ÉTUDE DESCRIPTIVE DU RIZ
La description
Le riz, céréale annuelle des régions chaudes de la famille des graminées, de genre Oryza, constitue l’aliment essentiel de près de la moitié de la population mondiale. Le riz joue un rôle primordial dans l’alimentation et la culture malgache. C’est l’aliment de base, voire l’aliment unique de tout un peuple. La quantité nécessaire est considérable, 130 kg par habitant et par an en moyenne. On peut rencontrer la culture du riz, pratiquement dans toutes les régions de Madagascar.
Le riz nécessite une forte insolation, mais il se développe sur une large gamme de sol et atteint généralement 1m de haut. Il présente des fleurs parfaites comportant six étamines et un pistil unique. Le fruit, un grain, se trouve sur une panicule inclinée, composée d’épillets au sommet de la tige. Lorsque, le grain est mûr, le riz ressemble à l’avoine. Contrairement à la majorité des céréales, le riz n’est que rarement transformé en pain, il est généralement consommé bouilli et aromatisé, selon les traditions gastronomiques. Il est courant dans les régions productrices de riz de nourrir les animaux, en particulier les porcs, à partir des sous produits du riz, tels que la farine ou le son. Sa paille est généralement utilisée comme fourrage.
Origine
Le riz, dont la culture remonte à une période très ancienne : 6 500 ans avant J-C en Thaïlande, 3 000 ans avant Jésus-Christ en Chine ou 1 500 ans avant J-C au Niger, est une plante tropicale poussant de préférence dans les contrées chaudes et humides. Il existe dix-neuf espèces différentes de riz. Toutefois, l’espèce Oryza sativa est la plus cultivée et reconnue à Madagascar. Il a comme origine la partie Asiatique. Cependant, certaines variétés, issues de croisement d’O.sativa et d’O.glaberrima, effectué dans les centres de recherches en Afrique, sont largement cultivées à Madagascar.
Valeurs nutritives apportées par la consommation du riz
Selon le traitement qu’il a subi ou selon la façon dont il va être cuit, la valeur nutritionnelle du riz varie. Le riz est très riche en amidon, qui est un sucre lent. L’amidon est de couleur blanchâtre et correspond aux réserves du grain de riz, réserves nécessaires à sa germination. Valeurs énergétiques :Pour les pays en développement, le riz représente environ27% et jusqu’à 60%, pour plus de deux milliards d’asiatiques, et pour les Malagasy, il représente environ 90 % de l’alimentation .Sa valeur calorique est équivalente à celle du blé : aux alentours de 350kcal/100g. Il est pauvre en protéine par rapport à d’autres céréales, 8 à 9 %, alors que le blé, par exemple, apporte 12%.Comme pour d’autre céréales, le riz ne contient pas tous les acides aminés essentiels qui sont indispensables à la croissance. Deux sont absents : la lysine et la cystine.
Le riz est avant tout fournisseur de glucides complexes, essentiellement sous forme d’amidon (amylose et amylopectine). Plus la teneur en amylose est élevée, plus le riz gardera son aspect, même après une cuisson prolongée : les grains resteront détachés et auront augmenté de volume.
Apports vitaminiques et minéraux
Le riz est une bonne source de vitamines B1 et B2, importantes pour l’équilibre et la bonne santé du système nerveux. Malheureusement, le riz est le plus souvent consommé sous sa forme la moins nutritive, c’est – à -dire décortiqué ou blanchi. Ce dernier provoque des avitaminoses, ou maladies par carence, s’il constitue le seul aliment consommé. La plus fréquente c’est le Béribéri, du à une carence en vitamine B. Les riz étuvés sont plus riches en vitamines, car le procédé favorise la migration des vitamines et des sels minéraux au cœur des grains.
Les minéraux, potassium, fer, phosphore, magnésium, environ 1%, sont inégalement répartis dans les différentes couches du grain.
Les divers traitements du riz influencent énormément sa valeur nutritionnelle. Plus il est décortiqué, raffiné, traité, poli, bien blanc, moins il contient de fibres, de vitamines et de minéraux.
Technique de transformation du paddy en riz blanc
Préparez une balance, pour un sac de paddy, dans la petite décortiqueuse de capacité max 300 kg/h. laissez le riz qui se trouve déjà à l’intérieur de la machine. s’il n’y en a pas, décortiquez un peu de paddy d’un autre sac pour remplir et régler la machine ; avant de démarrer, la trémie de la machine doit être vide de tout paddy ; remplir la trémie avec le paddy du sac pesé. toutes les ouvertures de la machine sont fermées ; démarrez la machine. commencez le décorticage. placez bien les seaux de récupération du riz blanc. retourner dans la trémie le riz cargo, pour bien avoir de riz bien décortiqué ; mettre dans la machine blanchisseuse le riz décortiqué et préparer le sac de riz ; ensuite la démarrer, et tout de suite après, on obtient du riz blanc.
Distribution des produits
Dans cette analyse, nous allons parler de la qualité de produit à offrir et la distribution des produits que nous avons adoptés. Commençons d’abord par le choix des canaux de distribution.
Choix des canaux de distribution :Dans notre cas, l’objectif fixé, c’est d’atteindre l’efficience c’est-à-dire avoir le maximum de profit au moindre coût. Il s’agit là d’étudier tous les moyens à mettre en œuvre pour que le produit arrivé jusqu’à la clientèle.
Il existe trois types de circuit pour l’acheminement : le circuit direct est utilisé quand il n’y a pas d’intermédiaire. le circuit court passe par le producteur, vers le détaillant, sans le moindre intermédiaire. le circuit long passe par le producteur vendeur, l’acheteur final ou les consommateurs.
Les riz sur le marché
Le riz local
Les différents types de riz qui existent sur le marché local sont les suivants: Mogodro, Madame Rose, Kiriminy, Karibo @ sezy, Bengaly,Mamoroforo, Mamoriaka, Mena henjana, Vary vato ou Jaotombo, Bekarozaka, kokomoja, IR16, IR8, X 265, X360. Les cinq premières variétés sont les plus chères sur le marché, le kapoaka est actuellement à 4501 Ar.
Le riz importés
Les importateurs de riz de la région DIANA sont : SCIM (Société Commerciale de Madagascar) ; UCODIS (Union Commerciale de Distribution). Pour l’année 2007, la totalité de l’importation de SCIM et de l’UCODIS était de 16000 tonnes .Les riz importés vendus sur le marché sont en provenance de THAILANDE, de PAKISTAN et de CHINE.
Le Marketing Mix
Le marketing mix correspond à l’ensemble des quatre variantes qualifiées de «4P 2» à savoir le Produit, le Prix, la mise en Place (distribution) et la publicité (promotion). Le marketing mix c’est l’art, la science de combiner, parmi un ensemble de moyens d’action, ceux qui permettront d’atteindre, au moindre cout, les objectifs de Distribution et le profit fixé par le marché.
La politique de produit
On appelle produit, tout ce qui peut être offert sur un marché, de façon à y être remarqué, acquis ou consommé, en vue de satisfaire un besoin. Avant de lancer un produit sur le marché, il faut élaborer une ou des stratégies, lui permettant une pénétration et un développement optimal. La politique de produit est la composante primordiale du marketing. Là, comme le produit dépend de ses caractéristiques, entre autres, sa qualité, on sait que les consommateurs veulent des produits de qualité, à un prix raisonnable. Pour fixer la qualité de nos produits finaux, nous devons tenir compte ses exigences des consommateurs c’est-à-dire les ententes et les besoins pour nos produits : riz blanc, sans cailloux, pas de graines noires,…Ce que nous voulons vendre, c’est du riz de bonne qualité. Apres avoir parlé de la politique de produit, passons ensuite à la politique de prix.
La politique de prix
Le prix est le tarif à payer en échange d’un bien ou service .La politique de prix pour chaque produit consiste à fixer son prix de vente. Théoriquement, il peut être obtenu par addition du cout de revient et du bénéfice souhaité. Trois éléments sont pris en compte pour fixer le prix d’un bien :
Le coût : toutes les dépenses afférentes à la production de ce bien, jusqu’à sa commercialisation.
La demande : il faut tenir compte de la situation de la demande de ce bien sur le marché.
La concurrence : le prix de la concurrence demeure important pour fixer le prix d’un produit qui existe déjà sur le marché .Il est plus avantageux de fixer le prix juste en dessous de celui de la concurrence.
Cette politique est révisée périodiquement, au cours de la durée de vie du produit, en fonction de l’évolution des objectifs de l’entreprise. La fixation de prix est une décision majeure, pour deux raisons principales : d’une part, le prix exerce une grande influence sur le volume des ventes de la société, du fait qu’il est souvent un critère d’achat et de choix important pour le client, et d’autre part, il exerce une influence évidente sur les recettes de la société. Actuellement, la fourchette de prix données par les producteurs varie entre 4000Ar et 7500 Ar, par an, le «daba».
La politique de distribution
La distribution, c’est l’ensemble des opérations qui permettent d’acheminer un produit, du lieu de production, jusqu’à la mise à la disposition du consommateur. Un canal de distribution représente le trajet que prend le produit pour arriver aux consommateurs. Ce chemin est plus ou moins long, selon le nombre d’intermédiaire intervenant dans la distribution. Le choix d’un canal de distribution est une décision très délicate, selon la définition de Marketing-mix, principalement pour les deux raisons suivantes :
«la distribution est un élément peu élastique, il est souvent très difficile de changer rapidement la politique de distribution, si les circonstances l’exigent. la distribution est un élément autonome, par rapport à la société».
Différentes stratégies de distribution sont valables, mais nous souhaitons appliquer le circuit long c’est-à-dire nous avons besoin d’un grossiste, comme intermédiaire, dans le circuit de production.
Il est nécessaire de préciser que notre clientèle cible est classifiée comme suit: les ménages; les restaurations ; les éleveurs pour les sons; Nous venons de voir la politique de distribution, passons maintenant à la politique de communication.
La politique de communication
Comme nous le savons, la communication a pour objectif essentiel de transmettre les informations, et de favoriser les ventes. La politique de communication est donc très importante pour les entreprises naissantes. Cette politique est très souvent négligée par les autres firmes.
La communication contribue, non seulement à faire connaître notre propre entreprise, mais aussi à donner une image à nos produits, d’une part, et de se faire distinguer des concurrents, d’autre part.
Ici, le plus important c’est l’image de marque du produit et la notoriété de l’entreprise. Pour y parvenir, l’entreprise devrait employer de nouvelles technologies de la communication, telles que le spot publicitaire, dans les médias audiovisuelles, la distribution de calendrier de nos marques, à la fin et au début de l’année, chez l’épicier, les grossistes de la région, et même au niveau des familles, installation d’une page web, dans un site Internet .La participation à des sponsorings permet aussi de se faire connaître, davantage, auprès du public.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE : ÉTUDE CONTEXTUELLE DU PROJET
CHAPITRE I : PRÉSENTATION DU PROJET
Section I : ÉTUDE MONOGRAPHIQUE DE LA ZONE D’ÉTUDE
I. La situation géographique
I.1. La localisation
I.2.Le climat et la température
II. La situation démographique
II.1. La population Aspect socio- culturel et démographique
II.1.1. Population et démographie
II.2. Le niveau d’instruction et situation vis-à-vis de l’emploi
II.3. Les croyances et les religions
II.3.1.Christianisme
II.3.2.Autres
II.3.3.Les us et coutumes
III. Le site du projet
III.1. La situation démographique
III.2. La situation socio-économique
Section II : LES CARACTÉRISTIQUES DU PROJET
I. Historique
I.1. Historique de la filière riz
I.2. Activité
II. Objectifs
II.1. Les objectifs internes de l’entreprise
II.2. Objectifs externes
III. La forme juridique
Section III : ÉTUDE ORGANISATIONNELLE DU PROJET
I. L’organigramme
I.1 La définition de l’organigramme envisagé
I.2 La structure de l’organigramme
II. La description des principales fonctions du personnel
II.1 Le Gérant
II.2. La secrétaire
II.3 Le responsable d’exploitation
II.4 Le responsable commercial
II .5. Le responsable administratif et financier
II.6. Le magasinier
II.7. Le vendeur
II.8. Le comptable
II.9. Les Ouvriers
II.10. Les Chauffeurs
II.11. Les Agents de sécurité et l’agent de ménages
III. Le chronogramme des travaux et activités
III.1. Première étape
III.2. Deuxième étape
CHAPITRE II : PRÉSENTATION DU MODE D’EXPLOITATION
Section 1 : ÉTUDE DESCRIPTIVE DU RIZ
I. Présentation
I.1. La description
I.2. Origine
II. Etude morphologique
II.1. L’appareil végétatif
II.1.1. Les racines
II.1.2. Les tiges
II.1.3. Les feuilles
II.2. L’appareil reproducteur
III. Valeurs nutritives apportées par la consommation du riz
III.1.Valeurs énergétiques
III.2. Apports vitaminiques et minéral
III.3. Quelques indications
III.4. Remarques sur la valeur nutritive du riz blanchi
Section II : LA CONDUITE DU PROJET
I. L’organisation de la collecte
I.1. Les calendriers
I.1.1.Le calendrier cultural rizicole
I.1.2. Le calendrier de collecte
I.1.3. Les points de collecte
II. Les techniques de stockage
II. 1.Le temps de stockage
II. 2. La méthode de stockage et de conservation
III. La transformation
IV.1. Le rendement d’usinage
IV.1.1. Calcul du rendement d’usinage
IV.1.2. Technique de transformation du paddy en riz blanc
IV. La commercialisation
Section III : LA CAPACITE DE PRODUCTION ENVISAGÉE
I. L’évolution du chiffre d’affaires
II. La production envisagée
III. Aspect qualitatif
III.1. Aspects qualitatifs
III.1.1. La propreté du riz
III.1.2. Les défauts du grain
III.1.3. Les caractéristiques du grain crû
III.1.4.Comportement à la cuisson
III. 1.5. Caractéristiques du grain cuit
CHAPITRE III : ETUDE DU MARCHE VISÉ OU CIBLÉ
Section I : LA DESCRIPTION DU MARCHÉ
I. La zone cible
I.1. Marché local
I.2. Marché périphérique
II. La part visée sur le marché
Section II : ANALYSE DE L’OFFRE ET DE LA DEMANDE
I. Analyse de l’offre et de la demande
I.1. L’offre du riz
I.1.1. la qualité de produit à offrir
I.2. La demande du riz
I.2.1. Besoin en Riz sur le marché local
I.2.2. Consommation moyenne de riz par tête
II. Distribution des produits
II.1. Choix des canaux de distribution
III. La concurrence
III.1. Les riz sur le marché
III.1.1 Le riz local
III.1.2. Le riz importés
III.2. Les distributeurs de riz gasy
III.2.1. Les décortiqueries
III.2.2. Les collecteurs
III.2.3. Les unités similaires
IV. Le prix sur le marché
Section III: LES ASPECTS MARKETING DU PROJET
I. Stratégies marketing
I.1 La stratégie Pull ou Push
I.1.1 La stratégie pull « Tirer »
I.1.2 La stratégie push « Pousser »
II. Le Marketing Mix
II.1 La politique de produit
II.2 La politique de prix
II.3 La politique de distribution
II.4 La politique de communication
III. La stratégie de positionnement concurrentielle à adopter
III.1. Les stratégies du leader
III.1.1. Accroissement de la demande
III.1.2. La protection de la part de marché
III.1.3. L’extension de la part de marché
IV. L’analyse de l’environnement
IV.1 Analyse de l’environnement interne
IV.1.1. Les forces
IV.1.2. Les faiblesses
IV.2 Analyse de l’environnement externe
IV2.1. Les opportunités
IV.2.2. Menaces
DEUXIÈME PARTIE : IDENTIFICATION ET ÉVALUATION DU PROJET
CHAPITRE I : CONDITIONS FINANCIERES
Section I : LES INVESTISSEMENTS ET LEURS FINANCEMENTS
I. Investissements
I.1. Immobilisation incorporelle
I.2. Immobilisations corporelles
I.2. 1. Terrain
I.2.2 Agencement, aménagement et installation
I.2.3 Construction
I.2.4 Les matériels d’exploitation
I.2.5 Les matériels et outillages industriels
I.2.6 Le matériel de transport
I.2.7 Les matériels et mobiliers de bureau
I.2.8 Les matériels informatiques
II. Les amortissements des investissements
II.1 Définition
II.2 La description de la méthode
II.3 Les tableaux d’amortissement des matériels utilisés par le projet
II.3.1 Amortissement de frais d’établissement
II.3.2 Amortissement de construction
II.3.3 Amortissement, agencement, aménagement et installation
II.3.4 Amortissements des matériels et outillages industriels
II.3.5 Amortissement des matériels d’exploitation
II.3.6 Amortissement des matériels de transport
II.3.7 Amortissement des matériels et mobiliers de bureau
II.3.8 Amortissement des matériels informatiques
Section II : LE FINANCEMENT DU PROJET ET LE FONDS DE ROULEMENT
I. Les modes de financement possibles
I.1 Le financement interne
I.1.1 La formation du capital
I.1.2 L’autofinancement
I.2 Le financement externe
I.2.1 Le choix de l’organisme
I.2.2 Les conditions d’octroi de crédit à la BOA Madagascar
I.2.2.1 Les critères subjectifs
I.2.2.2 Les critères objectifs
II. Montant et remboursement de l’emprunt
II.1 Les durées de l’emprunt et les taux appliqués
II.2 Les conditions d’emprunt
III. Le fonds de roulement initial
IV. Le bilan d’ouverture
Section III : LES COMPTES D’EXPLOITATION
I. Les charges d’exploitation
I.1 Les achats consommés
I.1.1 Achat des matières premières en daba
I.1.2 Les autres approvisionnements
I.1.2.1 Achat de fournitures consommables
I.1.2.2.Les emballages et les palettes
I.1.3 Achats non stockés de matières et fournitures administratives
I.1.4 Services extérieurs
I.1.5 Les charges du personnel
I.1.6 Les charges sociales liées aux salaires
I.1.7 La dotation aux amortissements
I.1.8 Les impôts et taxes, versements assimilés
II. Les produits d’exploitation
II .1. La vente de riz blanc
II .2. La vente de son
II.3. Le décorticage des particuliers
CHAPITRE II : ÉVALUATION FINANCIÈRE DU PROJET
Section I : LES COMPTES DE RESULTAT PREVISIONNELS
I. Les comptes de résultat prévisionnels
Section II : LE FLUX DE TRESORERIE PREVISIONNELLE
Section III : LES BILANS PREVISIONNELS
I. Définition
I.1 L’actif du bilan
I.2 Le passif du bilan
I.3 Les capitaux propres
CHAPITRE III : L’ANALYSE FINANCIÈRE DE L’ACTIVITÉ ET ÉVALUATION DE LA RENTABILITÉ
Section I : L’ANALYSE FINANCIÈRE DE L’ACTIVITÉ
I. La capacité d’autofinancement
I.1 Définition
I.2 La détermination de la capacité d’autofinancement
II. Le seuil de rentabilité
II.1 Définition
II.2 Unité du seuil de rentabilité
II.3 Le calcul du seuil de rentabilité
II.3.1 Les charges variables
II.3.2 Les charges fixes
II.3.3 Formule et mode de calcul du seuil de rentabilité
Section II : L’ÉVALUATION DE LA RENTABILITÉ DE L’INVESTISSEMENT
I. Le cash-flow prévisionnel
I.1 Définition
I.2 Taux d’actualisation
II. Evaluation selon les outils et les critères de rentabilité du projet
II.1 La valeur actuelle nette (VAN)
II.1.1 Définition
II.2 Le taux de rentabilité interne (TRI)
II.2.1 Définition
II.2.2 Interprétation
II.3 Les délais de récupérations des capitaux investis ou DRCI
II.3.2 Interprétation
II.4 L’indice de profitabilité (IP)
II.4.1 Définition
III. Selon les critères d’évaluation
III.1. La pertinence
III.2.L’Efficacité
III.3.L’efficience
II.4.Impact du projet
III.5. Durée de vie du projet
Section III : ÉVALUATION D’ORDRE ÉCONOMIQUE ET SOCIAL
I. Évaluation du point de vue économique
I.1 Création de la valeur ajoutée
I.2 Augmentation des revenus
II. L’évaluation du point de vie social
II.1. Création d’emploi
II.2.contribution alimentaire
II.3. Développement de la région
CONCLUSION
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