PROJET D’ENTREPRISE DE MULTIMEDIA

Condition minimale de rentabilité de financement : Condition de demande

                  En général, dans les pays sous développés à l’instar de Madagascar, la musique et les films sont vraiment important surtout, de le la livrer directement chez les clients (les petits studios qui vente des CD, Les Boutiques). De ce fait, le but de ce présent projet c’est d’éviter l’insuffisance de produit et la hausse de prix du studio dans la région de DIANA. En outre, on envisage de la créer parce qu’on souhaite gagner de l’argent et de bénéfice avec notre firme. En plus, dans la vie de l’entreprise, c’est toujours le bénéfice qui joue un rôle très important. Le problème ici, c’est que chaque entreprise a toujours ses concurrents. chacun rêve d’avoir de l’argent le plus vite que possible mais parfois, on n’a pas de moyens et d’esprit de créativité comme les entrepreneurs ; et on ne fait qu’imiter le projet des autres . Dans ce cas, si le nombre de l’entreprise créer augmente, les clients se subdivisent obligatoirement parce qu’ils ont libre choix d’acheter les produits le plus importants pour eux.
a- Condition de financement : En ce qui concerne l’activité et la création de notre entreprise, il y a des obstacles qui nous empêchent ou la réalisation de ce projet. En effet, nous aurons besoin d’une gros somme d’argent d’Ar 12 000 000 pour la création de cette entreprise. C’est pour le fonctionnement et le démarrage de l’entreprise.
b- Les besoins de financement : Les besoins de financement de l’entreprise ne concernent pas seulement la fonction << Investissement >> mais aussi la fonction << EXPLOITATION>>. En effet, avant d’encaisser le montant des ventes, l’entreprise devra préfinancer en permanence le cycle d’exploitation. Entant qu’entrepreneur, à la réalisation de ce projet, nous savons surtout qu’en gestion financière, une fonction est un regroupement d’opérations comme les suivantes :
Fonction d’exploitation : opération correspondant au métier de l’entreprise, à l’activité proprement dite.
Fonction d’investissement : opération permettant de maintenir et de développer l’outil de production
Fonction de financement : opération consistant à faire face au besoin des deux autres fonctions.
De ce fait, nous devrons faire un crédit bancaire tout en essayant de prendre un maximum de risque. En plus on doit jouir d’une assurance comme <> pour notre projet ROVIOMS. Mais Le plus important pour le développement de ce projet c’est de mettre un réseau de distribution partout dans les régions. En fait, au cas où l’entreprise tomberait en faillite, nous pourrions payer les charges par la réserve qu’on a prélevée à chaque répartition de bénéfice. Par contre, si on n’arrive plus à les payer, nous pourrons faire un crédit de la même valeur que celle des biens de l’entreprise. Donc, dans la mesure où on ne pourrait payer les banques, les biens de la firme pourrait liquider nos dettes.

Réactivités potentielles les du milieu

-REACTION FAVORABLE
-SI NON TROP DANGEREUX
Presque tous les habitants de la commune Urbaine de Diego Suarez sont d’accord avec notre projet et nous admirent pour sa création parce qu’actuellement, à Madagascar, à n’importe quelle saison, le prix de CD au marché ne cesse pas d’accroitre ; de plus les Malgache se cumulent de prix du Studio. Les artistes nous apprécier notre projet parce qu’ils ne se déplaceront plus pour vendre leur produits, ainsi que le magasin et les grossistes En fait, nos avantages dans ce projet c’est d’avoir un prix moins cher si on achète directement la marchandise chez<< DIEGO POWER POINT>>

Négocier les conditions de réalisation du système d’opportunité

             Après la négociation que nous avons réalisée auprès de quelques établissements, elle nous a permis de nous aider à la rentabilité de notre entreprise. En plus, on peut alléger les charges de l’entreprise. Le résultat de la négociation nous montre donc une marge importante comme les suivants : Négociation avec les clients : pendant la saison de pluies, on doit augmenter le prix car, à ce moment, les artistes ne peuvent pas faire des tournés, du bal à la campagne et c’est l’occasion de rester dans un studio : 15 000 Ar au lieu de 10 000 Ar / heure comme de la saison sèche. En effet, cette négociation est a réussi. Ils ont accepté et promis de nous être fidèles. Négociation avec l’administration : Selon les enquêtes faites auprès du service Provincial de Grande entreprise (SPGE) à Antsiranana, la vente de CD, par disposition de la loi, est hors du champ d’application de taxe sur la (TVA). Négociation avec les employés ; durant l’entretien avec un candidat, nous lui avons avisé son que ses salaires reste toujours constant pendant deux ans parce que toute entreprise se trouve toujours une difficulté au début de sa création. Après cette négociation on a constaté que tout le monde était d’ accord et a accepté la proposition.

Explication

                   Pour la ville de DIEGO I : le pourcentage des boutiques qui vendent de CD, qu’on considère comme nos clients ont atteint 85% parce qu’ils ne veulent pas se déplacer chez les artistes pour la simple raison d’éviter les frais de déplacement. C’est ainsi qu’ils nous sont fidèle.
-Pour les grossistes et les magasins qui vendent du CD : le pourcentage est élevé jusqu’à 90% pour la même raison que celle des boutiques.
-Pour les gens : le pourcentage s’abaisse à 25% parce que la majorité des habitants de Diego I sont considéré en même temps comme nos clients et des clients de nos clients. Pour la ville de Diego II : le pourcentage des boutiques s’abaisse à 7% parce qu’elles habitent presque auprès des gens artistes. C’est ainsi qu’elles ne nous intéressent pas trop.
-Pour les grossistes, les DJ, les kiosques : le pourcentage est de 0%, par ce qu’ils n’existent pas encore. Les gens de DIEGO, eux non plus ne nous intéressent pas, parce qu’ils ont presque ont leurs petit studio d’enregistrement. Pour la ville de NOSY-BE : le pourcentage se diminue jusqu’au 10% pour les petite boutiques parce que si nous leur notre produit, nous devons mentionner le frais de transport. C’est ainsi qu’elles ne nous intéressent pas trop : parce qu’elles non pas voulu payer.
-Pour les grossistes et magasins, même si on leur a mentionné le frais de transport, elles ont accepté parce qu’elles sont rares à NOSY-BE.
-Pour les habitants, le pourcentage s’abaisse à 0%, toujours pour la même raison que celles des boutiques.
Pour la ville d’AMBANJA : le pourcentage des boutiques diminue jusqu’à 10% parce que, à AMBA NJA, leurs artistes eux même se déplacent à la livraison de leurs produits avec des prix moins élevés ; donc les boutiques restent toujours sur place et elles ne nous intéressent pas.
-Pour les grossistes et les magasins : le pourcentage s’abaisse à 35%, car elles vont chez les artistes, de ce fait donc le coût du transport est plus élevés par rapport au nôtre. Bref, elles ne s’intéressent pas trop à nous.
-Pour les habitants d’Ambanja : le pourcentage s’abaisse aussi à 0%, parce que les artistes vendent à des prix moins cher que le notre ; et nous, on est toujours obligé de mentionner le frais de transport ; par contre les artistes font des livraisons de leur produit à Ambanja. Par conséquent ils n’ont pas besoin d’ajouter les frais de transport à leur produit. Pour la ville d’AMBILOBE : le pourcentage reste 25% pour les boutiques, parce que notre concurrent s’affaiblit doucement là-bas. Même si elles se déplacent, mais leur frais de transport est moins cher que le nôtre.
-Pour les grossistes et les magasins : le pourcentage augmente jusqu’à 55.25%, pour la même raison que celles des boutiques, par contre elles ne se déplacent pas. C’est ainsi qu’elles sont plus ou moins fidèles à nous.
-Pour les habitants : le pourcentage augmente un peu de 15%, du fait que la force de nos concurrents est plus ou moins faible.
b- Analyse interne : Dans une entreprise, l’analyse est un outil d’aide nécessaire et non seulement l’analyse externe mais aussi analyse interne de l’entreprise. L’analyse interne repose sur :
-Le prix,
-Le mode de distribution
-L’information,
-Le système de contrôle.
Le prix et le produit : Les copules prix et produit sont deux termes inséparables, c’est grâce au prix et à la qualité de la circonstance économique du produit que les clients s’efforcent à acheter notre produit. A ce propos, notre prix dépend du moment où la situation est scabreuse ; le prix des produits est en hausse. Dans ce cas, le prix de nos produits se fonde sur le climat :
-la saison de pluie,
-la saison sèche.
La mode de distribution : C’est une façon de livrer ou de distribuer les produits en mains propres aux clients. Ici, le système c’est de livrer les produits à domicile afin d’attirer la fidélité des clients. Ce système est applicable à tous les clients qui veulent acheter 1000 CD « originale » par mois. Et ce système pourrait aussi attirer des autres clients car ceux qui sont bien servis pourrait en aviser les autres.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
I.CONCEPTION DU PROJET
I.1.IDENTIFICATION DU SYSTEME D’OPPORTUNITE
I.1.1. Intérêt des clients et leurs conditions
l.1.1.. LA PUBLICITE
I.1.1.a. TARIF PUBLICITAIRE
I. 1.2. Unité de production
I.1 .3. La valeur ajoutée
I.2. EVALUATION DU SYSTEME D’OPPORTINUTE
I. 2. 1. Conditions minimales de rentabilité de financement
a. Condition de financement
b. Les besoins de financement
I.2.2 Les appuis et les leviers du système d’opportunité
I.2.3 Les risques du projet et les mesures de prévention
I.3. LA VULNERABILITE DU PROJET
I.3.1. La rentabilité de la demande et la volatilité
I.3.2. impotence et l’intensité de la concurrence
I.3.3. Réactivités potentielles du milieu
I.3.4. Présentation de l’organigramme de ROVIOMS PROD
1.3.5. La structure du projet
I.4.NEGOCIER LES CONDITIONS DE REALISATION DU SYSTEME D’OPPORTINUTE
DEUXIEME PARTIE
II.LA REALISATION DU PROJET
II.1. LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONDITION DE FAISABILITE DU PROJET
II.2.SEGMENTATION STRATEGIQUE DE L’ENTREPRISE
II.2.1.Stratégie de l’entreprise
a. Etude sur la notion de marché
b. Différenciation de la fréquence d’achat
c. Selon le type de production
d. Selon les types de clientèle
e. Les intervenants sur le marché
II.2.2. Les études de marché
a. La recherche de l’information
b. La diversité des études
c. La segmentation du marché
II.2.3.La politique de production de ce projet
a. La potentielle de produits
b. La stratégie du projet
II.2.4.La politique de prix de la société
a. En fonction de coût
b. Par rapport à la concurrence
II.3.4.Planning de production et vente pour la première 2013
II.3.5.Prévisions annuelles durant les dernières années consécutives
II.3.6.Appointement et salaire
II.3.7.Les emprunts en moyen terme
TROISIEME PARTIE
III.1.COMMUNICATION
III. 1.1.La forme de communication
III.1.2.Les objectifs et les différents types de réunion
III.2.PLAN DE DEMMAGE
III.2.1.Le recrutement du personnel
III.2.2.Budgets des achats
III.2.3.Budgets des ventes
III.2.4. Budgets de décaissement sur achat
III.2.5. Budget de décaissement sur vente
III.2.6.Budget de décaissement sur autres charges
III.2.7.Budgets de TVA
III.2.8.Budgets de trésorerie
III.2.10.Bilan d’ouverture au 1er Mai 2013
CONCLUSION
Tableau des abréviations
Bibliographie

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