Dupin, 1992)26. Le terme aliment désigne toute matière qui, par la voie de l’ingestion, sert à l’entretien et au développement de l’organisme (Alais et Linden, 1991)27. Par définition, la nutrition est l’ensemble des processus par lesquels les organismes vivants utilisent les aliments pour assurer leur vie, leur croissance, le fonctionnement de leurs organes et de leurs tissus ainsi que leur production d’énergie (Prudhon, 2001)28. Les nutriments sont des substances alimentaires résultant de la digestion des aliments (Dupin, 1992)29. Dans les aliments, les nutriments présents peuvent être classés selon leur nature chimique et selon leur aptitude à être absorbé sans ou après digestion préalable (Malewiak et al., 1992)30. On distingue : !  » # $$ %$ & ‘ ( 14 ) ‘ # ** ! $ * & + , & ! – . . # $ $
Les micronutriments dont la quantité nécessaire est faible : les vitamines et la plupart des éléments minéraux (Malewiak et al., 1992)31. On distingue :

L’eau : c’est une substance minérale très importante pour deux raisons : elle représente 60 à 70 % de la masse corporelle des êtres humains et toutes réactions biochimiques se font en milieu aqueux (Adrian, 1995). C’est un élément indispensable dans tout processus métabolique, dans l’équilibre osmotique, à la régulation thermique, aux sécrétions digestives et à l’élimination des déchets (Cheftel et al., 1990)32.
Les éléments minéraux : Ils ont plusieurs fonctions dans l’organisme. Le sodium, le potassium, le chlore sont présents sous forme de sels dans le liquide biologique où leur rôle consiste à maintenir la pression osmotique. Le calcium et le phosphore se combinent dans les os pour donner une rigidité au corps entier (Malewiak et al., 1992)33. Le fer joue un rôle prépondérant dans la formation de l’hémoglobine. L’iode est nécessaire au fonctionnement de la glande thyroïde (Cheftel et al., 1990)34.
Les vitamines : sont des substances organiques nécessaires au fonctionnement et à la croissance de l’organisme. Les vitamines servent de constituants à des enzymes participant aux métabolismes et à d’autres activités spécialisées de l’organisme (Lehninger, 1982)35 (Prudhon, 2001)36.
Les macronutriments dont l’apport est indispensable en quantité importante. Il s’agit de :
Protides : les acides aminés sont nécessaires non seulement à l’élaboration de tissus de croissance mais aussi à la réparation de cellules épuisées et des tissus lésés. L’histidine et l’arginine sont aussi des acides aminés indispensables pour les nourrissons et les enfants (Malewiak et al., 1992)37. Les protéines ont plusieurs fonctions : constituants importants du revêtement extérieur des êtres vivants (poils, peau) ; des anticorps ; source secondaire d’énergie (Malewiak et al., 1992)38.
Lipides : les lipides alimentaires sont porteurs d’acides gras essentiels et servent des véhicules pour l’absorption et les transports des vitamines liposolubles A, D, E, K. Les lipides ) & + , & ! – . . # $ $ 15 / # 0 # ‘ * 1 2 # $ 2 # 3 $ * 4 ( ! # 3 ) ‘ # $ )) ‘ # ** ! $ sont indispensables qui apportent 9 Kcal/g, soit près du double des calories apportées par les glucides et les protéines (Carrera, 1989) 39.
•Glucides : c’est essentiellement sous-forme de glucose que l’organisme utilise les glucides.
•Les fibres alimentaires : ils jouent un rôle biologique important par leur pouvoir de rétention d’eau. Elles interviennent dans la régulation des fonctions digestives et participent à la réduction du taux de cholestérol dans le sang.

Analyse physico-chimique et nutritionnelle

•Matériels végétaux
Les matières premières utilisées pour l’analyse biochimique sont les parties biologiques des espèces consommées par les populations locales pendant la période de soudure et de sècheresse, voire la famine. Soit les feuilles, soit les fruits, soit les tubercules. Les feuilles ou les tiges, les tubercules crus ou cuits tranchés en lamelles sont séchés au soleil. Après séchage, les cosettes ainsi obtenues sont réduites en poudre. Ces poudres sont ensuite conservées dans des boîtes en plastiques bien fermées à température ambiante et dans un endroit sec. Elles seront utilisées ultérieurement pour l’analyse nutritionnelle.
•Mode opératoire
Au laboratoire, différents modes opératoires ont été utilisés pour déterminer les teneurs en micro et macronutriments (cf. annexe VIII). Pour chaque échantillon, les manipulations faites sont destinées à faire sortir :
→ La teneur en eau ;
→ Les différents éléments minéraux ;
→ La teneur en protéines (protides) ;
→ La teneur en matières grasses (lipides) ;
→ La teneur en glucides ;
→ Le Dosage des fibres alimentaires ou insoluble formique.
C’est à partir de ces résultats que les valeurs énergétiques globales des aliments seront déduites (cf. annexe IX).

Traitement de données 

A part des lectures des documents disponibles, un ordinateur a été utilisé pour pouvoir accéder aux données de différents formats (Word, Excel, PDF, power point). Pour voir la situation actuelle et en temps réel de l’occupation du sol de la région d’étude, des imageries satellitaires ont été téléchargées et reçues à partir du serveur « google earth » grâce aux connexions du centre PERIPERI Université d’Antananarivo. Après avoir les données sur terrain et les résultats d’analyse au laboratoire, le traitement de données sont mathématiquement fait selon les formules respectives qui sont opérées sur des feuilles d’Excel.

Outils d’analyse des enquêtes et des données ethnobotaniques

Les résultats des enquêtes permettent de calculer l’indice d’utilisation de chaque espèce végétale (Uvs) suivant la formule appropriée (Rakotondratsimba, 2010)40 (cf. annexe IX) Toutes les données d’enquêtes sont saisies dans une base de données sous Excel et l’indice d’utilisation d’espèce est directement calculé dans cette base suivant la formule respective. Si Uvs est sensiblement égal à Uvis, l’espèce est très utilisée pendant la période de soudure ou la sècheresse, voire la famine. Mais, si Uvs est inférieure à Uvis, l’espèce est faiblement utilisée.

Outils d’analyse des micronutriments et macronutriments

La teneur en eau, en pourcentage en masse de l’échantillon, est obtenue à partir du rapport entre la différence en masse de la capsule contenant la prise d’essai avant étuvage avec celle-ci après étuvage et la capsule sans la prise d’essai (cf. annexe IX). Les résultats de ces masses sont saisis sur une feuille d’Excel et les calculs de la teneur en eau de chaque échantillon sont traités sous la programmation de la formule respective.
Le teneur en cendres brutes C %, exprimée en pourcentage en masse de l’échantillon, est donné à partir du rapport de la différence en masse entre la capsule avec la prise d’essai et la masse de la capsule avec les cendres et la capsule d’incinération vide (cf. annexe IX). C’est toujours avec Excel que l’opération des calculs est réalisée. La quantité de phosphore dans les échantillons est déterminée en reportant leurs densités optiques sur la courbe d’étalonnage obtenue à partir des gammes étalons. C’est pareil pour le calcium, le potassium, le sodium et /* . , $ & * * 5 # 6 3 6 3 3 # 6 3 $ 7 3 8 , , 17 le magnésium, les valeurs obtenues sont rapportées sur la courbe de la gamme étalon pour déduire les concentrations en chacun de ces éléments minéraux.

Le teneur en azote total, exprimé en % en masse de l’échantillon, est calculé à partir de la formule décrite par Godon (cf. annexe IX). Après avoir calculé la valeur de l’azote N (%), le teneur en protéines totaux P (%) en pourcentage en masse de l’échantillon se calcule, sur une feuille d’Excel, à partir de la formule correspondante (cf. annexe IX).
Le teneur en matières grasses brutes de l’échantillon est obtenu à partir de la relation élaborée par AFNOR (cf. annexe IX). La formule correspondante est programmée sur une feuille d’Excel pour effectuer les calculs de la teneur en matières grasses de chaque échantillon.
Le teneur, en grammes pour 100 g de matière sèche, en amidon est obtenu à partir de la formule de Montreuil (cf. annexe IX). Les résultats sont obtenus en programmant cette formule sur une feuille d’Excel.
Le teneur en insoluble formique en grammes pour 100g de l’échantillon est évalué à partir de la différence, en masse, entre le résidu sec avant incinération (P1) et les cendres obtenues après incinération (P2) (Mercier et Tollier, 1984)41. La valeur est obtenue à partir de la formule présentée en annexe IX. Les calculs se font sur une feuille d’Excel.
Concernant la valeur énergétique globale, les indices d’ATWATER sont 4 kcal, soit 17 kJ pour 1g de glucide et 1g de protéine ; 9 kcal, soit 38 kJ pour 1g de lipide. En effet, l’énergie métabolisable d’un nutriment exprimée en kilocalorie est obtenue en multipliant son CUD avec son indice d’ATWATER (FOFIFA/ONE 2001). De ce fait, la valeur énergétique globale d’un aliment est égale à la somme des énergies métabolisables selon la relation (Dupin, 1992)42 (cf. annexe IX).

RESULTATS ET INTERPRETATIONS

Les données collectées sur terrain ont permis d’avoir des résultats socioéconomiques dressés sur des tableaux correspondants et de faire sortir les valeurs nutritionnelles des aliments de compléments consommés pendant la période de soudure prolongée dans les « Fokontany » d’Ambohimalaza et de Tsihombe.

Réalités socio-économiques et caractéristiques des analyses de facteurs de vulnérabilité

Concernant les occupations des sols des zones d’étude, Les alentours des « Fokotany » d’Ambohimalaza enquêtés sont formés par des zones de cultures, des zones arides et des forêts sèches, dominées par de bush à Didieraceae et des formations à strate moyenne arbustive et clairsemée. En général, les espèces végétales sont xérophiles qui s’adaptent à la sècheresse. Par contre dans les « Fokontany » de Tsihombe, entre la localité de Tsihombe et la commune de Jafaro, les alentours des villages où se sont déroulées les enquêtes sont occupés par des forêts sèches assez denses, marquées par la présence de « Rohondroho » et de plusieurs espèces autochtones. Entre ces formations forestières s’ajoutent des zones de cultures.

Répartition spatiale, genre et situation matrimoniale des enquêtés

Treize « Fokotany » d’Ambohimalaza et deux de Tsihombe ont été respectivement enquêtés (cf. tableau 1). Choisis au hasard, 53 ménages ont été interviewés sur la situation socio-économique, leurs stratégies pour augmenter la résilience pour faire face à l’insuffisance alimentaire.
Pendant cette étude, un ménage a été défini comme un groupe d’individus qui mangent toujours ensemble et utilisent la même cuisine. Moyennant 12 personnes par ménage, la population dans les « Fokotany » d’Ambohimalaza est composée d’Antandroy, d’Antanosy et de Tanala. Mais, les Antandroy sont les plus nombreux (97 %) et comprennent plusieurs clans. Par contre, celle des « Fokotany » de Tsihombe est à 100 % Antandroy avec une moyenne de 9 personnes par ménage. Chez les Antandroy, les chefs de famille sont toujours des hommes (88,68 %) sauf dans les ménages où la mère est veuve ou célibataire (11,32 %). La majorité des membres de la population enquêtée est mariée traditionnellement avec un taux de 75, 47 %. La population d’Ambohimalaza est composée de jeunes entre 6 et 15 ans (cf. figure 6) mais il n’y a paas une différence significative entre le nombbre d’hommes et de femmes dans chaque catégorrie d’âge. Même cas pour les « Fokotany » de Tsihombe, les populations de ces deux « Fokkotany » sont majoritairement constituées par des jeunes de 6 à 16 ans (cf. figure 7).

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Table des matières

INTRODUCTION
Chapitre I – CADRE THEORIQUE ET MILIEU D’ETUDE
Section I – Cadre théorique de l’étude
Section II – Milieu d’étude
a. Site d’étude
b. Climat
Chapitre II – METHODOLOGIE ET OUTILS DE TRAITEMENT DE DONNEES
Section III – Méthodologie
a. Planification et exécution des recherches
b. Choix de villages et de ménages enquêtés
c. Collectes de données socio-économiques pour l’analyse des facteurs de vulnérabilité
d. Enquêtes ethnobotaniques sur les moyens de survie et échantillonnages
Section IV – Etude au laboratoire
1 – Détermination des spécimens collectés
2 – Détermination des valeurs nutritionnelles
a. Les aliments et les nutriments
b. Analyse physico-chimique et nutritionnelle
3 – Traitement de données
a. Outils d’analyse des enquêtes et des données ethnobotaniques
b. Outils d’analyse des micronutriments et macronutriments
Chapitre III – RESULTATS ET INTERPRETATIONS
Section V – Réalités socio-économiques et caractéristiques des facteurs de vulnérabilité
a. Répartition spatiale, genre et situation matrimoniale des enquêtés
b. Niveau d’éducation et d’information
c. Activités et sources de revenue principale
d. Accès à l’eau
e. Précarité de la situation de la couche vulnérable
Section VI – Caractéristiques botaniques et Valeurs nutritionnelles des plantes récoltées pendant
la période de soudure
Table des matièresTable des matières
1- Résultats sur les enquêtes ethnobotaniques et les Moyens de survie
2- Caractéristique botanique des plantes récoltées pendant la période de soudure
a. « Anjike »
b. « Velae »
c. « Nako »
d. « Fangitse »
e. « Ovin’ala »
f. « Raketa sonjo » et « Raketa mena »
Chapitre IV – DISCUSSION ET SUGGESTIONS
Section VII – DISCUSSION
Section VIII – SUGGESTIONS
VI – CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
LISTE DES ANNEXES

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