La globalisation de l’économie nationale développe les divers secteurs économiques du pays. L’Etat Malagasy essaie d’orienter et de baser ses efforts sur la collectivité décentralisée et de favoriser le monde rural pour pouvoir fournir des productions (vivrières, industriel, exportation, …) ce qui permet notre pays de chercher toujours une coopération économique régionale : ce qui fait que Madagascar ferait son entrée dans la SADC. L’Ile va donc entamer ses premiers pas dans un univers qui lui est inconnu, mais dans l’espoir d’en tirer des bénéfices. Ce qui n’est pas gagné d’avance, l’Etat a insisté pour que Madagascar soit intégré dans la SADC.
En effet, les hommes d’affaires malgaches et les opérateurs étrangers installés dans l’Ile se craignent, à tort ou à raison de e faire que de la configuration. En fait, adhérer à l’association internationale comme la SADC, le COMESA, c’est d’accepter, l’entrée dans le territoire national des produits en provenance des Etats membres. Des matières premières et autres marchandises manufactures, partiellement ou entièrement taxées. Au moins les articles chinois ne seront plus les seuls à dominer le marché malgache.
L’unique pays qui pourrait inquiéter les industriels locaux est l’Afrique du Sud. Ce gérant du continent est d’ailleurs appelé à être le leader de la SADC, notamment son secteur agroalimentaire et celui des nouvelles technologiques. Quelques avantages sont quand même à signaler, comme celui de pouvoir importer des intrants et des produits finis d’Afrique du Sud avec des taxes dérisoires, tendant vers une taxe zéro d’ici deux ans. Ainsi, les fabricants locaux d’huile alimentaire et de produits laitiers en seront les premiers bénéficiaires, vu que les Sud africains sont de grands producteurs de soja et de lait en poudre.
En retour, nos usines concernées, telles que Tiko et seulement dans une certaine mesure. Socolait pourraient exporter vers des pays membres, géographiquement proches de Madagascar, Mozambique, Zambie et la Tanzanie. Vu ces situations, nous sommes probablement avantageux d’exporter des produits locaux qui ne sont pas parfois nos produits de base notamment le maïs, le manioc ou d’autres produits alimentaires durables vers les pays africains.
IDENTIFICATION DU PROJET
CARACTERISTIQUES DU PROJET
Contexte
AMBATONDRAZAKA est indiquée comme un des lieux agricoles spéciaux dont dispose la Région d’ALAOTRA MANGORO, ses spécificités résident sur sa nature du sol et du lac. Ensuite, la réhabilitation de la Route Nationale N°44 constitue un point fort de ce projet. Actuellement, le nombre de consommateurs ne cesse pas d’augmenter tant nationaux qu’étrangers. Cette opportunité résulte de la nature de la position géographique, des ressources naturelles et des sols fertiles que la région possède. Par ailleurs, dans le cadre du développement économique durable de la Commune, il importe de mentionner que le secteur agricole figure parmi les pôles promoteurs d’épanouissement de l’économie de la région.
En outre, la région d’Ambatondrazaka constitue un endroit plus idéal pour la collecte et pour la décortiquerie de riz. Elle est favorable à la riziculture et à la transformation de paddy pour destination de vente.
Avantages et caractéristiques techniques du projet
Les objectifs globaux et disponibilités alimentaires, les objectifs spécifiques du promoteur et du site de ce projet constituent ces avantages et ces caractéristiques techniques.
Objectifs globaux et disponibilités alimentaires locales
La population malgache est en moyenne une population jeune et essentiellement rurale. Elle se concentre sur les hautes terres. La population rurale vit dans une multitude de petites exportations agricoles dont les produits sont principalement destinés à l’auto consommation. En général, Madagascar subit deux saisons bien distinctes à savoir la période de soudure ou saison verte et la période de collecte. Durant la première phase, la production est fréquemment insuffisante laquelle aboutirait une baisse des disponibilités alimentaires et un accès limité aux aliments.
Parfois, cette période est passagère pour les agriculteurs et pour les consommateurs, mais ils pourraient aboutir à des néfastes inconvénients notamment la sous-alimentation des clients demandeurs et une forte prévalence de maladies infectieuses sans prise en charge sanitaire, est déterminant l’importance de la malnutrition. Pour réduire ces phénomènes, la réalisation de ce projet le résoudrait davantage et il pourra approvisionner les clients durant la période de soudure.
PRESENTATION DE LA ZONE D’IMPLANTATION
Choix de la région
La région d’ALAOTRA MANGORO possède quatre (04) districts à savoir Ambatondrazaka, Moramanga, Amparafaravola, Andilamena, Anosibe Anala. De ce fait, nous choisirons la Commune Urbaine d’Ambatondrazaka qui serait un champ d’action du présent projet grâce à sa situation stratégique du moment qu’elle est parmi la ville charnière. De plus, Ambatondrazaka est le centre urbain de la région et la plupart de la population est paysan qui est le premier fournisseur de notre centre pendant l’année.
Situation économique du site du projet
Dans le District d’Ambatondrazaka, le niveau de vie des paysans est plus que moyen. La plupart des gens pratiquent la culture vivrière, l’élevage ou le commerce, mis à part les fonctionnaires. Quant à la riziculture, elle est sous deux formes actuelles pluviale et irriguée, apparaît partout dans la région d’Alaotra Mangoro. Un fait qu’il faut rattacher à l’importance du riz aussi bien dans l’alimentation des familles que comme source de revenus. Toutefois, la production en riz augmente de plus en plus grâce à la pratique des techniques modernes. Cette augmentation peut améliorer le niveau de vie de la population afin qu’elle puisse produire davantage.
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Table des matières
INTRODUCTION GENERALE
Première Partie : IDENTIFICATION DU PROJET
Chapitre I : PRESENTATION DU PROJET
Section 1 : CARACTERISTIQUES DU PROJET
Section 2 : PRESENTATION DE LA ZONE D’IMPLANTATION
Section 3 : RESSOURCES ALIMENTAIRES DE LA REGION
Chapitre II : ETUDE DE MARCHE ET ASPECTS MARKETING DU PROJET
Section 1 : DESCRIPTION ET ENVIRONNEMENT GENERAL DU MARCHE VISE
Section 2 : ANALYSE DE L’OFFRE
Section 3 : ANALYSE DE LA DEMANDE
Section 4 : ANALYSE DE LA CONCURRENCE
Section 5 : ASPECTS MARKETING DU PROJET
Chapitre III : THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ET LES CRITERES D’EVALUATION DU PROJET
Section 1 : OUTILS D’EVALUATION
Section 2 : CRITERES D’EVALUATION DU PROJET
Deuxième Partie : CONDUITE DU PROJET
Chapitre I : TECHNIQUE DE CULTURE ENVISAGEES PAR LE CENTRE
Section 1 : IDENTIFICATION DES RESSOURCES NECESSAIRES
Section 2 : CULTURE FAVORABLE POUR LE RIZ
Section 3 : DIFFERENTES SORTES DE CULTURE DE RIZ
Chapitre II : TECHNIQUE DE REALISATION
Section 1 : DIVERSES COLLECTIONS DES PRODUITS
Section 2 : MAITRISE ET GESTION DES RISQUES AFFERENTS
Section 3 : REALISATION DES MATERIAUX ENVISAGES
Chapitre III : CAPACITE DE REALISATION
Section 1 : CAPACITE DE COLLECTE
Section 2 : ASPECTS QUALITATIFS ET QUANTITAFS DU PROJET
Chapitre II : ETUDE ORGANISATIONNELLE DU PROJET
Section 1 : ORGANIGRAMME
Section 2 : ORGANISATION DE TRAVAIL
Section 3 : CHRONOGRAMME D’ACTIVITES
Troisième Partie : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
Chapitre I : COUT DES INVESTISSEMENTS
Section 1 : COUT D’INVESTISSEMENT
Section 2 : TABLEAUX D’AMORTISSEMENTS
Section 3 : PLAN DE FINANCEMENT
Section 4 : REMBOURSEMENT DES DETTES
Chapitre II : ETUDE DE FAISABILITE ET DE RENTABILITE
Section 1 : COMPTES DE GESTION
Section 2 : BILANS PREVISIONNELS
Section 3 : COMPTES DE RESULTATS PREVISIONNELS
Section 4 : TABLEAUX DE FLUX DE TRESORERIE
Chapitre III : EVALUATION DU PROJET
Section 1 : EVALUATION ECONOMIQUE DU PROJET
Section 2 : EVALUATION SELON LES OUTILS ET SELON LES CRITERES
CONCLUSION GENERALE