PROGRAMMES SCOLAIRES D’HISTOIRE DU PREMIER ET SECOND CYCLES

DISCIPLINE D’HISTOIRE DANS LES PROGRAMMES SCOLAIRES MALGACHES

                 A Madagascar, le système éducatif est organisé par l‟Etat. L‟approbation avant usage des manuels scolaires par les ministères chargés de l‟Education est obligatoire. Les programmes sont nationaux. Les organisations, dans la plupart des domaines, au sein de chaque école sont toutefois aisées: disposition de cours, activités extrascolaires… Comme les dirigeants nouvellement installés après l‟indépendance n‟ont pas eu la permission d‟apporter des innovations ou des réformes dans le domaine de l‟enseignement lors des accords de coopération signés avec la France, les programmes d‟enseignement d‟Histoire à Madagascar reprenaient le programme français de 1960 à 1967, malgré l‟existence de la note circulaire N°15277 EN-A/1 portant sur l‟introduction de l‟Histoire et de la Géographie de Madagascar dans le programme. Les thèmes étudiés dans les classes secondaires jusqu‟en terminale sont les suivants:
– L‟étude du XVII et XVIIIème siècles en classe de seconde.
– La révolution française de 1789-1799 en classe de première. Puis, l‟histoire de Madagascar depuis 1896 jusqu‟à nos jours. après la publication de la note circulaire N° 15277 En-A/1.
– L‟époque contemporaine (autour du XIXe siècle jusqu‟en 1939) en classe terminale.
On peut affirmer, d‟après l‟analyse thématique du programme, que les thèmes étudiés portent majoritairement sur l‟étude de la civilisation occidentale, surtout française. Mettant l‟Europe au centre de toute activité politique, économique et culturelle, cette situation peut se qualifier comme européocentriste. Pour cela, il devient évident de surestimer la culture européenne en sous-estimant les autres cultures des « pays périphériques » jugées « traditionnelles, barbares et non civilisées » comme la nôtre. Afin d‟ajuster le contenu de tout enseignement aux besoins de leur pays53, les Etats africains d‟expression française récemment indépendants ont fait des efforts pour réviser et harmoniser les programmes d‟histoire. C‟était la conférence des Ministres des affaires culturelles et de l‟éducation nationale des pays francophones d‟Afrique à Paris en 1967qui a défini le programme d‟histoire de 1967. On abordait l‟étude de la préhistoire jusqu‟à la fin du VIe siècle en classe de 6ème. La civilisation asiatique, entre l‟Orient et l‟Occident, gréco-romain et judéo-chrétien. L‟étude du monde du début du VIIème siècle à la fin du XVIe siècle (naissance de l‟Islam, le développement de la civilisation chrétienne occidentale, l‟apogée de l‟Inde et les grandes découvertes.) pour la 5 ème. Quant à la classe de 4ème, on entamait la fin du XVIe jusqu‟en 1815 (les transformations de l‟Europe, la traite négrière en Afrique, l‟ère des Révolutions et les royaumes malgaches). En 3ème, on focalisait sur l‟histoire du monde de 1815 à nos jours comprenant les mouvements des nationalistes en Europe, en Amériques, en Afrique et à Madagascar. L‟histoire de l‟Afrique des origines au milieu du XIXe siècle (préhistoire africaine, la traite négrière) jusqu‟en 1896 était étudiée en Seconde quand on se concentrait sur l‟histoire du monde de 1870 à la seconde guerre mondiale (impérialisme, crise de 1929), l‟Afrique et Madagascar à la veille de la poussée impérialiste jusqu‟en 1939 en Première. Enfin, l‟étude du monde contemporain (1939-1960), ladécolonisation et la naissance du tiers-monde à l‟exemple de Madagascar se faisait en Terminale. L‟étude historique du monde tout entier était inclue dans ce programme de 1967. Mais comme ce programme était initié par des responsables des pays africains d‟expression française avec l‟IPAM (Institut Pédagogique Africain et Malgache), la France restait toujours présente malgré le fait qu‟on ait donné une place considérable à l‟Afrique et à Madagascar. Le retour cyclique des thèmes au premier et second cycles des secondaires est évidemment mis en place par ce programme. Et chaque cycle suit la période classique de l‟histoire. Comme les planificateurs du programme de 1973 se sont basés sur l‟ancien programme de 1967 en maintenant l‟ancien programme pour les classes de 6ème, 5ème, 4ème et 3ème , les programmes scolaires surtout d‟histoire n‟avaient pas connu de grand changement pendant la période transitoire (1972-1976). L‟histoire et la géographie s‟apprenaient donc toujours séparément et c‟est plutôt dans l‟introduction du nouveau programme intégré à partir de la classe de Seconde jusqu‟en Terminale qu‟on a trouvé de changement (Cf. Annexe IX). L‟Histoire et la Géographie sont traitées ensemble. Exemple, en Seconde, « Madagascar jusqu‟en 1896 » du programme 1967 devenait « L‟homme dans la zone chaude : un exemple d‟évolution de civilisation : Madagascar ». Les disciplines « Histoire, la Géographie et l‟Instruction Civique » sont fusionnées puis dotée d‟un nouveau nom TAJEFI (Tantara sy Jeografia ary Fitaizana ho Isam-bahoaka) par les planificateurs du programme CNEP 1973. Entre 1976-1986, comme les élèves de T6 à T9 n‟ont pas fait aucune étude sur la civilisation de la Préhistoire, de l‟Antiquité, du Moyen-âge, de la Renaissance et du Classicisme, ils n‟ont pas de connaissances sur les civilisations universelles, ils sont plutôt orientés vers les réalités nationales qui sont en général des faits contemporains. . Le programme ne présente alors aux élèves que de Madagascar, qui, après avoir subi l‟exploitation du système capitaliste, est un pays sous-développé, et seule la voie socialiste saura le sortir du sous développement. Comme les thèmes sur le système capitaliste, le système socialiste est étudié en T8, T9, T11 et T12, avec des études de cas : l‟URSS et la Chine (Cf. Annexe IX).

Définitions de curriculum scolaire

              D‟après Arieh LEWY : « La spécification détaillée des objectifs et des contenus dans une discipline donnée est généralement désignée par le terme programme d‟enseignement. Le programme scolaire est donc plus large : Il contient à la fois le programme d‟enseignement et les directives portant sur les stratégies d‟enseignement et les activités d‟apprentissage. » D‟après le professeur Louis d‟Hainaut56, grand spécialiste de l‟élaboration des curriculums dans les pays francophones, « un curriculum est un projet éducatif qui définit :
– les fins, les buts et les objectifs d‟une action éducative ;
– les voies, les moyens et les activités mis en œuvre pour atteindre ces buts ;
– les méthodes et les outils pour évaluer dans quelle mesure l‟action a porté ses fruits. »
D‟après V et G de Landsheere eux aussi ont précisé que : « Les questions de curriculum portent toujours sur les fins de l‟éducation et les programmes seront d‟autant plus efficaces et clairs qu‟ils s‟expriment en comportements à apprendre et subsidiairement, en liste de matières ». Le curriculum est une stratégie éducative qui définit :
– Les objectifs à atteindre au cours de l‟apprentissage, en terme non seulement de savoir mais aussi de comportements (savoir faire et savoir être) ;
– Les contenus de l‟enseignement ;
– Les moyens et les stratégies de mise en œuvre pour atteindre les objectifs ;
– Les méthodes et les outils pour évaluer dans quelle mesure l‟action a porté ses fruits.

La reprise de l’histoire universelle

               Si le programme avant 1986 relevait de l‟étude de Madagascar au cours du premier cycle du secondaire, contrairement à cela, à partir de 1986, on a remarqué une grande expansion du champ d‟étude historique car le programme représentait une large ouverture vers l‟étranger. Toutes les civilisations du monde entier sont à approfondir depuis la classe de sixième jusqu‟en terminale (Cf. Annexe IX). L‟étude de plusieurs pays dont l‟Afrique, l‟Amérique latine, l‟Amérique anglo-saxonne, l‟Europe, l‟Océanie, l‟Asie et surtout Madagascar ont été donc réintroduits dans le programme par les planificateurs de programme. On aborde bien la notion de civilisation à la classe de seconde. Le but pédagogique c‟est que les élèves assimilent une méthode d‟apprentissage dont ils en auront besoin pour comprendre l‟évolution historique de l‟humanité. Que chaque peuple possède sa propre civilisation à lui. Les élèves doivent avoir une connaissance générale de l‟histoire dans le temps aussi bien que dans l‟espace et ils doivent avoir certaines connaissances sur les thèmes marquant l‟histoire universelle. L‟objectif étant de former les élèves à maîtriser les concepts fondamentaux de l‟histoire de la civilisation malgache suivi de la capacité de pouvoir situer exactement l‟histoire de Madagascar dans l‟histoire universelle, on a intégré l‟histoire de Madagascar dans le cycle universel (Cf. Annexe IX).

LE CONCEPT DE L’EPOQUE CONTEMPORAINE

                 Pourquoi y a-t-il ces points communs des objectifs de l‟enseignement de l‟Histoire du Collège et Lycée dans le Curriculum ?
a- Définition conceptuelle : L’Époque (période ou histoire) contemporaine est la dernière grande période de l’Histoire. Pour les historiens français, elle commence avec la Révolution française et couvre le XIXe siècle, XXe siècle et le début du XXIe siècle63. Les autres historiens du monde entier n‟ont jamais partagé cette convention des historiens français du XIXe siècle (définition académique de l’histoire contemporaine en 1830). Dans le sens où des témoins, des contemporains de ces évènements sont encore en vie, les derniers 75 ans environ avant le présent sont toujours couverts dans l’Époque contemporaine d‟après la terminologie universelle des historiens sauf celle des historiens français. Pour ces derniers, la lecture actuelle du mot « contemporain » est « au sens où les événements qu’elle couvre ont des conséquences directes sur le monde actuel ».
b- Application dans l’enseignement : A la fin de chaque cycle des secondaires (En classe de 3ème pour le Collège et Terminales pour le Lycée), on va terminer les programmes en « Monde Contemporain ».

Association de la discipline histoire à la géographie dans les cycles de secondaire

                  En effet, les deux disciplines ont longtemps été réunies dans le cadre d’une relation hiérarchique stricte : la géographie était une discipline ancillaire de l’histoire. Daniel Nordman a bien décrit cette relation dans : la géographie a été sur la longue durée “l’œil de l’histoire”69. En 1843, l‟Histoire s‟est séparée de la Géographie; La Géographie est délaissée70 . En 1860, dans la période qui précède la formation de l’école française de géographie régionale par Vidal de la Blache et ses disciples, Levasseur joue également un rôle important dans la refonte ou la création d’enseignements scolaires de géographie71.En 1870, le choc de la défaite face à la Prusse remet la géographie à l’honneur. Cette mission matérialise une réelle prise de conscience des lacunes de l’éducation classique française72. Elle aboutit aux instructions de 1872, réformées en 1890 et 1902, qui construisent une géographie scolaire autonome, dotée de programmes et d’horaires précis73. De ce point de vue, l’étude exige qu’on fasse à la géographie et à l’histoire une part égale. Vidal, dans un article de 1913, qui est presque sa conclusion de ce point de vue, affirme clairement que la géographie, en tant que discipline, a des caractères qui permettent de la distinguer des autres champs du savoir74. Dès lors, l’autonomisation de la géographie n’a aucun sens. Même la Géographie physique a besoin de l‟Histoire. C‟est pourquoi l‟évolution des paysages physiques est appelée: Géographie rétrospective75. Quand la Géographie économique s‟apparait, l‟acteur principal de l‟économie reste toujours l‟homme en mutation et l‟évolution humaine est nommée Géo historique76. C’est en fonction de ces conceptions que l’interstice entre histoire et géographie va s’organiser à partir de la fin des années 1940 jusqu’à la fin des années 1950.Une “action en faveur d‟une convergence des deux sciences sociales, l‟histoire et la géographie, qu‟il n‟y a aucun avantage à séparer l‟une de l‟autre”77. Pour resituer les choses, en 1953 Darby publie dans les Transaction and Papers de l‟Institute of British Geographers un article sur les relations de l‟histoire et de la géographie. Cet article propose une catégorisation des différents usages que chacune des disciplines fait de sa consœur. Le partage qui affecte à l‟Histoire le passé et à la Géographie le présent. Mais le présent actuel devient passé à demain. Alors, l‟association de l‟Histoire Géographie78est née.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE : LES CARACTERISTIQUES DES PROGRAMMES SCOLAIRES D‟HISTOIRE A MADAGASCAR ET OBSERVATIONS DE QUELQUES ETABLISSEMENTS A AMBATONDRAZAKA
Chapitre I : LES CARACTERISTIQUES DES PROGRAMMES SCOLAIRES D‟HISTOIRE A MADAGASCAR
1- LE SYSTEME EDUCATIF ET PROGRAMMES SCOLAIRES A MADAGASCAR
1-1-HISTOIRE DE SYSTEME EDUCATIF A MADAGASCAR
1-1-1-L’éducation avant l’indépendance
A- L‟éducation avant l‟arrivée des Européens
B- Education à Madagascar au XIXème siècle
C- L‟éducation à Madagascar pendant la colonisation (1896-1960)
1-1-2-L’enseignement à Madagascar après l’indépendance
A- L‟enseignement à Madagascar pendant la première République (1960-1975)
B- L‟enseignement à Madagascar pendant la deuxième République (1975-1991)
C- L‟enseignement à Madagascar pendant la troisième République (1991-2014)
1-2-LES PROGRAMMES SCOLAIRES CLASSIQUES ET L‟APPROCHE CURRICULAIRE
1-2-1- Les programmes scolaires
A- Définitions et caractéristiques
B- Histoire des programmes scolaires malgaches
C- Discipline d‟histoire dans les programmes scolaires malgaches
1-2-2-Le curriculum scolaire
A- Définitions et caractéristiques
B- Elaboration de curriculum scolaire à Madagascar
C- Discipline d‟histoire dans le curriculum
2- LES LIENS ENTRE LES PROGRAMMES D’HISTOIRE AU COLLEGE ET AU LYCEE
2-1-LE RETOUR CYCLIQUE DES PROGRAMMES D‟HISTOIRE AU COLLEGE ET AU LYCEE
2-1-1-Les ressemblances des programmes d’histoire au collège et au lycée
A- Les points communs des objectifs
B- Les points communs des volumes horaires
C- Les points communs des thèmes à étudier
2-1-2-Les raisons des similarités des programmes d’histoire au collège et au lycée
A- Concept de l‟époque contemporaine
B- Concept de discipline d‟histoire scolaire aux cycles secondaires
C- Concept de mémoire et répétition historique
2-2-LES ARTICULATIONS DES PROGRAMMES D‟HISTOIRE AU COLLEGE ET AU LYCEE
2-1-1- La suite logique des programmes d’histoire à chaque niveau et cycle
A- Les grandes divisions de l‟histoire du monde à chaque cycle
B- Les additifs d‟objectifs de l‟histoire au second cycle
C- Les surplus des contenus de leçon au second cycle
2-2-2-Les raisons des liens des programmes d’histoire à chaque niveau et cycle secondaires
A- Concept de chronologie historique
B- Théorie de taxonomie de Bloom au premier et second cycle
C- Concept de causalité et réflexion historiques
Chapitre II : OBSERVATIONS DE QUELQUES ETABLISSEMENTS A AMBATONDRAZAKA 
1-CHOIX ET GEOGRAPHIE HISTORIQUE DE LA COMMUNE URBAINE D’AMBATONDRAZAKA
1-1-DELIMITATION GEOGRAPHIQUE
1-2-TOPONYMIE D‟AMBATONDRAZAKA
2-LES ETABLISSEMENTS CIBLES
2-1-LES ETABLISSEMENTS PUBLICS
2-1-1-Localisation géographique du CEG et lycée d’Ambatondrazaka
A- Situation du Collège
B- Situation du Lycée
2-1-2-Historique de l’établissement public
A- L‟ancienneté de l‟établissement : un atout
B- Le rattachement auparavant du lycée au collège : un autre atout
C- Respect du programme en vigueur : Atout des écoles publiques
2-2-ETABLISSEMENT PRIVE
2-2-1-Localisation géographique de l’INA Ambatondrazaka
2-2-2-Historique de l’établissement INA
A- Origine : initiation des Enseignants compétents dispensant des cours préparatoires aux examens officiels
B- Etablissement privé : résultats promettant
C- Collège et lycée dans un même établissement : Atout
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : LES IMPACTS DU RETOUR CYCLIQUE DES THEMES ETUDIES EN HISTOIRE AUX ELEVES-ENSEIGNANTS DES CYCLES SECONDAIRES ET LES PROPOSITIONS DE SOLUTIONS POUR AMELIORER LA QUALITE DE L‟ENSEIGNEMENT/APPRENTISSAGE DE L‟HISTOIRE
Chapitre 1 : LES IMPACTS DE LA REPETITION DES THEMES ETUDIES EN HISTOIRE AUX ELEVES-ENSEIGNANTS DES CYCLES SECONDAIRES
1-EFFETS DE LA REPETITION DES THEMES D’HISTOIRE AUX ENSEIGNANTS
1-1- DES DIRECTEURS OU RESPONSABLES
1-1-1-Effets de la répétition des thèmes d’histoire aux responsables du CEG RAZAKA
A- Programme scolaire d‟histoire officiel respecté
B- Enseignants d‟histoire bien repartis
1-1-2-Effets de la répétition des thèmes d’histoire aux responsables du lycée RANOHAVIMANANA Norbert
A- Programme scolaire d‟histoire officiel à terminer
B- Enseignants d‟histoire à multi classe
1-1-3-CEG ET LYCEE privé INA
A- Programme scolaire d‟histoire officiel bien utilisé
B- Enseignants d‟histoire spécialisés aux examens officiels
1-2-LES IMPACTS DE LA REPETITION DES THEMES AUX ENSEIGNANTS EN CLASSES
1-2-1-Enseignants du collège
A- Constats des enseignants du CEG RAZAKA sur les programmes scolaires d‟histoire et mesures adoptées par eux
B- Constats des enseignants du CEG INA sur les programmes scolaires d‟histoire et mesures adoptées par eux
1-2-2- Les enseignant(e) (s) du lycée
A- Constats des enseignants du lycée RANOHAVIMANANA Norbert sur les programmes scolaires d‟histoire et mesures adoptées par eux
B- Constats des enseignants du enseignants lycée INA sur les programmes scolaires d‟histoire et mesures adoptées par eux
2-REPERCUSSION DE LA REPETITION DES THEMES D’HISTOIRE AUX ELEVES
2-1-LES THEMES ASSIMILES OU NON PAR LES COLLEGIENS ET LES LYCEENS
2-1-1-Mémorisation des thèmes étudiés par étudiant
A- Mémorisation des thèmes difficiles aux élèves
B- Mémorisation des thèmes faciles aux élèves
C- Confrontation élèves-enseignants concernant le degré de difficulté des thèmes d‟histoire
2-1-2-Classification des thèmes étudiés par les étudiants
A- Les thèmes difficiles à digérer par les élèves
B- Les thèmes bien assimilés par les élèves
2-2-COLLEGIENS ET LYCEENS CONSCIENTS
2-2-1-Elèves observent la répétition des thèmes
A- Collégiens conscients de la répétition des thèmes
B- Lycéens conscients de la répétition des thèmes
2-2-2-Les causes des classifications des thèmes proposées par élèves-enseignants
A- Commentaires des tableaux : confrontation collège/lycée
B- Commentaire des tableaux : confrontation de l‟établissement public et privé
Chapitre II: AMELIORATION DE LA QUALITE DE L‟ENSEIGNEMENT/ APPRENTISSAGE DE L‟HISTOIRE ET DERIVES A TRAVERS DES PROPOSITIONS DE SOLUTIONS ENVISAGEABLES ET PERSPECTIVES D‟AVENIR
1-PROPOSITIONS D’AMELIORATION DE LA QUALITE DE L’ENSEIGNEMENT DE L’HISTOIRE ET DES PROGRAMMES EN VIGUEUR
1- 1-SOLUTIONS A COURT ET MOYEN TERMES
1-1-1-Amélioration d’enseignement d’Histoire au collège
1-1-2-Amélioration d’enseignement d’Histoire au lycée
1-1-3-Renforcement de capacités pour une meilleure maîtrise du curriculum
1-2-SOLUTIONS A LONG TERME
1-2-1-Amélioration des programmes
A- Amélioration des programmes scolaires d‟histoire
B- Amélioration des programmes de géographie et de l‟éducation civique
1-2-2-Formation et aide aux Enseignants chercheurs
1-2-3-Changement de mentalité
2- PERSPECTIVES D’AVENIR
2-1-PERSPECTIVES A COURT ET MOYEN TERMES
2-1-1-Préparation de textes législatifs à soumettre aux instances concernées
2-1-2-Organisation d’un atelier national d’élaboration et de validation de programmes
A- Elaboration des programmes scolaires d‟histoire
B- Elaboration des programmes scolaires de géographie
C- Elaboration des programmes scolaires d‟éducation civique
2-2-PERSPECTIVES A LONG TERME
2-2-1-Mise en place d’un mécanisme de suivi de l’application des programmes en vigueur
2-2-2-Création d’une structure pérenne de formation des Enseignants d’histoire
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
CONCLUSION GENERALE
LISTE BIBLIOGRAPHIQUE / ANNEXES

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