Psychomotricités ou psychomotricité ?

Psychomotricité. Un mot. Un concept. Une discipline. Une profession. Un terme d’une grande portée, riche et complexe. « Parler de psychomotricité c’est savoir qu’un même mot peut recouvrir des concepts différents. En toute hypothèse, le terme n’a pas le même sens selon l’époque où il est employé, selon le destin fixé aux pratiques qu’il signifie, selon les raisons scientifiques qui l’animent. » (Fauché, S., 1993, p. 18).

Durant trois ans, nous tentons d’apprivoiser la psychomotricité, de la définir, de la réfléchir et de la pratiquer. Mais la psychomotricité est mouvante, variée. Son objet est difficile à identifier. Quand nous pensons enfin saisir le sens de la psychomotricité, au travers d’une pratique psychomotrice observée, nous pouvons finalement le perdre ensuite dans une autre. Une question est souvent revenue dans mon parcours, et se positionnera comme point central de ce travail : quelle est l’identité de la psychomotricité ? Ce problème en amenant d’autres, nous nous sommes demandé si la psychomotricité possédait sa propre identité, ou une identité plurielle, venant également questionner l’identité des psychomotriciens, praticiens de la psychomotricité. Nous tenterons d’y répondre dans une approche à la fois clinico-théorique, en partant des pratiques psychomotrices observées cette année auprès d’enfants autistes, en cabinet libéral et en Centre Médico-Psychologique ; et à la fois dans une démarche épistémologique, en revenant sur l’histoire et les fondements de la psychomotricité, tout en considérant deux cadres idéologiques : dualiste et moniste.

Présentation des lieux de stages et des pratiques psychomotrices 

Le cabinet libéral

Le cadre du stage
Le cabinet libéral se situe dans une maison d’un étage. Le rez-de-chaussée est composé d’une grande salle de psychomotricité, partagée entre trois psychomotriciennes suivant les jours de la semaine. Une salle d’attente jouxte la salle de psychomotricité. A l’étage de la maison, se trouvent une salle pour une orthophoniste et une autre pièce pour une psychologue. Le jour de mon stage, la psychomotricienne et moi sommes généralement les seules personnes présentes pour accueillir et recevoir des patients.

Le cabinet libéral appartient à un réseau autisme. La majorité des enfants accueillis présentent un Trouble du Spectre de l’Autisme (TSA), mais peuvent également présenter d’autres types de troubles sans TSA systématiquement associé.

Ma maître de stage, psychomotricienne DE, est spécialisée dans le domaine de l’autisme. Elle est notamment formée aux approches ABA2, TEACCH3, et à l’intégration neurosensorielle, ainsi qu’aux moyens de communication alternatifs ou augmentatifs, tels que PECS4 et Makaton. Les enfants suivis cette année ont entre deux ans et demi et dix ans. Les parents accompagnent leur enfant au cabinet – excepté pour une séance se déroulant à domicile – et peuvent parfois assister aux séances. Chaque séance dure en moyenne une heure : quarante-cinq minutes avec l’enfant et quinze minutes de retour aux parents, prise de notes et rangement du matériel. Neuf enfants sont généralement vus dans la journée et leur suivi est hebdomadaire. Des séances plus longues et plus complètes, d’une heure et demie, peuvent avoir lieu pour certains enfants. Presque tous les enfants reçus bénéficient d’autres suivis à l’extérieur, avec des orthophonistes ou ergothérapeutes pour certains, des psychologues BCBA5, spécialistes en analyse du comportement, ou intervenants ABA pour d’autres. La plupart des enfants sont scolarisés en classe ordinaire, souvent avec un emploi du temps aménagé. La psychomotricienne libérale se met en étroite collaboration avec les différents intervenants des enfants, pour coordonner leur parcours de soin.

Le projet de soin et les objectifs en psychomotricité 

Le projet de soin de l’enfant est établi en début de prise en charge à l’issue de la réalisation de bilans psychomoteurs. Les objectifs des séances sont définis à partir de ces bilans et prennent en compte également les demandes des parents ou autres intervenants qui gravitent autour des enfants, afin d’éviter les répétitions entre professionnels et de permettre une bonne synchronisation entre eux. Les objectifs sont réfléchis avec l’équipe pluridisciplinaire et avec la famille et sont régulièrement repensés et revus tout au long du suivi. Dans le projet de soin se trouvent des objectifs focaux comme la motricité globale par exemple, mais également des objectifs plus transversaux comme la compréhension orale. Les parents ont parfois des attentes, liées le plus souvent à la scolarité ou à l’autonomie de leur enfant.

Les objectifs de ces séances de psychomotricité semblent axés principalement sur la volonté de stimuler le développement des enfants, et en particulier les fonctions instrumentales, de rattraper le retard qu’ils ont par rapport aux enfants de leur classe d’âge, de favoriser leur autonomie, leur scolarité pour leur permettre ou espérer une meilleure insertion dans la société.

Les séances 

Les séances varient d’un enfant à l’autre et d’une semaine sur l’autre. Cependant, au sein d’une même séance, des allers-retours sont généralement effectués entre l’espace de motricité globale, où sont travaillés l’équilibre, les coordinations statiques et dynamiques, les sauts, les activités de lancer/attraper, etc., et l’espace à table, qui privilégie alors les activités de motricité fine, de graphisme, de construction.

Exemples d’outils utilisés au sein de la pratique psychomotrice 

Divers renforçateurs

Parmi le public accueilli au cabinet libéral, de nombreux enfants présentent des problèmes de motivation, des troubles oppositionnels ou encore des troubles du comportement, parfois hétéro-agressifs. Ces problématiques les empêchent de travailler certaines compétences qu’ils ont besoin d’acquérir. Pour faciliter les objectifs mis en place, des renforçateurs positifs, sociaux ou avec des systèmes de jetons ou « bons points », sont souvent utilisés pour stimuler la motivation de l’enfant dans les tâches à produire. Parfois, les renforçateurs peuvent être alimentaires, ou s’apparenter à des jeux libres, choisis par l’enfant, et expérimentés entre deux exercices. Ils s’estomperont au fil des séances selon les besoins de l’enfant et son évolution. Pour la psychomotricienne, « les jetons ne sont pas une finalité, mais un moyen pour atteindre les objectifs. ». Les enfants accueillis présentent généralement un problème motivationnel. Au travers des jetons ou autres renforçateurs, la psychomotricienne tente de rechercher la motivation chez l’enfant. Elle crée une motivation artificielle pour pouvoir travailler les objectifs, permettant alors l’acquisition de compétences, permettant à leur tour la diminution des troubles du comportement etc.

Exemple clinique de l’utilisation des renforçateurs 

Certains enfants semblent plus sensibles à ces renforçateurs que d’autres. L’un de nos patients, âgé de dix ans, peut selon son état du jour, se montrer volontaire dans quelques propositions, ou bien très opposant. Le système de jetons, auquel il paraît habitué, lui permet généralement de se motiver et de réaliser les activités proposées, à condition de le renforcer assez régulièrement car les tâches sont parfois trop coûteuses pour lui et sa motivation peut facilement se perdre. Ce système lui permet de visualiser le nombre de jetons à obtenir jusqu’à pouvoir regarder une courte vidéo musicale ou un mini dessin animé, lesquels sont ses renforçateurs préférentiels. Ces derniers récompensent l’effort fourni par le patient. Parfois, ils font aussi l’objet de nouvelles propositions, comme servir de support à l’imitation d’éléments chorégraphiques lorsque nous travaillons la conscience corporelle ou le schéma corporel, l’imitation, les coordinations et dissociations des ceintures scapulaires et pelviennes notamment. D’autres enfants semblent moins sensibles à ces agents renforçateurs, ou sont contents de réussir sans pour autant en réclamer à chaque fois. Mais la psychomotricienne préfère s’en servir quasi-systématiquement, du moins pour les activités à table, pour pallier un éventuel échec et garder l’enfant motivé quoi qu’il arrive. Ensuite, elle adapte en fonction des activités, des besoins de l’enfant au moment précis, et au fil du temps, elle tente de diminuer la fréquence des renforçateurs pour ne pas habituer l’enfant à « une réussite = un jeton », pour augmenter la difficulté ou la durée d’attention et d’implication. Ce système de jetons apparaît plus concret qu’un time-timer, outil de prise de conscience du temps, mais les deux tendent vers le même objectif : obtenir l’attention du sujet pendant un laps de temps (ou nombre d’exercices) défini, plus ou moins variable.

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE 1 : LE TERRAIN CLINIQUE
I. PRESENTATION DES LIEUX DE STAGES ET DES PRATIQUES PSYCHOMOTRICES
A. LE CABINET LIBERAL
1. LE CADRE DU STAGE
2. LE PROJET DE SOIN ET LES OBJECTIFS EN PSYCHOMOTRICITE
3. LES SEANCES
4. EXEMPLES D’OUTILS UTILISES AU SEIN DE LA PRATIQUE PSYCHOMOTRICE
5. AUTRES DISPOSITIFS
B. LE CMP : CENTRE MEDICO-PSYCHOLOGIQUE POUR ENFANTS ET ADOLESCENTS
1. LE CADRE DU STAGE
2. LES OBJECTIFS EN PSYCHOMOTRICITE
3. DESCRIPTION D’UNE JOURNEE DE STAGE TYPE
4. LANGAGE ET REFERENCES DE L’INSTITUTION
C. COMPLEMENTARITES ET HETEROGENEITE DES PRATIQUES PSYCHOMOTRICES
1. DIVERSITE DES PRATIQUES SELON LE LIEU D’EXERCICE ?
2. DIVERSITE DES PRATIQUES SELON LES PATIENTS OU LES PSYCHOMOTRICIENS ?
II. LES QUESTIONNAIRES :
A. CONSTRUCTION DES QUESTIONNAIRES
B. LE RETOUR DES QUESTIONNAIRES
C. ANALYSE DES RETOURS DES QUESTIONNAIRES
1. DEFINITIONS DE LA PSYCHOMOTRICITE
2. APPARTENANCE A UNE OBEDIENCE SPECIFIQUE
PARTIE 2 : LA PSYCHOMOTRICITE : UNE IDENTITE PLURIELLE DANS NOTRE SOCIETE OCCIDENTALE DUALISTE
I. L’OCCIDENT : UN MONDE DUALISTE
A. CONCEPTION DE L’ETRE HUMAIN D’APRES RENE DESCARTES
1. L’ESPRIT D’UNE PART, LE CORPS D’AUTRE PART
2. UN LIEN ENTRE LE CORPS ET L’ESPRIT
B. PREMIERES APPARITIONS ET UTILISATIONS DU TERME PSYCHO-MOTEUR
1. WILHEM GRIESINGER
2. LEONARD LANDOIS
3. CARL WERNICKE
4. ERNEST DUPRE
C. SEPARATION DE LA PSYCHIATRIE ET DE LA NEUROLOGIE
D. ETYMOLOGIE DU TERME PSYCHOMOTRICITE
II. LA NAISSANCE DE LA PSYCHOMOTRICITE
A. JULIAN DE AJURIAGUERRA : ELEMENTS BIOGRAPHIQUES
B. L’HOPITAL HENRI ROUSSELLE
1. CREATION DU PREMIER SERVICE DE PSYCHOMOTRICITE
2. MADAME GISELLE SOUBIRAN
3. NAISSANCE DE LA PSYCHOMOTRICITE
4. TEXTE FONDATEUR DE LA PSYCHOMOTRICITE
C. LE DEVELOPPEMENT DE LA PSYCHOMOTRICITE EN QUELQUES DATES
D. L’ŒUVRE D’AJURIAGUERRA
1. LES PARENTS DE LA PSYCHOMOTRICITE
2. LA PENSEE AJURIAGUERRIENNE SUR LE DEVELOPPEMENT DE L’ENFANT
3. DEFINITION DE LA PRATIQUE PSYCHOMOTRICE, D’APRES AJURIAGUERRA
E. INFLUENCES ET REFERENCES D’AJURIAGUERRA
1. INFLUENCE PIAGETIENNE
2. INFLUENCE WALLONNIENNE
3. L’APPORT DE LA PHENOMENOLOGIE
III. LA PSYCHOMOTRICITE EST-ELLE UN CARREFOUR ?
A. LA PSYCHOMOTRICITE : UN CARREFOUR DE DISCIPLINES ?
B. LE CARREFOUR : UNE APPROCHE INTEGRATIVE DES PRATIQUES PSYCHOMOTRICES
C. LE CARREFOUR : UNE APPROCHE COMPLEXE ET TRANSDISCIPLINAIRE ?
IV. AMBIGUÏTE AUTOUR DE LA NOTION DE CARREFOUR PSYCHOMOTEUR
A. LA PSYCHOMOTRICITE COMME CARREFOUR : UNE IDENTITE PLURIELLE FRAGILE ?
B. LA PLACE DES PSYCHOMOTRICIENS A L’INTERIEUR DE LA PSYCHOMOTRICITE
1. ORIENTATIONS PROFESSIONNELLES
2. CONCEPTIONS DIFFERENTES DU METIER DE PSYCHOMOTRICIEN
3. SE DIVISER OU SE RASSEMBLER ?
C. LE CARREFOUR : UNE NOTION FLOUE, MAL COMPRISE ?
1. UNE ORIENTATION DOMINANTE : UN RENVOI AU DUALISME ET NON A LA GLOBALITE ?
2. DES APPELLATIONS MULTIPLES QUI ACCENTUENT L’AMBIGUÏTE
3. LE CARREFOUR PSYCHOMOTEUR : UN ENTRETIEN DU DUALISME ?
4. LE CARREFOUR PSYCHOMOTEUR : PEUT-IL S’ENVISAGER DIFFEREMMENT?
D. POSITIONNEMENT DE LA PSYCHOMOTRICITE PAR RAPPORT AUX AUTRES DISCIPLINES
E. LES ENSEIGNEMENTS D’AJURIAGUERRA
1. LA PSYCHOMOTRICITE D’AJURIAGUERRA : UN REEL CARREFOUR OU UNE NOUVELLE DISCIPLINE ?
2. LA PENSEE DUALISTE : UNE VISION DONT AJURIAGUERRA SEMBLE VOULOIR SE DISTANCIER
3. LA PENSEE AJURIAGUERRIENNE : DAVANTAGE PHENOMENOLOGIQUE ET MONISTE ?
F. AJURIAGUERRA : UN CARREFOUR A LUI-MEME ?
V. CONCLUSION PARTIE 2
PARTIE 3 : LA PSYCHOMOTRICITE : UNE IDENTITE PROPRE A PARTIR D’UNE PERSPECTIVE MONISTE
I. CONCEPTION DE L’ETRE HUMAIN SOUS L’ANGLE MONISTE
A. L’HOLISME
B. LE MONISME SPINOZISTE
1. SPINOZA : UN PHILOSOPHE MONISTE DANS UNE SOCIETE OCCIDENTALE
2. LA VISION DE L’ETRE HUMAIN SELON SPINOZA
3. QUEL LIEN ENTRE LES ATTRIBUTS DE L’UNIQUE SUBSTANCE ?
4. PUISSANCE D’AGIR ET PUISSANCE DE PENSER
5. L’ESPRIT : UN EPIPHENOMENE DU CORPS ?
6. THEORIE DES AFFECTS
II. IDENTITE ET SPECIFICITES DE LA PSYCHOMOTRICITE
A. DEFINITIONS DE L’IDENTITE ET DES SPECIFICITES
B. LA PSYCHOMOTRICITE : UNE APPROCHE CORPORELLE ET DE LA RELATION
1. LE CORPS : UN OUTIL CENTRAL DE L’APPROCHE PSYCHOMOTRICE
2. LE LANGAGE DU CORPS
3. DIALOGUE PATIENT-PSYCHOMOTRICIEN
C. LA PSYCHOMOTRICITE : UNE CONCEPTION GLOBALE ET HOLISTIQUE DE L’INDIVIDU
1. LIEN ETYMOLOGIQUE
2. LA PSYCHOMOTRICITE : UNE APPROCHE GLOBALE DE L’INDIVIDU
3. LA PSYCHOMOTRICITE : UNE DEMARCHE ADAPTATIVE ET CREATIVE
III. LE TERME PSYCHOMOTRICITE : UN SENS AMBIGU
A. RACINE ETYMOLOGIQUE
B. LE TRAIT D’UNION
C. PSYCHO-MOTRICITE DEVIENT PSYCHOMOTRICITE
D. BESOIN D’UN NOUVEAU NOM UNIVOQUE POUR PARLER DE LA PSYCHOMOTRICITE ?
1. DIVERGENCE DES PRATIQUES PSYCHOMOTRICES LIEE A L’AMBIVALENCE DU TERME PSYCHOMOTRICITE ?
2. RICHESSE DE LA PSYCHOMOTRICITE DILUEE PAR L’AMBIGUÏTE DE SON NOM ?
3. LA DENOMINATION PSYCHOMOTRICITE : UN RENVOI AU DUALISME ?
E. LA PSYCHOMOTRICITE : UN ENRACINEMENT DIFFICILE DANS UN MONDE DUALISTE ?
1. UN DUALISME ANCIEN A TRANSCENDER ?
2. LA PSYCHOMOTRICITE : UN DUALISME ENTRETENU MALGRE ELLE ?
3. LA PSYCHOMOTRICITE : UNE DISCIPLINE MONISTE DANS UNE SOCIETE DUALISTE ?
PARTIE 4 : DISCUSSION GENERALE
I. LA PSYCHOMOTRICITE : UNE IDENTITE PLURIELLE OU SINGULIERE ?
A. LA PSYCHOMOTRICITE D’AJURIAGUERRA ET LA PSYCHOMOTRICITE MONISTE
B. LA PSYCHOMOTRICITE : UNE SINGULARITE ? UNE PLURALITE ? UNE GENERALITE ?
1. L’IDENTITE DES INDIVIDUS : UNE CONSTRUCTION EVOLUTIVE
2. L’IDENTITE PROFESSIONNELLE DES PSYCHOMOTRICIENS, AMBASSADEURS DE LA PSYCHOMOTRICITE
3. PARALLELE ENTRE IDENTITE PROFESSIONNELLE ET NOTION DE PERSONNALITE
C. THEORIES PROPRES A LA PSYCHOMOTRICITE OU EMPRUNTEES ?
1. UN MANQUE DE THEORISATION SPECIFIQUE A LA PSYCHOMOTRICITE
2. LE CARREFOUR PSYCHOMOTEUR : UNE INTERPRETATION DE LA PSYCHOMOTRICITE D’AJURIAGUERRA ?
D. DES CONFUSIONS AUX INTERPRETATIONS
1. SYNTHESE ET GLOBALITE, DESCARTES ET SPINOZA
2. LA PSYCHOMOTRICITE : UN BESOIN DE VOCABULAIRE PROPRE ET CLAIR
II. L’ETRE HUMAIN
A. DEFINITION
B. L’ETRE HUMAIN : UN CARREFOUR ?
1. L’ETRE HUMAIN : UN ETRE A PLUSIEURS NIVEAUX
2. L’ETRE HUMAIN : LE CARREFOUR PSYCHOMOTEUR ?
C. L’HUMAIN : UN ETRE COMPLEXE ?
1. EDGAR MORIN, LE THEORICIEN DE LA PENSEE COMPLEXE
2. LA PSYCHOMOTRICITE : UNE DISCIPLINE COMPLEXE
3. COMPLEXITE ET TRANSDISCIPLINARITE
D. PATIENT ET PSYCHOMOTRICIEN
1. UNE CONSIDERATION GLOBALE DU PATIENT
2. DIVERSITE DES OUTILS ET MEDIATIONS A ADAPTER A LA SINGULARITE DU PATIENT
III. LA FORMATION
A. LA FORMATION INITIALE EN PSYCHOMOTRICITE
1. L’ENTREE EN INSTITUT DE FORMATION DE PSYCHOMOTRICITE
2. BREVE DESCRIPTION DES TROIS ANS EN FORMATION INITIALE
3. FAIRE DU LIEN : UN ENJEU MAJEUR DES ETUDES
4. LA PSYCHOMOTRICITE : UNE DIFFICULTE POUR SE DEFINIR
B. LA FORMATION CONTINUE
1. LE DEVELOPPEMENT PROFESSIONNEL CONTINU
2. FORMATIONS COMPLEMENTAIRES
3. QUESTIONNER SES PRATIQUES PROFESSIONNELLES
C. L’IMPORTANCE DE L’ETHIQUE EN PSYCHOMOTRICITE
IV. CONCLUSION
CONCLUSION

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