Projet de creation d’un centre de retrouvaille et d’acceuil des de retrouvaille et d’acceuil des mariages

Il était une fois, Dieu a crée la terre et le ciel. Il a crée aussi un homme qui s’appelle Adam et il voit que c’est bon entièrement. Ainsi, il envisageait qu’il vaut mieux lui donner une femme, son épouse qui s’appelle Eve : “ L’Eternel Dieu dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul, je lui ferai une aide semblable à lui ”. GenèseII .

C’est à partir ce parole de Dieu que le peuple du monde suit le phénomène de mariage. De se faire, l’homme ne cesse pas de chercher des moyens pour avoir de l’argent en satisfaisant la vie quotidienne, surtout durant les festivités ou d’évènement familial.

Naturellement, c’est l’homme qui drague premièrement la femme. Mais actuellement, les hommes sont moins nombreux que les femmes en général. Nos constatons que le nombre enregistrées des femmes sont au moins trois fois supérieur à celui des hommes. Le monde évolue et chaque entité que soit famille ou groupe de famille ou société à améliorer la vie familiale. Divers motifs empêchent les hommes d’affronter le monde conjugal. Soit il ( elle ) occupe son temps pour faire des leurs études, soit il ( elle ) est timide ou d’autre cas susceptible d’éventoir lesquels dépendront de Dieu.

LA DESCRIPTION DU PROJET

LA PRESENTATION DU PROJET 

Notion historique et générale du mariage

“ S’AIMER ”, ce n’est pas seulement se regarder les yeux dans les yeux, c’est regarder ensemble dans la même direction ( Saint EXUPERY ). C’est à partir de cette raison que le malgache a renforcé le mariage par diverse loyauté envers la société et à l’église. Les civilisations occidentales, par exemple, font du mariage parla pierre angulaire de la famille. C’est un acte très grave, puisqu’il conditionne d’abord la vie intime, affective, domestique et la vie sociale ainsi que juridique non seulement des deux époux, mais aussi de leur enfants et de tous leurs descendants. Et c’est pour cette raison que l’on estime qu’un tel acte doit revêtir des formes solennelles.

En Italie, dans la ville de Rome, le mariage “ Cum manu ”, qui faisant entrer la femme dans la famille de son mari, exigeait l’emploi de certaines formes sacramentelles, tandis que le mariage “ sine manu ”, laissant la femme appartenir à sa famille d’origine, et n’exigeait pas l’emploi de formes sacramentelles et était purement consensuel.

A Madagascar, le mariage avait de différentes formes qui dépendent des régions. Nous citerons, par exemple que certaines ethnies malgaches poseraient des conditions envers son gendre qu’il devrait voler beaucoup de bœufs, ou de payer une grosse somme d’argents envers ses parents adoptifs. D’autres ethnies pratiqueraient de tester son gendre à une épreuve physique difficile à réaliser.

L’évolution du phénomène existant

Quand le christianisme a été implanté dans l’Empire romain, le mariage faisait réglementairement et l’église a établi certaines prescriptions et défenses spéciales, qui a peu à peu, au cours des siècles, passèrent dans la législation civile. Alors, le mariage deviendrait aux yeux de l’Eglise un acte purement consensuel. C’est un produit, non par la bénédiction religieuse, mais par la volonté réciproque de l’homme et de la femme de vivre ensemble.

Toutes les règles formées par l’Eglise édicteraient ( publication des bans, présence du curé de la paroisse, … ) et seraient un but d’assurer plus de certitude à l’état des personnes… ( et ) combattre les grandes facilités du mariage. Ajoutons qu’en entourant le mariage de certaines solemités religieuses, l’Eglise voulait le spiritualises, renforçant le lien conjugal, et en rendant la rupture plus difficile. Le fait de contracter le mariage est une balise pour la vie d’un couple. A Madagascar, ce caractère solennel du mariage deviendrait une coutume et demeurant dans la législation civile : l’acte de mariage à l’église sera parfois exigé par les écoles catholiques ou d’autres institutions et surtout lors que cette institution a été sécularisée et que la loi civile n’a reconnu de valeur légale qu’au mariage civil.

Mais c’est aux yeux de l’église et c’est l’échange des consentements qui “ fait ” le mariage et qui crée l’union conjugale devant Dieu. Après avoir constaté le consentement des époux, les agents officiers de l’Etat civil ( le Maire de la commune ou ses adjoints) qui sont le “ Ministre ” du mariage et le prêtre de l’église seront déclarer qu’ils attacheront à cet accord que les lois lui permisent.

Le mariage dans le droit traditionnel Malgache

Pour parler le droit “ Hova ”, le plus évolué, le mieux connu et aussi le plus répandu ( car il a fortement influencé la plupart des autres coutumes ), nous trouverons dans le plus ancien monument de ce droit, les kabary d’Andrianampoinimerina (1787 à 1810 ) : “ Si le vodiondry n’a pas eu lieu, je considère que la femme n’est pas votre épouse mais votre combine. Dans cette condition, si vous en surprenez en train de commettre l’adultère, vous en serez pour votre colère, si vous tuez le séducteur, je vous tiendrai comme coupable pour avoir protégé une femme qui se conduit mal. Si les règles n’ont pas été observées, si le mariage ne s’est pas fait et si le vodiondry n’a pas été offert, même si la femme a des enfants, ce ne sont pas vos vrais enfants ; mais des enfants illégitimes, parce que vous n’êtes pas mariés, mais en concubinage ”.

L’idée dominante est certes l’adoption d’une certaine polygame. C’est à dire de plusieurs unions régulières et légales, mais avec une distinction très nette entre mariage et concubinage. Le concubinage ne donnant aux enfants qu’un statut les laissant hors de la famille et ne leur conférant aucun droit à la succession de leur père.

Et il n’y a pas de mariage légitime, aux yeux du souverain merina, que si les formalités coutumières ont été observées : “ Voici également ce que je vous déclare : les enfants illégitimes, à moins d’avoir été adoptés, n’ont pas part à l’héritage, parce que ce ne sont pas de vrais enfants. Et si par hasard, ils prétendent injustement ou bien d’autres personnes en disant : nous n ‘avons pas ménagé notre vie pour accroître vos biens, et cherchent à s’en emparer, je leur mettrai une amende de concubines, et ceux que vous aurez eus d’esclaves affranchies, élèvent des prétentions sur vos biens, j’en ferai ”, dit Andrianampoinimerina, des esclaves à perpétuité”.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : L’IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I: LA PRESENTATION DU PROJET
SECTION 1: LA PRESENTATION DU PROJET
SECTION.2: LES CARACTERISTIQUE DU PROJET
SECTION 3 : LA SITUATION GEOGRAPHIQUES ET DEMOGRAPHIQUE DE LA REGION
CHAPITRE II : L’ETUDE DU MARCHE
SECTION1 : LA SPECIFICITE DU MARCHE
SECTION2 : ANALYSE DE L’OFFRE
SECTION 3 : ANALYSE DE LA DEMANDE
SECTION4 : ANALYSE DE LA CONCURRENCE
CHAPITRE III : LA THEORIE GENERAL SUR LES CRITERES ET LES OUTILS D’EVALUATION
SECTION 1 : LA THEORIE D’EVALUATION SELON LES CRITERES
SECTION 2 : LA THEORIE D’EVALUATION SELON LES OUTILS
SECTION 3 : LA POLITIQUE ET STRATEGIE MARKETING ENVISAGEE
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : LA CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : LA TECHNIQUE DE REALISATION
SECTION 1: LA TECHNIQUE ET LES CONDITIONS DE REALISATIONS SUIVANT LE CENTRE
SECTION.2 : LE DEVOIR DU CENTRE ENVERS LES FUTURS MARIES
SECTION.3 : LA TECHNIQUE D’ACQUISITION DES MATERIELS D’EXPLOITATION ENVISAGEE
CHAPITRE II: LA CAPACITE DE RECEPTION ENVISAGEE
SECTION 1 : L’EVALUATION DE PRESTATION ET DU CHIFFRE D’AFFAIRES
SECTION LES ASPECTS QUANTITATIFS ET QUALITATIFS
SECTION 3 : LES DIFFERENTS FACTEURS DE REALISATION
CHAPITRE III: L’ETUDE ORGANISATIONNELLE
SECTION1 : LES SPECIFICITES DE L’ORGANISATION
SECTION.2: L’ORGANIGRAMME ENVISAGEE
SECTION 3: LE CHRONOGRAMME
TROISIEME PARTIE : LES ETUDES DES FAISABILITE FINANCIERES DU PROJET
CHAPITRE I : LESCOUTS DES INVESTISSEMENTS
SECTION 1 : LES INVESTISSEMENTS NECESSAIRES
SECTION 2 : LES AMORTISSEMENTS DES BIENS
SECTION.3: LE PLAN DE FINANCEMENT
SECTION 4: LES COMPTES DE GESTION
CHAPITRE II : L’ETUDE DE LA FAISABILITE
SECTION 1: LES COMPTES DE RESULTATS PREVISIONNELS
SECTION 2: LES BILANS PREVISIONNELS
CHAPITRE III: L’EVALUATION ET IMPACTS DU PROJET
SECTION 1 : LES EVALUATIONS ET LES IMPACTS ECONOMIQUES
SECTION 2 : LES EVALUATIONS FINANCIERES
SECTION 3 : LES IMPACTS DU PROJET
CONCLUSION GENERALE

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