LA SANTÉ BUCCOFDENTAIRE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS DE LA MALADIE DE PARKINSON:REVUE SYSTÉMATIQUE DE LA LITTÉRATURE
CONTEXTE
Comme nous avons pu le rappeler dans la première partie de ce travail, la maladie de Parkinson est, après la maladie d’Alzheimer, l’affection neurodégénérative la plus fréquente dans le monde. Une part non négligeable de la population des plus de 65 ans est affectée par cette maladie. Une constante progression est observée avec le vieillissement de la population.
Cette maladie est caractérisée par ses tremblements, sa lenteur de mouvements, sa rigidité musculaire et son instabilité posturale.
Ces symptômes ont des effets négatifs sur les patients, sur leur qualité de vie, ce qui entraîne souvent une réduction des activités de la vie quotidienne, y compris la possibilité d’effectuer une hygiène corporelle et orale efficace.
Nous pouvons alors supposer que cela peut conduire à des difficultés de maintien de la santé bucco-dentaire.
Dans la deuxième partie de ce travail, nous avons noté que la santé bucco-dentaire est un objectif de santé publique actuel et qu’il y a des inégalités au sein des différentes populations (13–17,21). De plus, à ce jour, peu d’études ont été publiées sur la santé bucco-dentaire des patients atteints de la maladie de Parkinson.
Il est donc intéressant de réaliser une revue systématique de la littérature afin d’évaluer si les patients atteints de la maladie de Parkinson sont plus sujets aux maladies bucco-dentaires que la population générale.
OBJECTIFS
Les objectifs sont :
Décrire l’influence de la maladie de Parkinson sur la santé bucco-dentaire en évaluant la prévalence des pathologies bucco-dentaires les plus fréquentes, à savoir les maladies carieuses et parodontales, chez les patients parkinsoniens et d’en déduire ou non de l’intérêt d’une prise en charge bucco-dentaire spécifique de ces patients.
Qualité des études incluses
Dix études sont des études comparatives type cas/témoins, de Grade C, avec un faible niveau de preuve scientifique (niveau 3) : Persson et al. (34), Fukayo et al. (36), Nakayama et al. (37), Schwarz et al. (38), Einarsdóttir et al. (39), Hanaoka et al. (40), Bakke et al. (41), Müller et al. (42), Cicciù et al. (43) et Pradeep et al.
L’étude de Anastassiadou et al. (35) est une série de cas, aussi de Grade C avec un faible niveau de preuve scientifique (niveau 4) (Annexe 10). C.)Synthèse)des)résultats)des)études)
Les enquêtes épidémiologiques incluses donnent des résultats controversés(Tableau 3) :
• Persson et al. (34) expliquent que les patients atteints de la maladie de Parkinson ont moins de dents absentes dues aux caries et une prévalence de caries significativement inférieure que les témoins d’âge semblable (p<0,05). Il n’y a pas de différence significative pour le taux de sécrétion salivaire (p=0,06) avec une diminution du flux salivaire quand l’hypokinésie des patients parkinsoniens s’aggrave et que les difficultés d’hygiène sont plutôt liées à la gravité de l’hypokinésie (p<0,01) qu’aux tremblements.
• Fukayo et al. (36) vont dans le même sens avec un CAOD significativement plus faible (p=0,000) que les témoins, ne notent pas de différence significative pour le flux (p= 0,708) et le pH salivaire (p= 0,075) et observent une fréquence de brossages significativement plus importante avec de meilleures habitudes diététiques que chez les témoins.
• A l’inverse, Anastassiadou et al. (35) montrent des problèmes bucco-dentaires aggravés par une perte importante des dents due aux caries.
• L’étude de Nakayama et al. (37) au Japon rapporte que le nombre de patients dépourvus de leurs dents est plus élevé pour les patients atteints de la maladie de Parkinson que pour les contrôles, elle indique que les premiers ont aussi plus de chance d’avoir des caries et des parodontites. On note plus d’inflammation gingivale avec plus d’inconfort prothétique, une moins bonne hygiène et plus de problèmes avec l’alimentation mais qu’il y a un suivi d’un dentiste dans les deux groupes.
• Schwarz et al. (38) décrivent que les moyennes des indices CPITN des parkinsoniens sont significativement plus importantes que celles des témoins (p<0,05).
• Einarsdóttir et al. (39) rapportent qu’en Islande, les parkinsoniens ont plus de dents absentes, plus de caries, avec un CAOD et CAOF plus importants, le nombre de bactéries cariogènes dans la salive est significativement plus élevé que dans le groupe contrôle cependant ils ne consomment pas plus de sucre.
Ils ont plus de plaque dentaire, plus de poches profondes et une moins bonne santé parodontale que les témoins. Le flux salivaire est comparable entre les deux groupes. Ils ne se brossent pas moins souvent les dents que le deuxième groupe et sont suivis régulièrement par un dentiste.
• Hanaoka et al. (40) expliquent que les fréquences des caries non traitées, des dents absentes et de la maladie parodontale sont plus élevées (avec plus de poches parodontales pathologiques que les témoins) chez les patients avec la maladie de Parkinson que ceux des groupes des contrôles et des AVC. La parodontite pourrait être un facteur de risque des AVC, toutefois, l’étude constate que les patients atteints de la maladie de Parkinson ont perdu encore plus de dents que les patients AVC.
La fréquence des malades avec des caries non traitées est élevée surtout à partir du stade 2 de Hoehn et Yahr par rapport aux deux autres groupes, elle est supérieure chez les patients parkinsoniens avec une fréquence de plus de 40%, significativement plus élevée que chez le groupe contrôle avec 8,1% et chez le groupe AVC avec 9,8%.
Cela tend à augmenter chez les patients qui ont un faible score au MMSE. On peut suggérer que la carie est une complication fréquente chez les patients atteints de la maladie de Parkinson et est facilitée par les troubles moteurs et cognitifs.
• Pour Bakke et al. (41), l’hygiène buccale et la santé bucco-dentaire se dégradent au stade modéré de la maladie de Parkinson, et s’altèrent davantage avec la gravité de la maladie.
• Müller et al. (42) expliquent aussi une moins bonne santé bucco-dentaire des
parkinsoniens avec plus de dents cariées. On observe des récessions gingivales, des saignements gingivaux, des problèmes parodontaux et des mobilités plus importants, une fréquence de brossage et un flux salivaire inférieurs ainsi qu’une fréquence de visites moins importante chez le dentiste par rapport au groupe contrôle.
• Les résultats de Cicciù et al. (43) montrent que les fréquences des dents absentes et des maladies parodontales sont significativement plus élevées dans le groupe de patients atteints de la maladie de Parkinson alors qu’il n’y a pas de différence significative entre les pourcentages de dents cariées non traitées des deux groupes.
Les auteurs montrent que le maintien d’une bonne hygiène buccale est fondamental pour les patients atteints de maladies neurologiques comme la maladie de Parkinson. Les résultats ont montré que la maladie parodontale est fréquente chez les patients atteints de la maladie de Parkinson du fait de la difficulté d’éliminer la plaque à cause des déficiences motrices et cognitives.
• Pradeep et al. (44) montrent que la majorité des sujets de chaque groupe se brosse au moins une fois par jour les dents avec du dentifrice et change de brosse à dents dans les six mois, que les bains de bouches et le fil dentaire sont peu utilisés et que les malades et les témoins vont peu chez le dentiste.
Ils décrivent que la profondeur des poches, la perte d’attache, l’indice gingival, l’indice de plaque et le pourcentage de site de saignement clinique sont plus importants chez les patients parkinsoniens et augmentent avec la sévérité de la maladie.
Dans les stades sévères de la maladie de Parkinson, ces valeurs sont très élevées, 6,17±1,04 pour les profondeurs de poche et 6,74±1,09 pour le niveau de perte d’attache clinique. Les valeurs de l’indice gingival et de l’indice de plaque sont également significativement augmentées dès le stade 1 de Hoehn et Yahr. Le pourcentage de sites de saignement passe de 20,4% dans le groupe témoin à 70,9% au stade 5 de Hoehn et Yahr de la maladie de Parkinson et commence à se détériorer au stade précoce. Même dans le stade 1 de Hoehn et Yahr, tous les paramètres évalués montrent une importante différence avec les sujets témoins.
La maladie parodontale s’aggrave donc avec la sévérité de la maladie de Parkinson ainsi que tous les paramètres et indices cliniques parodontaux évalués.
DISCUSSION
Méthodologie
Les dix études comparatives cas/témoins (études contrôlées) et la présentation de cas (étude non contrôlée) sans randomisation sont d’un niveau de preuve faible. Les populations de chaque étude ont été sélectionnées avec un fort risque de biais (Tableau 4). Persson et al. (34) et Fukayo et al. (36) qui sont en contradiction avec les autres auteurs étudient des populations de patients parkinsoniens beaucoup plus faibles que celles de leur groupe contrôle. Persson et al. (34) donnent peu de précision sur la répartition de la population témoin.
Ce biais peut donc induire des résultats erronés et expliquer leurs conclusions opposées aux autres auteurs.
Pourtant, chez Fukayo et al. (36) les patients sont plus âgés que les témoins. On aurait pu supposer que les résultats de son étude iraient dans le sens d’une meilleure santé bucco-dentaire chez les témoins.
Le groupe contrôle est composé de patients consultant régulièrement la clinique dentaire et les patients souffrant de la maladie de Parkinson aux stades 1 à 3 de Hoehn et Yahr. Le fait que la population parkinsonienne soit composée de patients atteints de faibles troubles moteurs et/ou cognitifs, et que leurs contrôles soient des patients ayant besoin de visites chez le dentiste, peut expliquer la différence de conclusions.
Chez Nakayama et al. (37), la population malade est plus âgée que la population du groupe contrôle pouvant ainsi expliquer le fait que les patients atteints de la maladie de Parkinson aient une moins bonne santé bucco-dentaire.
Dans l’étude de Müller et al. (42), les malades sont plus jeunes que les témoins et les résultats montrent aussi que les patients atteints de la maladie de Parkinson ont une moins bonne santé bucco-dentaire (p=0,004).
Dans cette étude le groupe contrôle a été recruté à partir d’une cohorte de personnes qui avaient consulté un médecin généraliste pour une visite de contrôle. Ils peuvent ne pas être représentatifs du comportement de la population générale. Les patients Parkinsoniens étaient hospitalisés, cette population n’est donc pas représentative de la population atteinte de la maladie de Parkinson.
La répartition intergroupe des âges d’Einarsdóttir et al. (39) (68,7% des parkinsoniens et 65,5% de la population témoin ont moins de 70 ans) et Schwarz et al. (38) sont comparables.
Il n’y a pas de différence significative dans l’étude de Pradeep et al. (44) (p=0,162) entre les deux groupes au niveau de l’âge ni dans l’étude d’Hanaoka et al. (40) avec les deux groupes témoins (p=0,362 et p=0,365).
Pour les études de Bakke et al. (41) et Cicciù et al. (43), ces derniers annoncent des groupes comparables. Le facteur âge a un intérêt car la prévalence de perte d’attache, de récessions gingivales, de tartre et de saignement gingival est plus importante chez les personnes âgées (21). De plus chez les personnes âgées la prévalence de caries radiculaires serait en augmentation en raison du maintien prolongé des dents sur l’arcade (19) et chez les plus de 75 ans on trouve des taux de 60% de caries radiculaires (18,45).
Le facteur sexe a peu d’intérêt pour l’évaluation parodontale car les maladies parodontales chroniques de l’adulte atteindraient autant d’homme que de femmes (46). Au niveau de la prévalence des caries, un écart entre les deux sexes du aux influences biologiques et culturelles, aux comportements alimentaires et aux variations génétiques désavantage les femmes. Cependant Il y a un manque certain de preuve de la différences entre les sexes et le développement des caries dentaires.
Résultats
Les résultats des études les plus récentes tendent vers les mêmes conclusions, c’est-à-dire vers une détérioration de la santé bucco-dentaire des patients atteints de la maladie de Parkinson par rapport aux témoins.
Pour Müller et al. (42), la maladie parodontale et les caries augmentent au cours de la progression de la maladie de Parkinson, de même dans l’étude de Pradeep et al. (44), la maladie parodontale semble s’aggraver avec la progression de Hoehn et Yahr, ce qui indique que la pathologie parodontale chez les sujets atteints de la maladie de Parkinson augmente à mesure que la déficience motrice progresse. Le brossage est signalé comme étant crucial pour la prévention de la progression de la maladie parodontale.
La capacité de garder les dents propres est importante pour l’hygiène buccale. Une prévalence importante de pathologies parodontales et caries chez les patients de la maladie d’Alzheimer ont été également rapportés, ce qui suggère que la déficience cognitive peut entraîner une santé buccale pauvre (50,51). Bien que, dans l’étude de Pradeep et al. (44), la majorité des sujets brossent leurs dents au moins une fois par jour, la pathologie parodontale est beaucoup plus faible dans le groupe contrôle. Cela pourrait être dû à la diminution de la capacité des sujets atteints de la maladie de Parkinson à nettoyer les dents efficacement en raison de leurs perturbations dans les mouvements fins de la main (51,52). Le nettoyage régulier des dents de ces patients peut être affecté par les dysfonctionnements moteurs et cognitifs comme les tremblements, l’akinésie, la rigidité musculaire, ou la démence.
L’apathie, la dépression, la démence et l’oubli sont des facteurs qui peuvent influer sur la capacité des patients à remarquer leurs problèmes dentaires.
Merchant remarque aussi que l’augmentation de l’activité physique diminue le risque de la maladie parodontale.
Une hygiène buccale altérée est alors liée à une dextérité manuelle affaiblie ainsi que des problèmes cognitifs, d’apathie, de dépression et de fluctuations comportementales
Les troubles de la marche, causés par l’akinésie et une instabilité posturale, peuvent empêcher les visites chez le dentiste pour maintenir une bonne santé buccodentaire. Un suivi régulier par un dentiste pour s’assurer que les patients sont en mesure de maintenir une bonne hygiène bucco-dentaire semblerait être un complément judicieux au traitement.
Cependant dans ces deux études (42,44), les pathologies se développent à partir du début des stades de Hoehn et Yahr. Par conséquent, les déficiences motrices et cognitives ne peuvent pas rendre compte de tous les facteurs qui conduisent à une mauvaise hygiène buccale chez les sujets avec la maladie de Parkinson.
C’est aussi le cas de l’étude d’Hanaoka et al. (40) où les fréquences des caries et des maladies parodontales étaient élevées même à un stade précoce de la maladie.
Ce n’est donc pas seulement la faute d’une incapacité fonctionnelle dans leurs activités quotidiennes.
Plusieurs facteurs pouvant intervenir sur la santé bucco-dentaire chez ces malades restent à déterminer.
La dysphagie, les difficultés de mastication, les dyskinésies buccales, l’hypersialorrhée, la xérostomie et les médicaments anti-parkinsoniens peuvent également affecter l’hygiène bucco-dentaire en perturbant les mécanismes d’autonettoyage de la bouche (29).
Les prévalences supérieures à celles de la population générale de xérostomie, et de sensation de brûlure interviennent dans le maintien de la santé bucco-dentaire.
Les modifications du pH, de la composition de la salive, de l’émail interviennent sur la reminéralisation dentaire pouvant provoquer des problèmes dentaires.
Les patients atteints de la maladie de Parkinson sont à surveiller. Aussi, certains symptômes et traitements peuvent perturber l’équilibre bucco-dentaire. Ainsi les maladies carieuses et parodontales peuvent se développer et augmenter la prévalence de dents perdues, interférant sur la mastication et diminuant les capacités d’auto-alimentation des patients parkinsoniens (59). En raison d’une dysphagie et d’une mauvaise hygiène buccale, ces patients ont aussi un risque élevé de pneumonie par aspiration qui peut parfois conduire au décès.
Chez Cicciù et al. (43), les résultats similaires de caries non traitées des deux groupes peuvent être dus à l’alimentation en sucre que les personnes âgées préfèrent consommer (62,63).
La nutrition est un déterminant important de la santé des patients âgés. Au cours des dernières années, la nutrition a été évaluée comme facteur important dans l’apparition de cancers, de maladies cardiaques et dans la démence chez les personnes âgées de plus de soixante-cinq ans. Par conséquent, des repas fréquents et en-cas sont proposés par les médecins et diététiciens. Dans de nombreux cas, les collations sont riches en sucre, molles et collantes, ce qui favorise la formation de plaques dentaire. Un régime sucré augmente également de manière significative le risque de caries et les parodontopathies.
Des boissons vitaminées comme substitut de collations pourraient aider au maintien d’une bonne nutrition et de diminuer les caries et les facteurs de prédisposition aux maladies parodontales (43).
Afin d’augmenter le nombre de visites et la motivation des patients, il existe de nombreuses procédures expliquant l’utilité de visites tôt le matin, lorsque la qualité de l’attention est plus élevée et la coopération du patient est à son meilleur niveau, des contrôles de routine plus fréquents. Ces procédures sont essentielles pour la prévention des caries et des maladies parodontales chez ces patients.
Les cliniciens doivent expliquer aux patients ayant des déficiences cognitives, les méthodes d’un bon brossage des dents et d’utilisation de fil dentaire afin d’éliminer efficacement la plaque dentaire.
Les traitements pluridisciplinaires représentent le meilleur choix. Des stratégies thérapeutiques sûres pourraient être mises en place entre dentistes et médecins du patient pour identifier toute nécessité de modifier ou non les pratiques classiques de traitement (66).
Par conséquent, la dentisterie préventive pourrait être l’aspect le plus important des soins dentaires pour les patients atteints de maladie de Parkinson. Il est important de reconnaître les limites de ces patients et de leurs dentistes dans l’exécution des soins bucco-dentaires. Les patients devraient recevoir des soins bucco-dentaires dans un cadre approprié où les dentistes seraient en étroite coopération avec les neurologistes.
Les résultats n’apparaissent qu’au travers d’études comparatives cas/témoins et série de cas et donc de faible valeur scientifique.
Toutes les études publiées présentent des biais et ne peuvent donc pas être considérées comme formelles.
Les résultats des études sont contradictoires, néanmoins, les études récentes tendraient à conclure que la maladie de Parkinson influence l’apparition de la maladie carieuse et des maladies parodontales. La maladie de Parkinson devrait être incluse dans la liste de facteurs de risque perturbant l’hygiène buccodentaire et augmentant les pathologies carieuses et parodontales.
Une récente étude (68) compare 53 351 personnes de plus de 40 ans présentant une parodontite chronique avec 266 755 témoins sans parodontite chronique tirés au hasard.
L’objectif était de montrer l’association entre la parodontite chronique et la maladie de Parkinson.
Chaque sujet a été suivi individuellement sur une période de 5 ans.
Les résultats ont alors montré une incidence plus importante de parkinsonisme chez des patients atteints d’une parodontite chronique que chez les sujets n’ayant pas de parodontite chronique.
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Table des matières
INTRODUCTION
PARTIE I: RAPPELS SUR LA MALADIE DE PARKINSON
1)ÉPIDEMIOLOGIE
2)MANIFESTATIONS CLINIQUES DE LA MALADIE DE PARKINSON
A.Les trois symptômes principaux
B.Les autres signes
3)CRITÈRES DIAGNOSTIQUES
4)ÉCHELLES D’ÉVALUATION CLINIQUE DE LA MALADIE DE PARKINSON
A.L’échelle UPDRS Unified Parkinson’s Disease Rating Scale
B.L’échelle MDS=UPDRS Movement Disorder Society=Sponsored Revision of the Unified
Parkinson’s Disease Rating Scale
C.Le NonMotor Symptoms Questionnaire for Parkinson Disease PD NMSQuest
D.La NonMotor Symptoms Scale for Parkinson Disease NMSS
E.Le MMSE(Mini=Mental State Examination
5 LE TRAITEMENT DE LA MALADIE DE PARKINSON
CONCLUSION
PARTIE II: CRITÈRES ET MOYENS D’ÉVALUATION DE LA SANTÉ BUCCOF DENTAIRE
1.ÉVALUATION DE LA MALADIE CARIEUSE
A. Définitions et généralités
B.Les facteurs de risque
C.Les indices épidémiologiques de cariologie
D.La détection des lésions carieuses
2)ÉVALUATIONS DES MALADIES INFLAMMATOIRES GINGIVALES ET PARODONTALES
A.Définitions et généralités
B.Le parodonte sain
C.Le parodonte pathologique
D.Les facteurs de risque
E.!Les!critères!d’évaluations!des!maladies!parodontales
PARTIE III: LA SANTÉ BUCCOFDENTAIRE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS DE LA
MALADIE DE PARKINSON:REVUE SYSTÉMATIQUE DE LA LITTÉRATURE
1)CONTEXTE
2)OBJECTIFS
3)MATÉRIEL ET MÉTHODES
A.Critères d’inclusion
B.Méthodes de recherche des études
C.Collecte des données et analyse
4)RÉSULTATS
A.Description des études
B.Qualité des études incluses
C.Synthèse des résultats des études
5)DISCUSSION
A.Méthodologie
B.Résultats
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
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