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Médicament vétérinaire générique
On entend par générique d’une spécialité, une autre spécialité ayant la même composition qualitative et quantitative en principes actifs, la même forme pharmaceutique et dont la bio-équivalence à la spécialité de référence a été démontrée par des études appropriées de biodisponibilité. Le générique doit être rigoureusement bio-équivalent, c’est-à-dire qu’il doit se distribuer dans l’organisme exactement comme le produit de référence : même cinétique, même taux d’où naturellement les mêmes effets attendus. Si le générique remplit ces conditions, alors il bénéficie du dossier d’enregistrement de la spécialité de référence (UEMOA, 2006).
Médicaments vétérinaires essentiels
C’est l’ensemble des médicaments qui conviennent le mieux pour prévenir et traiter les maladies animales les plus communes dans un espace géographique bien délimité (SALEU,1988). La détermination de ces médicaments dépend donc de la situation zoosanitaire de la délimitation géographique considérée. La liste des médicaments vétérinaires essentiels constitue de ce fait une aide à la décision pour les importateurs quant au choix des produits à importer. Cette liste doit être conçue de façon suffisamment souple en vue d’être modifiée selon les besoins et de tenir compte des nouveaux médicaments vétérinaires.
Autorisation de mise sur le marché (AMM)
L’AMM est le processus au terme duquel l’autorité compétente, à l’échelle d’un marché national ou sous-régional approuve l’importation, la distribution et l’utilisation des médicaments vétérinaires, après examen des données scientifiques complètes prouvant l’efficacité du produit pour les usages prévus et son innocuité pour la santé humaine et animale et pour l’environnement. Son intérêt réside alors, dans le fait qu’elle constitue un contrat tripartite entre le gouvernement local, le laboratoire fabricant et l’utilisateur (UEMOA, 2006).
Enregistrement des médicaments vétérinaires
C’est la reconnaissance d’un médicament vétérinaire par l’autorité compétente avant sa commercialisation ou sa distribution à quelque titre que ce soit. Cette reconnaissance se matérialise par l’inscription du dit médicament sous un numéro d’ordre dans un registre spécial. Il se fait contre le payement d’un droit appelé « droit d’enregistrement » (COQUERELLE, 2008).
Réglementation de la pharmacie vétérinaire
La législation de la pharmacie vétérinaire a pour but principal d’organiser le système d’approvisionnement, la distribution et l’utilisation des médicaments vétérinaires. Elle doit être claire, précise, complète, souple et tenir compte des conditions locales à chaque pays (LOBRY, 1992). Il existe différents types de textes réglementaires.
Lois
La loi est un texte issu du pouvoir législatif, voté par le Parlement. Le parlement est chargé d’étudier, de discuter et de voter les lois. La loi est applicable après sa publication au “Journal Officiel ” (JO). En pratique il faudra attendre le plus souvent la parution des décrets d’application (c.-à-d. précisant les conditions d’application de cette loi).
Décrets
Le décret est un texte issu du pouvoir exécutif qui intervient dans le domaine réglementaire (c.-à-d. tout ce qui n’est pas dans le domaine de la loi). Il correspond à une décision prise en Conseil des ministres sur le rapport des Ministres concernés, destinée en général à préciser l’application d’une loi. Il est ensuite publié au JO.
Enjeux actuels des dispositifs législatifs et réglementaires pour les médicaments vétérinaires
Tous les médicaments vétérinaires utilisés pour traiter les maladies animales doivent avoir fait l’objet d’une autorisation de mise sur le marché délivrée par les autorités compétentes en tenant compte de critères de qualité, d’innocuité et d’efficacité. Si le secteur pharmaceutique vétérinaire se félicite des progrès de la réglementation en matière de médicaments vétérinaires, les grands laboratoires de recherche pharmaceutique sont extrêmement inquiets des répercussions que le renforcement continu de ces exigences au niveau mondial risque d’avoir sur le coût de développement des nouveaux médicaments et sur les délais de mise sur le marché. La décision par les pays et/ou les régions d’harmoniser les exigences relatives aux contrôles des produits candidats en vue d’une autorisation de mise sur le marché représente par conséquent une avancée bénéfique pour le secteur (JONES, 2008).
Les délais de développement des médicaments au cours des 15 dernières années environ ont augmenté respectivement de 3 ans et de 6 ans aux États-Unis d’Amérique et en Europe. Deuxièmement, les coûts de développement liés aux exigences réglementaires ont augmenté de 30% au cours des cinq dernières années et de 150% dans certaines régions depuis le début des années 90, comparés aux 20% de croissance enregistrés sur le marché de la santé animale ces vingt dernières années. L’augmentation des coûts de la recherche défensive nécessaire pour le seul maintien des produits existants sur le marché suscite aussi une inquiétude grandissante. (JONES, 2008).
Dans nombre de régions et de pays du monde entier, l’idée d’harmoniser les exigences en matière d’essais pour la production de données sur la qualité, l’innocuité et l’efficacité des produits, a été ces dernières années, adoptée avec enthousiasme tant par les autorités que par le secteur privé.
Systèmes harmonisés opérationnels
L’objectif principal de l’harmonisation des réglementations pharmaceutiques vétérinaires est de mettre en commun les ressources et l’expertise en gestion et en évaluation des médicaments vétérinaires d’un groupe de pays, en vue d’assurer une circulation maitrisée de ces produits et leur utilisation rationnelle, ne posant pas de risques majeurs pour les animaux, les hommes et l’environnement (DARE, 2007).
Accords bilatéraux entre deux pays
En cas de concordance politique et géographique, des pays voisins peuvent décider de conclure des accords directs portant sur une procédure simplifiée en vue d’harmoniser le résumé des caractéristiques du produit (fiches techniques) et les publications relatives aux produits ayant reçu une autorisation à l’échelle nationale (identiques en termes de formulation, de conditionnement et de fabrication dans les deux pays). Un accord de ce type a été mis en place entre le Royaume-Uni et l’Irlande, en vertu duquel les produits peuvent être commercialisés en utilisant les mêmes étiquetages et notices d’information, ce qui se traduit par une production du conditionnement plus efficace et un coût faible. Le processus est mis en place au moyen d’une harmonisation qui est évaluée d’un point de vue administratif par les autorités respectives des deux pays. Une autre procédure acceptée par le Royaume-Uni et l’Irlande permet une meilleure disponibilité des produits immunologiques en facilitant leur mise en phase grâce à un programme d’harmonisation des vaccins ayant fait l’objet d’une licence dans l’un des deux pays, en particulier dans le cas des produits anciens (JONES, 2008).
Systèmes régionaux d’harmonisation
L’étude réalisée par l’OIE afin d’explorer les lignes directives opérationnelles d’une harmonisation des législations relatives notamment à l’enregistrement des médicaments vétérinaires et au contrôle de leur qualité, dans les pays de la commission régional de l’OIE pour l’Afrique, révèle que même si plusieurs pays ont élaboré des textes législatifs en la matière. Ces textes sont hétérogènes d’un pays à l’autre et sont très rarement spécifiques aux médicaments vétérinaires. Face à cette situation et compte tenu des faibles capacités des Etats pris individuellement, une approche régionale apparaît comme l’option la mieux indiquée pour entreprendre les réformes nécessaires, et l’exemple de l’UEMOA peut servir de modèle pour la construction d’un système régional d’harmonisation des législations relatives à l’enregistrement et au contrôle de qualité des médicaments en Afrique (DARE, 2007)
L’Union européenne aussi a mis en place des instruments juridiques appelés Directives et Règlements communautaires qui fournissent le cadre législatif applicable à l’autorisation des médicaments dans les 27 États Membres de la Communauté européenne. Depuis 1981, les lois communautaires concernant la présentation et le contenu des dossiers de demande d’enregistrement ont été harmonisées, et dans ce cadre législatif, des lignes directrices relatives aux essais sur les médicaments ont été élaborées (COQUERELLE, 2008).
Ces lignes directrices sont communes à tous les Etats Membres dans la mesure où les critères utilisés pour juger de la qualité, de l’innocuité et de l’efficacité des produits sont extrêmement similaires. Ainsi les exigences d’un marché unique des médicaments au sein de l’Union sont respectées, de sorte qu’il n’existe pas de différences en termes de critères à satisfaire pour obtenir l’accès au marché quelque soit le pays de l’Union. Le bon fonctionnement en Afrique de ce système d’harmonisation régional serait assuré de façon optimale s’il reposait sur la base d’une reconnaissance mutuelle comme c’est le cas dans l’UE, où un pays réalise l’évaluation du dossier et les autres acceptent son avis. Les avantages qui pourraient en découler méritent certainement un examen et des discussions plus approfondies de la part des autorités concernées (JONES, 2008).
La coopération internationale sur l’harmonisation des exigences techniques s’appliquant à l’homologation des médicaments vétérinaires: VICH
La coopération internationale sur l’harmonisation des exigences techniques s’appliquant à l’homologation des médicaments vétérinaires (VICH) créée en 1996 à l’OIE, à Paris, est un programme de collaboration entre les autorités de tutelle et le secteur privé de la santé animale de l’Union européenne, du Japon et des Etats-Unis d’Amérique. Son but est d’harmoniser les exigences techniques applicables aux essais réalisés sur les médicaments vétérinaires dans ces régions du monde. L’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Canada y participent également en tant qu’observateurs et l’OIE, qui en est Membre, a l’intention d’appuyer et de communiquer les résultats à l’échelle mondiale à ses pays membres.
La VICH a connu un très grand succès et offre depuis douze ans un excellent lieu pour la poursuite du dialogue et de la collaboration entre le secteur de la santé animale basé sur la recherche et les organes de réglementation du monde entier. Actuellement, la question de savoir si la VICH peut s’appliquer à l’octroi des licences pour les médicaments vétérinaires en Afrique, revêt une importance particulière. L’expérience montre qu’elle encouragerait au moins l’autorisation des médicaments légaux et réduirait l’offre illégale de médicaments non autorisés. Comme les pays africains progressent en matière de systèmes réglementaires, la mise en œuvre et l’application des lignes directrices VICH leur permet d’être en phase avec les systèmes mondiaux d’autorisation de mise sur le marché des médicaments vétérinaires. Parmi les avantages de l’application de ces lignes directrices figure l’adoption des principes de pharmacovigilance pour permettre, après l’autorisation, des échanges utiles en matière d’innocuité des médicaments. De plus, la mise en œuvre des lignes directrices VICH permettront aux évaluateurs en Afrique d’avoir accès aux réflexions scientifiques les plus récentes concernant l’évaluation des dossiers. Le partage de lignes directrices communes peut aussi offrir une base pour l’harmonisation réglementaire en Afrique (JONES, 2008)
Législation, enregistrement et procédures de contrôle des médicaments vétérinaires en Amérique du Sud
L’Amérique du Sud étant un grand producteur et exportateur de produits d’origine animale, les pays de la région se sont fixée pour objectifs d’utiliser des médicaments vétérinaires efficaces et sans danger, afin de mener à bien leurs politiques de prévention, de prophylaxie des maladies animales et de prévention des résidus. (MINASSIAN, 2008).
Pour atteindre cet objectif, les Etats concernés ont initié l’harmonisation de leurs réglementations en matière de médicaments. Cette initiative en faveur de l’harmonisation a contribué à l’élaboration de plusieurs directives.
¾ Initiatives en faveur de l’harmonisation de la réglementation pharmaceutique vétérinaire
Les initiatives en faveur de l’harmonisation des cadres réglementaires ont été liées à la conclusion d’accords commerciaux régionaux (Tableau III) et ont été principalement associées à l’instauration de mesures sanitaires communes pour le commerce et à la volonté de promouvoir une concurrence équitable dans le domaine de la commercialisation des produits vétérinaires.
Législation, enregistrement et procédures de contrôle des médicaments vétérinaires en Afrique australe
¾ République d’Afrique du Sud et Namibie
Dans ces deux pays, les systèmes sont très similaires et l’harmonisation régionale est en bonne voie. Deux lois distinctes régissent la vente et l’utilisation des médicaments en Afrique du Sud. Le Medicines and Related Substances Control Act (Act 101) (Loi n° 101 relative au contrôle des médicaments et des substances apparentées) régit tous les aspects de l’utilisation et de la distribution des médicaments vétérinaires autres que les traitements curatifs pour le bétail et les aliments pour les animaux d’élevage dans la région. Cette loi gouverne tous les aspects des médicaments uniquement délivrés sur ordonnance. Elle s’applique à plus de 800 enregistrements. Une deuxième loi, le « Fertilizers, Farm Feeds, Agricultural Remedies and Stock Remedies Act » (Act 36) (loi n° 36 relative aux engrais, aux aliments pour le bétail, aux produits de régénération des sols et aux produits curatifs pour les animaux d’élevage) règlemente tous les produits en vente libre (délivrés sans prescription) et s’applique à plus de 1200 enregistrements. C’est l’existence d’un corps d’inspection très solide et puissant, appuyé par les autorités, et le cas échéant par des actions juridiques, qui garantit l’efficacité de ces lois et prémunit contre l’importation de médicaments illégaux et de qualité inférieure dans le pays (SYKES, 2008).
¾ Zambie et Zimbabwe
Le Zimbabwe possède une seule loi, le « Medicines Control Act», qui est efficace et qui a été bien appliquée par un corps d’inspection puissant qui contrôle également chaque année les grossistes, les pharmacies et les pratiques vétérinaires. Les actes de chirurgie vétérinaire sont enregistrés et les licences d’officine approuvées. Ces dernières années, la Zambie a mis en place un système similaire, inspiré de la législation du Zimbabwe, qui est également solide et permet de contrôler l’utilisation des médicaments vétérinaires afin de garantir leur usage correct et sans danger (GRADWELL, 2008).
¾ Kenya, Ouganda, Tanzanie
Ces pays possèdent un ensemble très vaste de réglementations qui couvrent la vente et l’utilisation des médicaments vétérinaires, des aliments destinés à la consommation humaine, des médicaments et des cosmétiques. Ces lois ont été élaborées par des experts originaires des trois pays et les dispositions réglementaires sont conçues de telle sorte qu’un corps d’inspection compétent pourrait facilement assurer la distribution et l’utilisation correctes des médicaments dans les trois pays. Cette pratique ne sera toutefois possible que si les autorités appuient totalement la législation et le corps d’inspection et reconnaissent l’importance de contrôles stricts pour la prévention des ventes et de l’utilisation illégales des médicaments vétérinaires ainsi que les effets sur l’exportation des aliments qui en découleront. Actuellement, les médicaments sont distribués par les fournisseurs aux grossistes ou livrés à des centres vétérinaires, d’où ils sont redistribués. Dans ces centres, des vétérinaires et des pharmaciens sont présents pour contrôler la vente des médicaments. (GRADWELL, 2008).
L’évaluation a révélé d’énormes lacunes dans l’organisation générale du marché des médicaments vétérinaires sur le continent africain. Ces lacunes regroupent entre autres le manque de législation spécifique et adaptée au nouveau contexte de libéralisation de la pharmacie vétérinaire dans la plupart des pays, le manque d’application de la réglementation en vigueur, l’existence d’un circuit parallèle au circuit officiel, le manque d’inspection et de procédures d’AMM et d’enregistrement des médicaments vétérinaires. Cette situation suscite beaucoup d’interrogations quant à la qualité, aux pratiques de vente et de la distribution des médicaments vétérinaires qui sont commercialisés en Afrique. Le chapitre suivant va apporter quelques réponses à ces interrogations.
Qualité, pratiques de vente et distribution des médicaments vétérinaires en Afrique
A travers ce chapitre, nous essayerons d’analyser la situation de la qualité, pratiques de ventes et de la distribution des médicaments vétérinaires en Afrique. Cette évaluation sera précédée des définitions de quelques notions relatives aux médicaments vétérinaires et de la présentation des « indicateurs »de la qualité de ces derniers.
Qualité des médicaments vétérinaires
Outre les normes de qualité reconnues et publiées périodiquement sous forme de pharmacopée (pharmacopée européenne, pharmacopée américaine, pharmacopée britannique, pharmacopée française,…), plusieurs auteurs ont décrit les déterminants et les indicateurs de la qualité des médicaments.
Exigence de qualité des médicaments vétérinaires
Selon l’OMS (2005), la qualité du médicament est déterminée par son efficacité et son innocuité, en accord avec ce qui est indiqué sur l’étiquette ou ce qui a été promu ou annoncé et par sa conformité aux spécifications concernant son identité et sa pureté.
Le « Management Sciences for Health » (1988), explique que les caractéristiques les plus importantes pour évaluer la qualité des médicaments sont l’identité, la pureté, l’activité, l’uniformité et la biodisponibilité.
. Cas spécifique des médicaments vétérinaires
Selon TANO (2005), la qualité des médicaments vétérinaires est conditionnée par certains paramètres décrits ci-après:
– l’étiquetage qui informe de manière lisible du nom de la spécialité, sa composition, le nom du fabricant, le pays d’origine, le numéro de lot, la date de fabrication, la date d’expiration et les principales indications.
– la composition indiquant la nature et la quantité des principes actifs et des excipients,
– le numéro de lot qui est un élément de traçabilité,
– la date de fabrication et la date d’expiration ; elles représentent le niveau de garanti de la qualité des produits dans le temps,
– les conditions de stockage et de conditionnement qui garantissent la nature dynamique de ces médicaments vétérinaires,
– la conformité des produits génériques ; leur composition, leur forme pharmaceutique et leur bioéquivalence doivent être identiques à la spécialité d’origine,
– l’AMM, garant de la conformité d’une spécialité,
Les médicaments vétérinaires doivent tenir compte également des particularités physiologiques de chaque espèce ainsi que des modalités d’élevage et d’intervention thérapeutique (médecine individuelle ou collective) (TOUTAIN, 2007).
Par ailleurs, les autres facteurs qui détermineront la qualité des médicaments vétérinaires sont les matières premières, l’environnement du laboratoire fabriquant, l’équipement, les méthodes de fabrication, le conditionnement et les conditions de stockage.
Quoiqu’il en soit, quand un produit ne répond pas aux critères de qualité prédéfinis, il est non-conforme. Nombreuses sont les causes de non-conformité des médicaments vétérinaires.
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Table des matières
INTRODUCTION
Première partie : Synthèse bibliographique
CHAPITRE 1 : Marché mondial et approche internationale en matière de législation et de réglementation des médicaments vétérinaires
1.1. Définitions
1.1.1. Médicament vétérinaire
1.1.2. Médicament vétérinaire générique
1.1.3. Médicaments vétérinaires essentiels
1.1.4. Autorisation de mise sur le marché (AMM)
1.1.5. Enregistrement des médicaments vétérinaires
1.1.6. Réglementation de la pharmacie vétérinaire
1.1.7. Lois
1.1.8. Décrets
1.1.9. Arrêtés
1.1.10. Circulaires et notes de service
1.2. Le marché mondial des médicaments vétérinaires
1.2.1. Evolution du marché mondial des médicaments vétérinaires
1.2.2. Répartition du marché mondial des médicaments vétérinaires en fonction des continents
1.2.3. Répartition du marché mondial des médicaments vétérinaires en fonction des espèces animales
1.2.4. Répartition du marché mondial des médicaments vétérinaires en fonction des classes thérapeutiques
1.2.5. Classification des molécules les plus vendues
1.2.6. Les quatorze premières firmes pharmaceutiques vétérinaires
1.3. Enjeux actuels des dispositifs législatifs et réglementaires pour les médicaments vétérinaires
1.4 Systèmes harmonisés opérationnels
1.4.1 Accords bilatéraux entre deux pays
1.4.2 Systèmes régionaux d’harmonisation
1.4. 2.1La coopération internationale sur l’harmonisation des exigences techniques s’appliquant à l’homologation des médicaments vétérinaires VICH
1.4.2.2 Législation, enregistrement et procédures de contrôle des médicaments vétérinaires en Amérique du Sud
1.4.2.3 Législation, enregistrement et procédures de contrôle des médicaments vétérinaires dans l’Union Européenne
1.4.2.4 Législation, enregistrement et contrôle des médicaments vétérinaires au Maghreb
1.4.2.5 Législation, enregistrement et contrôle des médicaments vétérinaires Afrique subsaharienne
1.4.2.6. Législation, enregistrement et procédures de contrôle des médicaments vétérinaires en Afrique australe
CHAPITRE 2 : Qualité, pratiques de vente et de la distribution des médicaments vétérinaires en Afrique
2.1. Qualité des médicaments vétérinaires
2.1.1. Exigence de qualité des médicaments vétérinaires
2.1.2. Cause des non conformités des médicaments vétérinaires
2.1.2.1. Contrefaçon
2.1.2.2. Malfaçon
2.1.2.3. Autres causes de non-conformité
2.1.3. Enjeux de l’utilisation des médicaments vétérinaires
2.1.3.1. Résistance antimicrobienne
2.1.3.2. Résidus de produits vétérinaires
2.1.3.3. Mesures de protection de la santé publique
2.2. La distribution et l’utilisation des médicaments vétérinaires en Afrique
2.2.1 Distribution des médicaments vétérinaires en Afrique, Afrique du Nord, Afrique subsaharienne
2.2.2 Acteurs des marchés officielles des médicaments vétérinaires en Afrique
2.2.2.1 Importateurs et grossistes répartiteurs
2.2.2.2 Les détaillants
2.2.2.3 Les soins aux animaux
2.2.3 Acteurs du marché illicite des médicaments vétérinaires en Afrique
2.2.3.1 Importance du marché illicite
2.2.3.2 Origine des médicaments vétérinaires sur le marché illicite
2.2.3.3 Acteurs du marché illicite
2.2.3.4 Facteurs favorisants du marché illicite
Facteurs liés à la règlementation
Facteurs socio-économiques
2.3 Contrôle de qualité des médicaments vétérinaires
Chapitre 3 : Situation du sous secteur de l’élevage et du marché des médicaments vétérinaires au Rwanda
3.1. Aperçu général sur le Rwanda
3.1.1. Situation géographique
3.1.2 Relief et climat
3.1.3 Végétation et hydrographie
3.2 L’élevage au Rwanda
3.2.1 Organisation technique et administrative des services vétérinaires au Rwanda
3.2.1.1 Ministère en charge de l’élevage au Rwanda
3.2.1.2 Office Rwandaise de développement des ressources animales (RARDA).
3.3. Le marché des médicaments vétérinaires au Rwanda
Deuxième partie : Etude de la distribution et de la qualité des médicaments vétérinaires au Rwanda
CHAPITRE 1 : Matériel et méthodes
1.1. Matériel
1.1.1. Matériel d’enquêtes
1.1.1.1 Cadre de l’étude
1.1.1.2. Période de l’étude
1.1.1.3. Matériel techniques (fiches d’enquête)
1.1.1.4 Cibles des enquêtes et d’entretien (personnes ressources)
1.1.2. Matériel de laboratoire
1.1.2.1. Médicaments vétérinaires
1.1.2.2. Verrerie
1.1.2.3. Appareillage
1.2 Méthodes
1.2.1 Enquête sur la distribution et le système d’assurance de la qualité des médicaments vétérinaires au Rwanda
1.2.2. Echantillonnage
1.2.2.1 Molécules cibles
1.2.2.2 Description des échantillons
1.2.2.3. Réalisation de l’échantillonnage
1.2.3 Contrôle de la qualité des médicaments vétérinaires au laboratoire (LACOMEV)
1.2.3.1 Contrôle galénique
1.2.3.2 Identification et dosage des principes actifs
1.2.3.3 Expression des résultats
1.2.3.4. Normes de conformité
1.2.4 Traitement des données
CHAPITRE 2 : RESULTATS
2.1. Résultats de la phase d’enquête
2.1.1. Textes en vigueur sur la législation et la réglementation de la profession et la pharmacie vétérinaires au Rwanda
2.1.2. Les sources d’approvisionnements des médicaments vétérinaires au Rwanda
2.1.3. Les circuits et les points critiques du système de distribution des médicaments vétérinaires au Rwanda
2.2. La phase de laboratoire
2.2.1. Résultats de contrôle galéniques, de l’identification et du dosage des principes actifs des médicaments vétérinaires prélevés sur le terrain
2.2.1.1. Résultat des tests galéniques
2.2.1.2. Résultat de l’identification et dosage des principes actifs
2.2.1.3 Synthèse des résultats de contrôle pharmaceutique
CHAPITRE 3 : Discussion et recommandations
3.1 Discussion
3.1.1. Matériel et méthodes
3.1.2. Résultats de la phase de terrain
3.1.2.1. La législation et la réglementation de la pharmacie vétérinaires au Rwanda
3.1.2.2. L’organisation du circuit de distribution des médicaments vétérinaires au Rwanda
3.1.3. Résultats de contrôle de la qualité des médicaments vétérinaires au laboratoire
3.1.3.1. Non-conformité pharmaceutique
3.1.3.2. Classe thérapeutique la plus touche
3.1.3.3. Types de non-conformité et conséquences
3.2. Recommandations
3.2.1. Aux autorités en charge de l’élevage au Rwanda.
3.2.2. Aux professionnels, acteurs du marché des médicaments vétérinaire au Rwanda
3.2.3. Aux éleveurs
3.2.4. A la communauté des états d’Afrique de l’Est (CAE)
3.2.5. A la coopération internationale
CONCLUSION GENERALE
Références bibliographiques
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