Prolonger l’autonomie en développant les dispositifs de solidarité

La méthode de recherche employée

Nous pratiquerons la méthode de recherche par le design, c’est-à-dire à l’idée qu’on puisse lier la pratique à la réflexion, l’observation et l’expérimentation au prototypage de solutions. Pour cela, il est nécessaire d’aborder le terrain et le sujet dans toute sa complexité afin de comprendre quels sont les leviers d’action potentiels, mais aussi pour permettre de retrouver la trace et les raisons de certains dysfonctionnements. Cette approche systémique doit conduire le projet à des propositions pertinentes.
Tout au long de la recherche, nous verrons un travail de représentation des enjeux, des potentialités, des manques voir des blocages ; en cherchant à connaître la diversité des acteurs de l’écosystème des personnes âgées et leurs relations, en puisant dans les connaissances existantes en sciences humaines et sociales, mais aussi en créant de nouvelles connaissances sociales à partir d’entretiens, d’observations et de questionnements.
Pour être plus précis, cette méthode s’est déclinée en plusieurs phases. Au départ, le travail a été planifié suivant le principe du double diamant défini par le UK Design Council en 2005 (UK Design Council, 2005), premièrement afin de pouvoir rassurer la direction du service grâce à une méthode éprouvée, qui pose de manière intelligible et logique la progression du projet en justifiant certaines
phases essentielles d’un point de vue de designer comme le fait de réaliser des enquêtes approfondies avec différents usagers. Cette méthode était aussi une manière d’établir rapidement un calendrier de projet avec des objectifs et des dates butoirs pour certaines phases. Les étapes de ce travail auront donc été planifiées de cette manière :

La méthode de recherche employée

1. Réalisation d’une étude du contexte (historique, anthropologique, politique) sur les personnes âgées afin de comprendre où nous en sommes aujourd’hui, quelles problématiques ont été traitées, quelles sont celles qui émergent. Cela nous permettra de relever de premiers indices concernant certains dysfonctionnements, et donc des pistes de réflexion.
2. Réalisation d’une veille de l’existant en termes de pratiques sociales pour les personnes âgées dans d’autres villes. Faisant déjà émerger deux choses : la difficulté des politiques sociales à innover et le sentiment que les solutions mises en place sont limitées dans leur capacité à entrevoir et à initier un changement de fond des pratiques et des modes de vies.
En effet, si on observe et compare les actions mises en place dans différentes collectivités, on retrouve une approche semblable entre elles de mise à disposition de services à la personne, qui certes répondent à des besoins, mais semblent atteindre rapidement un plafond de verre dans
la portée de leur action. Les solutions semblent davantage conçues pour combler un manque, que de comprendre d’où vient ce manque et d’anticiper les manques de demain. Le service des aînés de la municipalité des Ulis propose déjà le maximum de services existants pour les aînés si on le compare à d’autres collectivités qui sont déjà reconnues ou labellisées « Ville amie des aînés ». Ainsi, on s’aperçoit que ce n’est pas forcément d’un nouveau service dont les aînés des Ulis auraient besoin.
3. Conception d’enquêtes et d’entretiens afin de recueillir des données sensibles et qualitatives auprès des usagers et des agents comme : les histoires de vie, les verbatimes, les références, les idées… qui vont nous permettre – en les comparant et en les analysant – de comprendre et soulever des questionnements de fond sur les sujets étudiés. En effet, les entretiens sont une source extrêmement riche d’informations, mais cette démarche plus qualitative, il aura fallu la justifier auprès de la direction du service comme une étape fondamentale de prendre le temps d’observer et d’écouter « l’usager » afin de comprendre en profondeur les enjeux et d’identifier les leviers d’action possible.
4. Ce travail de légitimation s’est poursuivi ensuite le choix de mener au départ une démarche se rapprochant du design de services – une pratique plus familière aux yeux de la collectivité – afin de démontrer assez rapidement que nous pouvions proposer des améliorations concrètes pour le service. De premières pistes de projets ont pu émerger et être proposées rapidement à la direction, avec des réponses somme toute assez attendues, réalistes et ancrées dans une amélioration de l’existant, tout en prenant le « risque » de présenter certaines intuitions permettant de jauger les attentes, mais aussi le type de freins que nous allions pouvoir rencontrer par la suite.
5.La suite de la démarche consistait à approfondir les recherches et les entretiens initiés. Dans notre cas, la question de l’accès au terrain a été déterminante quant à l’orientation qu’ont pu prendre les projets. Par exemple, nous avons pu arriver très rapidement à recueillir des données qualitatives au niveau de l’aide à domicile, alors que sur d’autres thématiques le travail d’enquête fut beaucoup plus laborieux. L’accès au terrain est un facteur déterminant qui aura permis d’opérer des choix dans les pistes de projets à explorer.
6. La dernière étape envisagée de cette méthode était le fait de prototyper des pistes de solutions pour obtenir un retour d’expérience, puis de penser la bonne intégration du dispositif créé afin de travailler sur l’appropriation du projet et son développement futur.

Le contexte anthropologique et historique

Une diminution de la valeur et du statut de la personne âgée dans le temps.
On entendra par « personne âgée », la part des individus ayant vécu le plus longtemps dans la société. L’âge étant une donnée définie chronologiquement pour des raisons conventionnelles et administratives comme par exemple : l’âge de la retraite ou l’âge pour accéder à l’Allocation Personnalisée d’Autonomie (APA), mais il ne correspond pas forcément à l’entrée dans la vieillesse, qui se manifeste de manière différente d’un individu à l’autre. L’âge est une donnée biologique, mais aussi socialement définie. À la question « À quel âge est-on vieux ? » des jeunes n’auront pas la même réponse que des individus plus âgés. La réponse variera également en fonction du mot utilisé pour désigner la vieillesse (aîné, senior, ancien, personne âgée, vieux…), ou encore de la catégorie sociale et de l’espérance de vie de l’époque dans laquelle la question est posée (Ennuyer, 2011).

Une évolution des modes de transmission de la connaissance

Dans les sociétés agraires pré-littéraires, l’information était principalement transmise oralement. Les personnes âgées étaient le moyen de transmettre les connaissances accumulées par des générations successives d’individus et cristallisées avec l’expérience et le temps. Cette sagesse et cette expérience prenait la forme de légendes, de mythes, de proverbes, de chants et était un socle aux valeurs, aux normes et aux croyances pratiquées par les individus; structurant toute la cohésion du groupe (VijayaKumari, 2018). Les personnes âgées détenaient donc un savoir essentiel à la survie de la tribu et étaient souvent considérées comme très importantes (Madden et al., 2005).

L’éclatement des structures familiales et économiques

Alors que le niveau de vie et d’indépendance des individus augmente, les personnes âgées ne sont plus considérées comme essentielles à la survie de leur famille et de leur communauté. En France par exemple, nous sommes passés d’une économie domestique patriarcale fondée sur l’accumulation et la transmission d’un patrimoine, à une économie de la consommation, du crédit et de l’usage (Baudrillard, 1968).
En Chine par exemple, de l’antiquité jusqu’au début du 20e siècle, le système confucéen reposait sur une logique autarcique : les parents s’occupaient des grands-parents et les grands-parents s’occupaient des petits-enfants. Lorsque la société s’urbanise et s’industrialise, ce cadre traditionnel n’est plus adapté (Charpentier, 2010).
L’ère industrielle a fait évoluer les structures familiales – anciennement des unités regroupant plusieurs générations vivant sous le même toit – à des familles composées uniquement de parents et leurs jeunes enfants, avant que les enfants partent chacun de leur côté pour des raisons diverses comme pour fonder son propre foyer ou encore pour trouver un travail. Ce qui a eu tendance à isoler les personnes âgées perdant ainsi une partie de leurs liens sociaux. Un phénomène révélé de manière dramatique lors de la canicule de 2003 en France, qui aura emporté plus de 15 000 personnes en l’espace de 3 semaines, principalement des personnes âgées (87 % des victimes avaient plus de 70 ans). Cette hécatombe serait due à un isolement des personnes âgées, lui-même causé par l’évolution de la société et des structures familiales où les aînés vivent davantage seuls qu’auparavant. Une situation qui constitue donc un problème sanitaire et social majeur (Pitaud, 2010). 900 000 personnes de plus de 60 ans en France métropolitaine seraient isolées socialement, c’est-à-dire sont recensées comme ne rencontrant jamais physiquement des membres de leur famille, des amis, des voisins, des associations ou alors de manière très épisodique (quelques fois seulement dans l’année au maximum). 300 000 personnes seraient en situation de « Mort sociale » avec des relations très amoindries et n’auraient aucun confident pour parler de choses intimes, personne à qui confier leurs clés, personne avec qui déjeuner ou dîner, des sorties peu fréquentes, un sentiment de malheur et souffriraient d’une perte d’autonomie dans la vie quotidienne (Petits frères des pauvres, 2020).

La vieillesse, une construction sociale ?

Avec la retraite, c’est comme si c’était le système du travail qui définissait le début de la vieillesse et non la capacité à travailler ou l’âge biologique. La retraite marque une rupture, où l’on ne perd pas seulement son rôle de travailleur, mais c’est aussi le statut et la fonction sociale qui sont bouleversés. Il semblerait que la société dans une recherche de productivité ait découpé le cycle de vie de l’être humain en fonction de sa capacité à travailler. Ce troisième âge étant pour le travailleur, un imaginaire du repos mérité après une vie de labeur. La société Cuiva, une population amérindienne de Colombie, n’opère pas de distinction de passage à une autre catégorie sociale distinguable des autres en vieillissant. Une fois sortis de l’enfance, les Cuiva demeurent des adultes toute leur vie et ne sont jamais considérés comme trop vieux pour quelque chose. Il n’y a pas d’espace particulier pour les vieillards ni d’activités sociales dont ils sont exclus (Arcand, 1982).

Obsolescence professionnelle et âgisme dans nos sociétés

Un sentiment de déroute et d’inutilité de la personne âgée peut être provoqué par le rythme d’évolution toujours plus rapide des savoirs et des techniques en vue de satisfaire la capacité de l’industrie à produire. Cette cadence, imposée à l’innovation produit des changements si rapides qu’ils rendent désuets les techniques et les savoirs qui, hier, étaient encore les plus efficaces. L’obsolescence professionnelle, c’est le travailleur qui devient progressivement désuet et inutile de par son savoir-faire caduc avant même qu’il soit considéré comme inapte à travailler.
L’accélération des mutations, mais aussi celle des écarts générationnels toujours plus grands de par le vieillissement de la population, conduisent aussi à exclure les personnes âgées d’espaces et de lieux qu’ils ont jadis fréquentés, mais qu’ils ne reconnaissent plus.
L’inactivité, la dépendance, l’inadaptabilité sont des termes qui peuvent être associés à la vieillesse et reflètent une forme de construction sociale de l’idée de vieillesse qui dans une perspective utilitariste, réduit la personne âgée à sa capacité à produire. Symboliquement, la personne âgée perd le rôle contributif du travailleur et peut être vue comme un citoyen de seconde zone, destinataire de politiques sociales. Cependant, on peut être actif socialement sans avoir un emploi rémunéré. L’apport bénévole des aînés répond à des besoins sociaux comme la garde d’enfants, un geste qui soutient l’économie en soutenant indirectement la production et les parents qui travaillent. Les aînés sont également un apport indispensable au maintien et à l’amélioration des services offerts par de multiples organisations non gouvernementales (ONG) ainsi que des piliers pour le tissu associatif local. Des chiffres le démontrent, par exemple en 2017, 41% des président.e.s d’association ont 65 ans et plus (INJEP Institut National de la Jeunesse et de l’Education Populaire, 2019). Par ailleurs, 3 bénévoles sur 10 auraient plus de 65 ans (France Bénévolat, 2014).

L’âgisme ou l’âge comme facteur de discrimination

On entend souvent dire qu’un sportif n’a plus sa place dans le sport de haut niveau vers 35 ans. Dans le sport, l’âge n’est pas vu comme une bonification, mais comme une dégradation de la capacité de performance du corps avec le temps.
L’industrie cosmétique vit en partie sur le désir de conserver sa jeunesse et de limiter les signes du vieillissement. La jeunesse est souvent présentée comme un objet de désir dans les contes et les légendes occidentales, et continue de l’être dans la fiction et dans la production culturelle contemporaine, particulièrement au sujet des femmes. Par exemple, une actrice se verra proposer de moins en moins de rôles au fur et à mesure qu’elle paraîtra plus âgée comme le relate l’article « Les femmes de plus de 50 ans, ces grandes invisibles du cinéma français » publié en 2019 dans Télérama. On ne sait plus forcément à quoi ressemblent les femmes entre 25 et 50 ans, car dans les séries, on verra une actrice de 28 ans jouer le rôle d’une mère de deux ados, et les deux ados joués par des acteurs de 19 ans ce qui contribue à biaiser totalement notre perception des âges. Et alors que nous nous refusons de plus en plus aux stéréotypes sur la couleur de peau, le genre, il semblerait que nous pratiquions encore ceux sur l’âge.
L’âgisme aurait d’ailleurs un impact réel sur la performance de la mémoire (Levy, 1996) et la perception positive de son âge pourrait même au contraire allonger l’espérance de vie (Levy et al., 2002). Par ailleurs, des recherches suggèrent que les personnes à qui on ne permet plus de jouer un rôle dans la vie économique ou sociale de leur communauté, dépérissent rapidement physiquement (Leaf, 1973).

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Table des matières

Introduction
Plan du mémoire
Contexte de la mission
Objectifs de la mission
La méthode de recherche employée
Partie I. Le contexte des personnes âgées en France et dans le monde
1.1 Contexte anthropologique et historique : Une diminution de la valeur et du statut de la personne âgée dans le temps
1.1.1 Une évolution des modes de transmission de la connaissance
1.1.2 L’Éclatement des structures familiales et économiques
1.1.3 La vieillesse : une construction sociale ?
1.1.4 Obsolescence professionnelle et âgisme dans nos sociétés productivistes
1.2 L’évolution des politiques publiques pour les personnes âgées
1.2.1 Des premières solidarités de l’État / Droits de pension
1.2.2 L’utopie politique d’une intégration sociale
1.2.3 L’optimisation de la santé et des risques individuels
1.3 Constats aujourd’hui sur la politique sanitaire autour des personnes âgées
1.3.1 L’urgence d’anticiper une explosion des demandes de soins
1.3.2 Une approche par le risque et la médicalisation du vieillissement
1.3.3 Problématiques particulières liées au contexte la COVID 19
Partie II. Bien vieillir : Un équilibre physique et psychique à maintenir
2.1 Sommes-nous prêts à vieillir plus longtemps ?
2.2 La santé, une question de bien-être et de maintien des liens sociaux
2.3 Le phénomène de glissement vers la perte d’autonomie
2.4 Le rôle important du service des aînés pour accompagner le vieillissement : Présentation générale du service et de ses missions
Partie III. Problématique initiale : Comment créer les conditions de l’inclusion sociale et du bien-être des aînés ? Vers une approche plus globale et sociale
3.1 Mise en place d’une enquête de terrain pour comprendre les leviers d’inclusion sociale des aînés
3.2 Développer un nouvel écosystème de services autour de la vie des aînés : Prévention / Inclusion / solidarité
3.3 Premières pistes préliminaires de projets
3.4 Prévenir l’isolement et les conditions d’apparition de la perte d’autonomie : Un nouveau programme d’animations pour les aînés
Partie IV. Prolonger l’autonomie en développant les dispositifs de solidarité
4.1 Quelques chiffres sur la perte d’autonomie
4.2 Rencontre avec les professionnels de l’aide à domicile (Synthèse des entretiens).
4.2.1 Être un(e) aide à domicile c’est quoi au fond ?
4.2.2 En fait, c’est bien plus qu’on imagine
4.2.3 Un métier qui nécessite des qualités et compétences sous-évaluées
4.2.4 Une prestation ça consiste en quoi ?
4.3 Un manque de reconnaissance des métiers du lien
4.3.1 La crise sanitaire a révélé un paradoxe social
4.3.2 Le constat du CESE : Un lien social dévalorisé
4.4 Mais comment identifier ce manque de reconnaissance ?
4.4.1 Des conséquences sur le système de prise en charge des bénéficiaires
4.4.2 Une répercussion sur la santé des bénéficiaires
4.4.3 Des barrières symboliques au soin
4.4.4 La valeur du ménage : L’idée reçue que le ménage est une tâche inférieure aux autres
4.4.5 Le ménage comme approche douce essentielle
4.4.6 D’autres barrières symboliques : Le statut de l’aide à domicile
4.4.7 D’autres barrières symboliques : Le lexique d’intervention
Partie V. Évolution de la problématique : Comment mieux accompagner la personne en perte d’autonomie tout en valorisant le rôle social de l’aidant ?
5.1 Faire évoluer l’aide à domicile vers une approche psychosociale du soin
5.2 Si on devait imaginer l’accompagnement autrement : Faisons évoluer le SAAD vers un SRAD !
5.3 Construire un nouvel imaginaire autour du service d’aide à domicile
Parler d’autre chose que de dépendance et insuffler une nouvelle dynmique
5.3.1 Un autre rapport à l’autre : De nouveaux mots pour un nouveau sens
5.3.2 Un autre rapport à l’autre : De nouveaux soutiens (prestations)
5.4 Une tenue « d’agent de bienveillance »
5.4.1 La psychologie du vêtement (forme et symbole)
5.4.2 Des études qui le démontrent
5.4.3 Un vêtement avec des objectifs concrets
5.4.4 Comment construire une nouvelle symbolique ?
5.4.5 S’inscrire dans le bon répertoire de signes
5.4.6 Conception de la tenue
5.5 La mise en place d’une thérapie par le toucher
5.5.1 Les bienfaits du câlin (toucher interpersonnel)
5.5.2 S’apaiser et se rappeler avec le sac d’Augustine
5.5.3 Les vertues du toucher simulé
5.6 Le calendrier des envies : un outil pour développer le dialogue avec le bénéficiaire et son envie d’autonomie
5.6.1 Comment se déroule l’évaluation des besoins aujourd’hui ?
5.6.2 Les problématiques liées à cette évaluation des besoins et la priorisation des besoins « pratiques » sur les besoins psychologiques
5.6.3 Accéder aux besoins non exprimés de la personne
5.6.4 Veille des outils existants
5.6.5 Développer le dialogue et l’envie d’autonomie
5.6.6 Conception de l’outil « calendrier des envies »
5.6.7 Développer l’empathie comme compétence professionnelle pour accompagner et soutenir les bénéficiaires
5.6.8 Scénario d’usage de l’outil calendrier des envies
5.7 Réunion de présentation / échanges avec les professionnels de l’aide à domicile
5.8 La nécessité de faire évoluer le cadre de l’accompagnement à domicile (Récapitulatif des solutions proposées)
Partie VI. Réflexions sur le design des politiques publiques (freins et leviers de transformation)
6.1 La place du designer dans les collectivités (regard critique et bilan d’expérience).
6.2 L’intérêt des imaginaires dans le processus d’élaboration et d’innovation dans les politiques publiques : Pour activer des possibles
Conclusion
Bibliographie
Table des figures
Table des annexes

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