Situation de la demande actuelle
Des enquêtes ont été aussi réalisées au niveau de la demande. La population de Maromandia et ses environs ont tendances à consommer du poisson séché salé. Le pourcentage de l’autoconsommation est très minime dans cette région. Donc la plupart seront vendue à l’extérieur de ces zones. Le commerce s’effectue surtout vers le Nord : Ambanja, Nosy-Be jusqu’à Diégo et parfois jusque dans la région du SAVA. Notons que la consommation locale et régionale domine sur le marché de cette marchandise. Notre projet sera la première entreprise exportatrice du poisson séché salé implanté dans cette région. Nous focalisons notre déboucher, pour la phase de lancement, vers les îles Comores. La demande dans cette île, durant l’année 2005, est de 105 tonnes et plus. Mais notre offre étant largement supérieure à cette demande qui est de 150 tonnes. Comptonsenvirons dans les 70% de notre offre qui répond à cette demande. Quant à la demande del’année 2005, notre offre présente un surplus de 8% provenant de notre site de référence.Et par rapport à l’ensemble de notre étude et si nous allons les projeter, notre offredépassera jusqu’à 53% de la demande mondiale. Notre société peut acquérir dans les 50%de la part de marché mondiale sans tenir compte des démarches des consommateurs locaux. Avec de faible quantité demandée, les pays asiatiques sont très remarquables en matière de prix. D’après ce tableau, la demande du marché asiatique est plus porteuse et ses bases de commandes seront faciles à honorer. En 2005, leurs demandes étaient en moyenne dans les moins de 30 tonnes environs, ce qui correspond à 20% de notre offre. Seule la qualité exigée par ces pays qui nous préoccupe. Nous pouvons dire que cette fois ci, Madagascar n’est plus considéré comme un pays d’échantillonnage.
L’efficacité du projet
L’efficacité c’est la qualité de ce qui produit l’effet attendu. C’est-à-dire, l’ensemble de toute action nécessaire pour atteindre un but. Le projet est dit efficace si les objectifs sont atteints sans réduire les moyens utilisés. Donc, l’efficacité peut être définie comme ce qui produit l’effet attendu de la population de la région concernant l’exploitation du projet.
Quelques définitions utilisées
Saumurage : ce procédé consiste à placer du poisson dans une solution de sel (chlorurede sodium) et d’eau pendant une durée assez longue pour que les tissus de poisson absorbent une quantité importante de sel ;
Poisson : tous les animaux aquatiques vertébrés à sang froid dont le piscéa, les élasmobranches et les cyclostomes. Les mammifères aquatiques, des invertébrés et les amphibies sont donc exclus. Il convient toutefois de noter que nombreux sont des recommandations formulées ici qui s’appliquent également à certains invertébrés et notamment aux céphalopodes.
Poisson gras : poisson dont la chair contient plus de 2% (par rapport au poids vif) de lipides
Poisson maigre : poisson dont la chair contient 2% au maximum (par rapport au poids vif) de lipides.
Arrimage en vrac : l’entreposage du poisson en vrac dans des parcs à bord du navire.
Eau de mer propre : une eau de mer satisfaisant aux même normes microbiologies que l’eau potable et qui est exempte des substances indésirables.
Nettoyage : l’enlèvement des substances indésirables sur les surfaces ;
Désinfection : l’application à des surfaces nettoyées d’agents et de méthodes chimiques ou physiques satisfaisantes du point de vue sanitaire afin d’éliminer les microorganismes ;
Contamination : la transmission directe ou indirecte des substances indésirables au poisson ;
Salage à sec ou salage en pile : C’est un procédé qui consiste à mélanger du poisson et du sel sec (chlorure de sodium) de telle manière que la saumure qui en résulte ses gouttes ;
Additif alimentaire : toute substance qui n’est pas normalement consommée en tant que denrée alimentaire en soi et n’est pas normalement utilisée comme ingrédient caractéristique d’une denrée alimentaire. Et qu’elle ait ou non une valeur nutritive et dont intentionnelle à la denrée alimentaire, dans un but technologique ou organoleptique, à une quelconque étape de la fabrication, de la transformation, de la préparation, du traitement, du conditionnement, de l’emballage, du transport ou du stockage de ladite denrée, entraîne ou peut entraîner (directement ou indirectement. Son incorporation ou celle de ses devises dans la denrée ou peut affecter d’une façon les caractéristiques de ladite denrée. L’expression ne s’applique ni aux contaminant ni aux substances ajoutées aux denrées alimentaires dans le but d’en maintenir ou améliorer les propriétés nutritives.
Poisson frais : c’est un poisson capturé depuis peu et n’ayant fait l’objet d’aucun traitement de conservation autre que la réfrigération ;
Réfrigération : le procédé qui consiste à baisser la température du poisson de manière qu’elle soit voisine à celle de la glace fondante ;
Durée de conservation : période pendant laquelle le poisson demeure sain et acceptable pour la consommation humaine ;
Salage dans sa propre saumure : procédé dans lequel le poisson est mélangé avec du sel et entreposé dans la saumure, qui se forme par dissolution du sel dans l’eau extraite du tissu cellulaire ;
Sel : ou chlorure de sodium, d’une qualité appropriée et par ailleurs, convenable pour le but auquel on le destine
Poisson salé : c’est un poisson qui a été traité par saumurage, salage à sec, salage en saumure ou par une combinaison de ces traitements pour porter sa teneur de sel au-delà des limites habituelles observées dans le poisson frais ;
Poisson entier : poisson tel qu’il a été capturé, c’est-à-dire non éviscéré ;
Poisson éviscéré : poisson vide de ses viscères ;
Poisson sacrifié : poisson dont les parties charnues ont été entaillées pour permettre une pénétration de sel assez rapide pour éviter l’altération ;
Poisson tranché : poisson ouvert du ventre à la nageoire candale, tout le long de l’arête dorsale
Matériaux appropriés résistant à la corrosion : c’est un matériau étanche, exempt de trous, de crevasses et d’aspérités ; il n’est pas toxique et est insensible à l’eau de mer, à la glace, au mucus de poisson ou à toute autre substance corrosive avec laquelle il est susceptible d’entrer en contact. Sa surface doit être lisse et il doit être capable de résister aux nettoyages répétés, y compris avec des détergents. Cette différente définition provient de codex alimentaire et du code d’usages international recommandé pour les poissons salés.
La nature, qualité et caractéristique des produits
Une étude ponctuelle, durant l’année 2006, montre l’abondance des matières premières dans cette région, avec une capacité de débarquement de 20.880kg des gros poissons pélagiques par pêcheurs par an. A part la consommation des villageois, 55% de ses produits sont vendus hors de la région : 11.484kg/ pêcheurs/an. Il n’y a aucun souci à se faire pour l’approvisionnement, car ce site d’implantation représente beaucoup de potentialité en termes de produit de qualité et de quantité. L’effort de pêche est supérieur à l’effort biologiquement admissible pour quelques genres ou espèces. Ces ressources sont aussi surexploitées comme les crabes, crevettes. Mais faute des matériaux adéquats, les espèces dites “ nobles ” telles que les dorades (kikao, Angou,…) et les soles restent encore sous-exploités. Toute fois, leurs rendements sont fortement décroissants, la raison en est la manque de formations et d’investissements. Cette région est réputée détenir une pêcherie artisanale ou traditionnelle très performante qui a besoin d’unité de transformations comme celle de notre entreprise Durant notre enquête sur terrain auprès des différents acteurs, la qualité des poissons séchés salés prêt à être exportés est généralement satisfaisante pour sa mode de préparation. Les poissons séchés salés sont très appréciés par un nombre croissant de la population locale, nationale, voire internationale (Ouest Africaine, Zone de l’océan Indien, pays Asiatique : Hong-Kong, Chine, …) Notre pays dispose d’un potentiel, qui reste encore sous-exploité et très peu exporté malgré l’abondance relative de la matière première. D’après nos sources, aucun professionnel ne s’est spécialisé dans ce secteur. Néanmoins, des exportations ont été effectuées par les exportateurs des produits locaux.
Les procédures de contrôle
Outre les contrôles effectués par l’autorité compétente. Il est souhaitable que notre entreprise d’exportation dispose de sa propre unité de contrôle en laboratoire pour déterminer l’hygiène et la qualité des produits déjà transformés et pour vérifier l’hygiène des opérations de transformations faites par les pêcheurs producteurs. L’ampleur et la nature du contrôle varient suivant le produit alimentaire et selon les impératifs de la gestion. Ce contrôle devrait aboutir pour éliminer tous les aliments impropres à la consommation humaine. Pour faciliter l’interprétation des résultats, les analyses devraient être effectuées selon les méthodes normalisées, agrées. Etant donné que bon nombre de produits, des poissons salés séchés sont vendus suivant leur teneur en lipide, en eau et en sel, il faudrait avoir accès aux facilités de laboratoire. Parmi les moyens des contrôles à effectuer, le dessalement est aussi inévitable. C’est le mode d’employer de l’eau potable et la changer aussi souvent qu’il est nécessaire jusqu’à ce qu’on atteigne la teneur en sel voulue. En général, le dessalement s’effectue d’autant plus vite que l’on change plus rapidement d’eau, mais un tel changement à une trop grande fréquence risque d’entraîner une perte importante de protéines solubles. Mais ralentir ce changement réduit le rythme de dessalement qui peut causer une prolifération microbienne dans la saumure diluée enrichie de protéines créant ainsi des odeurs et des goûts nauséabonds dans le produit fini. La fréquence du changement d’eau dépendra des espèces et de la taille du poisson et ainsi que du temps et de la teneur en sel voulue pour la transformation ultérieure. Quant au programme de contrôle d’hygiène, nous allons designer dans notre propre intérêt, une personne dont la fonction sera de préférence distincte de celle de laborantin ; cette personne sera responsable de la propreté de l’établissement. Cet agent devrait être attaché en permanence à l’entreprise et devrait avoir une parfaite connaissance de l’utilisation du matériel spécialisé pour le nettoyage, des méthodes de démontage des matériels pour le nettoyage et qui devrait être capable de rendre compte de l’importance que revêt la contamination et des risques qu’elle implique. Un calendrier permanent de nettoyage et de désinfection devrait être élaboré pour garantir que toutes les parties de l’établissement seront convenablement nettoyées et que les zones l’équipement et les matériaux dangereux seront nettoyés et/ou désinfectés chaque jour ou plus souvent s’il y a lieu
La valeur ajoutée
La valeur ajoutée représente la valeur de la production, déduction faite de celle de consommations intermédiaires. Elle permet de cerner la dimension de l’entreprise : c’est une indication de sa taille économique. Elle mesure aussi la croissance de la firme au niveau des moyens de mis en œuvre.
Valeur ajoutée = Production de l’exercice – consommation intermédiaire
Il s’ensuit de ce tableau que la valeur ajoutée augmente de façon croissante. Cela marque le degré d’intégration de l’entreprise.
CONCLUSION GENERALE
L’étude sur l’exportation des poissons salés séchés est le fruit de ce travail. A part des activités informelles sur cette filière, il n’y a encore à Madagascar aucune entreprise qui se focalise ses objectifs sur cette destination. La maîtrise parfaite de la gestion autonome de la filière poisson salé séché demande encore beaucoup d’efforts, soit de la part des producteurs et de leurs organisations, soit de la part des partenaires piliers des divers soutiens institutionnels. Notre entreprise a donc pour objectif d’exporter des poissons salés séchés de Maromandia à l’extérieur. Avant de commencer notre travail, il nous faut connaître la situation existante en identifiant notre projet. Sur ce, une brève présentation a été énumérée à travers un historique et des caractéristiques que représente le projet. Ainsi, notre recherche concerne une étude de marché qui est la motrice source de la recherche des demandes possibles pour répondre à notre offre. Ce dernier a été largement inférieur par rapport à l’évolution de lademande en matière des poissons salés séchés au niveau planétaires. Alors que nous n’avons pas encore de concurrent dans notre pays, les produits sont abondants et sousexploités. En deuxième partie, nous avons conduit le projet en apportant les techniques qui répondent aux normes internationales. Des matériels, des nouvelles techniques et des hygiènes convenables sont à appliquer et à utiliser pour assurer notre réussite. Et du point de vue organisationnel, nous avons dessiné et affecté les différentes organisations, fonction et tâche des ressources humaines qualifiées pour ce projet. Enfin par la troisième et dernière partie, quant à elle est consacrée à l’étude financière du projet. L’investissement est l’élément fondamental du projet car il procure des avantages à long terme au sein de l’entreprise. L’analyse sur le plan financier met à la fois en exergue la rentabilité des investissements à travers les résultats croissants des exercices et à la viabilité du projet. Les coûts totaux de notre investissement se présentent trop faible par rapport à notre résultat prévisionnel. Ce qui nous laisse un large somme pour la disponibilité en caisse dans notre bilan prévisionnel. Des évaluations ont été nécessaires pour mesurer les impacts sur le financement, sur l’économie et sur le niveau social de l’entreprise. Soulignons aussi que les résultats de notre travail, de nos enquêtes et/ou les fruits de notre recherche, correspondent tous à l’objectif et la bonne marche et/ou la viabilité de la firme. Néanmoins, toutes les informations littéraires ou chiffrées qui ont été collectées dans ce présent travail méritent d’être complétées avec l’évolution du contexte naturel, politico-économique, social, fiscal en vigueur sur le territoire malgache. Le prix et l’échange se fluctuent selon qu’il est orienté vers les coûts ou le marché sur le plan international. Au niveau environnemental, c’est un allégement de la pollution et de destruction de la nature que les paysans pourront bénéficier d’une nouvelle gestion et de protection pour améliorer ses productions des poissons salés séchés. Des nouveaux emplois ont été crée d’une manière directe, pour les travailleurs de l’entreprise, et indirecte pour les habitants qui en profite pour fournir des matières premières ou d’autres services pour le besoins notre établissement. Le projet tend à améliorer aussi l’état sanitaire des consommateurs et à réduire la malnutrition. Nous avons aussi évalué la rentabilité ou non du projet et sa viabilité durant les 5 années prévues. Des différents critères d’évaluations économiques et financières nous fait savoir qu’avec des résultats multiples, notre travail sera toujours rentable, efficace, efficient, fiable et viable. Une fois réalisées, notre projet peut amener notre pays à prendre part dans le monde du marché des poissons salés séchés qui est en plein essor dans notre ère. On peut encore améliorer ce projet en diversifiant nos produits sur les farines de poissons.
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Table des matières
REMERCIEMENTS
LISTE DES ABREVIATIONS
Liste des tableaux
Liste des figures
Liste des schémas
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : PRESENTATION DU PROJET
SECTION 1 : HISTORIQUE
1.1. Historique de la pêche
1.2. Description des sites à étudier
SECTION 2 : CARACTERISTIQUE DU PROJET
2.1. Buts et objectifs
2.2. Intérêts
SECTION 3 : LES INSTITUTIONS D’APPUI
3.1. Historique de la BOA
3.2. Le crédit ordinaire accordé par la BOA
CHAPITRE II : ETUDE DU MARCHE
SECTION 1 : ETUDE DE PRODUCTION DU POISSON SALE SECHE AU NIVEAU MONDIAL
1.1. La production et la consommation mondiale
1.2. La production et la consommation nationale
1.3. La ressource locale source de production
SECTION 2 : ANALYSE DE L’OFFRE
2.1. Situation de l’offre locale
2.2. Clientèle cible
SECTION 3 : ANALYSE DE LA DEMANDE
3.1. Situation de la demande actuelle
2.2. Demande potentielle
SECTION 4 : ANALYSE DE LA CONCURRENCE
4.1. Concurrence directe
4.2. Concurrence indirecte
SECTION 5 : STRATEGIE ET POLITIQUE ET MARKETING ENVISAGEE
5.1. La stratégie Marketing à adopter
5.1.1. La stratégie PUSH
5.1.2. La stratégie PULL
5.2. Politique Marketing envisagé
5.2.1. La politique de produit
5.2.2. Politique de prix
5.2.3. La politique de distribution
5.2.4. La politique de promotion
CHAPITRE III : THEORIE GENERALE SUR LES CRITERES D’EVALUATION D’UN PROJET
SECTION 1 : LES OUTILS D’EVALUATION DU PROJET
1.1. La valeur actuelle nette ou VAN
1.1.1. Définition
1.1.2. La formule du VAN
1.1.3. L’interprétation de la VAN
1.2. Le taux de rentabilité interne ou TRI
1.2.1. La définition du TRI
1.2.2. La formule du TRI
1.2.3. L’interprétation du TRI
1.3. Le Délai de Récupération des Capitaux Investis ou DRCI
1.3.1. La définition du DRCI
1.3.2. La formule du DRCI
1.3.3. L’interprétation du DRCI
1.4. L’Indice de Profitabilité ou IP
1.4.1. La définition de l’IP
1.4.2. La formule de l’IP
1.4.3. Interprétation de l’IP
SECTION 2 : LES CRITERES D’EVALUATION DU PROJET
2.1. La pertinence du projet
2.2. L’efficacité du projet
2.3. L’efficience du projet
2.4. L’impact du projet
2.5. La durée de vie de projet
CONCLUSION PARTIELLE
DEUXIEME PARTIE ETUDE DE FAISABILITE
CHAPITRE I : TECHNIQUE DE PRODUCTION ENVISAGEE
SECTION 1 : IDENTIFICATION DES MATERIELS
1.1. Le plan de production
1.1.1. Quelques définitions utilisées
1.1.2. La population dans la pêcherie
1.2. Le plan de capture et de l’effort
1.2.1. La capture
1.2.2. L’effort de la pêche
SECTION 2 : TECHNIQUE DE REALISATION
2.1. Les prescriptions concernant les matières premières et les ingrédients
2.2. Les prescriptions d’hygiène en matière d’exploitation
CHAPITRE II : CAPACITE DE PRODUCTION ENVISAGEE
SECTION 1 : PROCESSUS DE PRODUCTION
1.1. Le plan de production d’un poisson salé
1.2. La nature, qualité et caractéristique des produits
SECTION 2 : LES DIFFERENTS FACTEURS DE PRODUCTIONS
2.1. L’aspect qualitatif et quantitatif des produits
2.2. La production de l’exportateur
2.2.1. L’emballage et l’entreposage
2.3. Les procédures de contrôle
SECTION 3 : PREVISION DU CHIFFRE D’AFFAIRE PREVISIONNEL
CHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLE
SECTION 1 : L’ORGANIGRAMME ENVISAGE
1.1. Présentation de l’organigramme
1.2. L’organisation fonctionnelle
1.2.1. Le gérant
1.2.2. Le secrétariat
1.2.3. Le technicien Spécialisé ou Laborantin
1.2.4. Le responsable sanitaire
1.2.5. Le responsable commerciale
1.2.6. Le responsable de production
1.2.7. Ouvrier spécialisé, ouvrier, chauffeur et gardien
SECTION 2 : ORGANISATION DU TRAVAIL
2.1. Du point de vue juridique
2.2. Du point de vue commercial
2.2.1. Le chronogramme du travail
2.2.2. La production annuelle envisagée
SECTION 3 : L’EXPORTATION DE POISSONS SALES SECHES
3.1. La procédure d’exportation
3.1.1. Les démarche à suivre
3.1.2. Les documents à exiger
3.1.2.1. Les documents exigés par l’Etat
3.1.2.2. Les documents exigés par l’importateur
3.1.2.3. Les documents exigés par la Douane
3.1.2.4. Par les autorités locales
3.2. Le coût de transit et douane
CONCLUSION PARTIELLE
CHAPITRE I : COUTS DES INVESTISSEMENTS ET COMPTES DE GESTION
SECTION 1 : LES INVESTISSEMENTS NECESSAIRES
1.1. Les immobilisations incorporelles
1.2. Les immobilisations corporelles
1.2.1. Terrain aménagé
1.2.2. Constructions
1.2.3. Les matériels de transports
1.2.4. Les matériels et mobiliers de bureau
1.2.5. Les matériels informatiques
1.2.6. Le matériel d’emballage
SECTION 2 : LES AMORTISSEMENTS DES IMMOBILISATIONS
2.1. Amortissement d’immobilisation incorporelle
2.1.1. Amortissement de frais de développement immobilisable
2.2. Amortissement d’immobilisation corporelle
2.2.1 Amortissement de construction
2.2.2. Amortissement de matériel de transport
2.2.3. Amortissement de matériel et mobilier de bureau
2.2.4. Amortissement de matériel informatique
2.2.5. Amortissement de matériel d’emballage
SECTION 3 : LE PLAN DE FINANCEMENT
3.1. Le fond de roulement initial
3.2. L’imprévu
3.3. Le tableau de plan de financement
3.3.1. Le financement interne
3.3.2. Le financement par emprunts
SECTION 4 : TABLEAU DE REMBOURSEMENT DES DETTES
SECTION 5 : LES COMPTES DE GESTION
5.1. Compte de charges
5.1.1. Les Achats de marchandise
5.1.2. Les Achats non stockés de matières et fournitures
5.1.3. Les charges externes
5.1.4. LES impôts et taxes
5.1.5. Charges de personnel
5.1.6. Charges financières
5.1.7. Dotations aux amortissements
5.2. Compte de produits
CHAPITRE II : ETUDE DE FAISABILITE ET RENTABILITE DU PROJET
SECTION 1 : LE COMPTE DE RESULTAT PREVISIONNEL
SECTION 2 : LE FLUX DE TRESORERIE
SECTION 3 : LES BILANS PREVISIONNELS
CHAPITRE III : EVALUATION DU PROJET
SECTION 1 : EVALUATION ECONOMIQUE
1.1. La valeur ajoutée
1.2. Ratio d’excédent brut d’exploitation
1.3. Ratio de résultat net sur la production
SECTION 2 : EVALUATION FINANCIERE
2.1. Selon les outils d’évaluation
2.1.1. Calcul de VAN
2.1.2. Calcul de l’IP
2.1.3. Calcul de TRI
2.1.4. Calcul de DRCI
2.2. Selon les critères d’évaluation
2.2.1. La pertinence
2.2.2. L’efficience
2.2.3. L’efficacité du projet
2.2.4. La durée de vie
SECTION 3 : EVALUATION SOCIO-ENVIRONNEMENTALE
3.1. Création d’emploi
3.2. Développement Social de la Région
3.3. L’entrée des devises
SECTION 4 : CADRE LOGIQUE
CONCLUSION PARTIELLE
CONCLUSION GENERALE
Liste des annexes
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