Soutenance mémoire
Le système d’élaboration d’un étang piscicole
Pour avoir un bon produit d’un étang piscicole, nous devrions se concentrer d’avantage sur, il suivra la croissance de son produit durant la période d’élevage et rendra des services alimentaires. Le développement, la croissance et la construction de réserve aboutissent à une augmentation de poids. Ainsi, pour obtenir un milieu d’élevage optimal et pour la production de nourriture naturelle, il faut amender le fond de l’étang avec une dose de chaux et de la chaux vive si disponible. Alors, la préparation d’un étang d’alevinage à savoir la mise à sec d’au moins 15 jours, le nettoyage et la réparation, l’installation des dispositifs filtrants à l’entrée et à la sortie d’eau, léger labour et l’installation d’une ou plusieurs compostières. La préparation à sec de l’étang se fera progressivement et les soins y apportés sont déterminants pour la réussite de la production de poisson de consommation.
Les facteurs temps et financiers
Dans le service, le facteur temps sera fondamental. Comme le temps constitue un espace non tolérable, il faudrait le profiter à fonds pour avoir des meilleurs rendements à fonds et bien évidemment afin d’avoir de meilleur rendements lorsqu’on travail, le temps semble raccourci et tout le monde constaterait cette situation. Au bureau, on ne pourrait pas travailler pendant la nuit car l’heur serait limité, soit de 40 heures/semaines à Madagascar contre 35 heures en France. Durant cet espace temporel, on pourrait faire beaucoup de travail si et seulement si l’on saurait organiser les divers services. Pour les capteurs et traiteurs, le suivi et le contrôle se font à partir du matin et ne se termine parfois le jour comme la nuit. En plus, les différentes méthodes citées auparavant concernant l’exploitation, qui se rapportent à l’eau sont appliquées surtout pendant la saison sèche où l’eau se tarit. Pour les facteurs financiers, le financement s’effectuerait auprès d’une banque où nous contracterons une dette. De ce fait, il nécessite des remboursements en fonction de la nature du contrat fait entre le créancier et les débiteurs. Il faudrait que les financements ne soient pas délicats et difficile.
Les impacts financiers
Les impacts financiers s’observent au niveau même du centre, on peut immédiatement constater les bénéfices ou les pertes subies. D’après les études effectuées, on observe une situation bénéficiaire car la valeur actuelle nette est largement positive, le taux de rentabilité interne est supérieur aux taux d’emprunt de la banque avec une marge de sécurité de 13,16 %, l’indice de profitabilité est de 1,41 signifiant qu’1 ariary de l’investissement apporte 0,41 ariary de bénéfice et enfin, la durée de récupération des capitaux investis est de 2 ans 6 mois et 21 jours largement inferieur à 5 ans nous permettant d’affirmer la rentabilité et la viabilité du projet.
Les impacts environnementaux
Un environnement protégé et respecté doit être conditionné par une autorisation durable d’exploitation. L’attention de l’exploitant est donc attirée sur l’importance des impacts de ses activités sur l’ensemble des milieux avoisinants le centre et sur la connaissance des mesures à prendre pour leur protection. En outre, l’exploitant doit conformer aux directives et normes prévues par la loi et les règlements relatifs à la protection de l’environnement ainsi qu’à la gestion de l’eau, à la protection des faunes et flores.
Les impacts sociaux
L’objectif du présent programme n’étant pas limité uniquement au niveau financier ou économique mais aussi social. V u le taux de chômage actuel qui ne cesse d’accroitre, la création d’un tel projet pourrait être une solution afin de résoudre ce problème car non seulement il nous fait rapporter du bénéfice mais aussi crée de emplois pour la population locale.
CONCLUSION GENERALE
En définitive, nous avons déjà analysé tout créneau existant dans la région d’Anjozorobe et nous sommes persuadés que notre choix s’adresse à la « CREATION D’UNE UNITE DE PISCICULTURE DANS LE DISTRICT D’ANJOZOROBE » Vu la situation géographique et économique de cette région ainsi que la carence de l’offre locale, ce présent projet aura certainement un impact que ce soit économique ou sociale du pays. Dans cet ouvrage, nous éluciderons deux (02) types aux choix de culture de poissons soit monoculture ou de pisciculture proprement dit, soit en combinant avec la culture de riz ou de riz pisciculture. Il est à signaler que pour le second cas, afin d’éviter trop de perte, le promoteur rendra des services pour l’aménagement de la rizière qui sera une activité en annexe ou en accessoire pour ce projet. Il devrait laisser un peu une surface (environ 1/8 de la surface totale) pour que les poissons s’écoulent librement. Mais, la perte de superficie pour la culture du riz due à ces aménagements ne diminue en aucun cas la production du riz grâce à l’effet bénéfique des poissons sur le rendement du riz. Pour les deux (02) cas, il vaut mieux utiliser un grillage à l’entrée et à la sortie d’eau de la rizière. Ceci a pour but d’éviter l’entrée des poissons sauvages « non désirés » dans l’unité de culture, en particulier les poissons prédateurs et d’empêcher la fuite des poissons élevés. Pour l’organisation et l’Administration, le centre aura besoins des ressources matériels, ressources humaines, et ressources financières, outre les prestations des aspects quantitatifs et qualitatifs y afférents. La réalisation de ce projet exige et implique un recrutement massif de personnel pour lequel faudra mettre en place des infrastructures complémentaires. Ainsi, ce projet exige un investissement de 97 448 000Ariary avec un fond de roulement Initial de 19 935 132 Ariary. Le total du financement est à l’ordre de 117 383 132 Ariary, reparti au capital de 70 %, apport courant de 30%. On choisira le mode de remboursement des dettes 35 214 940 Ariary avec une annuité constante de 11 775 172 Ariary. Les résultats obtenus augmentent au fil du temps et nous récupérons ces investissements en 02 ans, 10 mois et 21 jours. Nous prendrons une marge sur le taux de 13,66% c’est dire avec le taux interne de rentabilité de 37,16%. Ce projet est rentable et durable car il laisse au large la valeur actuelle nette à l’ordre de 39 828 442 Ariary et un indice de profitabilité de 1,41. En plus, on décrit divers impacts positifs apportés par ce projet tels que les impacts économiques, financiers, sociaux et culturaux.
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Table des matières
INTRODUCTION
-Objet et intérêt du projet
– Choix de la région
-Limite du projet
PREMIERE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : LA DESCRIPTION DU PROJET
SECTION 1 : LA PRESENTATION DU PROJET
11- Le mode en pisciculture
12- Les caractéristiques d’un étang piscicole
13- Le système d’élaboration d’un étang piscicole
SECTION 2 : LES CARACTERISTIQUES DU PROJET
21- Les avantages apportés du projet
22 – La nature juridique-Administrative du projet
SECTION 3 : LA SITUATION GEOGRAPHIQUES ET DEMOGRAPHIQUE DE LA REGION
31- Le choix du site du projet
32- La présentation de la région
CHAPITRE II : L’ETUDE DE MARCHE CIBLE
SECTION 1 : LA DESCRIPTION DU MARCHE
11- Le marché local
12- Le marche régional
SECTION 2 : ANALYSE DE L’OFFRE
21- Les caractéristiques de l’offre globale
22- La capacité d’offre globale
SECTION 3 : ANALYSE DE LA DEMANDE
31- Les caractéristiques de la demande globale
32- La capacité de la demande locale
SECTION 4 : L’ANALYSE DE LA CONCURRENCE
41- Le prix concurrentiel
42- La part de marché
CHAPITRE III : LA THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ET LES CRITERES D’EVALUATION
SECTION 1 : LES EVALUATIONS SELON LES CRITERES
11- La pertinence
12- L’efficacité
13- L’efficience
14 –La durabilité
15- Les impacts du projet
SECTION 2 : LES EVALUATIONS SELON LES OUTILS
21- La Valeur Actuelle Nette
211- Définition
212- Formule
213- Interprétation
22- Le Taux de Rentabilité Interne
221- Définition
222- Formule
223- Interprétation
23- Indice de Profitabilité
231- Définition
232-Formule
233- Interprétation
24- La Durée de Récupération des Capitaux investis
241- Définition
242- Formule
243- Interprétation
DEUXIEME PARTIE : LA CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : LA TECHNIQUE DE REALISATION
SECTION1 : L’IDENTIFICATION DES MATERIELS
11- Les surfaces du terrain nécessaires
12- Les accessoires spécifiques
SECTION 2 : LA REALISATION DES INVESTISSEMENTS
21- Les investissements en nature
22- Les investissements en numéraires et humains
CHAPITRE II LA CAPACITE DE REALISATION
SECTION I : LA PREVISION POUR LES PRODUITS A EXPORTER
11- La capacité de réalisation
12- l’évolution du chiffre d’affaires durant les cinq ans d’exploitation
SECTION 2 : LES ASPECTS QUANTITATIFS ET QUALITATIFS
21- Les aspects qualitatifs
22 – Les aspects quantitatifs
SECTION 3 : LES DIFFERENTS FACTEURS DE REALLISATION
31- Les facteurs humains
32 – Les facteurs matériels et les méthodes utilisées
33 – Les facteurs temps et financiers
34 – Les facteurs limitant
CHAPITRE III : L’ETUDE ORGANISATIONNELLE DU PROJET
SECTION 1- LA RESSOURCE ET L’ORGANISATION
11- l’organisation stratégique
12- L’organisation politique
13 – L’organisation opérationnelle
SECTION 2 : L’ORGANIGRAMME
21- La spécificité de l’organigramme
22 – Les ressources et fonction d’organisation
SECTION 3 : LE CHRONOGRAMME
31- Le chronogramme envisagé
32 – Le synoptique du chronogramme
TROISIEME PARTIE : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I : LES COUTS DES INVESTISSEMENTS NECESSAIRES
SECTION 1 – LES INVESTISSEMENTS NECESSAIRES
11 – Les immobilisations incorporelles
12 – Les immobilisations corporelles
a) Le cout du terrain
b) Les couts de construction des bâtiments d’Administration et d’exploitation
c) Les couts des matériels
d) Les couts des matériels et mobiliers de bureau
e) Les couts des matériels d’installation électrique
SECTION 2- L’AMORTISSEMENT DES BIENS
21 – La spécificité de la méthode choisie
22- Tableau d’amortissement
SECTION 3- LE PLAN DE FINANCEMENT
31- Le fonds de roulement Initial
32 – Le plan de financement du projet
33 – Le mode de remboursement de dettes
CHAPITRE II – ETUDE DE FAISABILITE
SECTION 1 – LES COMPTES DE GESTION
11 – Les produits
12 – Les charges
a) Les dotations aux amortissements et prévision
b) Les charges financières
c) Les charges externes
d) Les impôts et taxes
e) Les achats de fournitures consommables
SECTION 2 – LES COMPTES DE RESULTATS PREVISIONNELS
21 – Le compte de résultats prévisionnel après charges financières
22 – Le tableau de grandeur caractéristique de gestion
SECTION 3 – LES BILANS PREVISIONNELS
31 – L e bilan d’ouverture de l’année 01
32 – Le bilan de clôture de l’année 01
33 – l’étude pour les dettes fiscales
34 – Le bilan de clôture durant les cinq années d’exploitation
SECTION 4 – LE PLAN DE TRESORERIE
41 – le plan de trésorerie pour la première année
42 – Le plan de trésorerie durant les cinq années d’exploitation
CHAPITRE III – L’EVALUATION ET LES IMPACTS DU PROJET
SECTION 1 – L’EVALUATION ECONOMIQUE
11 – La notion de valeur ajoutée
12 – Les ratios de performance économique
a) Le ratio de seuil de rentabilité
b) Le ratio de performance économique
c) L’efficacité de l’investissement humain
d) Le ratio d’activité
SECTION 2 – L’EVALUATION FINANCIERE
21 – Les critères d’évaluation selon les critères du projet
211 – La pertinence
212- L’efficacité
213 – L’efficience
214 – La durabilité du projet
215 – Les impacts du projet
22- Les outils d’évaluation de projet
221 La valeur actuelle nette
222 – Le taux de rentabilité interne
223 – calcul de l’indice de profitabilité
224 – La durée de récupération du capital investi
SECTION 3 – LES IMPACTS DU PROJET
31 – les impacts financiers
32 – les impacts économiques
33 – les impacts sociaux
34 – les impacts environnementaux
Conclusion générale
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