PROJET HABILITATION SOCIO-ECONOMIQUE DES JEUNES VULNERABLES : IMPACTS SOCIO-ECONOMIQUES ET FACTEURS DE BLOCAGE

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RESULTATS ATTENDU PAR LE PROJET

Le Résultat attendu fixé pour le volet Economie est d’assurer une « Augmentation de l’accès aux activités génératrices de revenus pour 600 jeunes vulnérables, dont 40% sont des jeunes femmes au minimum ».
Les indicateurs qui témoigneront de la réalisation effective de ce résultat sont :
 600 bénéficiaires auront amélioré leurs connaissances et compétences servant une carrière stable ou ayant un potentiel de croissance ;
 Au moins 70% des bénéficiaires auront obtenu un emploi ou lancé leur propre entreprise ;
 70% des bénéficiaires connaîtront une augmentation de leurs revenus mensuels dans les 6 mois suivant leur formation.

MODE DE SELECTION DE LA CIBLE

Le mode de sélection se fait par la négociation sur le comité consultatif du projet au niveau local représenté par les autorités compétentes.
Ce comité inclut les Maires de la commune et ses collaborateurs, les chefs Fokontany et les personnels du CSB sur la technique de publication du projet et sur la recherche des cibles. En premier lieu, on affiche le programme et en suite on organise une séance d’information sur les intéressés. La séance se termine par l’inscription des jeunes et la sélection de ceux qui sont bénéficiaires du projet selon les critères établis.

LES FORMATIONS DONNEES PENDANT LE PROJET

En premier lieu, les jeunes sont informés et formés sur la compétence de vie pour qu’ils deviennent des bons citoyens c’est-à-dire possèdent un développement personnel, une estime de et confiance de soi, avoir de vision, de culture entrepreneuriale et de gestion.
Et ensuite, des formations professionnelles sont données selon le choix de la filière de chacun. Cette formation varie de deux semaines à un mois selon la filière adoptée. Dans cette filière, il y a des théories, des pratiques et des collaborations avec des prestations extérieures pour les formateurs. [12]

LES FILIERES EXISTANTES

Les filières existantes dans ce projet habilitation socioéconomique des jeunes vulnérables sont : poulets de chair, poule reproductrice, poule pondeuse, canard gras, foie gras, pâtisserie, artisanat, porc culture.

PROGRAMME DE L’YMCA

Programme économique

La renaissance économique fait partie du programme d’YMCA Madagascar, se concentrant en 1er à habiliter les jeunes à faire face aux difficultés matérielles et financières actuelles et à répondre à la crise économique dont ils souffrent. La première vision de la renaissance économique est d’emmener les jeunes économiquement inertes vers une renaissance et une habilitation économique. En d’autres termes, il va emmener les jeunes non seulement à sortir de la pauvreté extrême, mais surtout contribue à augmenter les possibilités pour les jeunes de s’approprier, de gérer et de contrôler les moyens de création de richesse.
Il y a plusieurs facteurs qui font que les jeunes sont inertes sur le plan économique parmi lesquels la pauvreté intellectuelle et mentale, la culture de dépendance et les programmes d’aides inefficaces, l’environnement économique hostile aux jeunes malgaches, les crises économiques cycliques à Madagascar sont les plus marquantes.

Par ailleurs, YMCA a comme vision de contribuer à transformer cette situation pour que les jeunes puissent sortir de cet état d’inertie à un mouvement positif en les aidants à exploiter la richesse locale surtout en matière d’agriculture.
De ce fait et dans le cadre du programme renaissance économique, une des activités de YMCA implique la formation en entrepreneuriat des jeunes pour les aider à concrétiser leur vision en renforçant les capacités des jeunes, à créer leur propres entreprises, en devenant des entrepreneurs qui puissent prendre en main leur avenir.
Le programme consiste ainsi à doter les jeunes des compétences nécessaires leur permettant de faire face au marché, et engager des innovations viables pour qu’ils puissent réussir face à la rude concurrence engendrée par la mondialisation. Cela inclut toute activité de formation, coaching, mentoring, événementiels pour l’insertion et la promotion des jeunes dans la vie économique, dont l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes. [13]

PROGRAMME DE SANTE

Les études menées par YMCA Madagascar révèlent un problème d’accès des jeunes aux services de santé : ils n’ont pas d’accès ou ont un accès limité aux soins et traitement et à l’information sur la santé.
Par conséquent, les jeunes sont affectés d’une négligence de leur santé, d’où l’existence des maladies dites « négligées » lesquelles sont des maladies qui caractérisent particulièrement les populations pauvres et vulnérables, n’ayant pas aux services de santé dont ils ont besoin.
Les causes de ses problèmes d’accès aux soins sont les suivants : les coûts des traitements qui ne conviennent pas au pouvoir d’achat des jeunes, les services ne répondent pas aux besoins spécifiques des jeunes en termes d’accès et de qualité, le manque de connaissance sur les maladies (définition, symptômes, ou manifestations, prévention, soins et traitements appropriés) et les services de centres de santé.

C’est pourquoi le programme de l’YMCA sur la santé vise à améliorer l’état de santé de ces jeunes grâce à l’accès à l’information et aux services de santé pertinents et de qualité, répondant aux besoins spécifiques des jeunes, surtout les groupes vulnérables et marginalisés.
Dans cette optique, YMCA Madagascar utilise le concept d’Education par les pairs comme approches principales. Cela permettra aux jeunes d’être conscients de leurs états de santé et changera de façon positive la connaissance, l’attitude, la pratique et la croyance des jeunes vis-à-vis des meilleurs moyens d’avoir une vie saine et équilibre.

PROGRAMME DE CITOYENNETE

Selon la définition donnée par l’YMCA, la citoyenneté est le fait pour une personne, une famille ou un groupe d’être reconnu comme membres d’une cité (aujourd’hui d’un Etat) nourrissant un projet commun auquel ils souhaitent prendre une part active. La citoyenneté comporte des droits civils et politiques et des devoirs civiques définissant le rôle du citoyen dans la cité et face aux institutions.
Le programme S2C vise à construire les compétences civiques des jeunes qui disposeront alors de la voix, de l’espace, et des capacités nécessaires pour influencer les prises de décisions leur concernant : [14]

– Voix : Habiliter les jeunes à identifier leurs droits et leurs besoins afin de les exprimer en leurs noms et aux noms de leurs pairs avec dignité, pour être écoutés avec respect ;
– Espace : Créer des espaces pour que les jeunes puissent s’exprimer, mais surtout créer une visibilité pour les jeunes et les positionner dans les sphères de décision politique.
– Capacités à influencer : Habiliter les jeunes et à analyser les conditions dans lesquelles ils vivent ; de formuler des recommandations pour les améliorer et de persuader les autorités et les décideurs à mettre en œuvre ces recommandations.
Le processus S2C accompagne les jeunes à partir de leurs états de sujet vers un statut de citoyens engagés connaissant leurs droits et ayant conscient de leur rôle et responsabilité au niveau de la société. Cela implique les activités de formation, d’accompagnement, de coaching, de mentoring, et l’action de promotion pour l’habilitation des jeunes à la vie civique dont la participation et l’engagement du citoyen. [15]

CADRAGE METHODOLOGIQUE

Dans ce chapitre, nous avons évoqué le cadrage méthodologique qui contient l’approche théorique et les techniques utilisées.

Cadrage théorique

Sur le cadrage théorique, nous allons aborder le concept de développement.

Concept de développement

Généralité sur le développement

Le concept de développement est polysémique, il évoque plusieurs dimensions à la fois théorique et même idéologiques. La définition du concept de développement est très diversifiée et se heurte parfois à des versions quelque peu divergentes. Mais d’une façon générale, on peut définir le développement comme étant un processus politique, social et économique cohérent et harmonieux engendrés un état de vie, d’être et de pensée favorable à l’amélioration durable et désiré des conditions de vie ; et tout ceci se caractérisant et s’appréciant par rapport à des références communément admises8.

Le PNUD étant des organismes internationaux qui assurent le développement mérite d’être considéré pour l’attribution de la définition du mot « développement ».
Ainsi le Programme des Nations Unies pour le développement définit le développement comme le fait « d’élargir l’éventail des possibilités offertes aux hommes ».Cette définition est inspiré de la théorie des « besoins essentiels (ou élémentaires) » créée dans les années 1970 au sein du BIT. Le développement y est caractérisé par la disponibilité d’un minimum de biens pour assurer la suivie (alimentation, habillement, etc.) et de services de base comme la santé ou l’éducation9.
Selon la définition proposée par l’UNICEF : le développement est la satisfaction des besoins de l’être humain (santé, nutrition, habillement, logement et éducation)10.

Selon le socio-anthropologue SARDAN, La socio-anthropologie considère « le développement » comme une forme particulière de changement social, qu’un ensemble complexes d’intervenants (ONG, agences nationales ou internationales,..) cherche à impulser auprès de « groupes-cibles », eux-mêmes divers et évoluant selon les dynamiques propres11.
Cette approche peut contribuer, pour une part modeste, mais réelle, à améliorer la qualité des services que les institutions de développement proposent aux populations, en permettant une meilleure prise en compte des dynamiques locales.

Développement endogène

Définition du développement endogène selon KATE YOUNG

Selon KATE YOUNG, le développement endogène est un développement procédant des aspirations des peuples choisissant d’accéder à une forme d’existence supérieure en fonction de leur idéaux de la représentation qu’ils se font d’eux même et les potentialités que leur offrent l’espace physique et culturel12.

Définition opérationnelle du développement endogène

Le développement endogène est une conception du développement basé sur les ressources disponibles localement, notamment les savoirs, les expériences, les cultures et le leadership local. Il prend en compte la manière dont les populations se sont organisées localement et ont appris à vivre dans leur environnement, avec l’ouverture nécessaire pour intégrer les connaissances et les pratiques extérieur. Il inclut les systèmes d’apprentissages et d’expérimentation historique générés localement, en vue de la satisfaction des besoins ressentis par les populations, et projette de construire des économies locales et suffisamment ouvertes pour permettre d’y retenir l’essentiel des bénéfices.

Le développement endogène vise à rendre les populations responsables de leur destin commun, de leur insertion dans des ensembles régionaux plus étendus, et des opportunités qu’elles offrent localement à travers cinq dimensions qui sont la recherche, l’échange, l’expérimentation, la capacitation et la capitalisation :
– Améliorer les connaissances et les pratiques locales dans le sens de la réalisation progressive des droits humains
– Promouvoir une utilisation sélective des ressources externes,
Renforcer les échanges entre les cultures et la solidarité dans le sens de la réalisation progressive des droits humains
– Assurer le contrôle local sur les options de développement
– Générer localement et retenir les retombés du développement pour le bénéfice des populations locales13.

Développement intégré

– MORIZE (1992) avance que « le développement intégré est un développement logique et rationnel, visant dans un but de croissance ; tous les aspects qui dépendent les uns des autres, de manières à n’oublier aucune des conditions nécessaire à ce développement »14.
– Le développement intégré a alors une vision globale et systémique dans les approches, contrairement à l’approche sectorielle.
– En effet, le développement intégré, global ou systémique considère le milieu d’intervention comme un système c’est-à-dire comme « un ensemble d’élément interactifs, organisés et finalisés » (BOUKHARI, cours 2009).
– Selon KATE YOUNG, le développement intégré est le développement cohérent qui permet d’améliorer les conditions de vie des hommes et de leur institution. Il concerne le développement quantitatif et qualitatif. A l’exemple du développement de l’homme dans toute sa dimension15.

Développement participatif

Le développement participatif basé sur le principe de l’approche participatif sous-entend une vision du développement qui a accordé une place privilégiée à l’implication des populations à la définition des problèmes locaux, à l’identification des solutions et à leur mise en œuvre, à fin de contribuer à donner plus d’efficacité et de durabilité aux programmes qui en résultent.

C’est dans ce sens que BOUKHARI (1995) affirmé que « le principe fondamental de la participation : c’est le partage de savoir et de pouvoir ». Il continue en disant que « dans une approche participative, la population n’est pas un gisement d’information, mais un partenaire avec qui il faut échanger et partager l’information utile ». « …la participation, c’est penser et faire avec et non pour, c’est la responsabilisation, la concertation et la négociation »16.L’émergence de ce concept en Afrique à la
fin des années 1970 (début 1980) découle du constat des limites de la stratégie de développement adoptées aux cours des deux premières décennies des périodes post coloniales

Ces approches qui étaient centralisées et verticales, ne laissaient aucune place à une participation des populations aux processus de prise de décision. Au contraire, l’Etat s’est positionné comme étant une mesure de définir lui-même les besoins de population et de décider des actions nécessaires pour les satisfaire, alors que le « le seul moyen de réussir une politique c’est d’en confier la réalisation à ceux qui ont intérêt qu’elle réunisse » (Muller 1992). Avec une vision globale de l’OCDE(1989) précise que organisations locales, une plus grande autonomie administrative, le respect des droits de la personne humaine, y compris les systèmes juridiques efficaces et accessibles : « le développement participatif suppose davantage de démocratique un plus grand rôle pour les organisations locales»17.
L’approche participative de développement locale insiste sur l’existence de la participation de la responsabilisation des populations dans toutes les actions de développement. Le concept participatif est à l’origine de préoccupation actuelle de la prise en compte locale.
Depuis la fin des années soixante, selon M. Secket D’AQUINO la conception de démarche participative a connu un développement important. Même si l’idée n’est en soi pas nouvelle elle a acquis un droit international de cités les dernières dans toutes les institutions internationale du développement affirme LARAREV (1993) cité par SECK. Dépassant le sens strict des approches participatives stricto sensu (PAR Participatory-Action-Research, PRA Participatory-Rural-Appraisal, MARPP Méthodes Active de Recherche et de Planification Participative). Ce concept est maintenant à la base de la plupart des méthodes et des outils mis au point.

Ces dernières décennies pour l’appui au développement (recherche- développement, développement locales, gestion des ressources naturelles …) qu’ils s’en réclament explicitement ou pas. BAJEDDI (2002) suivant la même idée soutient que l’approche participative est une approche de concertation , d’ajustement continu et des compromis contractuels qui accompagne une action de développement rurale depuis la gestation de base , et qui entre dans les mœurs de la population bien au- delà d’une première tentative. C’est une succession de pratiques dictées par des impératifs temporels spécifiques et définies à travers un vécu réel sur les terrains.
Quant à TREMBLAY cité par Cherif (2008), il estime que l’approche participative du développement local repose sur une démarche volontaire d’acteurs se réunissant sur un territoire à la taille humaine pour envisager l’avenir de leur territoire. Cela en prospective avec d’autres niveau d’administration et d’autres d’échelons politiques de la Nation. C’est une vision du local dans le global qui voit le territoire comme un système de relation avec d’autres systèmes et d’autres acteurs .Pour cet acteur, les acteurs ouvrent à l’amélioration des conditions de vie de leur population, ce qui passe, notamment par le développement des activités de production, de la santé, de l’éducation et l’approfondissement de la démocratie et la gouvernance locale.
Du point de vue juridique, l’ONU dans son article 1 de la déclaration sur le droit au développement de l’assemblée générale du 04 Décembre 1986, stipule que « le droit au développement est inaliénable de l’homme en vertu duquel toute personne humaine et tous les peuples ont le droit de participer et de contribuer à un développement économique, social, culturel et toutes les libertés fondamentales puissent être pleinement réalisé et bénéficier de ce développement ».

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
1. Généralités
2. Motif de choix du thème et du terrain
3. Question de départ
4. Objectifs
5. Limites de la recherche
6. Annonce du plan
CHAPITRE I : PRESENTATION DU TERRAIN
I-1. YMCA
I-1-1. HISTORIQUE DE L’YMCA
I-1-1-1. Au niveau international
I-1-1-2. Au niveau national
I-1-2. CADRE JURIDIQUE
I-1-3. VISION-MISSION ET OBJECTIF D’YMCA MADAGASCAR
I-1-3-1. Vision partagée
I-1-3-2. Mission
I-1-3-3. Objectif
I-1-3-4. Ambition
I-1-4. SIEGE SOCIAL
I-1-5. PARTENAIRES TECHNIQUES DE L’YMCA
I-1-6. BAILLEURS DE FONDS DE L’YMCA
I-2. PROJET « HABILITATION SOCIO-ECONOMIQUE DES JEUNES VULNERABLES DANS LES
REGIONS D’ANALAMANGA ET ALAOTRA-MANGORO »
I-2-1. BUT ET OBJECTIFS DU PROJET
I-2-2. SITES DU PROJET
I-2-3. CIBLES DU PROJET
I-2-4. RESULTATS ATTENDU PAR LE PROJET
I-2-5. MODE DE SELECTION DE LA CIBLE
I-2-6. LES FORMATIONS DONNEES PENDANT LE PROJET
I-2-7. LES FILIERES EXISTANTES
I-3. PROGRAMME DE L’YMCA
I-3-1. Programme économique
I-3-2. PROGRAMME DE SANTE
I.3-3. PROGRAMME DE CITOYENNETE
Chapitre II : CADRAGE METHODOLOGIQUE
1. Cadrage théorique
1-1.Concept de développement
1-1-1.Généralité sur le développement
1-1-2.Développement endogène
1-1-2-1. Définition du développement endogène selon KATE YOUNG
1-1-2-2.Définition opérationnelle du développement endogène
1-1-3.Développement intégré
1-1-4. Développement participatif
2. Etapes de la recherche et techniques utilisées
2-1.Exploration
2-1-1. Technique non vivante : documentation
2-1-2.Techniques vivantes
2-1-2-1.Observations
2-1-2-2. Entretiens exploratoires
2-2.Problématique
2-2-1.Implication de l’approche systémique
2-2-1-1.Définition
2-2-2-2.Concepts
2-2-2-2-1. Le système
2-2-2-2-2.La complexité
2-2-2-2-3. La globalité
2-2-2-2-4.L’interaction
2-2-2-2-5.L’information
2-2-2-2-6. La finalité
2-2-2-2-7. La rétroaction
2-2-2-2-8.Causalité circulaire
2-2-2-3. Les outils
2-2-2-3-1.La triangulation systémique
2-2-2-3-2.Le découpage systémique
2-2-2-3-3.L’analogie
2-2-2. Position du problème (Question de recherche)
2-2-2. Hypothèses
2 -3.Vérification
2-3-1.Echantillonnage
2-3-2. Enquête par questionnaire
CHAPITRE III : L’ASSOCIATION YMCA : PROMOTEUR DE PARTICIPATION AUX ACTIVITES DE DEVELOPPEMENT
1. Participation sur l’augmentation de technique
1-1.Participation à la donation des formations professionnelles
1-2.Participation sur la technique de vie
2. Participation au développement du secteur d’activités
2-1.Secteur d’activités pour un projet habilitation socio-économiques
2-2.Participation au développement de productivité
CHAP IV : PROJET HABILITATION SOCIO-ECONOMIQUE DES JEUNES VULNERABLES : IMPACTS SOCIO-ECONOMIQUES ET FACTEURS DE BLOCAGE
1. Impacts socio-économiques
1-1.Impacts positifs
1-1-1. Sur la santé
1-1-3.Sur le plan économique
1-1-4. Autres activités
1-1-5. Autonomisation des jeunes sur le plan socio -économiques
1-1-6.Sur la société
1-1.Impacts négatifs du projet
2. Facteurs de blocage du projet
2-1. Facteurs de blocage culturels
2-2-1.Mentalitédes jeunes
2-2-2. Niveau d’instruction
2-2-3. Abandon scolaire
2-2. Facteurs structurels du blocage
2-2-1. Sur les matériels et équipements
2-2-2. Sur l’association YMCA
2-2-3. Sur le produit des jeunes
CHAP V : EVALUATION DE L’ASSOCIATION
1. Evaluation de l’association
1-1. Forces
1-2.Faiblesses
1-3 : Opportunités
1-4.Menaces
1-5. Synthèse
1-6. Vérification des hypothèses
1-7.Reprise synthétique
CHAPITRE VI : APPORTS DE STAGE
1. Personnel
1-2. Professionnel
1-3. Relationnel
CHAPITRE VII : RECOMMANDATIONS : POUR UNE PROMOTION DE L’AUTO EMPLOI
1. Recommandations
1-1.Pour l’Association
2-2 : Pour les jeunes
2. Promotion à l’auto-emploi
2-1.Généralité de l’auto-emploi
2-2. L’auto-emploi et l’entrepreneuriat
2-3. L’auto-emploi et l’Etat
2-4. Intérêt
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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