Généralités sur la situation géographique du lieu d’implantation
Implantation géographique du projet Le lieu d’implantation envisagée pour ce projet se situe dans la ville de Farafangana au quartier de Fenoarivo. Cette ville se situe dans la partie sud-est de la grande île, notamment, il est le chef-lieu de la région du sud-est. Elle a une superficie 45km2 occupée par 22 fokontany; la côte orientale s’étend au bord de l’océan Indien.
Délimitations géographiques du lieu d’implantation La délimitation géographique du lieu d’implantation détermine la position et la distance du district de Farafangana par rapport aux zones des collectes qui sont découpé en plusieurs zones. D’après ce tableau, nous voulons préciser que Farafangana possède 6 zones de collecte qui se situe au nord du district qui est Nosikely ; au centre du district qui est Manambotra sud et Mahabo Managnivo et enfin au sud du district qui sont Ampasinakoho, Manambondro et Sandravinagny. L’annexe I page 116 présente la carte géographique du lieu d’implantation et les zones des collectes.
Situation géographique de la région La région du sud-est ont toutes les conditions favorables pour la concentration des langoustes grâce à :
– une zone devant les brisants (sables grossiers avec débris continentaux) et des rochers en mode très battue ;
– un climat de la zone chaude et humide dont la température de référence est de 27°C avec une pluviométrie supérieure à 150 mm ;
– un régime du vent en général régulier et modéré de direction SE – NW. La vitesse moyenne est de 22 km par heure. Mais au mois du septembre, la vitesse est atteinte le maximum de 50 km par heure.Le nombre de jour de pluies par année varie entre 180 à 200.
Le milieu économique
L’agriculture, la pêche et l’élevage Nous savons que la plupart des régions de Madagascar, le paramètre agro économique est dominé par l’agriculture, l’élevage et la pêche. Ici, dans la région du sud-est, les paramètres agro économiques sont composés de trois grands ensembles naturels qui sont :
– la zone moyenne et basse dont les cultures de rente comme le café, le girofle et le poivre,… y sont très développés ;
– la zone basse est plutôt occupée par la ville de Farafangana qui est favorisé par les cultures vivrières comme le riz, le manioc, la patate accompagnée par l’élevage bovin, porcin et des volailles ;
– le littoral englobe également le district de Farafangana dont la zone côtière est favorable à la culture de rente et à la pêche maritime.
Les infrastructures Pour l’élaboration du projet, il est nécessaire d’avoir beaucoup des informations sur les infrastructures au sein du lieu d’implantation. Il faut que nous devions analyser les infrastructures d’accueil adéquat au projet que nous voulons réaliser. Cela nous permet d’évaluer les risques d’investissement ou les menaces éventuels à la réalisation de ce projet. Ici, nous allons voir dans cette situation le domaine de transport et les infrastructures administratives. En ce qui concerne le transport, en raison de coupures de vol et l’inexistence du port maritime dans cette région, seule la voie terrestre qu’on peut rejoindre le lieu où expédier les produits locaux vers d’autres lieux. Dans le domaine des infrastructures administratives, le district dispose des plusieurs services des départements ministériels comme le service d’élevage, de pêche et d’agriculture, le service des eaux et des forêts, des travaux publics, les services de domaine, le topographique, la météorologie, les services sanitaires, le service de poste et télécommunication,…
Description des matières premières
– nom local : Oratsimba ;
– nom commun : langouste ;
– définition : la langouste est un crustacé décapode marin, comestible et très recherché pour sa chair savoureuse ; caractérisée par ses longues et fortes antennes épineuses. Les langoustes sont dépourvues des grosses pinces qui caractérisent les homards. Leur abdomen, comme celui de tous les crustacés de type macroure est de grande taille hémicylindrique et terminé par une nageoire. Elle mesure jusqu’à 50 cm pour un poids maximum de 4 kilos. Ce crustacé fait partie de décapodes marcheurs de couleurs généralement brun-roux ou rouge-orangé ;
– morphologie : les langoustes fréquentent en général les fonds rocheux où elles peuvent trouver des abris. Elles se marchent à l’aide de leurs pattes mais peuvent aussi nager en se propulsant en arrière par de violentes contractions de l’abdomen. Les larves appelées phylosomes, translucides et de forme aplatie ont une vie planctonique. Elles se laissent dériver par les courants marins avant de pouvoir se poser sur le fond et prendre la forme de langouste (métamorphose). Pour grandir, les langoustes effectuent régulièrement des mues : elles perdent et renouvellent leur carapace plusieurs fois par an quand elles sont juvéniles, puis en général une fois par an à l’âge adulte ;
– classification : les langoustes appartiennent à la famille des palinuridés. La plupart sont classées dans le genre Palinuris ;
– les différentes espèces : les langoustes sont représentées par différentes espèces à savoir : Panulirus honarus, Panulirus japonicus, Panulirus pennicillatus, Panulirus oratus, Panulirus versicolor, Panulirus delagoae ;
– Présentation des produits : langoustes entières vivantes et/ou mortes fraîches.
Volume global de vente actuel sur le marché
L’année dernière, la production de langouste mondiale s’est élevée de 64 000 tonnes d’après les données de la FAO. Cette production est stable depuis l’année 2000. Quant à Madagascar, la production langoustière s’est élevée aux 405 tonnes l’année dernière soit 0,6% de la production mondiale.
Commentaire : D’après ce tableau, on constate qu’en 2004, la quantité langoustière se trouve en baisse par rapport à l’année précédente tandis que les trois dernières années, c’est à dire l’année 2005, 2006, 2007, cette quantité est en progression. Bien qu’elle ne représente que 0,3% de la production nationale, la production de langouste doit être mise en exergue compte tenu de son importance en valeur d’exportation et économiquement. Il est à noter qu’à Madagascar, la langouste a une part de valeur de 0,6% sur l’ensemble du commerce spécial à l’exportation.
LES CRITERES D’EVALUATION DU PROJET
Pour apprécier la faisabilité d’un projet, quatre critères d’évaluation sont retenus. Ce sont la pertinence, l’efficacité et la viabilité ou la durabilité du projet.
La pertinence Elle mesure la corrélation entre les objectifs du projet et les priorités du développement sur le plan global et sectoriel ou le bien fondé de concept du programme par rapport aux besoins réels des groupes cibles.
L’efficience Le projet est efficient si on atteint les objectifs fixés en tenant compte la minimisation des coûts ou des moyens utilisés c’est-à-dire, qu’on minimise les matériels à utiliser mais la capacité de production ou le rendement est performante. Donc, le projet est efficient s’il aboutit à de bon résultat en réduisant les moyens ou les matériels utilisés.
L’efficacité Le projet efficace permet d’atteindre l’objectif fixé quel que soit le coût de sa réalisation. L’indicateur de l’efficacité est obtenu par la comparaison des résultats aux objectifs fixés.
La viabilité ou la durabilité La viabilité d’un projet dépend de sa rentabilité, s’il est rentable nous pouvons prolonger la durée d’exploitation et même créer un autre investissement à d’autres activités. Mais actuellement, la durée prévue est de cinq ans, à condition que ce projet soit rentable de façon efficience et efficace au cours de son exploitation. Ainsi, cette partie nous a permis d’avoir une vue générale sur le projet à savoir la présentation et l’étude marketing du projet ainsi que la théorie générale sur les outils, les critères d’évaluation.
Modalité de remboursement de l’emprunt
Nous avons constaté qu’une somme d’Ar 392.011.900 fait l’objet de l’emprunt qui sera contracté auprès de la BOA. La durée de remboursement est de 5 ans avec un taux annuel de 20%; le remboursement aura lieu à partir de la deuxième année d’exercice et de périodicité annuelle. Les modalités sont détaillées ci-après :
– montant de l’emprunt : Ar 392.011.900 ;
– durée de remboursement : 5 ans ;
– taux d’intérêt : 20% ;
– mode de remboursement : amortissement constant ;
– intérêt (I)= emprunt x taux d’intérêt i, avec i=t/100.
Les formules utilisées sont les suivantes :
Amortissement constant (a) = Durée de remboursement
Total à verser = amortissement+ intérêt
Capital fin de période (CFP) = capital début de période (CDP) – amortissement
Sur la durée de remboursement 5 ans, ces modalités se traduisent par :
• Ar 392 011 900 d’emprunt à rembourser ;
• Ar 235 207 140 d’intérêts financiers ;
Total à rembourser = Ar 627 219 040
L’EVALUATION SOCIALE
Durant l’évaluation du projet, nous avons remarqué que le projet est rentable. Donc, la situation financière de ce projet est viable à long terme et rentable. Alors le projet pourra contribuer à une création d’emploi dans la région du Sud-est et le responsable du projet pourra aussi améliorer les conditions de travail ou augmenter les masses salariales de ses employés qui auront un impact favorable et fiable pour l’ensemble du personnel. D’où le pouvoir d’achat des travailleurs augmentés en fonction de la rentabilité du projet. Ainsi, la troisième partie est destinée principalement à l’étude financière du projet. Elle nous a informée sur le coût du projet et les comptes de gestion, l’analyse de la rentabilité et l’évaluation du projet. Le coût du projet est constitué par le coût d’investissement et le coût de fonctionnement. L’analyse de la rentabilité montre que les résultats des le début jusqu’à la cinquième année d’exploitation sont bénéficiaires. L’évaluation du projet est effectuée en se basant sur trois principaux éléments à savoir : l’évaluation économique, financière et sociale.
CONCLUSION
Tout au long de notre recherche, nous avons tenté de démontrer l’importance de l’exploitation des langoustes à Madagascar et qui permettrait de satisfaire les consommateurs. Les langoustes aussi sont des produits de luxe, très intéressant sur le marché international avec un grand intérêt économique. Nous estimons que les objectifs que nous avons mentionnés offre une meilleure vision du projet dans notre participation au développement socio-économique de la localité d’un côté et de la nation de l’autre. Pour avoir une meilleure exploitation, la collaboration avec les pêcheurs et les collecteurs est très utile pour notre société en respectant les règlements en vigueur tels que le respect de la période de la fermeture de la campagne et la taille minimale exploitable, l’interdiction de pêcher des femelles ovées. Pour satisfaire les besoins du marché international, la meilleure chose que l’entreprise devra effectuer est d’augmenter la production au fil des années en respectant toutes les exigences en vigueur. Du point de vue financier, les capitaux investis s’élève à Ar 560.017.000 dont le 30% qui est d’Ar 168.005.100 seront couverts par le capital social et le 70% qui est d’Ar 392.011.900 font l’objet de l’emprunt auprès de la BOA qui est notre bailleur de fond de notre projet. L’analyse des états financiers prévisionnels fait aboutir à la détermination des résultats prévisionnels au cours de 5 ans qui sont toujours positifs et d’après les bilans prévisionnels, nous avons pu constater que les créances permettent à l’entreprise de rembourser rapidement les dettes de la banque. Tous ces situations affirment que les résultats au cours de cinq premières années sont bénéficiaire dès que les langoustes entrent en production et notre entreprise avoir une trésorerie saine. De plus, tous les critères nécessaires à la validation d’un projet sont réunis, vérifiés et conformes aux normes sur la rentabilité d’un projet :
– la VAN qui est égale à Ar 272. 457. 133 est largement positive ;
– le TRI qui est égal à 39,22% est largement supérieur aux taux exigé (20%) ;
– l’indice de profitabilité est supérieur à 1 (IP = 1,48) ;
– le capital investi est récupéré à la deuxième année : 2 ans 3 mois et 12 jours.
Nous pouvons donc affirmer que le présent projet est rentable selon les différentes études effectuées, sa réalisation permet aux promoteurs de faire un grand pas vers l’éloignement à la pauvreté qui est l’objectif de la politique actuelle à Madagascar. Ce projet nous montre aussi le niveau d’étude et la capacité que nous avons acquis à l’université de Toamasina à l’issue de notre formation pendant quatre années.
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Table des matières
REMERCIEMENTS
LISTE DES ABREVIATIONS, DES SIGLES ET DES ACRONYMES
GLOSSAIRE
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : VUE GENERALE SUR LE PROJET
Chapitre I. PRESENTATION DU PROJET
Section I. CONCEPT DU PROJET
§.1. Définition
§.2. Public cible et clientèle cible
§.3. Finalité – but – objectif spécifique du projet
§.4. Les phases de la réalisation d’un projet
Section II. IDENTIFICATION DU PROJET
§.1. L’historique du projet
§.2. Généralités sur la situation géographique du lieu d’implantation
2.1. Implantation géographique du projet
2.2. Délimitations géographiques du lieu d’implantation
2.3. Situation géographique de la région
2.4. Le milieu économique
2.4.1. L’agriculture, la pêche et l’élevage
2.4.2. Les infrastructures
§.3. Caractéristiques du projet
3.1. Finalité – but – objectifs spécifiques du projet
3.1.1. Finalité du projet
3.1.2. Buts du projet
3.1.3. Objectifs spécifiques du projet
3.2. Renseignements généraux
3.2.1. Renseignement sur l’entreprise
3.2.2. Renseignements sur les produits
a. Description des matières premières
b. Description des produits finis
Chapitre II. ETUDE MARKETING DU PROJET
Section I. L’ETUDE DU MARCHE VISE
§.1. La description du marché cible
§.2. L’environnement du marché français
Section II. L’ETUDE DE LA DEMANDE ET DE L’OFFRE
§.1. L’étude de la demande
1.1. Potentiel du marché français
1.2. Planning de production envisagé
§.2. L’étude de l’offre
2.1. Volume global de vente actuel sur le marché
2.2. Positionnement de la société
2.3. Les concurrents
Section III. L’ANALYSE DU CONTEXTE ECONOMIQUE ET PROBLEMATIQUE DE LA FILIERE
§.1. L’analyse du contexte économique de la filière
§.2. L’analyse problématique de la filière
Section IV. LES POLITIQUES ET STRATEGIES MARKETING ADOPTEES
§.1. Le marketing mix
1.1. La politique du produit
1.1.1. La norme sur le produit
1.1.2. La norme sur l’emballage
1.1.3. La norme sur le conditionnement
1.2. La politique du prix
1.3. Politique de distribution
1.4. Politique de promotion
§.2. La stratégie
Chapitre III. LA THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ; LES CRITERES D’EVALUATION
Section I. LA THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS
§.1. La Valeur Actuelle Nette (VAN)
1.1. La définition et la formule
1.2. L’interprétation
§.2. Le Taux de Rentabilité Interne (TRI)
2.1. L’interprétation
§.3. L’Indice de la Profitabilité (IP)
3.1. La définition et la formule
3.2. L’interprétation
§.4. Le Délai de Récupération des Capitaux Investis (DRCI)
4.1. La définition et la formule
4.2. L’interprétation
Section II. LES CRITERES D’EVALUATION DU PROJET
§.1. La pertinence
§.2. L’efficience
§.3. L’efficacité
§.4. La viabilité ou la durabilité
DEUXIEME PARTIE : LA CONDUITE DU PROJET
Chapitre I. LA TECHNIQUE DE REALISATION
Section I. PROCEDURES ADMINISTRATIVES À SUIVRE
§.1. La législation concernant les permis de collecte et les licences de pêche
§.2. La législation nationale régissant l’exportation des produits halieutiques
§.3. Formalité d’ouverture
3.1. Constitution de l’entreprise
3.2. Enregistrement du statut
3.3. Publication dans un journal d’annonce légale
3.4. Immatriculation au registre du commerce
3.5. Demande de permis de construction
Section II. LES RESSOURCES À METTRE EN ŒUVRE
§.1. Les ressources humaines
§.2. Les ressources financières
§.3. Les ressources matérielles
Section III. L’EXPLOITATION ET PROCESSUS DE TRAITEMENT DES LANGOUSTES
§.1. L’exploitation des langoustes
1.1. Les techniques de pêche
1.2. Le moyen de navigation utilisé par les pêcheurs
1.3. Les activités de collectes des langoustes
§.2. Processus de traitement des langoustes
2.1. La réception des produits bruts
2.2. Le traitement proprement dit
2.2.1. La préparation
2.2.2. Le calibrage
2.2.3. La Congélation
2.2.4. Le conditionnement
2.2.5. L’emballage
2.2.6. Le stockage
2.3. La commercialisation
2.3.1. Le déroulement de l’expédition
2.3.2. Le contrat de vente
Chapitre II. LES CARACTERISTIQUES DE L’APPROVISIONNEMENT ET LA CAPACITE DE PRODUCTION ENVISAGEE
Section I. LES CARACTERISTIQUES DE L’APPROVISIONNEMENT ENVISAGE
§.1. Le mode d’approvisionnement envisagée
§.2. Description de collecte
§.3. L’approvisionnement envisagé
3.1. L’approvisionnement envisagé pour la première année
3.2. L’approvisionnement envisagé sur 5 ans
Section II. LA CAPACITE DE PRODUCTION ENVISAGEE
§.1. Le programme de production
§.2. Programme de vente
Chapitre III. L’ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section I. LA STRUCTURE ORGANISATIONNELLE ADOPTEE PAR L’ENTREPRISE
Section II. DESCRIPTION DES PRINCIPALES ATTRIBUTIONS DU PERSONNEL
Section III. LE CHRONOGRAMME D’EXECUTION DES ACTIVITES
§.1. Préparation et mise en œuvre
§.2. Période de mise en œuvre effective
§.3. Calendrier de réalisation
3.1. Première étape
3.2. Deuxième étape
TROISIEME PARTIE : L’ETUDE FINANCIERE DU PROJET
Chapitre I. COUT DU PROJET ET LES COMPTES DE GESTION
Section I. LE COUT DU PROJET
§.1. Le coût d’investissement
1.1. Les détails des immobilisations
1.2. Tableau d’amortissements des immobilisations
§.2. Le coût de fonctionnement
2.1. Les éléments du coût de fonctionnement
2.2. Modalité de remboursement de l’emprunt
2.3. Le fonds de roulement
Section II. LES COMPTES DE GESTION
§.1. Le compte des charges
§.2. Le compte des produits
Chapitre II. ANALYSE DE LA RENTABILITE DU PROJET
Section I. PRESENTATION DU COMPTE DE RESULTAT PREVISIONNEL
Section II. LE PLAN DE FINANCEMENT
§.1. La capacité d’autofinancement ou (CAF)
§.2. Présentation du plan de financement
§.3. Le cash- flow prévisionnel
Section III. LES BILANS PREVISIONNELS
Chapitre III. EVALUTION DU PROJET
Section I. L’EVALUATION ECONOMIQUE
Section II. L’EVALUATION FINANCIERE
§.1. Selon les outils d’évaluation
1.1. La valeur actuelle nette (VAN)
1.2. Le taux de rentabilité interne (TRI)
1.3. L’indice de profitabilité (IP)
1.4. La durée de récupération des capitaux investis (DRCI)
§.2. Selon les critères d’évaluation
2.1. La pertinence
2.2. L’efficacité du projet
2.3. L’efficience du projet
2.4. La durée de vie du projet
Section III. L’EVALUATION SOCIALE
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES
LISTE DES SCHEMAS
LISTE DES TABLEAUX
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