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LE PROGRAMME ELARGI DE VACCINATION AU SENEGAL
Historique
Le Programme élargi de vaccination (PEV) a été lancé en 1974 par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
L’OMS fournira des vaccins contre six maladies, notamment : le BCG, le DTCoq (diphtérie – tétanos – coqueluche), le vaccin polio oral et le vaccin anti-rougeoleux. Le vaccin trivalent contre la rougeole, les oreillons et la rubéole a été rajouté par la suite dans les pays industrialisés.
Puis, trois autres maladies ont été incluses dans le PEV : la fièvre jaune en 1988 en zone d’endémie amarile, l’hépatite à virus B en 1992, l’infection à Haemophilus influenzae type b (Hib) en 1998.
Les vaccins anti pneumococcique conjugué, antirotavirus, anti-papillomavirus et le vaccin anti rubéole ont été introduits plus récemment.
Au Sénégal, le Programme Elargi de Vaccination (PEV) a été lancé en 1979. Il visait la réduction de la morbidité et de la mortalité liées à sept maladies cibles que sont : la tuberculose, la poliomyélite, la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, la rougeole et la fièvre jaune.
L’évolution la plus remarquable est l’élargissement de la gamme de vaccins offerts aux enfants : les maladies ciblées sont passées de 07 à 12 entre 2004 et 2016.
Le vaccin contre l’hépatite B qui était initialement administré dans le cadre du Programme National de Lutte contre l’Hépatite B (PNLHB) a été officiellement introduit dans le PEV en 2004. En juillet 2005, le vaccin contre les infections à Haemophilus influenzae b (Hib) a été introduit, portant le nombre d’antigènes à neuf. Cet antigène initialement administré dans une présentation séparée a été combiné au DTC-Hep B à partir de 2005, donnant naissance au « Pentavalent » DTC-HepB-Hib.
Entre 2013 et 2014, cinq nouveaux vaccins ont été introduits : vaccin anti pneumococcique conjugué 13 valent (PCV13), vaccin contre la rubéole combiné à la rougeole (RR), vaccin monovalent contre les diarrhées à rotavirus, le vaccin polio inactivé (VPI) et le vaccin monovalent contre les hépatites B à la naissance (Hep B).
Par ailleurs, une seconde dose de RR a été introduite en 2014 et est administrée aux enfants à partir de 15 mois.
En octobre 2018, on assiste à l’introduction du vaccin anti VPH dans le PEV. Le Sénégal est le premier pays d’Afrique de l’Ouest, soutenu par GAVI, à introduire le vaccin anti-VPH dans son programme de vaccination systématique.
Objectifs
L’objectif du PEV est de contribuer à la réduction de la mortalité infanto – juvénile et l’amélioration de la santé de la mère par la vaccination et la surveillance des maladies cibles du PEV et à potentiel épidémique.
Pour cela il faudra donc éradiquer (poliomyélite), éliminer (tétanos, rougeole) ou contrôler les maladies cibles. L’atteinte de ces objectifs nécessite d’améliorer au niveau mondial la couverture vaccinale en général, en faisant en sorte que la couverture nationale de vaccination des enfants de moins d’un an soit de 90 % au minimum et que la couverture vaccinale atteigne au moins 80 % dans tous les districts, y compris la couverture antitétanique des femmes enceintes. [33]
Population cible
Les enfants représentent la population cible pour chacune des maladies cibles et les femmes enceintes pour la couverture antitétanique.
En octobre 2018, le vaccin contre le virus du papillome humain (VPH), qui protège contre le cancer du col de l’utérus, a été introduit dans le programme national de vaccination systématique du Sénégal.
De ce fait, jusqu’à ce jour, au Sénégal, la cible de la vaccination de routine est représentée par les enfants de 0 à 15 mois et agés de 09 ans mais aussi les femmes enceintes. [33, 56]
Organisation territoriale
Au plan institutionnel, l’organisation et la gestion du PEV ont tiré profit de la restructuration du Ministère de la Santé en 2005 avec la mise en place d’une Direction de la Prévention Médicale au sein de laquelle se trouvent la Division de l’Immunisation et celle de la Surveillance Epidémiologique. Cette restructuration s’est accompagnée d’un renforcement en ressources humaines au niveau central et a permis d’améliorer de manière significative la gestion du programme.
• Définition Politiques, Stratégies, Normes et Directives
• Mobilisation et allocation ressources
• Coordination et suivi
• Appui aux Régions et Districts
• Application des Politiques et Normes
• Coordination et Supervision
• Suivi évaluation et Monitorage
Stratégies
Au Sénégal il existe trois types de stratégies dans le PEV de routine:
• La stratégie fixe
• La stratégie mobile
• La stratégie avancée
La stratégie fixe
Elle s’effectue au niveau des centres de santé, des postes de santé, des centres de soins privés confessionnels, des infirmeries parapubliques et privés disposant d’un personnel qualifié et d’un équipement approprié. Cette stratégie est effectuée dans un rayon de 05 km.
La stratégie mobile
Elle est assurée par l’équipe mobile du district au niveau des localités éloignées et difficiles d’accès. Cette stratégie est effectuée au-delà de 15 km. Elle permet la constitution d’une équipe suffisante et compétente qui diffusera l’information et pratiquera des vaccinations sûres et efficaces. Pour les équipes mobiles, la collaboration active du chef de village et des chefs réligieux est un facteur souvent essentiel à la réussite du PEV. La stratégie porte à porte comme son nom l’indique consiste à visiter individuellement chaque concession et y vacciner toutes les personnes cibles. Elle est pratiquée surtout lors des Journées Nationales de Vaccination contre la Poliomyélite (JNV). Cependant, elle peut être une opportunité pour renforcer les activités du PEV de routine.
La stratégie avancée
Elle est effectuée régulièrement par le personnel des centres fixes au niveau des localités situées dans un rayon de 05 à 15 km.
Les vaccins et maladies cibles
Vaccin antituberculeux (BCG)
Il s’agit d’un vaccin qui protège le nourrisson contre les formes graves de la tuberculose (miliaire, méningite tuberculeuse).
C’est un vaccin vivant atténué qui se présente sous forme de poudre lyophilisée et doit être reconstitué avant usage à l’aide du solvant qui l’accompagne. Il est indispensable de n’utiliser que le solvant fourni avec le vaccin.
Il est administré par voie intradermique au bras, avant l’âge de 01 mois et une seule injection est suffisante.
La plupart des enfants présentent une légère tuméfaction au point d’injection qui disparaît normalement dans les 30 minutes qui suivent. Au bout de 02 semaines environ, il se développe une petite ulcération rouge qui persiste pendant 02 semaines encore, puis guérit en laissant une petite cicatrice d’environ 05 mm de diamètre qui indique que l’enfant a bien été immunisé.
Vaccin antipoliomyélitique oral (VPO)
Le vaccin antipoliomyélitique oral (VPO) protège contre le virus responsable de la poliomyélite.
C’est un vaccin vivant atténué liquide qui protège contre les sérotypes 1, 2 et 3.
Il en existe plusieurs formes :
• Trivalent : utilisé dans le cadre du PEV de routine et qui protège contre les trois sérotypes;
• Bivalent 1 + 3 : utilisé dans le cadre des campagnes de vaccination et qui protège contre les sérotypes 1 et 3;
• Monovalent 1 ou 3 : utilisé dans le cadre des campagnes de vaccination et qui protège contre les sérotypes 1 ou 3.
Il est administré par voie orale, dès la naissance, jusqu’à deux semaines après la naissance pour la 1ère dose. Quatre doses orales sont nécessaires et doivent etre espacées d’un mois.
Le VPO provoque peu d’effets secondaires. Moins de 1 % des gens qui reçoivent ce vaccin présentent une diarrhée ou des douleurs musculaires.
Le risque de poliomyélite paralytique vaccinale est très faible, 02 à 04 cas sont notifiés pour chaque million d’enfants vaccinés.
Vaccin polio Inactivé (VPI)
Le vaccin poliomyélitique inactivé est un vaccin à virus inactivé trivalent (poliovirus types 1, 2 et 3) , actuellement proposé seul ou en association avec d’autres vaccins.
Il est administré par voie intramusculaire dans la partie antérolatérale de la cuisse chez le nourrisson en une dose unique à l’âge de 14 semaines en association avec une dose de VPO.
Des réactions locales pouvant survenir telles qu’une douleur au site d’injection ou une induration survenant dans les 48 heures.
Vaccin combiné pentavalent (DTC-HepB-Hib)
C’est un vaccin liquide tué qui protège contre 05 maladies: la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B et l’infection à Haemophilus influenzae type b.
Il est administré par voie intramusculaire à la face antérieure de la cuisse. Il est recommandé d’effetuer 03 doses : à l’age de 06, 10, et 14 semaines ; puis des rappels devront ȇtre effectués.
Les réactions au pentavalent sont normalement bénignes : fièvre, douleur, rougeur ou une tuméfaction au point d’injection.
Vaccin contre l’hépatite B (Hep B monovalent)
Il s’agit d’un vaccin monovalent, qui protège uniquement contre l’hépatite B. Il est disponible sous forme liquide dans des flacons de verre unidoses ou multidoses.
Le vaccin monovalent contre l’hépatite B est administré à la naissance ou avant la fin des 48 heures par voie intramusculaire, dans la cuisse chez les nourrissons et dans le muscle deltoïde chez les adultes et les enfants. Une seule injection est suffisante.
Le vaccin antihépatite B est très sûr, de légers effets indésirables transitoires peuvent se produire après la vaccination, notamment une douleur au point d’injection ou une fièvre. Des réactions allergiques graves au vaccin, par exemple une urticaire, des difficultés respiratoires ou un état de choc, sont rares.
Vaccin antitétanique (VAT)
L’anatoxine tétanique est un vaccin tué qui protège contre le tétanos. Elle se présente sous forme liquide et est disponible sous un certain nombre de combinaisons différentes :
• Le vaccin antitétanique-antitétanos néonatal qui ne protège que contre le tétanos et le tétanos néonatal;
• Le vaccin antidiphtérique-antitétanique qui protège contre la diphtérie et le tétanos. Parce qu’il contient des concentrations élevées d’anatoxine diphtérique, il ne doit pas être administré aux enfants de plus de 06 ans ni aux adultes.
• Le vaccin antitétanique-antidiphtérique pour adulte est comparable au vaccin antidiphtérique-antitétanique, mais renferme une dose plus faible d’anatoxine diphtérique. Il convient aux enfants de plus de 06 ans et aux adultes, y compris les femmes enceintes.
Administrés à des femmes en âge de procréer, les vaccins contenant de l’anatoxine tétanique protègent non seulement celles-ci contre le tétanos, mais aussi leur nouveau-né contre le tétanos néonatal.
Ils provoquent très peu de réactions graves mais assez souvent des réactions bénignes : Une fièvre et/ou douleur légère, une rougeur, une sensation de chaleur et une tuméfaction au point d’injection pendant un à trois jours à la suite de la vaccination. Cette réaction bénigne a tendance à être plus fréquente au fur et à mesure des rappels.
Vaccins contre les infections à rotavirus
Il s’agit d’un vaccin vivant atténué, utilisé pour la prévention de gastro-entérites dues à une infection à rotavirus. Il se présente sous forme de liquide prêt à l’emploi dans un tube en plastique et correspond à une dose de vaccin. Il est administré par voie orale, à 06 et 10 semaines.
Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés dans la semaine suivant la vaccination concernent des réactions temporaires de faible intensité de type fièvre, diarrhée et vomissements.
Vaccin anti pneumococcique conjugué
C’est un vaccin qui protège contre les infections systémiques et mucorales à Streptococcus pneumoniae et influençant sur la colonisation rhinopharyngée.
Il est constitué de sucres (polysaccharides) provenant de la capsule externe de la bactérie Streptococcus pneumoniae qui sont conjugués avec un vecteur protéique. Il protège les enfants âgés de moins de 02 ans.
L’administration se fait par voie IM profonde à la cuisse à 06, 10 et 14 semaines.
Le vaccin antipneumococcique conjugué est sûr et bien toléré. Les effets secondaires sévères attribuables au vaccin sont extrêmement rares. Des effets secondaires légers tels qu’un site d’injection douloureux ou un épisode fiévreux ont été rapportés chez moins de 5% des vaccinés.
Vaccin antiamaril (FJ)
Il s’agit d’un vaccin vivant atténué qui protège contre la fièvre jaune.
Il se présente sous la forme d’une poudre lyophilisée qui doit être reconstitué avec son solvant avant usage.
L’ administration se fait en S/C ou IM au bras, à partir de 09 mois et une seule injection est nécessaire.
Les réactions bénignes à ce vaccin sont des céphalées, des douleurs musculaires ou une fièvre bénigne.
Les effets secondaires graves sont rares.
Vaccin antirougeoleux-antirubéoleux (RR)
Il s’agit d’une combinaison entre le vaccin contre la rubéole et le vaccin contre la rougeole sous forme de vaccin RR. C’est un vaccin vivant atténué qui se présente sous la forme d’une poudre lyophilisée, accompagnée d’un solvant dans un flacon séparé.
Il est administré par voie sous-cutanée.
Deux doses sont recommandées dont la première à partir de 09 mois et la deuxième à partir de 12 mois. Tous les enfants, à l’âge de 24 mois, devraient avoir reçu 02 doses du vaccin contre la rougeole et la rubéole.
Une seule dose confère une immunité durable supérieure à 95%, similaire à l’immunité naturelle.
La 2ème dose permet d’accroître la proportion de ceux qui recevront au moins une dose de vaccin et permet d’assurer l’immunité contre la rougeole et la rubéole chez des enfants précédemment vaccinés et qui n’auraient pas développé une telle immunité.
Des réactions bénignes à la vaccination ne sont pas rares. Une douleur au point d’injection, une fièvre ou une éruption cutanée peuvent survenir et disparaître dans les deux ou trois jours sans aucun traitement. Les réactions graves au vaccin antirougeoleux sont rares
Vaccin contre le virus du papillome humain (VPH)
Il existe deux types de vaccins synthétiques qui protègent contre les infections à papillomavirus de génotypes 16 et 18 (mis en cause le plus fréquemment dans les lésions précancéreuses du col utérin) dont l’un quadrivalent (protégeant contre les génotypes, 6, 11, 16 et 18) et l’autre bivalent (protégeant contre les génotypes 16 et 18).
La vaccination cible les jeunes filles entre 09-13 ans, avant le début des premiers rapports sexuels.
Les deux vaccins s’administrent en trois doses par injection. La première dose est espacée de 04 semaines (01 mois) ou 08 semaines (02 mois) à la deuxième dose et un intervalle de 06 mois est requis entre la 2ème et la 3ème dose. (Schématiquement : 0, 01 et 06 mois pour le quadrivalent et 0, 02 et 06 mois pour le bivalent).
Il a été démontré que les vaccins contre le cancer du col de l’utérus sont des vaccins sûrs. Leur administration par injection peut provoquer des effets secondaires modérés, tels que : douleur, rougeur ou gonflement sur le bras qui a reçu l’injection et/ou légère fièvre ou céphalées. On observera plus rarement une éruption prurigineuse ou de l’urticaire. [14, 16, 33, 56, 58, 61]
Supplémentation en vitamine A
La vitamine A a été introduite sous forme de supplémentation chez les nourrissons et les enfants de 06 à 59 mois suite aux directives de l’OMS depuis 2011.
Cette supplémentation en vitamine A fortement dosée est recommandée dans les contextes où les carences en vitamine A représentent un problème de santé publique pour réduire la morbidité et la mortalité chez l’enfant.
Les nourrissons et les jeunes enfants ont des besoins accrus en vitamine A pour soutenir leur croissance rapide et les aider à lutter contre les infections.
Chez les nourrissons de 06 à 11 mois (y compris ceux séropositifs pour le VIH) une dose de 100 000 UI de vitamine A doit être administrée une fois.
Pour les enfants de 12 à 59 mois (y compris ceux séropositifs pour le VIH) la dose administrée est de 200 000 UI de vitamine A tous les 04 à 06 mois. [44]
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : RAPPELS
1. GENERALITES SUR LA VACCINATION ET LES VACCINS
1.1. Définition des concepts
1.2. Intérêts de la vaccination et de la couverture vaccinale
2. RAPPELS SUR LA VACCINATION ET LES VACCINS
2.1. Historique des vaccins
2.2. Bases immunologiques
2.3 Principaux types de vaccins
2.4. Technique et voies d’administration des vaccins
2.5 Association des vaccins
2.6. Contre-indications et effets secondaires de la vaccination
2.6.1. Contre-indications de la vaccination
2.6.2. Effets secondaires de la vaccination ou manifestations adverses postimmunisation
2.7. Conservation des vaccins
3. LE PROGRAMME ELARGI DE VACCINATION AU SENEGAL
3.1. Historique
3.2. Objectifs
3.3. Population cible
3.4. Organisation territoriale
3.5. Stratégies
3.5.1. La stratégie fixe
3.5.2. La stratégie mobile
3.5.3. La stratégie avancée
3.6. Les vaccins et maladies cibles
3.6.2. Vaccin antipoliomyélitique oral
3.6.3. Vaccin polio Inactivé
3.6.4. Vaccin combiné pentavalent
3.6.5. Vaccin contre l’hépatite B
3.6.6. Vaccin antitétanique
3.6.7. Vaccins contre les infections à rotavirus
3.6.8. Vaccin anti pneumococcique conjugué
3.6.9. Vaccin antiamaril
3.6.10. Vaccin antirougeoleux-antirubéoleux
3.6.11. Vaccin contre le virus du papillome humain
3.6.12. Supplémentation en vitamine A
3.6.13. Le calendrier vaccinal du PEV en vigueur au Sénégal en 2019
4. PROGRAMME VACCINAL LIBRE OU HORS PEV ET RAPPELS VACCINAUX
4.1. Calendrier vaccinal libre et rappels
4.2. Vaccins non integrés dans le PEV
4.2.1. Vaccin contre la fièvre typhoïde
4.2.2. Vaccin antimeningococcique A,C et W135
4.2.2.1. Le vaccin polysaccaridique
4.2.2.2. Le vaccin conjugué
4.2.3. Vaccin antigripal
4.2.4. Vaccin contre l’hépatite A
4.2.5. Vaccin Pentavalent
4.2.6. Vaccin Tétravalent
4.2.7. Vaccin Hexavalent
4.2.8. Vaccin ROR
5. COUVERTURE VACCINALE ET IMPACT DE LA VACCINATION
5.1. Dans le monde
5.3. Au Sénégal
DEUXIEME PARTIE : NOTRE ETUDE
1. CADRE DE L’ETUDE : HOPITAL DE RECRUTEMENT
1.1. Description des services
1.1.1. Le service d’accueil et d’urgence
1.1.2. Les services d’hospitalisations
1.1.3. Les services de consultation spécialisée et de suivi ambulatoire
1.1.4. Les services techniques
1.2. Description du personnel
1.2.1. Le personnel médical
1.2.2. Le personnel paramédical et technique
1.3. Activités du SAU
1.4. Activités universitaires
2. MATERIEL ET METHODES
2.1. Type de l’étude
2.2. Population d’étude
2.3. Période d’étude
2.4. Taille de l’échantillon
2.5. Recueil des données
2.6. Définition des variables
2.7. Analyses statistiques
2.7.1. Analyses descriptives
2.7.2. Analyses d’associations
1. Taille de la population
2. Répartition selon le sexe de la population
3. Répartition selon l’âge de la population
4. Répartition selon l’âge de la mère
5. Répartition selon le nombre d’enfants dans la fratrie
7. Répartition de la population selon l’ethnie de la mère
8. Répartition de la population selon le régime matrimonial de la mère
9. Répartition de la population selon le niveau d’instruction des parents
10. Répartition de la population selon l’activité professionnelle des parents
11. Répartition de la population selon le rang de l’enfant dans la fratrie
12. Répartition de la population selon la disponibilité du carnet de vaccination
13. Données relatives à l’accouchement
14. Données relatives au suivi postnatal
15. Répartition de la population selon le lieu de vaccination
16. Répartition de la population selon la survenue et le type de manifestations adverse post immunisation (MAPI)
17. Répartition de la population selon le statut vaccinal
18. Répartition de la population selon les connaissances de la mère sur la vaccination
18.1. Répartition selon l’importance de la vaccination
18.2. Répartition selon l’utilité de la vaccination
18.3. Répartition selon l’âge de début de la vaccination de l’enfant
18.4. Répartition selon le nombre de contact vaccinal
18.5. Répartition selon l’âge d’arrêt de la vaccination chez l’enfant
18.6. Répartition selon les sources d’information sur la vaccination
19. Couverture vaccinale de la population
20. La répartition selon les causes d’abandon ou de non-recours à la vaccination69
21. Description de la couverture vaccinale RR2
21.1. Répartition des caractéristiques sociodémographiques des parents et de l’enfant selon la vaccination RR2
21.2. Données relatives au suivi prénatal selon la vaccination RR2
21.3. Données relatives au suivi post-natal selon la vaccination RR2
22. Identification des facteurs associés à la vaccination
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXE
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