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Energie de dรฉtachement de lโรฉlectron.
Lorsque, sous lโeffet dโun champ รฉlectromoteur E , un รฉlectron effectue un dรฉplacement dx๏ฎ dans le domaine, le gรฉnรฉrateur qui maintient E lui a fournit lโรฉquivalente รฉnergรฉtique ๏ฎ ๏ฎ ๏W๏ ๏ฝ e E dx . Cette รฉnergie extrait lโรฉlectron de son atome si elle est suffisante. Cโest lโรฉnergie dโextraction ou de dรฉtachement de lโรฉlectron.
– Si๏ ๏W๏ ๏ 0, le domaine est dit CONDUCTEUR
– Si๏ ๏W๏ ๏พ๏พ0, le domaine est dit ISOLANT
Entre les conducteurs et les isolants se situent les semi-conducteurs.
Ce qui nous permet de conclure que la classification รฉlectrique dโun domaine est fonction de lโรฉnergie dโextraction de lโรฉlectron de ce domaine.En dรฉpit de leurs tailles, les parties que nous allons รฉtudier sont des assemblages dโatomes et non des atomes isolรฉs. Il est, par consรฉquent, nรฉcessaire de les aborder en notion de bandes dโรฉnergies au lieu de niveaux dโรฉnergie tout court.
Thรฉorie des bandes dโรฉnergie.
Pour un atome isolรฉ (รฉtat gazeux), les รฉlectrons prรฉsentent des niveaux dโรฉnergie rigoureusement dรฉterminรฉs. Ils sont associรฉs aux diffรฉrents nuages รฉlectroniques atomiques.
La bande dโรฉnergie permet dโรฉtudier le comportementde lโรฉlection dans un cristal. Comme un atome isolรฉ peut prรฉsenter plusieurs niveaux dโรฉnergies, un cristal peut aussi prรฉsenter plusieurs bandes dโรฉnergies. Deux bandes dโรฉnergiepossibles sont sรฉparรฉes par une bande interdite. Une bande interdite nโaccepte pas dโรฉlectrons. Elle sโappelle aussi โโ GAP โโ On distingue deux bandes dโรฉtude :
– La bande de valence : cโest la bande รฉnergรฉtique des รฉlectrons de pรฉriphรฉrique qui assure les liaisons covalentes (rรฉalisรฉes par les รฉlectrons de valence), entre les atomes du rรฉseau. Son niveau dโรฉnergie maximal est dรฉsignรฉpar Wv.
– La bande de conduction : cโest la bande dโรฉnergie immรฉdiatement supรฉrieure ร la bande de la valence. Cโest dans cette bande que se trouvent les รฉlectrons qui participent ร la conduction รฉlectrique. On dรฉsigne par Wc son niveau dโรฉnergie minimale.
On peut reprรฉsenter les niveaux et bandes dโรฉnergies comme suit.
Comme les รฉlectrons recherchent toujours lโรฉtat de la plus basse รฉnergie, au zรฉro absolu :
– la bande de valence, dโรฉnergie infรฉrieure ร celle de la bande de conduction, est complรจtement remplie. Tous les รฉlectrons de la derniรจre couche forment quatre liaisons covalentes avec leurs voisins.
– la bande de conduction est vide, le semi-conducteur se comporte en isolant parfait.
Lorsque la tempรฉrature augmente, lโรฉnergie de Boltzmann kBT change le comportement รฉlectrique du semi-conducteur. Des รฉlectrons remontent dans la bande de conduction.
Quelques mots usuels de la physique des semi-conducteurs
Semi-conducteurs et isolants.
Un semi-conducteur est un solide dont la largeur de la bande interdite est faible par rapport ร celle dโun isolant. Entre les isolants, et les conducteurs, se placent les semi-conducteurs dont ils sont caractรฉrisรฉs par quatre รฉlectrons sur la derniรจre couche. Les semi-conducteurs sont du groupe 4. Les plus cรฉlรจbres en รฉtude sont le germanium et le silicium.
Un isolant prรฉsente une bande de valence saturรฉ et une bande de valence entiรจrement vide. Ces deux bandes sont sรฉparรฉes par une bande interdite appelรฉ aussi Gap. Un conducteur ou un mรฉtal a les deux bandes donnant aussi la libertรฉ aux รฉlectrons de se dรฉplacer sans difficultรฉ.
Electron libre et trou
On appelle รฉlectron libre les รฉlectrons qui se trouvent dans la bande de conduction et qui, du fait de leur mobilitรฉ, sont susceptibles dโacquรฉrir de lโรฉnergie pour participer ร un courant รฉlectrique. Lโรฉlectron libre est une charge mobilenรฉgative.
On appelle trou lโabsence dโun รฉlectron dans la bande de valence. Cette absence dรฉmasque une charge positive du noyau, si bien que le trou peut-รชtre assimilรฉ ร une charge mobile positive.
Semi-conducteur intrinsรจque
Dรฉfinition et notions techniques de prรฉparation
Nous allons reproduire ici les propos de [2]- sur ce point pour รฉclaircir nos pensรฉes sur les difficultรฉs rencontrรฉes de nos jours et dans le futur.
Le silicium est actuellement le matรฉriau le plus utilisรฉ pour fabriquer les cellules photovoltaรฏques. On l’obtient par rรฉduction ร partide silice, composรฉ le plus abondant dans la croรปte terrestre et notamment dans le sable ou l e quartz. La premiรจre รฉtape est la production de silicium dit mรฉtallurgique, pur ร 98% seulement, obtenu ร partir de morceaux de quartz provenant de galets ou d’un gisement filonien (la technique de production industrielle ne permet pas de partir du sable). Le silicium de qualitรฉ photovoltaรฏque doit รชtre purifiรฉ jusqu’ร plus de 99,999%, ce qui s’obtient en transformant le silicium en un composรฉ chimique qui sera distillรฉ puis retransformรฉ en silicium. Le silicium est produit sous forme de barres nommรฉes ยซ lingots ยป de section ronde ou carr รฉe. Ces lingots sont ensuite sciรฉs en fines plaques mises au carrรฉ (si nรฉcessaire) de 200 micromรจtres d’รฉpaisseur qui sont appelรฉes ยซ wafers ยป. Aprรจs un traitement pour enric hir en รฉlรฉments dopants (P, As, Sb ou B) et ainsi obtenir du silicium semi-conducteur de type P ou N, les wafers sont ยซ mรฉtallisรฉs ยป : des rubans de mรฉtal sont incrustรฉs en surface et reliรฉs ร des contacts รฉlectriques. Une fois mรฉtallisรฉs les wafers sont devenus des cellules photovoltaรฏques. La production des cellules photovoltaรฏques nรฉcessite de l’รฉnergie, et on estim qu’un module photovoltaรฏque doit fonctionner environ deux ร trois ans suivant sa technique de fabrication pour produire l’รฉnergie qui a รฉtรฉ nรฉcessaire ร sa fabrication (retour รฉnergรฉtique du module).
Les techniques de fabrication et les caractรฉristiques des principaux types de cellules sont dรฉcrits dans les trois paragraphes suivants. Il existe d’autres types de cellules actuellement ร l’รฉtude, mais leur utilisation est pratiquement nรฉgligeable.
Les matรฉriaux et procรฉdรฉs de fabrication font l’objet de programmes de recherches ambitieux pour rรฉduire les coรปts de possession et de recyclage des cellules photovoltaรฏques. Les techniques couches minces sur substrats banalisรฉs semblent recueillir les suffrages de l’industrie naissante. En 2006 et 2007, la croissance de la production mondiale de panneaux solaires a รฉtรฉ freinรฉe par manque de silicium, et esl prix des cellules n’ont pas baissรฉ autant quโespรฉrรฉ. L’industrie cherche ร faire baisser la quantitรฉ de silicium utilisรฉ. Les cellules monocristallines sont passรฉes de 300 microns d’รฉpaisseur ร 200 et on pense maintenant atteindre rapidement les 180 puis 150 microns, diminuant la quantitรฉ de silicium et d’รฉnergie nรฉcessaire, mais aussi les prix.
Conduction dans un semi-conducteur intrinsรจque
A la tempรฉrature normale, un semi-conducteur intrinsรจque est lรฉgรจrement conducteur.
On va adopter les deux points suivants :
– Sous lโagitation thermique, un รฉlectron dโun semi-conducteur devient libre dรจs que son รฉnergie cinรฉtique atteint son รฉnergie dโactivationWa( pour le germanium, Wa = 0,7ev), il passe de la bande de valence ร la bande de conduction et sโy comporte comme un รฉlectron libre dans un mรฉtal.
– Le dรฉpart dโun รฉlectron donne naissance ร un trou. Donc lโatome ayant perdu un รฉlectron devient instable, il cherche ร rรฉcupรฉrer son รฉlectron en prenant celui dโun de ses voisins qui ร son tour rรฉpercute lโaction ร un autre atome. Tout se passe alors comme si le trou se dรฉplace dans la bande de valence. En absence du champ รฉlectromoteur dans un cristal, cโest lโagitation thermique qui fait voyager lโรฉlectron et le trou crรฉant ainsi un courant รฉlectrique dans le cristal.
Comme les รฉlectrons en partant de lโatome donnent naissance au trou, il y a autant dโรฉlectrons libres que de trous dans un semi-conducteur intrinsรจque.
Polarisation inverse de la jonction PN
Si on polarise la jonction en sens inverse la hauteur de barriรจre de potentiel entre les rรฉgions P et N est renforcรฉe par la tension extรฉrieure appliquรฉe et devient Vf+Vinv. Le champ รฉlectrique dans la zone de charge dโespace augmente ainsi que son รฉtendue (dans lโรฉquation ((1 โ 010)) et ((1 โ 011)) Vf devient Vf + Vinv).
Les porteurs majoritaires des rรฉgions N et P nโont pas lโรฉnergie nรฉcessaire pour sauter cette barriรจre de potentiel. La jonction est alors traversรฉe par le trรจs faible courant de saturation IS. Ce courant issu du phรฉnomรจne dโionisation thermiquedu silicium, dรฉpend uniquement de la tempรฉrature.
RAPPELS SUR LA THEORIE DE LA PHOTOELECTRICITE
Introduction
Depuis 1839 oรน Antoine Becquerel a appliquรฉ le principe de l’effet photoรฉlectrique ou la transformation directe d’รฉnergie portรฉe par la lumiรจre en รฉlectricitรฉ, les chercheurs nโont pas cessรฉ dโapporter leurs contributions pour lโexploitation de cette รฉnergie propre. Dรจs 1954, la production de la photoรฉlectricitรฉ a vu le jour. La recherche porte รฉgalement aujourdโhui sur des polymรจres et matรฉriaux organiques susceptibles รฉventuellement souples qui pourraient remplacer le silicium. Avant de voir les progrรจs actuels en matiรจre de photoรฉlectricitรฉ, nous allons aborder le sujet ร partir de photopile ร semi-conducteur naturel.
Cellule photovoltaรฏque
Dรฉfinition et historique
La cellule photovoltaรฏque est la cellule รฉlรฉmentair dโun gรฉnรฉrateur solaire. On lโappelle aussi photodiode. En effet, elle rรฉsulte de lโexploitation de la barriรจre de potentiel nรฉ de la mise en jonction des deux semi-conducteurs de types diffรฉrents.
Le terme ยซ photovoltaรฏque ยป dรฉsigne le processus physique qui consiste ร transformer lโรฉnergie lumineuse en รฉnergie รฉlectrique par le transfert de lโรฉnergie des photons aux รฉlectrons dโun matรฉriau.
Le principe de photovoltaรฏque a รฉtรฉ dรฉcouvert pare lphysicien franรงais A. Becquerel en 1939 et expliquรฉ par Albert Einstein en 1905 (cโest pour cette explication quโil a reรงu le prix Nobel de physique en 1921).
Le prรฉfixe Photo vient du grec ยซ phos ยป qui signifi e lumiรจre. ยซ Volt ยป vient du patronyme dโAlessandro Volta (1745-1827), physicien qui a contribuรฉ aux recherches sur lโรฉlectricitรฉ. Donc littรฉralement, photovoltaรฏqueignifies รฉlectricitรฉ lumineuse.
Description et constitution
Lorsquโun matรฉriau est exposรฉ ร la lumiรจre du soleil, les atomes exposรฉs au rayonnement sont ยซ bombardรฉs ยป par les photons constituant cett e lumiรจre. Sous lโaction de ce bombardement, les รฉlectrons des couches รฉlectroniques supรฉrieurs sont arrachรฉs :
– Si lโรฉlectron revient ร son รฉtat initial, lโรฉnergi cinรฉtique du photon est transformรฉe en รฉnergie thermique.
– Par contre, dans les cellules photovoltaรฏques, unepartie des รฉlectrons ne revient pas ร son รฉtat initial. Les รฉlectrons ยซ arrachรฉs ยป crรฉent une tension รฉlectrique continue faible.
Une partie de lโรฉnergie cinรฉtique des photons est donc transformรฉe en รฉnergie รฉlectrique.
Cโest lโeffet photovoltaรฏque.
Lโeffet photovoltaรฏque, se manifeste quand un photon est absorbรฉ dans un matรฉriau composรฉ de semi-conducteurs dopรฉs P et N, dรฉnommรฉ comme jonction PN. Sous lโeffet de ce dopage, un champ รฉlectrique est prรฉsent dans le matรฉriau de maniรจre permanente. Quand un photon incident, de frรฉquence f, interagit avec les รฉlectrons du matรฉriau, il cรจde son รฉnergie de Planck hf ร lโรฉlectron qui se retrouve libรฉrรฉ de sa bande de valence et subit donc le champ รฉlectrique intrinsรจque.
Sous lโeffet de ce champ, lโรฉlectron migre vers la face supรฉrieure laissant place ร un trou qui migre en direction inverse. Des รฉlectrodes placรฉes sur la face supรฉrieure et la face infรฉrieure permettent de rรฉcolter les รฉlectrons et de leur faire rรฉaliser un travail รฉlectrique pour rejoindre le trou de la face antรฉrieure.
Pour que lโรฉlectron puisse franchir la barriรจre de potentiel, il lui faut une รฉnergie. Une cellule photovoltaรฏque produit du courant si on lui fournitde lโรฉnergie lumineuse. Cette รฉnergie lumineuse lui arrive sous forme de photons. Pour assurer lโabsorption quasi-totale des photons, il faut augmenter la zone de dรฉplรฉtion en intercalant entre les deux semi-conducteurs un semi-conducteur intrinsรจque comme ร la figure ci-dessous.
Principe de fonctionnement
En absence de polarisation, la photodiode crรฉe une tension, en polarisation inverse par une alimentation externe, elle crรฉe un courant. Quand un semi-conducteur est exposรฉ ร un flux lumineux, les photons absorbรฉs, ร condition que lโรฉnergie du photon Eph = hf soit supรฉrieure ร la largeur de la bande interdite, lโรฉlectron quitte la bande de valence et se dirige vers la bande de conduction. Il devient ainsi mobile et capable de gรฉnรฉrer un courant รฉlectrique. Lโexistence de la bande interdite entraine lโexistence dโun seuil dโabsorption tel que hf0 = Eg. Lors de lโabsorption dโun photon, deux phรฉnomรจnes peuvent se produire :
La photoรฉmission : cโest la sortie de lโรฉlectron hors du matรฉriau photosensible.
La photoconductivitรฉ : lโรฉlectron est libรฉrรฉ ร lโintรฉrieur du matรฉriau.
Les รฉlectrons ainsi libรฉrรฉs contribuent ร la conductivitรฉ รฉlectrique du matรฉriau.
Lorsque les photons pรฉnรจtrent dans le semi-conducteur muni dโune รฉnergie suffisante, ils peuvent crรฉer des photo-porteurs รฉlectrons et trous dโรฉlectrons en excรจs dans le matรฉriau causant ainsi une augmentation du courant รฉlectrique.
Photocourant
Le photocourant provient de conductions des รฉlectrons gรฉnรจres par lโeffet photoรฉlectrique de laย zone de dรฉplรฉtion et de la diffusion des รฉlectrons de la zone P.
Quelques termes usuels en photoรฉlectricitรฉ
– Photocourant de conduction
On appelle photocourant de conduction le courant Iphc dรป aux รฉlectrons gรฉnรจres par le photoรฉlectrique dans la zone de dรฉplรฉtion.
– Photocourant de diffusion
On appelle photocourant de diffusion le courant Iphd dรป aux รฉlectrons par effet photoรฉlectrique dans la rรฉgion neutre de type P et qui arrivent par diffusion jusquโau bord de la zone de dรฉplรฉtion.
– Photocourant total
On appelle photocourant le courant Iph total ร tous les รฉlectrons gรฉnรฉrรฉs par la photoรฉlectricitรฉ dans le dispositif.
Le photocourant total a pour expression Iph = Iphc + Iphd
Il est comptรฉ positivement sโil passe de la zone N vers la zone P.
– Taux de gรฉnรฉration optique et Expression du Photocourant
Pour pouvoir exprimer le photocourant, on va admettre les hypothรจses simplifications suivantes :
– Le rรฉgime est permanent, par consรฉquent๏ ๏ถn๏ ๏ฝ 0 ยถ t
– La couche N est suffisamment mince. Ce qui signifie L N๏ ๏ ๏ผ๏ ๏ก1๏ ๏ฃ L D .
– Le dรฉplacement des charges est uni axial suivant la cathode-anode
– La section A de la photodiode est constante.
– Aucune recombinaison des paires รฉlectron-trou gรฉnรฉrรฉes par lโeffet photoรฉlectrique nโa lieu dans la zone de dรฉplรฉtion.
– Le mรฉcanisme de gรฉnรฉration photocourant est imperturbable sous lโeffet du flux des photons et le photocourant de conduction suit la relation
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Table des matiรจres
INTRODUCTION
Nomenclature
Chapitre I : BREVE HISTORIQUE ET RAPPELS SUR LA THEORIE DE SEMICONDUCTEURS
1.1 Brรจve historique
1.2 Rappels sur la thรฉorie de semi-conducteurs
1.2.1. Introduction
1.2.2. Loi dโOhm
1.2.3. Energie de dรฉtachement de lโรฉlectron.
1.2.4. Thรฉorie des bandes dโรฉnergie.
1.2.5. Quelques mots usuels de la physique des semi-conducteurs
1.2.5.1 Semi-conducteurs et isolants
1.2.5.2 Electron libre et trou
1.2.5.3 Comparaison entre semi-conducteurs et isolants
1.2.6. Semi-conducteur intrinsรจque
1.2.6.1 Dรฉfinition et notions techniques de prรฉparation
1.2.6.2 Conduction dans un semi-conducteur intrinsรจque
1.2.7. Semi-conducteur extrinsรจque
1.2.7.1 Dopage et types des semi-conducteurs dopรฉs
1.2.7.2 Jonction
1.2.7.3 Effet redresseur
1.2.7.4 Polarisation directe de la jonction PN
1.2.7.5 Polarisation inverse de la jonction PN
Chapitre II : RAPPELS SUR LA THEORIE DE LA PHOTOELECTRICITE
2.1 Introduction
2.2 Cellule photovoltaรฏque
2.2.1. Dรฉfinition et historique
2.2.2. Description et constitution
2.2.3. Principe de fonctionnement
2.2.4. Photocourant
2.2.4.1 Quelques termes usuels en photoรฉlectricitรฉ
2.2.4.2 Modรจle dโune photodiode
2.3 Gรฉnรฉrateur solaire
2.3.1. Dรฉfinition
2.3.2. Quelques ordres de grandeur et problรจmes dโexploitation des gรฉnรฉrateurs solaires
2.3.3. Rendement
Chapitre III : ETUDE DE LA POMPE
3.1 Introduction
3.2 Rappels sur la machine ร courant continu
3.2.1. Principe de la conversion รฉlectromรฉcanique
3.2.2. Description
3.2.2.1 Inducteur ou stator
3.2.2.2 Induit ou rotor
3.2.3. Fonctionnement
3.2.3.1 Symbole et mode dโexcitation
3.2.3.2 Force รฉlectromotrice induite
3.2.3.3 Equation de fonctionnement
3.2.3.4 Puissance โ Rendement et Couple
Chapitre IV : REMPLISSAGE ET VIDANGE DU RESERVOIR
4.1. Quelques grandeurs de la dรฉtermination du choix de la pompe
4.1.1. Dรฉbits
4.1.2 Caractรฉristiques des hauteurs
4.1.3. Energie nรฉcessaire au pompage
4.1.4. Vitesse spรฉcifique NS
4.1.5. Diamรจtre de la conduite
4.1.6. Dรฉtermination des caractรฉristiques du rรฉservoir
4.1.7. Estimation du volume du rรฉservoir
4.2 Type dโรฉcoulement
4.2.1 รcoulement laminaire
4.3 Puissance pour un รฉcoulement
4.3.1 Hypothรจses de calcul
Conclusion gรฉnรฉrale
Annexe1 : ENERGIE SOLAIRE
A1. Quelques dรฉfinitions des donnรฉes astronomiques
A11. Dรฉclinaison du soleil ฮด
A12.Latitude ฯ
A13. Angle horaire ฯ
A14. Hauteur h du soleil
A15. Systรจme locale de coordonnรฉes azimutales
A16. Les paramรจtres des rayonnements solaires
A12. Paramรจtres de temps
A121 Dรฉfinitions de mots usuels
Annexe2 : PROGRAMMES DE TRAรAGE DU DEBIT
A21. %Programme Dรฉbit fonction de hauteur pour un diamรจtre de 12mm
A22%Programme Dรฉbit fonction de diamรจtre pour hauteurs de 5m ร 50 m..
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