Quelle alliance et quelle optimisation de la politique culturelle ?

Les effets réels d’après les sondages et les statistiques

D’après la fréquentation de l’année 1995. établie par le personnel d’accueil du musée, c’est le public scolaire qui forme quantitativement le plus grand public.
Insistons sur le fait qu’il s’agit pour la plupart d’un public collectif donc en groupe et rarement d’un public individuel, détail que je développerai par la suite. Ensuite, je constate que les mois d’automne- hiver sont les plus chargés. Par conséquent, je peux conclure que la politique du musée cible surtout le public scolaire, qui pourrait devenir notre principal usager.
Le sondage réalisé par des étudiants de l’université LILLE III, IUT B, Carrières social, options ASSC, Tourcoing, permet d’établir à peu près les mêmes conclusions.
Ce sondage réunit 538 questionnaires sur 4048 entrées effectuées du 6 janvier au 12 février 1995. Bien qu’il date de 2 ans, ce sondage apparaît encore valable, étant donné le peu de changement stmcturel du musée.
Enfin, d’après les résultats des statistiques du!8 janvier au 2 avril 1997. réalisé par le personnel du musée, je constate à nouveau clairement l’importance du public scolaire, effectivement sur 7452 personnes, 6803 constituent des groupes scolaires.
En conclusion de ces analyses et commentaires, il est possible de réaliser un portraitrobot du « visiteur moyen », tout en nuançant.
Il s’agirait d’une femme de 35 à 45 ans, issue de la métropole lilloise, ayant pour origine sociale : la catégorie des cadres et des professions intellectuelles et qui viendrait visiter surtout le samedi et le dimanche.
Néanmoins, ce portrait-robot ne concerne que le public individuel, car répétons le, le public en groupe demeure le plus important, d’où une nécessité de développer une politique pédagogique, qui ne peut être réalisée que par un personnel et des services qualifiés qu’il convient de présenter.

Les différents services du musée 

Passons ensuite à l’analyse de l’existant: les différentes catégories de personnels du musée :
-La directrice : Madame Allemand, conservateur du musée assure la gestion scientifique du musée des Beaux Arts.
-Son adjoint, le responsable : Monsieur Vandekerckhove assure la gestion administrative et financière ainsi que le contrôle du personnel.
-La secrétaire: Madame Delbarre assure le secrétariat de la direction et de l’équipe pédagogique.
-Les guides-conférenciers : 8 agents qui assurent les visites. Il y a deux types de visites : les visites simples et les visites ateliers avec une classe divisée en deux; le travail y est progressif et collectif, la gratuité est de mise pour les établissements de Tourcoing. Les ateliers se déroulent tout au long de l’année ainsi que durant l’été.
-les professeurs détachés de l’Education Nationale : il s’agit de deux enseignants désignés par le rectorat, qui maintiennent la liaison entre l’Education Nationale et l’équipe pédagogique du musée. Ils assurent de plus les ateliers du mercredi après-midi en tant que plasticien.

Les différents services 

-Le service d’accueil est composé d’un agent, assuré de recevoir les visiteurs, de réaliser les questionnaires ou sondages et de tenir la boutique- librairie.
-Le service de surveilance est assuré par 4 agents dont la fonction est le montage et démontage des expositions temporaires. Ils assurent d’autres tâches : la sécurité des groupes et l’application du règlement intérieur.
-L’entretien technique est réalisé par un agent dont le rôle est l’assistance technique à l’installation des expositions.
-La salle de documentation ou la bibliothèque : elle serait, d’après le projet, semipublique, destinée aux chercheurs, spécialistes, enseignants, universitaires et scolaires.
Elle devrait ouvrir le mercredi et sur rendez-vous les autres jours ; cela demeure donc un projet à ce jour.
En conclusion de ce chapitre, j’ai, pourrait-on dire, réalisé un état des lieux général, d’où une brève description du centre de documentation. Tout cela peut paraître horssujet, mais avant de s’en tenir à notre sujet principal ; le centre documentaire, je me devais d’observer l’environnement de cette « entreprise » qu’est le musée.

La salle de documentation 

Sa présentation générale 

Il s’agit d’une demi- salle, de 4×3,5m d’où une superficie de 14m2, située au deuxième étage du musée près du secrétariat. Les livres sont disposés sur 5 rangées dans les trois côtés de la salle, ce qui fait 11,5 mètres linéaires de rangement (cf plan).La profondeur des tablettes est de 40cm, la hauteur des étagères est de 2m, l’accessibilité aux livres est donc assez difficile.
On trouve également une machine à écrire qui permet de rédiger les cotes des ouvrages sur les étiquettes ainsi qu’un micro-ordinateur à la disposition des usagers.

Le fonds de cette bibliothèque 

Le contenu du fonds documentaire

Il s’agit d’un fonds spécialisé dans le domaine des Beaux Arts, il comporte 4309 documents et 75 périodiques en cours, il a été constitué essentiellement grâce aux nombreux achats et échanges de catalogues d’expositions dans toute l’Europe et le monde entier. Par exemple, le musée a reçu dernièrement un catalogue du musée de Tokyo.

Les dossiers 

Les 3515 dossiers contiennent de la « petite documentation » constituée de coupures de presse locale ou nationale, de petites brochures et de cartes d’invitation; malgré le nom que lui donne le personnel du musée, celle-ci n’est pourtant pas négligeable, elle occupe la moitié des étagères prévues pour leur rangement(cf plan). Cette partie du fonds est sans cesse croissante et on constate par ailleurs un mauvais état des dossiers qui sont en carton, donc périssables.
On peut trouver 3 catégories de dossiers :
– Les dossiers d’artistes sont réunis dans des porte- dossiers jaunes, classés par ordre alphabétique. Ils sont parfois d’épaisseur inégale; certains sont « prêts à craquer », comme celui de Pablo Picasso ou de Jean Fautrier, d’autres sont peu fournis comme celui de Joseph Alberts.
– Le même classement a été réalisé pour les Musées et Galeries de France, les dossiers ont été classés par villes et par ordre alphabétique dans des porte- dossiers rouges.
– Enfin, de la même façon, ont été classés les Musées étrangers dont les portedossiers sont verts.
Détaillons plus encore, les dossiers jaunes sont classés de AALTO à ZWOBADA, leur nombre est de 2639 dossiers d’artistes. Dans les dossiers rouges , il y a 186 galeries répertoriées de Aubais à Wattrelos. Enfin, 687 dossiers jaunes (musées étrangers) de
Aix en provence à Martigny. Cependant, étant donné l’absence de régularité, dans le traitement des dossiers, due à plusieurs facteurs (le manque de temps,de moyens, de personnels et de matériels); on peut supposer qu’il existe davantage de dossiers d’artistes.
– Les publications en série :
On peut dénombrer 75 publications en série dont 14 abonnements en cours, il s’agit de revues, périodiques, presse, bulletins d’information et d’annuaires. Elles sont situées surtout dans les rangées de droite. Les 14 abonnements sont sur le compte de la médiathèque de Tourcoing. Il s’agit de Art et antiquité du Nord, The burlington magazine, Gazette des Beaux Arts, Muséum international, L’objet d’art : estampille, Gazette de l’hôtelDrouot, lettre d’information du Ministère de la culture et de la communication, IGEA (inspection générale de l’enseignement artistique) et DADA : 1ère revue d’art pour enfants.

Les biographies d’artistes

Elles sont situées sur la rangée de gauche et sont le produit d’une politique d’acquisitions, par conséquent d’achats sur le compte du musée, mais peuvent être aussi issues d’un échange intermuséal. Elles sont classées sous la cote 709.2(indice Dewey) et alphabétiquement; sont donc recensés tous les artistes aussi bien contemporains que modernes d’Adami à Zurbaran. Le nombre des biographies d’artistes est d’environ 500 ouvrages. Plusieurs de ces ouvrages d’ailleurs sont issus des éditions de la réunion des musées nationaux, il y en a sur François Boucher, sur Fragonard, sur Gauguin, sur Manet etc….
– Les catalogues collectifs :
Ils sont souvent le produit d’un échange intermuséal, mais certains sont édités par le musée de Tourcoing. Ils sont situés dans la rangée de gauche. On constate deux types de catalogues : l’un indexé par l’auteur et l’autre par le titre même de l’exposition. Il y a en effet 49 catalogues par titre, ils sont indexés sous l’indice 709.040 67. Ensuite, il y a 28 catalogues par auteurs. Le total des catalogues est de 77 documents.

Les usuels 

Je les qualifie d’usuels car ils sont souvent utilisés pour des recherches variées, il en est ainsi des dictionnaires, des encyclopédies générales ou spécialisées, mais il s’agit le plus souvent de monographies spécialisées :
– on trouve 24 ouvrages d’histoire générale ainsi le règne de louis XIII,
– on observe 19 ouvrages littéraires et de critique d’art ainsi Edmond About : écrivain et critique d’art.
– 16 documents sur l’archéologie sous la cote 759.01 avec comme exemple l’archéologie de la France.
-57 documents dans le domaine de l’architecture, ainsi l’architecture française par A Guerrinet.
– 88 documents sur le thème de la muséologie qui fait l’objet d’un intérêt croissant; on y trouve les musées d’Angers à Villeneuve d’ascq.
-13 documents dans le domaine du textile avec pour cote 746 ainsi la théorie du tissage . La somme des usuels est de 217 ouvrages.

Les systèmes de classification 

Le classement de ce centre documentaire est issu de la juxtaposition de plusieurs systèmes de classements : le décimal, l’alphabétique et le chronologique. On a utilisé pour modèle celui du musée d’Art Moderne de Villeneuve d’Ascq qui se présente ainsi: A : les ouvrages généraux, B : peinture et sculpture par pays, C : les différents mouvements, D : techniques et matériaux, E : Arts Graphiques, F : Arts Décoratifs,
G : théorie de l’art, H : diffusion de l’art, I : Architecture, J : urbanisme,
K : photographie, L : cinéma, vidéo. Il s’agit donc d’un classement qui se superpose à la classification décimale Dewey pour le cas des monographies, en effet, ce classement permet un repérage plus simple que la Dewey, en particulier pour les néophytes.

3 systèmes coexistent

– tout d’abord le système de codage couleur adopté pour les dossiers d’artistes :
le rouge correspond aux musées et galeries de France, le vert aux musées étrangers et le jaune aux artistes mêmes ; il s’agit d’un codage simple, qui est mêlé à un classement alphabétique, le rendant beaucoup plus efficace.
– ensuite, il y a le système de classement alphabétique des publications en série, mais celles-ci sont aussi classées par année et par mois donc chronologiquement.
– enfin, il y a le système décimal Dewey pour le reste du fonds documentaire, c’est à dire pour les monographies : les biographies d’artistes 709.2, les catalogues collectifs 709.040 67, le textile 746. J’ai donc utilisé essentiellement la classe 7 des Arts, des Beaux Arts et des Arts Décoratifs.
D’autres outils d’indexation existent, selon le manuel intitulé le métier de bibliothécaire édité au Cercle de la Librairie : « il existe deux types d’outils d’indexation qui sont les plus employés dans les bibliothèques de tout type :
– un système de classification numérique(Classification Décimale Universelle ou Classification Décimale de Dewey)
– thésaurus, liste de mots-sujets, liste d’autorité-matière utilisant des mots du vocabulaire(liste d’autorité Rameau ou choix de Vedettes Matières à l’intention des bibliothèques…). » Pourtant, les thésaurus restent inutilisés(sauf dans le cas de la saisie informatique cf B-l) au sein du musée des Beaux Arts de Tourcoing, alors qu’ils pourraient permettre un meilleur accès des usagers aux documents.

Usagers du centre documentaire et leurs besoins

Il convient d’établir des critères élaborés par Jacques Treffel dans les centres de documentation et les NTI pour évaluer les besoins en répondant aux questions suivantes :

Les principaux utilisateurs sont les guides-conférenciers

Le profil des guides-conférenciers

Il s’agit souvent d’étudiants de maîtrise d’Histoire de l’Art, de LILLE III. Ils constituent le personnel scientifique du musée.

Les raisons de 1 ‘exploitation du fonds

*Tout d’abord pour réaliser des visites et des ateliers en compulsant les dossiers d’artistes ou autres usuels nécessaires, effectivement, la politique d’acquisition des ouvrages se fait par rapport aux collections.
* Ensuite, ils peuvent l’utiliser par intérêt personnel, afin de réaliser leurs mémoires de recherche . Ils y trouvent un fonds complémentaire non négligeable par rapport à celui de la FRAC(fonds régional d’Art Contemporain).Le fonds du musée a pour avantage tout d’abord celui de la proximité et ensuite celui de la disponibilité.
*Enfin, les dossiers d’artistes et les publications jouent un rôle capital dans la mise en valeur des collections, révélées lors de la visite ou de l’atelier.

Quelle est leur fonction et leur activité?

Il a deux types d’ateliers dans lesquels la classe est divisée en deux ; la durée de l’atelier et de la visite font respectivement 45 minutes.
Un atelier est une séance de travail en groupe menée par un guide ou une plasticienne.
Le contenu de l’atelier varie en fonction des collections et il est divisé en plusieurs étapes, d’où un caractère progressif dans la sensibilisation à l’art de l’enfant ou de l’adolescent. Il s’agit pour la plupart d’ateliers de travaux manuels(collage, assemblage…) ; un atelier consiste, par exemple, à proposer aux enfants de réaliser eux mêmes des images photographiques sur le thème du portrait. De plus, il n’y a pas que les écoles, partenaires privilégiés néanmoins, qui jouissent des visites guidées, il y a aussi les groupes d’adultes(comités d’entreprise, clubs, associations et particuliers…) qui en profitent.

Les sondages réalisés auprès des guides

D’après un entretien que j’ai tenu avec un guide, il existe un véritable manque dans ce fonds documentaire ; le musée, toujours, selon lui, devrait se doter d’ouvrages généraux comme des dictionnaires, des encyclopédies et des monographies portant sur des périodes précises de l’Histoire de l’Art. Ensuite, le musée devrait aussi envisager d’ouvrir ce fonds à un public plus jeune, en acquérant des ouvrages ludiques et didactiques sur l’apprentissage de l’art, qui est, on le constate, une lacune de l’enseignement primaire et secondaire et tout cela en partenariat avec la médiathèque de Tourcoing. Enfin, toujours selon le guide interrogé, il serait souhaitable d’y introduire davantage de critiques d’art, malheureusement peu nombreuses dans ce fonds, ainsi que des ouvrages traitant de pédagogie et d’art, ce qui s’avérerait très utile pour leurs ateliers.
Il y les conférenciers qui font partie de l’équipe pédagogique, ils travaillent le samedi à 14 heures, le thème de leur conférence est varié, mais respecte tout de même une chronologie, c’est à dire qu’ils feront des cycles de conférences sur la période du XVII e siècle, puis du XVIII e siècle. Certains des conférenciers travaillent dans la salle de documentation de la FRAC, et se documentent, aussi, au musée.
De plus, il y a les professeurs désignés par le Rectorat, effectuant le lien entre l’Ecole et le Musée, qui utilisent le fonds de la même manière.
Les utilisateurs potentiels seraient les enfants ou les étudiants invités lors des visites guidées, ainsi que le personnel administratif.
Enfin, il y a une documentaliste de l’association des conservateurs qui vient tous les mardi matin établir et saisir les fiches d’inventaire sur Micromusée, logiciel de gestion et d’inventaire du musée ; d’où l’utilité d’une encyclopédie Universalis sur papier ou sur C.D. rom ou autre. Mais en quoi constitue ce travail de saisie informatique? La documentaliste travaille sur des images ou des peintures appartenant au musée ; iconographies qu’elle doit traiter et analyser et desquelles elle doit tirer des mots-clés aussi bien précis que généraux, ainsi elle doit tenir compte de l’époque de l’oeuvre d’art, du mouvement artistique et des objets présents dans l’oeuvre.
Ce qui précède équivaut à réaliser une politique d’acquisition selon les besoins des usagers ; en résumé, le musée devrait se doter d’ouvrages très généraux comme des encyclopédies, des dictionnaires et des bottins administratifs pour répondre ainsi aux besoins du secrétariat, de la gestion administrative et de la direction, étant donné la proximité du secrétariat.

Evaluation des besoins en fonction des usagers

Je constate ainsi des lacunes documentaires qui me permettent d’envisager les besoins qui en découlent ; les lacunes sont les suivantes :

Le désordre et le manque de régularité dans le suivi 

L’observation de ce fonds montre des problèmes de gestion dus à un manque de régularité du traitement documentaire(le bulletinage des périodiques), ce qui entraîne une accumulation des documents. De plus, le manque de place accroît cet effet de désordre. Effectivement, on observe que les ouvrages sont déposés dans des cartons près de la salle ou sur la table réservée à la réalisation des dossiers d’artistes.
C’est pour cette raison, que j’ai rangé en partie le fonds documentaire durant le temps de mon stage au musée, ce qui a permis pour un moment de pallier ce manque de régularité, fruit du travail d’un documentaliste. En outre, la faible vérification des emprunts constitue une véritable menace quant à l’avenir du fonds, d’où la réalisation d’un carnet d’emprunts rempli par la plupart des usagers, mais les pertes et les vols, qui bien qu’on le déplore, restent fréquents et normaux dans un centre documentaire.
Enfin, ce qu’il faudrait réaliser, ce serait des tables pour les publications en série(les tables sont des pages de sommaire photocopiées de l’année en cours) pour une recherche plus efficace, mais le temps du stage ne m’a pas permis d’effectuer cette tâche.

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Table des matières

INTRODUCTION 
CHAPITRE 1 : Etat des lieux du musée des Beaux Arts de Tourcoing
A- Aperçu historique
a- La petite histoire du musée de Beaux Arts
b- La restructuration : 1986-199-
B- Cadre géographique du musée
a- Le musée des Beaux Arts : un musée de province
b- Description physique du musée
C- La politique culturelle du musée
a- Les grandes lignes
1- Les Expositions temporaires et les collections permanentes
2- Les visites
3- Les espaces culturels
b- Les effets réels d’après les sondages et les statistiques
D- Les différents services
Chapitre 2: La réalisation d’un véritable centre de documentation optimise t-elle la politique culturelle du musée?
A- La salle de documentation pli
a- Sa présentation générale
b- Le fonds de cette bibliothèque
1- Le contenu du fonds documentaire
2- Les systèmes de classification
c- Les problèmes rencontrés
B- Usagers du centre documentaire et leurs besoins
a- Quels sont les utilisateurs réels ou potentiels?
1- Les guides conférenciers
2- Les conférenciers
3- Les professeurs désignés
4- La documentaliste de l’association des conservateurs
C- Evaluation des besoins en fonction des usagers
a- Le désordre et le manque de régularité dans le suivi
b- La surcharge documentaire
c- Aucune informatisation
Chapitre 3 : Les Nouvelles Technologies et les Beaux Arts : Quelle alliance et quelle optimisation de la politique culturelle ?
1- Définition et contenu du site
2- Les origines et le modèle du site
3- Les différents critères de la recherche documentaire
4- L’outil d’indexation : le thésaurus Garnier
c- Un projet de CD rom « les collections océaniennes du Nord Pas De Calais »
1- Origine et public concerné
2- Les caractéristiques principales du catalogue CD rom
3- Les modes de navigation
4- Les phases de réalisation
5- Le budget prévisionnel
6- Les limites constatées dans ce C.D. rom
a- Micromusée
1- Les origines
2- L’organisation
3- Le public de Micromusée
4- Les limites d’exploitation du logiciel Micromusée
b- Le site Internet
CONCLUSION 
BIBLIOGRAPHIE

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