PROJET DE CREATION D’UNE UNITE DE RESTAURATION ET HOTELLERIE

Problème politique socio-économique

                      Avec un réseau de pistes ramifiées à partir de la RN 4 qui la traverse, la région bénéficie d’un réseau routier relativement bien servi avec une entière praticabilité des pistes en saison sèche comme en saison de pluie. Le système d’enseignement de la région est caractérisé par un faible niveau d’équipement en infrastructures et par ses très faibles rendements. L’apport important du secteur privé a heureusement compensé le déficit en infrastructures. La situation s’est certainement améliorée ces dernières années. Plusieurs organismes tels que le FID, l’AIDE ACTION interviennent dans la réhabilitation et la construction des écoles primaires. Quoi qu’il en soit, l’insuffisance du personnel enseignant et la détérioration des conditions de vie en milieu rural restent un facteur de blocage au développement de l’enseignement dans les zones rurales enclavées. La couverture sanitaire reste faible et des régions entières demeurent à l’écart des efforts en matière de santé. Les formations sanitaires sont inégalement réparties à l’intérieur des communes. Sur 75 communes de l’ensemble de la Région, 2 communes n’ont pas de formation sanitaire dont une dans la sous-préfecture d’Ambato-Boéni et une dans la souspréfecture de Maevatanàna. L’ensemble de la Région compte 172 formations (CSB1, CSB2, CHD 1, CHD2) publiques et privées, 143 sont fonctionnelles soit 83 % de l’ensemble. En général, les formations non fonctionnelles sont surtout des formations sanitaires publiques. La répartition en Districts Sanitaires ne correspond pas obligatoirement à la division administrative en sous-préfectures. La mise en place de CHD II dans les régions enclavées telles que Ambato-Boeni, Mitsinjo, Tsaratanàna, Soalala est une nécessité impérieuse. L’approvisionnement en eau constitue un problème crucial pour la population hors ville. Elle s’approvisionne aux rivières, aux canaux d’irrigation, aux lacs et aux marécages, d’où la propagation de maladies hydriques. La ville de Mahajanga assure diverses fonctions politico administratives, économiques et commerciales. Les Ministères et beaucoup de sociétés commerciales y sont représentés par un service décentralisé. Les projets, les ONG, les collecteurs, grossistes et transporteurs qui y résident, étendent leurs rayons d’actions sur l’ensemble de la région. Par contre, le chômage est encore un des problèmes les plus importants dans cette région, ce qui gonfle le problème d’exode rural.

Situation de l’offre locale

                      D’après une enquête que nous avons réalisée dans la région de Boina, la situation de l’offre globale en matière de service comme hôtel-restaurant, est encore insuffisante vu l’évolution du nombre de touristes qui s’intéressent à la beauté des paysages et de notre plage, même pendant la basse saison, l’arrivée des touristes peut être chiffrée à 32 550 alors que la ville de Mahajanga ne dispose que 920 capacités d’hébergement (Office Régionale du Tourisme de Mahajanga). Nous pouvons donc dire que la demande est encore largement supérieure à l’offre. Les chambres sont au nombre de 30 dont 6 de « privilège » bénéficiant d’un confort et d’un espace plus importants. Toutes les chambres sont dotées de matériels de climatisation, disposent d’un mobilier précieux et de décorations de luxe typiquement malagasy (meubles en bois précieux sculpté ou en marqueterie, tapis Mohair,) et sont équipées de télévision avec canal satellite direct), minibar, coffre fort électronique et salle de bain avec baignoire. La firme dispose également d’une grande salle polyvalente, des boutiques et surtout des équipements de loisir pour les enfants que pour les adultes : espace récréatif, piscine avec eau de mer et eau douce mélangées. Les touristes peuvent combiner sport et aventure au cours de plongées sous-marines (avec équipements pour dix personnes) accompagnées de vedette rapide du centre, c’est surtout dans le but d’apprécier la beauté des réserves de biosphère de la côte sud malagasy. Le restaurant offre une gamme très intéressante : cuisine malagasy, européenne et orientale. La grande salle a une capacité d’accueil de 120 personnes, elle est munie d‘un espace-Bar fourni de différentes boissons alcooliques ou non (boissons Star, les produits de Djamanjary, ainsi que ceux de Lazan’i Betsileo, et d’autres importées comme les Champagnes, etc…). Nous allons aussi organiser des banquets dans notre espace loisir au bord de  la piscine, 2 fois par mois en basse saison et 8 fois pour la haute saison et ils seront toujours animés par des artistes folkloriques de la région environnante. C’est à ce moment important, que le client sentira à la fois la richesse culturelle de la région et la convivialité de la nature.

La politique de communication

                    En réalité, la politique de communication est tellement importante, car c’est le moyen permettant de vendre les produits et de ce fait, de réaliser le maximum de chiffres d’affaires. L’influence grandissante d’Internet contribue à accroître la réputation de Madagascar mais cela concerne toutes les autres destinations touristiques. La communication est importante pour que le public soit informé et convaincu à visiter le centre. Les politiques de communication envisagées sont la publicité et la promotion. En effet, nous avons opté pour la publicité suggestive : elle va informer et convaincre à la fois les clients afin de lancer la destination au Centre. Il y a aussi la relation publique. Afin de promouvoir la destination dans la région et plus particulièrement la découverte et l’attraction du grand public à visiter le Centre et ses merveilles, nous avons recours à la technique de « couverture grand public ». Cette stratégie a pour objet de toucher la clientèle potentielle par le biais de la participation à des foires touristiques, aussi bien nationales qu’internationales.
 La collaboration avec les Tours Opérateurs aussi bien au niveau national qu’international et avec les groupements des opérateurs touristiques: Go To Madagascar, F.H.O.R.M. (Fédération des hôteliers et Restaurateurs de Madagascar), Office régional de tourisme (ONTM).
 Insertion des articles et photos du centre à des magasines ou des revues de presse nationales et internationales notamment à des presses qui font des promotions à l’étranger.
 Distribution des brochures, des calendriers, des prospectus pendant les salons … dans le but de maintenir à l’esprit du public l’existence du centre et ses produits.
 Elaboration d’un site web en faveur du centre avec toutes les rubriques nécessaires pour lancer la communication avec les clients intéressés: Ce site facilite l’accès à distance des clients surtout étrangers, pour connaître les informations du centre, pour le paiement à distance des frais de réservation.
L’identification du projet, objet de la première partie, a donné un aperçu sur le projet et a permis de situer le projet dans un contexte environnemental (géographique, physique et écologique….). Nous avons pu, par la suite, dégager ses diverses caractéristiques ; tout en analysant la place qu’il peut occuper sur le marché après avoir visualisé l’état de la demande et de l’offre sur ce marché, mais il nous faut maintenant dans la deuxième partie lui attribuer toutes les ressources nécessaires à son fonctionnement et voir comment nous allons allouer ces ressources en tenant compte évidement de leur capacité pour prévoir déjà le niveau de production envisagé, destiné à satisfaire la demande prescrite par la prévision de vente.

La qualité des services

                       La qualité de service du centre doit suivre les normes et les conditions prédéfinies au code du tourisme Malagasy. Ce code décrit l’aspect matériel et immatériel selon la catégorie des hôtels-restaurants. La qualité du personnel est en rapport avec la qualité du service offert :
 Le’ personnel doit avoir une qualité morale et intellectuelle nécessaire ;
 Le personnel doit faire preuve de patience de maîtrise, d’amabilité et de diplomatie.
 De plus il doit être méthodique, précis, ayant une capacité d’exécution rapide et minutieuse.
 l’accueil des clients représente la première et dernière image du centre. Le savoir-faire et la bonne manière du réceptionniste sont très importants allant du portail jusqu’à l’enceinte du centre.

CONCLUSION GENERALE

                     Madagascar fait partie des pays du monde présentant une méga biodiversité dans laquelle 80% des espèces végétales sont endémiques. Le secteur tourisme à Madagascar possède les potentialités pour attirer les investisseurs vers une gamme plus élevée d’hébergement et de services pour générer des investissements en infrastructure qui peuvent profiter aussi à d’autres secteurs et aux communautés, et développer ainsi l’économie de Madagascar. De façon générale, la demande touristique pour Madagascar est caractérisée par les loisirs, les visites chez des amis ou des parents et un petit nombre de voyages d’affaires. La raison principale est basée sur le tourisme à intérêt spécial, comme l’indique le sondage de la Banque mondiale, surtout le tourisme nature, sports et aventure et le tourisme de plage. La plus grande partie du tourisme à Madagascar se base sur les ressources naturelles, et l’écotourisme, le tourisme de nature est utilisé de façon égale. Mais le plus grand problème se pose au niveau de la capacité d’hébergement et de la qualité de service. Parfois nous assistons à un encombrement de l’hôtel et il y a un bon nombre de visiteurs qui vivent sous la tente faute de chambres disponibles. Voilà pourquoi, nous avons décidé de concevoir ce projet à Amborovy- Ampazony dans la région de Mahajanga à cause de sa potentialité en matière de destination touristique et de sa richesse en biodiversité, en soleil et en plage. Pour Madagascar, le secteur touristique joue un rôle prépondérant dans le cadre du développement économique. Il ouvre sa relation avec l’extérieur depuis l’année 1982. Notre unité contribue à la promotion de la conservation de l’environnement. Tout au long des dix exercices, l’entreprise dégage des bénéfices par la combinaison des facteurs de production et cela nous facilite énormément à acquitter les dettes envers la banque. De plus ces bénéfices constituent aussi à l’entreprise des économies pour améliorer de mieux en mieux sa situation sur le marché et aussi pour engager d’autres activités profitables. Vu la réussite de ce projet, nous pouvons dire que le secteur tourisme à un avenir durable et meilleur dans le développement économique et social à Madagascar parce qu’il contribue à la formation de la valeur ajoutée et du Produit Intérieur Brut. Au niveau social, les emplois générés par le développement de ce secteur ne doivent pas être négligés dans un contexte où le sous-emploi prédomine. Le développement du secteur exerce également des effets d’entraînement sur les autres branches de l’économie, soit de façon directe par l’intermédiaire des investissements ; soit de façon indirecte grâce au revenu distribué aux ménages qui permet d’améliorer le pouvoir d’achat de ces derniers. Toutefois, des problèmes non négligeables peuvent entraîner des contraintes ou d’ériger en obstacles à sa réalisation. Nous citons en particulier :
 Le manque de formation technique des responsables au respect de la normalisation de la qualité et de la quantité qui implique à la non maîtrise du projet ;
 Le manque de moyens de communication et de partenariat pour faire connaître Madagascar dans le monde.
 Le tourisme sexuel
 Le manque d’infrastructure de liaison
La réalisation de ce projet est donc conditionnée par les solutions suivantes :
 L’intervention de l’établissement financier au projet du développement du secteur tourisme. Une bonne gestion serait évidemment indispensable afin de dégager des résultats positifs ;
 La recherche d’assistance technique et d’information pour le personnel ;
 L’amélioration des infrastructures de liaison ;
 Et surtout l’appui technique du Ministère de la culture et du tourisme et de l’Office Malgache du Tourisme serait un atout majeur pour le développement rapide de l’unité.
A l’heure où la mondialisation de l’économie est le contexte qui prévaut, la réalisation des projets ressemblant à celui que nous avons exposé est un défi surtout pour un pays en voie de développement, et nous encourageons tous ceux qui ont les moyens d’investir dans la réalisation du présent projet.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: IDENTIFICATION DU PROJET 
CHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJET 
SECTION 1 : HISTORIQUE DU PROJET
1.1. Généralité sur la situation géographique
1.2. Problème politique socio-économique
1.3. Les principales activités
1.3.1. Hôtellerie
1.3.2. Restauration
1.4. Forces et faiblesses, opportunité et menace
SECTION 2 : CARACTERISTIQUES DU PROJET
2.1. Nature du projet envisagée
2.2. But et objectif du projet
2.3. Intérêt du projet
SECTION 3 : IDENTIFICATION SOCIALE
SECTION 4 : CADRE LOGIQUE
CHAPITRE II : ETUDE DE MARCHE ET ASPECT MARKETING DU PROJET
SECTION 1 : ETUDE CONCURENTIELLE
1.1 : Description du marché
1.1.1 : Domaine d’étude
1.1.2 : Situation actuelle du marché
1.1.3. Part du marché visé
1.2 : Analyse de l’offre
1.2.1. Situation de l’offre locale
1.2.2. Les concurrents
1.2.2.1. Les concurrents sur place
1.2.2.2. Les concurrents nationaux
1.2.2.3 : les concurrents externes
1.2.2.4. Forces et faiblesses des concurrents
1.2.2.5 : Les avantages concurrentiels
1.3 : Analyse de la demande
1.3.1. Situation globale de la demande
1.3.2. Evolution annuelle des arrivés des touristes à Madagascar
1.3.3. Estimation de la demande dans la région
SECTION 2 : STRATEGIE ET POLITIQUE MARKETING ENVISAGEE
2.1. Les stratégies marketing à adopter
2.1.1. La stratégie pull
2.1.2. La stratégie push
2.2. Marketing-Mix
2.2.1. La politique de produit
2.2.2. La politique de prix
2.2.3. La politique de distribution
2.2.4. La politique de communication
DEUXIEME PARTIE: CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : TECHNIQUE DE REALISATION 
SECTION 1 : LES RESSOURCES A METTRE EN PLACE
1.1. Les ressources humaines
1.2. Les ressources matérielles
1.2.1. Les infrastructure envisagée
1.2.2. Les mobiliers et matériels de bureau
1.2.3. Les matériels et outillages
1.2.4. Les matériels de transport
1.2.5. Les matériels informatique et de communication
1.3. Les ressources financières
SECTION 2 : CARACTERISTIQUE DE L’APPROVISIONNEMENT
2.1. Le mode d’achat à adopter
2.2. Le critère d’évaluation de stock à choisir
CHAPITRE II : CAPACITE D’ACCUEIL ET DE REALISATION 
SECTION 1 : LES DIFFERENTS TYPES DE REALISATION
1.1. La réalisation du service de restauration
1.2. La réalisation du service de logement
1.3 : La qualité des services
SECTION 2 : CAPACITE DE PRODUCTION ENVISAGEE
2. 1 : Classification des clients
2.2. Nombre de clients envisagés
2.3. Évolution de la production et du chiffre d’affaires
CHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLE 
SECTION 1 : ORGANISATION INTERNE ENVISAGE
1.1 Organigramme
1.2. Organigramme choisi
1.3. Répartition des tâches
1.2. Compétences des personnels
SECTION 2 : EVOLUTION DES EFFECTIFS ET CHARGES DE PERSONNEL
2.1. Estimation salariale pour chaque poste de travail
2.2. Charges du personnel
2.3 Politique de motivation
2.4 Chronogramme
TROISIEME PARTIE: ETUDE FINANCIERE SEON LE PCG 2005 
CHAPITRE I : LE COUT D’INVESTISSEMNTS ET FINANCEMENTS 
SECTION 1 : LES INVESTISSEMENTS
1.1. Les immobilisations incorporelles
1.2. Les immobilisation corporelles
1.2.1. Terrains
1.2.2. Agencements et aménagement de terrain
1.2.3. Construction
1.2.4. Matériel et outillage
1.2.5. Matériel de transport
1.2.6. Mobilier et matériel de bureau
1.1.7. Matériel informatique
1.1.8. Autres immobilisations
1.2.8. Récapitulation des immobilisations
SECTION 2 : LES AMORTISSEMENTS DES IMMOBILISATIONS
2.1 Amortissements des immobilisations incorporelles (frais de développement immobilisables, frais de constitution, et brevet et licences)
2.2. Amortissement d’immobilisation corporelle
2.2.1. Amortissements construction
2.2.2. Amortissement d’agencements et aménagement de terrain
2.2.3. Amortissement matériel et outillage
2.2.4. Amortissement de matériel de transport
2.2.5. Amortissement de matériel et mobilier de bureau
2.2.6. Amortissement de matériel informatique
2.2.7. Amortissement des autres immobilisations
SECTION 3 : LE FINANCEMENT DU PROJET
3.1. Le fonds de roulement initial
3.2. Le plan de financement
3.2.1. Le financement interne
3.2.2. Le financement par emprunts
SECTION 4 : TABLEAU DE REMBOURSEMENT DES DETTES
CHAPITRE II : ETUDE DE FAISABILITE ET RENTABILITE DU PROJET 
SECTION 1 : LES COMPTES DE GESTION
1.1. Compte de charges
1.1.1. Achat consommés
1.1.2. Matières et fournitures non stocké
1.1.3. Matières et fournitures consommables
1.1.4. Charges externes
1.1.5. Impôts et taxes
1.1.6. Charges du personnel
1.1.7 Les dotation aux amortissements et provision
1.1.8. Les charges financières
1.2. Compte de produits
SECTION 2 : ETATS FINANCIERES PREVISIONNELS
2.1. Le compte de résultat prévisionnel
2.2. Le flux de trésorerie
2.3. Le bilan d’ouverture
2.4. Les bilans prévisionnels
2.4.1. Bilan prévisionnel de l’année 1
2.4.2. Bilan prévisionnel de l’année 2
2.4.3. Bilan prévisionnel de l’année 3
2.4.4. Bilan prévisionnel de l’année 4
2.4.5. Bilan prévisionnel de l’année 5
CHAPITRE III : EVALUATION DU PROJET 
SECTION 1 : LES OUTILS D’EVALUATION FINANCIERE
1.1. Calcul du Valeur Actuelle Nette (V.A.N)
1.1.1. Définition
1.1.2. Formule
1.1.3. Interprétation
1.2 Calcul de l’Indice de Profitabilité (I.P)
1.2.1. Définition
1.2.2. Formule
1.2.3. Interprétation
1.3. Le taux de rentabilité interne
1.3.1. Définition
1.3.2. Formule
1.3.3. Interprétation
1.4 : Le Délai de Récupération des Capitaux Investis (DRCI)
1.4.1. Définition
1.4.2. Formule
1.4.3. Interprétation
SECTION 2 : LES CRITERES D’EVALUATION FINANCIERE
2.1 La pertinence
2.2 L’efficacité
2.3 L’efficience
2.4 Le cycle de vie du projet
SECTION 3 : EVALUATION SOCIALE
SECTION 4 : EVALUATION ECONOMIQUE
1.1 Contribution au développement régional et national
1.2. Contribution à l’évolution de la valeur ajoutée
1.3. Analyse des ratios
1.3.1. Ratio de facteur travail
1.4.2. Ratio de main d’œuvre
1.2.3. Ratio financière
CONCLUSION GENERALE

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