Le stress
Quโest-ce que le stress?
Le stress est considรฉrรฉ comme le rรฉsultat de lโinteraction entre le sujet et son environnement. Il est dรฉfini comme โun รฉtat de divergenceโ, dโinadรฉquation, entre les demandes perรงues par le sujet et lโidรฉe quโil se fait de ses possibilitรฉs de rรฉponse. Le sujet peut alors avoir le sentiment de perte de contrรดle de la situation: cโest la rรฉaction de stress.
Au niveau somatique, la rรฉaction de stress se traduit par une sรฉrie de manifestations liรฉes ร des modifications hormonales et mรฉtaboliques, mettant en jeu lโaxe hypothalamohypophyso cortico-surrรฉnalien : provoquant accรฉlรฉration du rythme cardiaque, augmentation de la tension artรฉrielle, hypersudationโฆ Au niveau psychologique, le stress se traduit par une brรจve exacerbation de la vigilance et de lโรฉtat รฉmotionnel (tension, sensation de malaise) engendrant une agitation ou une inhibition psychomotrice.
Lorsque cette rรฉaction de stress est brรจve, elle permet ร lโindividu de sโadapter.
Si elle est intense, durable ou chronique, elle sโaccompagne de souffrance et est susceptible dโentraรฎner des problรจmes de santรฉ (maladies psychosomatiques, troubles psychiques) : cโest lโรฉtat de stress.
Enfin, le concept de problรจme pour expliquer comment certaines situations deviennent stressantes pour un individu.
Un problรจme est une situation marquรฉe par lโรฉcart entre ce que le sujet souhaite quโil arrive ou sโattendait ร ce quโil arrive et ce qui arrive rรฉellement, sans aucune solution immรฉdiate pour rรฉduire cette diffรฉrence.
Le stress psychologique est dรฉfini par Ostell comme โun รฉtat qui survient lorsque lโon perรงoit la situation comme รฉtant un problรจme, qui a un coรปt significatif pour soi-mรชme et va engendrer un effort ou un dรฉbordement de ses propres ressources pour y faire faceโ.
Evolution du concept de stress et mรฉcanismes importants
En 1872, Darwin prรฉcise dรฉjร , dans sa thรฉorie de lโรฉvolution, que la peur, chez lโhomme et lโanimal, a pour rรดle de mobiliser lโorganisme afin dโaffronter le danger, encore faut-il quโun certain seuil ne soit pas dรฉpassรฉ. La peur est envisagรฉe comme un mรฉcanisme utile envue de la survie, sauf si elle entraรฎne une terreur panique provoquant รฉventuellement une obnubilation de la conscience et par consรฉquent un coรปt important.
En 1915, Claude Bernard souligne lโimportance de lโรฉquilibre dโune personne pour affronter les รฉvรฉnements de la vie quotidienne. Cet รฉquilibre est possible si lโhomme est capable de maintenir stable son milieu interne, quelles que soient les conditions externes ou les agressions de lโenvironnement. Lorsque la personne perd cette facultรฉ dโautorรฉgulation, son รฉquilibre se dรฉrรจgle et elle court alors de grands dangers : troubles, maladies et mort.
A la mรชme รฉpoque, le physiologiste belge Frรฉdรฉricq รฉcrit que lโรชtre vivant est tel que toute influence perturbatrice provoque elle-mรชme une activitรฉ compensatrice, destinรฉe ร neutraliser ou ร porter remรจde ร cette perturbation.
Il est important de rappeler, outre lโhistorique du stress, quโencore aujourdโhui le stress peut faire rรฉfรฉrence ร trois cadres conceptuels diffรฉrents : les modรจles de stress ont รฉtรฉ conรงus soit comme une rรฉponse, soit comme un stimulus, soit comme une transaction. Il est essentiel de savoir ร quel cadre on se rรฉfรจre, car le programme de prise en charge en sera nรฉcessairement modifiรฉ et cela permettra dโรฉviter les รฉternelles confusions sur le concept.
Le stress selon Selye ou โle modรจle de rรฉponseโ
Dรจs 1936, Hans Selye, physiologiste, prend conscience dโune sรฉrie de manifestations biologiques, rรฉalisant un syndrome unique mais pouvant connaรฎtre plusieurs causes. Ce syndrome est appelรฉ โsyndrome gรฉnรฉral dโadaptationโ survenant entre 6 et 48 heures aprรจs une agression et comprenant trois phases qui sont.
Lโรฉmotion
Entre 1914 et 1932, Cannon a dรฉmontrรฉ que lโรฉmotion pouvait placer un individu dans un รฉtat particulier, en expliquant lโapparition de cet รฉtat par lโactivation du systรจme sympathique (point de dรฉpart central au niveau de lโencรฉphale et non pas pรฉriphรฉrique au niveau des organes) [15]. Canon insiste aussi sur le fait que cette activation du systรจme sympathique est stรฉrรฉotypรฉe, non spรฉcifique, en rรฉponse ร tous stimuli prรฉsentant un caractรจre รฉmotionnel. Lโรฉmotion provoque ainsi des manifestations viscรฉrales et leย sentiment subjectif. Enfin, la finalitรฉ de ce systรจme est de prรฉparer lโorganisme ร lโaction.
โLe modรจle du stimulusโ
Le modรจle du stimulus prรฉsente le stress comme une demande psycho-sociale qui conduit ร une tension individuelle [2]. Ce modรจle postule que le stress, lโรฉvรฉnement de vie, conduit de faรงon prรฉvisible aux symptรดmes de stress comme certaines maladies. Il fait cependant lโimpasse sur les cognitions face aux stresseurs.
Le concept transactionnel du stress
Les modรจles transactionnels voient le stress comme une interaction entre la personne et son environnement. Ils expliquent que le stress ne rรฉside ni dans la situation, ni dans la personne, mais dans la transaction entre lโenvironnement et la personne. Lazarus est le principal reprรฉsentant de cette approche cognitive.
Des travaux de Cox [14] et Lazarus [36] รฉmergent un concept mettant en relation lโindividu et son environnement. Face ร un obstacle, le sujet รฉvalue la menace ou le dรฉfi par rapport ร ses propres possibilitรฉs de rรฉponse. Cโest lโadรฉquation ou non entre la demande extรฉrieure perรงue et les ressources รฉgalement perรงues ou auto-รฉvaluรฉes par le sujet qui dรฉterminera lโapparition ou non de stress. Il revient ร Lazarus et Folkamn dโavoir parlรฉ pour la premiรจre fois de modรจle transactionnel [18]. Il sโagit tout dโabord dโun modรจle qui conรงoit la personne et lโenvironnement dans une relation dynamique, mutuellement rรฉciproque et bidirectionnelle. Des caractรฉristiques sรฉparรฉes du sujet et du milieu convergent pour donner de nouvelles significations via le processus dโรฉvaluation de la situation. Ensuite, ce modรจle reconnaรฎt un processus impliquant des changements au fil du temps, en diffรฉrenciant les consรฉquences immรฉdiates des consรฉquences ร long terme du stress sur lโadaptation (aspect temporel). En outre, le stress est conรงu comme un processus constamment rรฉitรฉrรฉ au fur et ร mesure des situations de confrontation rencontrรฉes dans la vie quotidienne. Enfin, Lazarus et Folkman ont beaucoup insistรฉ sur les trois niveaux du stress inclus dans une perspective transactionnelle : le niveau social, psychologique et physiologique [59].
Dans la mรชme lignรฉe, Mackay et Cooper [42] conรงoivent le stress non comme une composante fixe de lโenvironnement ou de lโindividu mais comme un processus รฉvoluant dans le temps. Il sโagit en quelque sorte dโun modรจle cybernรฉtique oรน, outre les composantes elles-mรชmes, les relations entre celles-ci et leur รฉvolution dans le temps en fonction de certains facteurs influencent son apparition [18]. En fait, le concept de stress est ร la croisรฉe de lโindividu et de lโenvironnement dans lequel il รฉvolue. Sa gestion au sens strict limite les interventions aux individus. Il est donc clair que la conception du stimulus nโouvre pas la porte aux programmes de gestion du stress et que celle de la rรฉponse les limite aux techniques de relaxation ou aux traitements mรฉdicamenteux. Par contre, la notion de transaction suppose que chaque personne a une maniรจre propre de vivre et de gรฉrer cette transaction. Les programmes de gestion du stress peuvent alors leur permettre dโoptimiser cette transaction sujet-environnement grรขce ร leurs propres ressources. Il sโagit alors dโamรฉliorer ses modes de coping (action face au problรจme du stress par des mรฉthodes cognitivo-comportementales individuelles ou en groupe de travail). Nous verrons รฉgalement quโagir seulement sur lโindividu ne suffit pas. Une action sur lโenvironnement se rรฉvรจle tout aussi indispensable.
Mรฉcanismes importants
Le contrรดle
La dรฉfinition du โcontrรดleโ sโappuie sur les idรฉes dโรฉvaluation subjective des ressources, dโimplication du travailleur, dโincertitude de lโissue et est directement liรฉe ร la notion de contrรดle de lโenvironnement.
La contrรดlabilitรฉ a un effet important dans un contexte organisationnel, de ce fait, un travail ร la fois trรจs exigeant et peu contrรดlable peut avoir un impact nรฉgatif sur le bienรชtre psychique et la santรฉ [26] (Tableau I).
Intima
Lโintima est la plus interne ; lโendothรฉlium dรฉlimite la lumiรจre artรฉrielle de par la juxtaposition des cellules endothรฉliales qui jouent un rรดle physiologique considรฉrable ; elles reposent sur une couche sous-endothรฉliale de soutien qui est en contact avec la limitante รฉlastique interne. Les cellules endothรฉliales sont disposรฉes en mosaรฏque, orientรฉes selon le sens de lโรฉcoulement sanguin et en fonction des contraintes de cisaillement. Lโintima possรจde trois fonctions principales :
– thromborรฉsistance : en empรชchant le dรฉveloppement de rรฉactions dโhรฉmostase entre le sang circulant et les constituants pariรฉtaux ;
– filtration et transport actif des constituants sanguins qui nourrissent la mรฉdia ;
– production de substances contribuant ร la vasomotricitรฉ.
Lโendothรฉlium, constituรฉ dโune monocouche de cellules, a longtemps รฉtรฉ considรฉrรฉ comme une surface inerte ayant un rรดle limitรฉ ร la permรฉabilitรฉ. En fait, lโendothรฉlium est lโinterface entre le sang et les tissus. Il est impliquรฉ dans de nombreuses fonctions : permรฉabilitรฉ vasculaire, tonus vasculaire, coagulation, angiogenรจse. Lโendothรฉlium normal assure un rรดle protecteur contre la vasoconstriction, la thrombose et la prolifรฉration des cellules musculaires lisses de la paroi artรฉrielle.
Le rรดle de lโendothรฉlium dans la vasomotricitรฉ est mรฉdiรฉ par plusieurs substances ; certaines sont synthรฉtisรฉes par lโendothรฉlium lui-mรชme, dโautres sont le rรฉsultat de la transformation de molรฉcules circulantes. Ce sont : lโendothรฉline, la prostacycline, le monoxyde dโazote (NO), lโangiotensine I et la bradykinine. Parmi ces substances, certaines sont vasoconstrictrices (endothรฉline) tandis que dโautres sont vasorelaxantes (prostacycline, monoxyde dโazote (NO).
Mรฉdia
La mรฉdia est รฉpaisse, comprend des fibres musculaires lisses particuliรจrement riches dans les petites artรจres et les artรฉrioles, vaisseaux rรฉsistifs prรฉ-capillaires ; elles y assurent la vasomotricitรฉ. Elle comprend aussi des fibres รฉlastiques qui permettent ร lโartรจre de se dรฉformer, comme cela est le cas pour les grosses artรจres (aorte et branches) qui ont un rรดle de rรฉservoir ร haute pression. La mรฉdia comporte รฉgalement des fibres de collagรจne qui sโopposent ร des augmentations importantes de volume.
Adventice
Lโadventice reรงoit les รฉlรฉments fonctionnels de lโartรจre : les terminaisons nerveuses ร lโorigine de la vasomotricitรฉ et les petits vaisseaux ou vasa vasorum qui irriguent la paroi. Constituรฉe dโun tissu conjonctif fibrocellulaire, elle jouerait un rรดle mรฉcanique de soutien architectural de la paroi, dans le cas dโune mรฉdia affaiblie ou absente.
Le stress professionnel
Quโest-ce que le stress dans la sphรจre du travail?
Le stress est une rรฉaction qui se produit en rรฉponse ร lโexposition ร des facteurs de stress. Si cette rรฉaction est appropriรฉe lorsque lโhomme se trouve face ร un danger rรฉel ou si elle permet lโadaptation, elle nโest pas adรฉquate lorsque des travailleurs sโefforcent de sโadapter ร des conditions de travail difficiles, monotones ou exigeantes. La notion de โstress collectifโ est donc importante.
Dโaprรจs le NIOSH [59], โon peut dรฉfinir le stress au travail comme les rรฉactions physiques et รฉmotionnelles nรฉgatives qui se produisent lorsque les exigences au travail ne concordent pas avec les capacitรฉs, les moyens ou les besoins du travailleur. Ce stress peut se traduire par des problรจmes de santรฉ, voire des accidentsโ. De mรชme, la Convention collective du travail (inspirรฉe de la dรฉfinition de lโOMS) dรฉfinit le stress au travail comme โun รฉtat perรงu comme nรฉgatif par un groupe de travailleurs, qui sโaccompagne de plaintes ou de dysfonctionnements au niveau physique et/ou social et qui est la consรฉquence du fait que les travailleurs ne sont pas en mesure de rรฉpondre aux exigences et attentes qui leur sont posรฉes par leur situation de travailโ. Nous pouvons donc dรฉfinir le stress liรฉ au travail comme une rรฉaction รฉmotionnelle, cognitive, comportementale et physiologique aux aspects nรฉfastes et nรฉgatifs de la nature du travail, de son organisme et de son environnement. Cette rรฉaction, qui peut devenir un รฉtat, est caractรฉrisรฉe par des degrรฉs รฉlevรฉs dโรฉveil et de souffrance et, souvent, par le sentiment de ne pas sโen sortir.
Enfin, De Keyser et Hansez [18] envisagent le stress psychologique dans la sphรจre du travail comme โune rรฉponse du travailleur devant des exigences de la situation pour lesquelles il doute de disposer des ressources nรฉcessaires, et auxquelles il estime devoir faire faceโ. Cette dรฉfinition, que nous retiendrons, insiste sur lโรฉvaluation subjective des ressources, sur lโimplication du travailleur, et sur lโincertitude de lโissue, comportant une probabilitรฉ dโรฉchec. Elle est directement liรฉe ร la notion de contrรดle de lโenvironnement de travail.
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Table des matiรจres
Liste des tableaux
Liste des figures
Liste des abrรฉviations et acronymes
Introduction
Premiรจre partie : RAPPELS
I. Le stress
I.1 Quโest-ce que le stress?
I.2 Evolution du concept de stress et mรฉcanismes importants
I.2.1 Le stress selon Selye ou โle modรจle de rรฉponseโ
I.2.2 Lโรฉmotion
I.2.3 โLe modรจle du stimulusโ
I.2.4 Le concept transactionnel du stress
I.3 Mรฉcanismes importants
I.3.1 Le contrรดle
I.3.2 Lโรฉvaluation cognitive de la situation
I.3.3 Les stratรฉgies dโadaptation ou coping
I.4 Rรฉponse Neuroendocrinienne
I.4.1. Axe hypothalamo-hypophysaire
I.4.1.1 Le systรจme limbique
I.4.1.2. Hypothalamus
I.4.1.3. Hypophyse antรฉrieure
I.4.2 Fonctions cibles
I.4.2.1 Fonction corticotrope
I.4.2.2 Fonction somatotrope et prolactine
I.4.2.3 Fonction gonadotrope
I.4.3 Systรจme sympathique
I.4.4 Consรฉquences cliniques
II Rappel anatomo-physiologique du cลur
II.1. Anatomie du cลur
II.1.1. Anatomie descriptive du cลur
II.1.1.1. Configuration externe
II.1.1.2. Configuration interne
II.1.1.2.1. Les septa
II.1.1.2.2. Les cavitรฉs
II.1.1.2.3. Les tuniques
II.1.2. Vascularisation
II.1.2.1. Les artรจres coronaires
II.1.2.2. Les veines coronaires
II.1.3. Innervation
II.1.3.1. Innervation intrinsรจque
II.1.3.1.1. Le systรจme atrio-necteur
II.1.3.1.2. Le systรจme ventriculo-necteur
II.1.3.2. Innervation extrinsรจque
II.2. Rappel histo-physiologique
II.2.1. Le cลur
II.2.1.1. Histologie
II.2.1.2. Physiologie
II.2.2. Les vaisseaux
II.2.2.1. Intima
II.2.2.2. Mรฉdia
II.2.2.3. Adventice
II.3. Rรฉgulation de la physiologie cardio-vasculaire
II.3.1. Rรฉgulation nerveuse
II.3.2. Rรฉgulation hormonale
III. Le stress professionnel
III.1 Quโest-ce que le stress dans la sphรจre du travail?
III.2 Le stress professionnel est-il dangereux ?
III.3 Le stress au travail a-t-il des consรฉquences sur la santรฉ?
III.4 Stress professionnel et appareil cardio-vasculaire
III.4.1 Rappel historique
III.4.2 Comment le stress agit sur le cลur
III.4.3. Stress et facteurs de risque
III.4.3.1. Stress et hypertension artรฉrielle
III.4.3.2. Stress et diabรจte
III.4.3.3. Stress et surcharge pondรฉrale
III.4.3.4. Stress et sรฉdentaritรฉ
III.4.3.5. Stress et antรฉcรฉdents
III.4.3.6. Stress et tabac
III.4.3.7. Stress et cholestรฉrol
III.4.4. Effets directs sur le systรจme cardio-vasculaire
III.4.4.1. Les effets ร long terme
III.4.4.2. Les effets du stress ร moyen terme
III.4.4.3. Les effets du stress ร court terme
III.4.5. Consรฉquences du stress en cardiologie
III.4.6. Quelques chiffres ร retenir
III.4.7. Le syndrome du takotsubo
III.5. Quels sont les facteurs susceptibles de provoquer du stress professionnel ?
III.5.1 Classifications des facteurs de stress
III.5.1.1. Le modรจle de Cooper et Marshall
III.5.1.2. Facteurs physiques, psycho-sociaux et socio-รฉconomiques
III.5.1.3. Synthรจse des รฉtudes sur les facteurs de stress
III.6. Quels sont les facteurs susceptibles de diminuer le stress?
III.7. Mรฉthodes dโรฉvaluation
III.7.1. Les dosages biologiques
III.7.2. Les mesures physiologiques
III.7.3. Les questionnaires ou รฉchelles dโรฉvaluation
III.8. Prรฉvention
III.8.1. Prรฉvention primaire
III.8.1.1. Dรฉfinition
III.8.1.2. Moyens techniques
III.8.1.3. Moyens mรฉdicaux
III.8.2. Prรฉvention secondaire
III.8.2.1. Dรฉfinition
III.8.2.2. Moyens techniques
III.8.2.3. Moyens mรฉdicaux
III.8.3. Prรฉvention tertiaire
III.8.3.1. Dรฉfinition
III.8.3.2. Moyens
Deuxiรจme partie : NOTRE ETUDE
I. But et objectifs
I.1But de lโรฉtude
I.2 Objectifs
II. Cadre dโรฉtude
II.1. Situation gรฉographique
II.2. Organisation
II.3. Missions du CMSFP
II.4. Soins dispensรฉs par le CMSFP
II.5. le Conseil de santรฉ
II.6. le service de cardiologie
III. Mรฉthodologie
III.1. Type dโรฉtude
III.2. Population dโรฉtude
III.3. Echantillonnage
III.4. Procรฉdures de collecte des donnรฉes
III.5. Paramรจtres รฉtudiรฉs
III.5.1. Profil socio-dรฉmographique
III.5.2. Caractรฉristiques professionnelles
III.5.3. Caractรฉristiques cliniques, para cliniques et รฉvolutives
III.6. Variables de lโรฉtude
III.7. Mรฉthodes dโanalyse
IV. Prรฉsentation des rรฉsultats
IV.1. Etude descriptive
IV.1.1. Caractรฉristiques socio-dรฉmographiques
IV.1.2. Caractรฉristiques professionnelles
IV.1.3. Caractรฉristiques cliniques, para-cliniques et รฉvolutives
IV.1.3.1. Donnรฉes cliniques
IV.1.3.2. Donnรฉes para-cliniques
IV.1.3.3. Donnรฉes รฉvolutives
IV.2. Etude analytique
V. Discussion
V.1. Limites de lโรฉtude et choix du CMSFP
V.2. Caractรฉristiques socio-dรฉmographiques
V.3. Caractรฉristiques professionnelles
V.4. Caractรฉristiques cliniques
VI. Conclusion et recommandations
REFERENCES
ANNEXE