Projet de creation d’un centre de formation professionnelle agricole agri-voly

Après nos études universitaires, nous sommes confrontés à un marché de travail très étroit. La rude concurrence avec les professionnels expérimentés limite nos chances de trouver un travail stable. Sachant aussi que dans la Région de Bongolava, la plupart de la population vit dans le monde rural. Presque 90% de la population de cette Région sont des agriculteurs. Mais actuellement, le mot le plus célèbre est « la crise alimentaire ». L’intensification de la formation agricole est donc très importante dans tout Madagascar. Ainsi, les parents ont aussi des problèmes pour scolariser leurs enfants dans la capitale, nous avons constaté ces situations et avons décidé de contribuer à la résolution de ces problèmes et de renforcer la capacité des agriculteurs de la Région. C’est pour cela que nous avons choisi le thème intitulé « CREATION D’UN CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNELLE AGRICOLE AGRI-VOLY A ANKADINONDRY – SAKAY ».

PRESENTATION ET DESCRIPTION DU PROJET

Le but principal de l’étude de la présentation du projet est de faire des analyses si le projet est viable dans l’environnement socio-économique de la région où nous allons implanter le projet. L’interdépendance entre l’environnement et les services offerts par l’entreprise est un facteur clé pour la réussite d’un projet.

Justification interne et externe du projet

Pour mieux justifier notre projet, nous allons démontrer sa pertinence. Tout projet devrait donc avoir des influences favorables et positives sur le développement à Ankadinondry – Sakay et essor de potentialité économique de la région ou d’envergure national.

Interne

Evolution agricole de la région

Madagascar est parmi les derniers à être des pays industrialisés car notre culture se base sur la culture rizicole, or la superficie d’exploitation des paysans sont des héritages d’où petite équivalant 0,5 hectare par famille avec des petites parcellés. La plupart de l’agriculture compatible à la saison de district de Tsiroanomandidy est la culture vivrière. La culture d’Ankadinondry – Sakay est favorable à la saison sèche et à la saison pluviale.

Externe

Genèse

L’agriculture est le secteur d’activité primordiale à Ankadinondry – Sakay. Le projet qui est justifié par des priorités indiscutable et qui s’accorde aux orientations de la politique nationale ; donc peut avoir de bonne chance de viabilité . C’est un projet opérant dans le domaine de l’enseignement. Après analyse et enquêtes menées auprès de la population locale, c’est-à-dire, à Ankadinondry – Sakay, nous avons pu constater que le problème qui entraîne le faible taux de scolarisation en secondaire est le frais de déplacement pour la plupart des sujets. Il y a aussi le problème social comme aider ses parents. Selon les parents, leurs enfants peuvent les aider dans les activités quotidiennes s’ils ne fréquentent pas les écoles de la capitale, c’est-à-dire, s’ils suivent leurs études localement. Donc, il est favorable de créer un centre de formation locale comme le nôtre.

En terme opérationnel, dans le secteur éducatif, il est évident que tout malgache doit fréquenter l’école. Cependant, face au niveau de vie actuel du peuple malgache constaté être en régression totale et surtout face à la menace de la crise alimentaire mondiale, presque la majorité des parents surtout les ruraux pensent que l’envoi de leurs progénitures à l’école n’est qu’une perte de temps et le surcroît de l’inefficience du taux de réussite aux différents examens de leurs enfants les déçoivent complètement.

Tous les malgaches devraient avoir, en terme éducatif, le droit d’aller à l’école. Pour ce faire, face à la situation actuelle de niveau de vie, ils ont un tort de penser qu’on a perdu de temps d’apprendre et d’aller à l’école. Les forces et faiblesses de la situation sus citées, le Président de la deuxième République procède à des tournées fréquentes dans la campagne pour persuader les peuples qu’ils seront l’avenir de notre nation en lançant comme slogan « commander, c’est prévoir ».

Pour ce faire, le Président de la troisième République fit lancer un programme de cadre scolaire et orienter les élèves aux futurs techniciens en tant que jeunes, nonobstant qu’ils n’ont pu continuer leurs études à l’enseignement supérieur, leurs diplômes acquis au lycée les permettent déjà de s’ingérer dans le monde du travail professionnel.

Environnement général du centre

Le projet et son environnement : l’environnement du centre est global, d’une part l’environnement externe : la valeur culturelle, politique, économique et sociale. D’autre part, l’environnement interne : la ressource financière, humaine et matérielle. L’environnement du centre aussi peut définir comme étant une identification de partenaire du projet :
– Les clients, les fournisseurs, les associations des consommateurs, les concurrents, les banquiers, les actionnaires, les micro-finances ou les institutions financières, les syndicats, l’2tat et les grandes écoles comme l’université ;
– Pareillement, la relation internationale, l’évolution démographique, le socio – culturel et le climat, …

Dans ce contexte, le centre est un système complexe constitué par des hommes et des techniques : Direction, cadre et ouvrier, qui n’a pas de pouvoir de contrainte sur son environnement, mais qui est capable de satisfaire les besoins des hommes individuels ou collectifs de produire des biens ou des richesses. De s’adapter à l’environnement notamment concurrentiel.

Développement de la Région

Certes, ce projet sera bénéfique pour la Région de BONGOLAVA du fait que sa réalisation contribuera à :
– l’amélioration du niveau de vie des gens dans cette région par le biais des richesses à dégager dans le projet et matérialiser par les valeurs ajoutées dans nos états financiers
– l’amélioration du niveau d’instruction des personnes dans cette localité tout en observant les enseignants à apporter de cette entreprise moderne basée sur les cultures des sciences de gestion du temps moderne, c’est-à-dire cohérence entre les trois options à savoir marketing, finances comptabilité et organisation.
– la longévité de vie des gens situant dans ladite région tout en jouissant les impacts positifs dans la future réalisation du projet (gestion rationnelle des ressources rares et le sauvegarde de l’environnement) .

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PARTIE I : IDENTIFICATION DU PROJET
INTRODUCTION PARTIELLE DE LA PREMIERE PARTIE
CHAPITRE I : PRESENTATION ET DESCRIPTION DU PROJET
Section 1 : Justification interne et externe du projet
Section 2 : Caractéristiques et choix du projet
CHAPITRE II : ETUDE DE MARCHE
Section 1 : Description de marché et aspect marketing
Section 2 : Politique et stratégie marketing envisagées
CONCLUSION PARTIELLE DE LA PREMIERE PARTIE
PARTIE II : ETUDE DE FAISABILITE TECHNIQUE ET ORGANISATIONNELLE DU PROJET
INTRODUCTION PARTIELLE DE LA DEUXIEME PARTIE
CHAPITRE I : FAISABILITE TECHNIQUE D’EXPLOITATION
Section 1 : Procédure technique du centre
Section 2 : Spécificités et programmes de base de la formation agricole avec
calendrier cultural
Section 3 : Description de ressources nécessaires
CHAPITRE II : FAISABILITE ORGANISATIONNELLE DU PROJET
Section 1 : Organisation de travail
Section 2 : Description des principales tâches
Section 3 : Organigramme envisagé du centre
Section 4 : Chronogramme d’activité
CONCLUSION PARTIELLE DE LA DEUXIEME PARTIE
PARTIE III: EVALUATION FINANCIERE, ECONOMIQUE ET ORGANISATIONNELLE DU PROJET
INTRODUCTION PARTIELLE DE LA TROIXIEME PARTIE
CHAPITRE I : INVESTISSEMENTS NECESSAIRES
Section 1 : Coûts des investissements initiaux
Section 2 : Tableaux pour le plan d’amortissements des années 1, 2 et 3, 4, 5
CHAPITRE II : ETUDE DE RENTABILITE ET ETATS FINANCIERS
Section 1 : Plan de financement
Section 2 : Remboursement de dettes et emprunts
Section 3 : Bilan d’ouverture
Section 4 : Comptes de gestions
Section 5 : Comptes de résultats
Section 6 : Tableau de flux de trésorerie par méthode directe
CHAPITRE III : EVALUATION DU PROJET
Section 1 : Evaluation financière
Section 2 : Evaluation économique et sociale
Section 3 : Cadre logique
CONCLUSION PARTIELLE DE LA TROIXIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE
Bibliographie
Annexes

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