PROJET DE CRÉATION D’UNE DÉCORTIQUERIE-PROVENDERIE

Analyse de l’offre

                   En général, l’analyse de l’offre sert à mesurer la viabilité du produit sur le marché. Elle consiste à voir les concurrents actuels et à évaluer la position de leurs produits. Comme le centre d’Antsiranana est composé de vingt trois (23) Fokontany plus les cinq (5) autres communes voisines l’offre est encore large. Toutefois, nous avons connu que le district pratique la culture de riz de bas fonds et plaines et aussi de la culture de riz Tavy. Il est caractérisé par différents types de produits : le riz « kiriminy », le riz «mamoroforo », le riz « vary manitra » etc. Théoriquement, la campagne se fait au mois de juin et septembre, la commercialisation en masse de riz se tient environs entre ces mois. Il y a alors dans ce district une période de campagne plus longue par rapport aux autres régions. De ce fait, l’offre du projet peut s’analyser à trois niveaux: les prestations de services à l’usinage, la production de provendes et les ventes de riz blanc et de sons fins.
A- Les prestations de services (usinage de paddy) : Dans la zone du projet, 27 usines y opèrent la transformation de paddy dont 17 dans la commune du Sud-ouest, l’autre dans la commune du Sud-est. Mais dans le district d’Antsiranana I, il existe 9 décortiqueries dont cinq d’entre elles ne fonctionnent plus actuellement. Selon la capacité de ces quatre usines, elles se subdivisent en différents catégories d’opérateurs : décortiquerie du fokontany. Les quatre décortiqueries de la ville emploient en moyenne une vingtaine de personnes, présentent une capacité d’usinage d’environ 1000 à 3000 tonnes de paddy par an. Elle transforme le paddy collecté par ses intermédiaires, installés dans chaque fonkontany de la ville. Cependant le centre nous a proposé la décortication de 4480 Tonnes de Paddy par an, qui correspondent à 10% de la production de paddy du district. Cela va englober la décortication de paddy en évoquant des sons destinés pour à la production de provende et de sons fins vendu.
B – L’offre de provende : L’offre pour la production de provendes est très vaste, malgré la présence de certaines unités qui fournissent des provendes dans le district d’Antsiranana. Le projet n’aura pas de problèmes en fourniture de provende, compte tenu du nombre de têtes de bétails et de volailles dans les communes urbaine et rurales d’Antsiranana. Le projet a comme offre globale d’une taille moyenne de 13.020 têtes, correspondant au volume de production de 36.026 kg de provendes pour le district, et 48974 kg pour les autres districts de la région.
C- L’analyse concurrentielle et la compétitivité : Pour s’implanter dans un secteur, il faudra remplir deux conditions: que l’accès au secteur soit possible et que les concurrents en place laissent s’implanter le nouvel entrant. Il existe de nombreux concurrents sur le marché, mais il n’y a aucune unité qui se spécialise dans la fabrication de provende dans la région DIANA. Le potentiel du marché dans la région est donc encore énorme, car le marché pour ce produit est libre.
1) L’intérêt de la concurrence : Les concurrents sont les commerçants qui rivalisent pour attirer une même clientèle. L’existence des concurrents sur le marché entraine une compétition entre les entreprises. La concurrence permet aux responsables de rechercher de nouvelles stratégies commerciales à adopter. Elle entraine la modernisation des techniques et la recherche de nouvelles technologies.
2) L’identification des principaux concurrents
Pour la décortication : Ce sont des petites entreprises qui servent juste pour décortiquer les paddy du collecteur local. Elles sont implantées à Antsiranana ville.
Pour la provende : Ce sont des commerçants qui commercialisent les provendes venant de la capital (Tananarive) et vendues dans la région DIANA.

L’emballage en polypropylène

           Pour assurer la parfaite condition lors du transport, nous proposons l’emballage en polypropylène. Avec notre emballage en polypropylène, la provende et les riz blanc seront livrés en parfaite condition. Cet emballage est uniquement réservé à la quantité de 50 kg. Il est à noté que la politique de la société peut exiger un maximum sur les gammes de produits, alors que des baisses de prix peuvent être consenties pour les achats en grandes quantités. De plus, cette politique a pour objet de stimuler la demande de la clientèle, par rapport aux prix des concurrents

Le choix du lieu de collecte

             D’après une enquête sur la production agricole, effectuée auprès de la région DIANA, on a pu constater que les districts dans la dite région ont une forte capacité de production en matière de paddy, cependant le niveau d’exploitation est encore faible. Selon cette enquête, on a découvert que cette région possède presque toutes les variétés de riz existant à Madagascar, et les différents produits nécessaires à la réalisation de provende, ce qui s’avère être de très bonne qualité pouvant fournir de produits de qualité pour notre projet. C’est à partir de toutes ces informations que nous avons fixé notre lieu de collecte c’est-àdire dans quelque communes d’Antsiranana telle que la commune Anivorano, Andranofanjava, Mahavanona, Sadjoavato… c’est-à-dire dans les commune environnantes.

Prise en compte de l’amortissement en comptabilité

                    Du point de vue comptable, tous les éléments de l’actif ne sont pas concernés par l’amortissement. Tout d’abord, la notion de dépréciation irréversible ne s’applique qu’à des éléments de l’actif immobilisé (comptes de classe 2). Et parmi ces actifs immobilisés, seuls certains sont susceptibles de connaître des dépréciations irréversibles : il s’agit des éléments de l’actif immobilisé corporel et incorporel (hors droit au bail et terrain). À partir du moment où l’entreprise va enregistrer la perte de valeur de l’élément d’actif concerné par l’amortissement, celui-ci ne pourra plus apparaître dans les comptes de l’entreprise à sa valeur d’acquisition. La présentation du compte de l’actif immobilisé du bilan va donc distinguer différents éléments :
la valeur d’origine (Vo) du bien immobilisé, enregistrée à une valeur hors taxe ; le montant de l’annuité (a) d’amortissement qui constitue le montant de la dépréciation du bien constaté au cours de l’exercice ;
la valeur comptable nette (VNC) du bien qui est la valeur du bien obtenu par la différence entre sa valeur d’origine et la somme des annuités d’amortissement sur ce bien.

La détermination de la capacité d’autofinancement

                Il existe deux méthodes pour la détermination de la Capacité d’Autofinancement ou (CAF):
La méthode additive et la méthode soustractive.
o Se calcul à partir de l’EBE, les produits encaissables et les charges décaissables, d’où la formule suivante :
CAF = EBE + produits encaissables (sauf produit de cession) – charges décaissables.
o Le calcul à partir du résultat net et de l’amortissement.
CAF = Résultat net + charges non décaissables (Dotations aux amortissements, Dotations financières, Moins values sur cession, valeur comptable des actifs cédés) – produit non encaissable

La création de la valeur ajoutée

                 Rappelons que la valeur ajoutée se détermine en retranchant de la production de l’exercice, l’ensemble des consommations intermédiaires fournies par les tiers. La notion de production nereflète pas entièrement l’activité réelle d’une entreprise, puisque la valeur de celle-ci incorpore lavaleur des consommations intermédiaires nécessaires à la réalisation de son produit fini. L’activité d’une entreprise se limite donc à la création de la valeur qu’elle produit, lors de l’élaboration de son produit final. C’est parce qu’elle réalise la valeur ajoutée qu’une entreprise a intérêt à avoir une activité économique. En ce sens, la valeur ajoutée est plus significative que la notion de production, puisqu’elle mesure la richesse réelle créée par celle-ci, du fait de son activité productive, et c’est grâce à ce supplément de valeur que l’entreprise va pouvoir rémunérer les différents acteurs qui ont contribué à sa production. En effet, une entreprise est une structure organisée ayant comme finalité la production et la vente d’un bien ou service, grâce à l’utilisation d’un certain nombre de facteurs de production (facteur travail et facteur capital) et avec l’aide d’un certain nombre de partenaires externes (les apporteurs de capitaux, par exemple). La valeur créée par l’entreprise permet alors à cette dernière de rémunérer les partenaires qui sont au nombre de quatre (4) : le personnel de l’entreprise, facteur de production indispensable. Il perçoit directement un salaire, mais coûte aussi indirectement à l’entreprise qui paye une certaine cotisation sociale, attachée au salaire ; L’État, qui n’intervient pas directement dans la production, y contribue de différentes manières (construction de routes, protection de la propriété privée et sécurité apportée par la police, la justice, etc.). Il perçoit des impôts, taxes et versements assimilés qui lui permettent de financer ses dépenses publiques ; les apporteurs de capitaux internes (les associés) qui procurent à l’entreprise des capitaux propres. Ils perçoivent pour leur part des dividendes, en fonction du nombre d’actions qu’ils possèdent ; les apporteurs de capitaux externes (les banques) qui prêtent à l’entreprise les moyens financiers nécessaires à son développement sont rémunérés par le biais des intérêts perçus sur les emprunts accordés.

La répercussion sur la caisse de l’Etat

              Ce projet contribue à la vie économique de la région, ainsi qu’au développement de notre pays. Grace aux impôts et taxes professionnelles, IBS, IR des employés …versés auprès des centres fiscaux, ils alimentent la caisse de l’Etat, et cela permet au gouvernement de réaliser son programme de développement. Les exploitations commerciales génèrent des valeurs ajoutées qui permettent d’augmenter la consommation future et de faire obtenir des devises à Madagascar.

La pertinence et la cohérence

1) La pertinence : Elle mesure la corrélation entre les objectifs du projet et les objectifs du développement, sur les plans globaux et sectoriels de la région concernée. Le projet est bien compatible avec les objectifs de développement régional, en créant des emplois et en fournissant des biens utiles à la survie humaine.
2) La cohérence : La cohérence vise l’adéquation des moyens du projet aux objectifs et à son environnement, à soutenir des procédures, des outils et des actions qui sont susceptibles de répondre aux objectifs et aux enjeux locaux et départementaux.

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Table des matières

REMERCIEMENTS
LISTE DES ABRÉVIATIONS, DES SIGLES ET ACRONYMES
GLOSSAIRE
INTRODUCTION
PREMIÈRE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : PRÉSENTATION DU PROJET
SECTION I : MONOGRAPHIE DU DISTRICT D’ANTSIRANANA
§1- La situation géographique
A- Délimitation physique
B- Le Climat et les saisons
§2- La situation socio-économique
§3- Le site du projet
§4- La situation démographique
SECTION II: HISTORIQUE ET CARACTÉRISTIQUEs DU PROJET
§1- Historique
A- Historique du projet
1) La filière riz à Madagascar
a) La culture de riz à Madagascar
b) La périodes de culture ou aussi de récolte
c) L’organisation de la filière Riz
2) L’identification des problématiques
a) Transformation du riz
b) Problèmes de production et de commercialisation de riz
3) La situation de la filière riz à Madagascar
4) Les caractéristiques globales de l’agriculture de la Région DIANA
5) Rendement et production de riz dans la région DIANA
B- La situation de l’élevage dans le District d’Antsiranana I
§2- Les caractéristiques du projet
A- Nature du Projet
B- Les Objectifs du travail
1) Les objectifs économiques
2) Les objectifs sociaux
3) Les objectifs pédagogiques
C- Les intérêts du projet
§3- La forme juridique
A- Les différentes possibilités de choix de la forme juridique
B- Le choix du statut
SECTION III : ENVIRONNEMENT GÉNÉRAL DU PROJET
§1- Les différents composants de l’environnement de l’entreprise
A- Les facteurs géographiques et démographiques
1) Les facteurs socioculturels
2) Les facteurs juridiques et institutionnels
3) Les facteurs technologiques
4) Les facteurs sociaux
§2- Les opportunités liées à l’environnement
CHAPITRE II: ÉTUDE DE MARCHE ET ASPECTS MARKETING DU PROJET
§1- La zone cible
§2 – La part de marché visée
A- Ciblage et division du marché
2) Marché de provende
§3- Les services pratiqués par les concurrents
A- Les prix pratiqués
1) Les prix actuels sur le marché
2) Nos prix estimatifs
SECTION II : ANALYSE DE L’OFFRE ET DE LA DEMANDE
§1-Analyse de l’offre
A- Les prestations de services (usinage de paddy)
B – L’offre de provende
C- L’analyse concurrentielle et la compétitivité
1) L’intérêt de la concurrence
2) L’identification des principaux concurrents
§2 – Analyse de la demande
A- Les attentes et motivations des consommateurs
B – Les demandes potentielles visées
1) Au niveau de l’usinage de paddy
2) Au niveau du clivage des exploitations agricoles
3) Demande en provendes
C- La situation actuelle de la demande
SECTION III : LA STRATÉGIE ET LES POLITIQUES MARKETING À ADOPTER
§1- Stratégies marketing
A- La stratégie Pull ou Push
1) La stratégie pull « Tirer »
2) La stratégie push « Pousser »
§2-Les politiques marketings envisagés
A- La politique de produit
1) Définition et description des produits
a) Définition d’un produit
B- La politique de prix
C- La politique de distribution
D- La politique de communication et de promotion
CHAPITRE III : CONDUITE DU PROJET
SECTION I : TECHNIQUE DE PRODUCTION
§1- Le choix du lieu de collecte
§2- Les facteurs de production
A- Le politique d’approvisionnement
B- le système de collecte
C- Le calendrier de collecte
1) La prévision d’achat
§3- Le processus de transformation
SECTION II : La CAPACITÉ DE PRODUCTION ENVISAGÉE
§1- La système de production
§2- Le plan prévisionnel de production
§3- Le planning de conditionnement et de chiffres d’affaires prévisionnels
A- Le planning de conditionnement
B – L’élaboration des chiffres d’affaires prévisionnels
1) Le prix d’achat
a) Les charges d’approvisionnement
b) Les charges de transformation
c) charges de distribution
2) La détermination du prix de revient
3) Le prix de vente
a) La décortication
b) Les provendes
c) Le prix de transformation
SECTION III: ÉTUDE ORGANISATIONNELLE DE L’UNITÉ
§1- La structure organisationnelle
A- Organisation générale de l’entreprise
1) La définition de l’organigramme envisagé
2) Présentation de l’organigramme
§2-Structure et activités des différents postes
A- La structure fonctionnelle de la société
1) Le gérant
2) L’assistant de direction
3) Le chef de service administratif et financier
4) Le chef de service production
5) Le chef de service commercial
6) Le chef de service généraux
B – Le politique de recrutement
C – Le politique de formation
§3- Le chronogramme d’activité
A- La préparation et mise en œuvre
B- Le temps de réalisation
C- Le calendrier de travail
DEUXIÈME PARTIE : ÉTUDE FINANCIÈRE DU PROJET
CHAPITRE I: ÉVALUATION DES INVESTISSEMENTS DU PROJET
SECTION I: ESTIMATION DES INVESTISSEMENTS
§1- Les éléments constitutifs des investissements
A- Les immobilisations incorporelles
B- Les immobilisations corporelles
1) Terrain
2) La construction
3) Agencement, aménagement et installation
4) Matériels de transformation
a) Les matériels de décortiquerie
b) Les matériels de provenderie
5) Équipements de manutention
6) Équipements de bureau
a) Les matériels informatiques
b) Les matérielles et mobiliers de bureau
7) Matériels et outillages industriel
8) Matériels de transport
§2- Les amortissements des investissements
A- Définition
B- Prise en compte de l’amortissement en comptabilité
1) La description de la méthode de calcul
2) Les tableaux d’amortissement des matériels utilisés par le projet
a) Amortissement de frais d’établissement
b) Amortissement de construction
c) Amortissement, agencement, aménagement et installation
d) Amortissements de matériel de transformation
e) Amortissements de matériel de manutention
f) Amortissements de matériel et mobilier de bureau
g) Amortissement de matériel et outillage industriel
h) Amortissements de matériel de transport
i) Amortissements de matériel informatique
SECTION II : LE FINANCEMENT DU PROJET ET LE FONDS DE ROULEMENT
§1- Les modalités de financement du projet
A- Le financement interne
1) La formation du capital
2) L’autofinancement
B- Le financement externe
1) Le financement par fonds propres
2) Le financement par emprunt
3) Le crédit-bail
a) Le choix du mode de financement
b) Les critères d’octroi de crédit
§2- Les différents types de crédit bancaire
A- Le crédit de fonctionnement
B- Le crédit d’équipement
C- Le crédit d’investissement
§3- Montant et remboursement de l’emprunt
A- Les durées de l’emprunt et les taux appliqués
B- Les conditions d’emprunt
§4 – Le Fonds de roulement initial
A- Définition
B- Le bilan d’ouverture
SECTION III : LES COMPTES DE L’EXPLOITATION
§1- Les comptes de produits de la société
A- Le plan prévisionnel de produits de la société
§2- Les comptes de charges
A- Les achats consommés
B- Charges de personnel
1) La rémunération du personnel
2) Les charges sociales
C- Les services extérieurs
D- La dotation aux amortissements
E- Les imprévus
F- Les comptes de charges des cinq premières années d’exercice
CHAPITRE II : L’ÉTUDE DE FAISABILITÉ ET L’ANALYSE DE RENTABILITÉ DU PROJET
SECTION I : ANALYSE DE LA STRUCTURE FINANCIÈRE ET DE LA RENTABILITÉ
§1 – Le compte de résultat prévisionnel
A- Définition
B- Présentation du compte de résultat
SECTION II : LE FLUX DE TRÉSORERIE PRÉVISIONNELLE
SECTION III : LES BILANS PRÉVISIONNELS ET ÉTUDE DES RATIOS DE RENTABILITÉ
§1- Notion et signification financière du bilan
A- Définition
1) L’actif du bilan
2) Le passif du bilan
3) Les capitaux propres
§2- La capacité d’autofinancement
A- Définition
B- La détermination de la capacité d’autofinancement
§3- Étude des ratios et des rentabilités
A- Le seuil de rentabilité
1) Les coûts variables
2) Les coûts fixes
3) Le calcul du seuil de rentabilité
B- Les ratios
1) Les ratios de rentabilité
a Le ratio de rentabilité financière (RF)
b) Le ratio de rentabilité économique (RE)
c) Le ratio de rentabilité commerciale (RC)
2) Le ratio de solvabilité (RS)
3) Les ratios de structure
a) Le ratio d’indépendance financière (RIF)
b) Le ratio de capacité de remboursement (RCR)
c) Ratio sur la valeur ajoutée (Rva)
§3- Les critères d’évaluation de la rentabilité du projet
A- Les cash-flows
1) Le capital investi
a) Le montant du capital investi
b) La durée de vie
c) La valeur résiduelle
2) Les critères de rentabilité
a) La valeur actuelle nette
b) Le taux de rentabilité interne
c) L’indice de profitabilité
d) Le délai de récupération du capital investi
CHAPITRE III : L’ÉVALUATION ÉCONOMIQUE ET SOCIALE
SECTION I : ÉVALUATION ÉCONOMIQUE
§1- La création de la valeur ajoutée
§2- La répercussion sur la caisse de l’Etat
SECTION II : ÉVALUATION SOCIALE
§1- La création d’emplois
§2- L’amélioration du revenu
§3- La sécurité alimentaire
SECTION III : L’APPRÉCIATION DE L’OPPORTUNITÉ DU PROJET
§1- L’efficacité et l’efficience
1) L’efficacité
2) L’efficience
§2- La pertinence et la cohérence
1) La pertinence
2) La cohérence
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES

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