Proposition à la protection du bassin versant de la Haute Ankona

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Choix de la zone d’étude

Ambohimahasoa est réputé détenir une superficie d’Eucalyptus importante ne serait ce que dans l’ensemble de territoire de la Haute Matsiatra outre les autres types de forêts. Cependant l’exploitation des charbons de bois, de bois de chauffe et d’autres produits forestiers tels que les planches et les madriers entraînent une destruction massive de ces ressources ce qui provoque une menace d’érosion sur les sols.
Tout près d’Ambohimahasoa, le bassin versant ayant la représentativité du milieu avancé en dégradation (déboisement, passage des feux, menace d’érosion) a été choisi comme zone d’étude.
Notre choix s’est donc porté sur le site se trouvan dans la commune rurale :
Ampitana.
Le sous bassin à Imasy a été choisi à opter un versant pour faire l’étude concernant la caractéristique hydrologique d’un bassin versant.

Méthodes retenues pour les collectes des données

Pour obtenir des informations nécessaire au bon déroulement de ce stage ; notre étude se divise en 2 phases :

Phase préparatoire

Documentation :

Cette documentation nous a permis de tirer l’information nécessaire pour effectuer notre stage. Elle consiste à consulter des livres à propos de la défe nse et restauration du sol et le complexe de bassin versant pour avoir plus de connaissance, pour le niveau exigé dans la réalisation des travaux. La monographie de la commune rurale Ampitana, a été consultée aussi pour connaître la situation desproblèmes villageois. La recherche d’information s’est faite au niveau :
– Des centres de documentation : CEDII, CLAC
– Des services administratifs : DREF, DRDR
– Des bibliothèques : Université ISTE, Saint Paul
– Des organismes de développement : WWF, …
La carte n°3 montrant la localisation du bassin ver sant de la haute Ankona par rapport à la commune.

Etude sur carte

L’étude sur carte est nécessaire pour connaître leterrain à étudier avant la descente préliminaire. L’étude se fait sur une carte d’occupation du sol de la haute Ankona à partir de délimitation du bassin versant suivant les courbes de niveau et les lignes des partages des eaux à l’aide d’un outil informati que SIG.

Carte d’occupation du sol

Cette carte a été élaborée à partir de carte topographique feuille n°52 Ambohimahasoa. Le BV de la haute Ankona occupe 408.2 ha, son périmètre est de 8.48 km
La carte d’occupation des sols confirme l’importanc e de la couverture forestière et le limité du terroir agricole.

Préparation des enquêtes sur terrain

Choix de variables contrôlés et élaboration des questionnaires

C’est la base de toute investigation en science sociale ; elle a été faite avant d’entamer notre enquête sur terrain.
Choix des variables contrôlés
Tout d’abord, la population qu’on a enquêté doit répondre nos questions. Le choix a été effectué suivant de différentes variables contrôlées, comme : l’âge, le sexe, la catégorie professionnelle et leur niveau d’instruction.
Elaboration des questionnaires
Après avoir effectué le choix de la population statistique, nous avons élaboré des questionnaires concernant la population cible. Diverses questions ont été déjà préparées pour réaliser l’enquête (voir annexe IV).

Travaux de terrain

Collecte des données sur terrain

Contacts et interviews

Les informations obtenues auprès du responsable local (CANFOR Ambohimahasoa) ont joué dans l’orientation des enquêtes directes àmener auprès des usagers de ces périmètres.

Enquête directe

Des enquêtes qualitatives (demander l’opinion, la perception, le raisonnement, de l’enquêté). (Cours science sociale) ont été menéesauprès des villageois et les usagers de ces périmètres dont les questions sont ouvertes.
L’entretien se fait individuellement dans le but d’ avoir une idée plus précise sur les problèmes des paysans, leurs besoins, la justification des divers comportements, des systèmes de production, les causes de la dégradation du bassin versant

Méthodes de délimitation de versant dansle sous bassin versant

Le cas d’un versant en présence de dégradation dansle sous bassin versant a été échantillonné pour faire l’étude des paramètres quicaractérisent un bassin versant.
Le but est d’apporter le résultat d’étude dans le bassin versant de la haute Ankona en vue de proposer des solutions pour aménager et de protéger ce bassin versant. La délimitation de versant se fait à l’aide d’un GPS. Un cycle bouclé de l’exutoire au sommet a été fait suivant le marquage de point pourepérer l’altitude. Le menu tracé du GPS était activé.

Superficie et périmètre

La valeur de surface et de périmètre a été utiliséepour calculer le coefficient de compacité de Gravelius afin de déterminer la formedu versant.
Les données de tracés dans le GPS sont transféréesdans l’ordinateur à partir d’un logiciel Map source. Si elles sont transférées à ’ordinateur,l nous avons fait l’entourage (un cycle bouclé) de ces tracés à l’aide de l’outil règle de Map source et après, la surface et le périmètre sont indiqués enbas de la fenêtre de l’ordinateur.

Pente et altitude

La mesure de la pente se fait à l’aide d’un clisimè tre de l’exutoire jusqu’au sommet ; le relevé des données se fait à chaque variation des pentes.
Pour l’altitude moyenne, le calcul se fait à partir des données de l’altitude maximale (max) et minimale (min) indiquées sur le GPS.

L’analyse de couverture du bassin

Elle se fait en deux étapes :
– L’analyse de la Flore et de la faune
Le transect a été monté de l’exutoire jusqu’aux crêtes. C’est la méthode que nous avons faite pour identifier les flores et les faunes qui y existaient.
– L’analyse de structure des sols
La fosse pédologique de 80×80×80 cm a été réaliséepour le sol zonale et de 20×20×20 cm pour le sol azonale afin de mesurer et identifier les horizons A, B et C. Les fosses ont été faites du bas fond, du mi-versant et aux crêtes.

Les mesures de la lutte antiérosive appliquée par la population

Suivant notre constatation sur terrain, plusieurs mesures de réduction de problème sont réalisées sur le terrain.

La culture en terrasse

D’après l’enquête menée auprès de paysans qui estde 90% des personnes enquêtées, cette méthode ne signifie pas que la population pense à protéger la zone des cultures. Elle la pratique tout simplement car ces périmètres ne permettent pas aux cultures de riz si cette méthode n’est pas réalisée. Les cultures irriguées ont besoins d’une surface aplatie. Par conséquent les paysans sont obligés de le faire.
La topographie du terrain oblige les usagers à prat iquer cette méthode donnant la forme escalier.

La polyculture

Les paysans pratiquent la polyculture. Elle se traduit par des plusieurs espèces végétales agricoles sur un même périmètre. La méthode est très conservatrice du sol car en même temps elle réduit la présence des ruissellements sur les périmètres valorisés, elle permet aux paysans de s’installer et de rester sur un même endroit pendant un long moment.

Les reboisements

Des reboisements sont observés dans quelques endroits. Les animations faites par le ministère de l’environnement rendent la population consciente que la dégradation des forêts a des effets néfastes sur la vie humaine.C’est pourquoi, la plupart de la population pratique et exécute le reboisement.
Voici les photos que nous avons prises sur terrain qui présentent quelque mesure de la population pour la lutte antiérosive.

PROPOSITION A LA PROTECTION DU BASSIN VERSANT DE LA HAUTE ANKONA
A partir des résultats ci-dessus, nous pouvons proposer des activités à réaliser pour mieux protéger le bassin versant de la Haute Ankona.
Plan d’aménagement
Le but de l’aménagement de la haute Ankona est de conserver le sol et à le défendre contre l’érosion hydrique et de valoriser durablement les espèces floristiques et faunistiques existant dans le bassin versant.
Pour être efficace, le contrôle de l’érosion doit ommencer au sommet de la colline et continuer tout le long de la pente.
Nous allons apporter ici le plan d’aménagement orienté à la distribution des activités agricoles suivant la grande pente naturelle en fonction de labour du sol.
Sachant que notre bassin versant ait de forme allongée donc nous optons le plan d’aménagement illustré sur le schéma n°1 qui est valable à tous les cas au versant dans le bassin versant de la haute Ankona.
Plus de 40% Reboisement des espèces mellifères telles que :
. Eucalyptus spp. et Grevillea banksii
. Entre 30 à 40% Lignée d’arbre de démarcation
. Entre 10 à 30% Culture pérenne avec aménagement antiérosif
. Entre 5 à 10% Culture vivrière avec aménagement antiérosif
. Entre 0 à 5% Culture vivrières et maraîchères
Trois variables doivent être pris en considérationdans la distribution des activités agricoles selon la pente : la position du terrain sur la colline, la pente elle-même et la profondeur du sol.
– Concernant la position sur la colline,
L’impact direct de la pluie sur le sol doit être empêché à l’aide d’une couverture végétale. Les grands mouvements d’air ou vent violent seront annulés grâce à des brises vents.
Rampe de paille ou fascinage
En cette méthode entrelacée, la paille, les bouts ed bois, et les branches mortes ou tout autre matériel végétal sur des courbes de niveau à distance sur la colline. Le rampes de paille sont fixées avec des piquets enfoncés dans le sol, eux aussi sur des courbe de niveau.
Clayonnage
Le clayonnage est une technique semblable au fascinage qui est utilisé pour boucher les petite ravines, mais les piquets sont plus forts que ceux utilisés dans le rampe de paille et sont choisis pour leur capacité de bourgeonner une fois dans le sol.
Structures mécaniques et biomécaniques
Considérées comme structures mécaniques, tous lesuvrageso de conservation de sol dans lesquels on utilise la pierre, la maçonnerie s èche, des mures en courbe de niveau, des bouchons de ravines ou de petit barrages pour arrêter les courants d’eau sur la terre et bloquer ou garder le sol derrières eux.
Dans le cas de structures biomécanique, des herbes,des arbustes ou des plantes pérennes sont planté aussi, ou bien au-dessus, ou ienb en dessous de la structure. Ils profitent de l’humidité et du sol bloqués par la structure pour obtenir une croissance rapide et leurs racines contribuent à leur tour à s tabiliser la structure.
Canal de contour
S’agit de créer une tranchée de 30 à 60 cm de profondeur fouillée dans le sol le long d’une courbe de niveau pour recueillir et diffuser l’eau de pluie. Il peut être utilisé seul ou en combinaison avec une terrasse vive, une bande enherbée ou une structure biomécanique.
Canal de diversion
S’agit d’un petit canal de 20 à 30 cm de large et a utant de profondeur. Comme le fossé est disposé en réseau, leur écartement est enfonction de dénivelé (distance verticale) entre leurs bases aval. Le dénivelé standardisé est de 1.20m ou 1m. Les cloisons sont établies à 5 ou 6m. Canal semblable au canal de contour, mais il a une pente de 1 à 3% pour transporter l’excès d’eau de s urface vers les canaux de drainage. La pente ne doit pas dépasser 3% sinon l’érosion dans le canal de diversion peut augmenter dans les canaux de drainage
Billonnage
Le billonnage est le complément du canal de contour. Les billons sont construits sur des courbes de niveau entre les canaux de contour. Tandis que les canaux servent à garder l’eau et prévenir des courants d’eau de surface, les billons facilitent le développement des racines en fournissant un sol meuble, bien drainé pour les cultures. Ils protègent aussi le sol contre l’érosion.
Bassin de sédimentation
C’est un petit bassin fouillé au bas de ravines. Il garde l’excès de sédiment et conserve l’eau et ainsi augmente le taux d’infiltra tion de l’eau le long de courants, alors qu’il diminue les dépôts de sédiment sur la terre utile.
DISCUSSION
Nous n’avons pas observé de formation de lavaka dans notre zone d’étude, mais si la dénudation des sols apparait toujours, le problème de fonctionnement de sol augmentera et se termine à la formation de lavaka.
Le phénomène d’ensablement et d’érosion persiste car nous avons observé des nombreuses quantités des sables et des transports olides sur les rizières.
L’étude caractéristique hydrologique d’un bassin versant exige l’analyse des différents paramètres dont la morphologie du bassin, la pente et l’altitude, la couverture du sol.
L’ensemble de la zone du bassin versant de la haute Ankona, est caractérisé par des sols ferralitique, tourbeux et sableux ; la pente maximale est de 30% et le relief est accidenté. Le versant qu’on va étudier ; se situe ne aval, c’est-à-dire sur les milieux de bas fonds, des grandes quantités de terre et de sable y sont posées, due à l’absence de couverture végétale en amont. Dans les endroits à pente plus de 35%, le sol est facile à enlever par les crues. Tandis que dans le bas fond, et les vallées,.. la vitesse de l’eau est modérée ; ce qui minimise la dégradation du sol ; quelques quantitéseulement sont enlevés. L’exploitation abusive des ressources naturelles renouvelable par l’homme en vue de répondre à ses besoins socio-économique ou culturel entraine la dégradation du bassin versant de la haute Ankona. La diminution de la couverture forestière accentue l’érosion, le régime de pluie est perturbéet la baisse de fertilité de sol se traduit par la baisse de rendement entraînant l’acc roissement de la pauvreté. Et aussi elle entraine la disparition de certaines espèces animales et végétales.
La croissance très élevée de la population exerce esd pressions sur la forêt en vue de satisfaire aux besoins plus immédiats : la nourriture.
Les végétaux existant sur les terrains fixent et protègent le sol, ils réduisent la vitesse de ruissellement pendant les périodes pluvieuses, ce qui montre que la dégradation du sol varie suivant la densité forestière de l’endroit.
SUGGESTION
L’éducation et sensibilisation
La protection des sols et des forêts est une activité difficile car il intervient aux populations rurales toute entières. Le niveau d’instruction de population est assez faible et inégal. Donc il faut commencer à l’éducation.
L’amélioration des connaissances facilite les interventions de sensibilisation dans le milieu rural ; de plus c’est facile pour la population de saisir et de comprendre le phénomène même si l’intervention est déficiente. leElpeut prendre les décisions de protection du milieu par elle-même.
Des méthodes peuvent être proposables pour mieux protéger et de restaurer le bassin versant de la haute Ankona.
• La commune possède un poste de communication : radio.
Des responsables décident de faire une campagne d’émission en émettant les impacts des dénudations de sol et offrent des solutions pour la conservation. L’émission sert à inciter la population à comprend re la situation.
• Des formations et information sont aussi praticable pour les associations existantes, avec les écoles ou autre,…le but est de d’optimiser les connaissances des paysans participants concernant aux concours des protections de l’environnement
La conscientisation
– Il est nécessaire de faire une éducation environnementale en leur faisant connaître tous les résultats négatifs probables et les impacts de leurs activités. L’objectif est de faire comprendre que les populations seules sont
responsables de leurs initiatives et ils assument les conséquences.
Cette méthode est utile pour la prise de conscience et le changement de comportement.
– Il est indispensable de faire la table ronde avec tous les acteurs principaux utilisant les périmètres. Les explications nécessaires pendant la réunion doivent être exposées et discutées afin de prendredes bonnes mesures de protection ou alléger les actes très dégradateurs.
Création d’une association des usagers du périmètre
Pour mieux gérer les parcelles, les paysans sont sensibilisés à créer des associations usagers du périmètre. Celle-ci peut faciliter la formation de technique appropriées au milieu et aussi de faciliter le suivi et l’évaluation de résultat.
La méthode répressive
Parfois l’intégration de DINA (règlement local) et de surveillance est efficace et utile car certains gens ont besoin des méthodes répressives.
Il est nécessaire d’établir des règles sur la technique de valorisation et de l’utilisation des périmètres ; la population elle-même adopte etprocède ces règles.
Les renforcement des procédés biologiques pour la conservation du sol
Les plantations des plantes fixatrices des sols aux alentours des cultures et l’agroforesterie sont utiles.
Ces techniques donnent des avantages aux villageois car en même temps ils pratiquent les cultures, ils affectent les reboisements. Le rendement agricole obtenu augmente et les difficultés d’avoir des bois pour les besoins se simplifient.
Le zéro labour et paillage peuvent être pratiquésEn. faisant le paillage du sol sans faire de labour, l’eau de pluie s’infiltre bea ucoup mieux et l’évapotranspiration du sol se ralentit.
Le sol se concentre, en plus de l’humidité, de matières organique et minérale obtenues par la fermentation et la décomposition des pailles. Les techniques procurent beaucoup de rendement. Les techniques de production agricole améliorées sont envisageables : système de riziculture améliorée et intensive, utilisation des semences bien sélectionnées, espèce bien choisi et appropriés aà lqualité de sol.
L’apport des engrais biologiques est utile pour augmenter le surplus et éviter la destruction de sol.
Toutes les activités de production agricole et l’élevage doivent prendre en compte les impacts pouvant se produire sur le sol.
Les capacités des paysans concernant les techniques de préserve le sol sont les objectif à atteindre. Le but est de réduire les dégâts sur le sol en même temps et d’augmenter le rendement de ce dernier.

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Table des matières

INTRODUCTION
PARTIE I : PRESENTATION GENERALE
PRESENTATION DU MILIEU D’ETUDE
I.1.Historique
I.2. Délimitation administrative et géographique
I.3. Milieu physique
I.3.1 Climat
I.3.2 Relief
I.3.3 Problème environnementaux
I.3.4 Hydrographie
I.4. Milieu biologique
I.4.1 Flore
I.4.2 Faune
I.5. Milieu socioéconomique
I.5.1 Situation démographique
I.5.2 Activités socioéconomiques
PARTIE II : METHODOLOGIE
I.METHODOLOGIE
I.1. Choix de la zone d’étude
I.2. Méthode retenue pour les collectes des données
I.2.1. Phase préparatoire
I.2.2. Travaux de terrain
I.3. Traitement des données
I.3.1. Calcul de coefficient de compacité de GRAVELIUS
I.3.2. Calcul de pente moyenne et altitude moyenne
PARTIE III : RESULTAT
I. Recueil de donnée sur terrain
I.1. Caractérisation des enquêtes
I.2. Résultat d’enquête qualitative
III. Résultat d’étude sur terrain
IV. Proposition à la protection du bassin versant de la Haute Ankona..
IV.1. Plan d’aménagement
IV.2. Proposition des mesures de la lutte antiérosive
IV.3. Orientation et axe stratégique
PARTIE IV : DISCUSSION ET SUGGESTIONS
I. Discussions
II. Suggestions
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES ..

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