Dans le contexte actuel, le phénomène de la mondialisation règne dans le monde entier qui est en train de subir une transformation. Après la naissance de l’Organisation Mondiale du commerce (OMC) le 01-01-95, Madagascar en devient membre le 17-11 de la même année, la mondialisation devient alors un processus irréversible auquel doivent s’associer, même sans le vouloir presque tous les pays du monde qu’entretiennent des relations internationales. En effet, le commerce et les investissements internationaux ne cessent de s’intensifier. Pour Madagascar, elle doit en profiter pour trouver le chemin vers le développement rapide et durable de l’économie nationale.
Identification du projet
Chronologique du Marketing
Parmi les six provinces de la grande Iles, Antananarivo possède un potentiel industriel. Les entreprises voulant faire une extension de leurs activités se heurtent souvent à des problèmes d’insuffisance et de méconnaissance des services et besoins en Marketing. Compte tenu de ces manques, nous voulons lancer de nouvelles stratégies et prestations en matière de développement. De plus, les difficultés d’améliorer les services Marketing et l’insuffisance du nombre de cabinets, de centre d’études et de conseils en Marketing nous incitent à choisir ce thème.
Régime juridique du projet
La conduite de notre projet se fait au niveau d’une société qui a la forme d’une SARL (Société A Responsabilité Limitée). La SARL est une société dans laquelle les associés ne sont responsables des dettes sociales qu’à concurrence de leurs apports et dont les droits sont représentés par des parts sociales. Elle peut être constituée par une personne physique ou morale, ou entre deux ou plusieurs personnes physiques ou morales. Le capital social doit être supérieur à un montant déterminé par décret pris en conseil du Gouvernement. Il est divisé en parts sociales égales dont la valeur nominale ne peur être inférieur à un montant déterminé par décret pris en conseil du Gouvernement. Notre projet réunit plusieurs associés qui désirent contribuer au développement économique. Toute personne physique ou morale ayant satisfait aux conditions d’adhésion fixées par le statut, ayant obtenu l’approbation de l’Assemblée Générale (AG) et ayant souscrit au capital, peut donc devenir un nouvel associé. Toute personne adhérente n’a qu’une voix proportionnelle à sa part. Chaque membre doit se soucier avant tout de l’intérêt général. L’objectif est d’atteindre un but commun : avoir des bénéfices.
Contexte environnemental du projet
Environnement mondial
L’économie mondiale a subi de profondes transformations au cours des deux dernières décennies. Mais chacun de ces problèmes est en même temps source d’opportunité. La globalisation des marchés élargit le potentiel de chaque entreprise, même si la concurrence devient plus intense. Dans un tel contexte économique, beaucoup d’entreprise à Madagascar s’efforcent de comprimer leurs dépenses et de vendre à bas prix.
Contraintes internationales
Bongré ou malgré, l’ouverture de l’Economie vers l’extérieur et la pratique du partenariat offrent d’heureuses perspectives par la diversification et la réduction des risques dans les relations internationales de la grande Ile. L’utilisation du marketing à Madagascar doit toujours tenir compte de ces diverses caractéristiques de l’environnement et de l’insuffisance des moyens. De ce qui précède, la logique permet de conclure que dans la grande Ile, le Marketing est un outil sous-développé. L’environnement peu propice à son utilisation est accompagné de l’insuffisance des moyens. Ceux-ci freinent les entreprises pour l’exploitation du Marketing dans leur management compte-tenu des résultats escomptés dans l’immédiat.
Environnement économique à Madagascar
Madagascar est parmi les pays en voie de développement malgré ses énormes potentialités économiques. Après la naissance de l’OMC (Organisation Mondiale du Commerce) le 01/01/95, une libéralisation sur le marché incite les pays à émerger dans d’autres pays. Donc, une forte concurrence sur le marché.
Toutefois, certains pays ont su tirer profit de la globalisation du marché telle la Chine, l’Inde et le Brésil. Ces puissances émergentes, auquel s’ajoute l’Afrique du Sud, revendiquent de nouvelles règles. Deux nouveaux regroupements économiques ont également vu :
▶ de type régional : le COMESA (Common Market of East and South African), la COI (Comité de l’Océan Indienne) et la SADC (South African Developement Community)
▶ de type multilatéral : le G3 (le Brésil, l’Inde et l’Afrique du Sud) .
En Afrique, le cas d’Afrique du Sud retient l’attention dans la mesure où il importait de sécuriser les investissements effectués du temps de l’apartheid non encore amortis et où la classe noire dirigeante aspire à intégrer le modèle économiquement et politiquement correct. L’objectif de Madagascar étant son intégration à l’économie mondiale, il lui est nécessaire de considérera ses atouts et ses faiblesses. De grandes potentialités à mettre en valeur Madagascar possède des particularités qu’il lui faut désormais présenter comme des atouts.
Législations Malagasy
Toute société désirant exercer une activité à Madagascar est soumise à la loi régissant toutes les sociétés de droit Malagasy dont le siège et le système de gestion et de compte sont établis à Madagascar. Il faut donc respecter et maitriser les normes internationales sur la qualité, le temps, les coûts etc. Donc, tous cela nécessite d’être performent, compétitif surtout sur la productivité et le rendement. Cela nous amène à entamer le second chapitre qui s’intitule l’étude de marché.
|
Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
Chapitre I : Présentation du projet
Section 1 : Identification du projet
Section 2 : Contexte environnemental du projet
Chapitre II : Etude de marché
Section 1 : Méthodologie
Section 2 : Analyse de la demande
Section 3 : Analyse de l’offre
Chapitre III : L’Heptagone du Marketing Mix
Section 1 : Politique de produit
Section 2 : Politique de distribution
Section 3 : politique de prix
Section 4 : Politique de communication
Section 5 : Le Lobbying
Section 6 : Relations publiques
Section 7 : Le financement
DEUXIEME PARTIE
Chapitre I : Techniques de production
Section 1 : Identification des matériels
Section 2 : Techniques de prestation
Chapitre II : Capacité de prestation
Section 1 : Evolution des chiffres d’affaires et prestation envisagée
Section 2 : Aspects qualitatifs et quantitatifs
Section 3 : Les différents facteurs de prestation
Chapitre III : Etude organisationnelle
Section 1 : Organisation envisagée
Section 2 : Organisation du travail
Section 3 : Chronogramme
TROISIEME PARTIE
Chapitre I : Estimation des investissements
Section 1 : Nature et coûts des investissements
Section 2 : Les amortissements
Section 3 : Le FRI
Section 4 : Plan de financement
Section 5 : Remboursement des dettes
Chapitre II : Etude financière
Section 1 : Les comptes de gestion
Section 2 : Le compte de résultat prévisionnel
Section 3 : Le flux de trésorerie
Section 4 : Les bilans prévisionnels
Chapitre III : Evaluation du projet
Section 1 : Evaluation économique
Section 2 : Evaluation financière
Section 3 : L’impact du projet
Section 4 : Le cadre logique
Conclusion générale
BIBLIOGRAPHIE
ANNEXES