Programme National de Lutte contre les Maladies Diarrhéiques

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Situation socio-économique :

L’économie sénégalaise est basée essentiellement sur l’agriculture mais le pays est encore loin de l’autosuffisance alimentaire. L’élevage a souffert comme l’agriculture de la sécheresse persistante. La pêche par contre subit une forte expansion. C’est d’ailleurs le seul sous secteur où le Sénégal est auto-suffisant sur le plan alimentaire. Le secteur industriel qui représente 25 % du produit intérieur brut (PIB) joue un rôle important dans l’économie nationale.
Le Sénégal est un pays à faible revenu économique. Le PIB est estimé à 520 Dollars US par habitant en 1998, avec un poids de l’aide publique au développement qui atteint 9,7 % du PIB.
En terme de développement humain, le rapport mondial du PNUD 2000 place le pays à la 155eme place sur une liste de 175 pays ce qui conforte l’idée de la dégradation des conditions de vie ; 47,9 % de la population vit avec moins de 1 dollar US (700 F CFA) par jour et 19 % de la population n’a pas accès à l’eau potable.
Des programmes d’ajustement structurel ont été adoptés dans les années 1980. Ces programmes ont eu un impact négatif sur les secteurs sociaux notamment dans le domaine sanitaire.
Face à cette situation, le Sénégal a élaboré un Document de Stratégie de Réduction de la Pauvreté (DSRP) comportant un volet santé.
Le taux de croissance de l’économie qui est resté longtemps en dessous de celui de la croissance démographique, commence à augmenter de façon significative (environ 6 % en 1999) avec des fluctuations allant jusqu’à 3 % en 2001.
Malgré cette croissance macro-économique signalée et la maîtrise relative de l’inflation, le pouvoir d’achat des populations est encore faible.
La dévaluation et les politiques d’ajustement structurel mises en œuvre pour juguler la crise ont eu pour conséquence d’accroître les déficits sociaux et la demande sociale.
Les demandes en matière d’alimentation et de nutrition, d’accès à l’eau potable, de santé, d’éducation s’accroissent plus vite que les ressources nationales et nécessitent par conséquent des solutions urgentes.
Le taux net de scolarisation se situait à 41 % à l’an 2000 selon le rapport sur l’évaluation des objectifs intermédiaires de l’an 2000 (43). En 1996, ce taux se situait à 45 % pour l’ensemble du pays. Le taux d’alphabétisme des hommes est de 56,1% alors que celui des femmes est de 28,5% (39, 43).
On observe, en outre, un nombre assez important d’enfants se trouvant dans des situations difficiles : enfants travailleurs, enfants dans la rue.
Cette situation doit être prise en compte dans toutes les stratégies à mettre en œuvre en direction des populations (39, 43, 62).

SITUATION SANITAIRE AU SENEGAL

Santé de la mère

Le rapport sur la situation sanitaire et démographique estimait en 2001 le taux de mortalité maternelle à 510 décès pour 100.000 naissances vivantes (39, 43) contre 460 en 1985 ce qui démontre une nette tendance à la hausse (62).
Les causes médicales de cette mortalité sont pour l’essentiel les hémorragies (41%), les infections (20%), l’hypertension artérielle et l’éclampsie (7,2%) (62).
Durant la période 1997-1998, seul un centre de santé de district sur les 52 disponibles effectuait des césariennes et des transfusions.
Cette situation constitue ainsi un obstacle de taille à la baisse de la mortalité maternelle mais aussi de la mortalité périnatale.

Santé de l’enfant

La mortalité infanto-juvenile au Sénégal, malgré une légère baisse observée ces dernières années, reste toujours élevée.
L’enquête sénégalaise sur les indicateurs de santé donnait pour l’année 2001 les taux suivants (43):
– 70,1 pour 1000 naissances vivantes pour la mortalité infantile,
– 80,9 pour 1000 naissances vivantes pour la mortalité juvénile,
– 145 pour 1000 naissances vivantes pour la mortalité infanto-juvénile.
La plupart de ces décès sont imputables aux infections respiratoires aiguës (23%), à la malnutrition (22%), aux maladies diarrhéiques (21%), à la rougeole (20%) et au paludisme (10%).
Par ailleurs, des épidémies de méningite sont régulièrement relevées, surtout au Sud et au Centre du pays entre les mois d’Avril et Mai (62).
La situation nutritionnelle des enfants reste encore préoccupante ainsi que celle des mères. Elle s’est apparemment dégradée entre 1993 et 1995, car le pourcentage des enfants ayant un faible poids de naissance est passé de 6 % en 1993 à 13,9 % en 1995 et reste à un niveau proche (13,4 %) en 2000 (62).
Les forts taux de morbi-mortalité maternelle et infanto-juvénile observés dans notre pays ont motivé l’adoption d’une Politique Sanitaire axée essentiellement sur l’amélioration de ces indicateurs.

Politique sanitaire

Depuis 1996, le Sénégal s’est engagé dans une approche sectorielle ayant abouti à l’élaboration d’un Plan National de Développement Sanitaire (PNDS) (39, 43) visant à atteindre quatre objectifs majeurs.
– Réduire la mortalité maternelle ;
– Réduire la mortalité infanto-juvénile ;
– Baisser l’indice synthétique de fécondité ;
– Accession accru aux services de base pour les plus démunis.
Dans ce cadre l’accent a été mis sur :
9 le renforcement des soins de santé primaires (SSP) avec la responsabilisation des populations dans la prise en charge des problèmes de santé ;
9 la rationalisation des moyens mis en œuvre dans l’exécution des programmes ;
9 la décentralisation et la responsabilisation du District Sanitaire qui est la zone opérationnelle de mise en œuvre effective des programmes de santé ;
9 la consolidation du partenariat avec les ONG, le secteur privé, le secteur associatif ;
9 le développement d’activités de santé à base communautaire.
L’adoption du PNDS s’est concrétisé en 1996 au niveau du District Sanitaire par une meilleure organisation du système sanitaire associée à la mise en œuvre de plusieurs programmes de santé.
Par la suite (1998), en vue d’une meilleure organisation du système sanitaire, les différentes structures hospitalières du pays ont été érigées en Etablissements Publics de Santé (EPS).

Organisation du système sanitaire

Organisation structurelle

En 1991, le Ministère de la Santé et de la Prévention a procédé à un renforcement de sa politique de décentralisation en découpant le territoire national en Districts Sanitaires.
C’est ainsi que le système de santé se présente sous forme pyramidale à 3 échelons dont :
– l’échelon périphérique qui correspond au district sanitaire
– l’échelon régional qui correspond à la région médicale
– l’échelon central qui correspond au Ministre, son cabinet, les directions et services rattachés.
Le district sanitaire est une zone opérationnelle pouvant épouser une circonscription administrative départementale ou une partie de cette circonscription. Le district comprend au moins un centre de santé et un certain nombre de postes de santé. Il est géré par un médecin chef de district.
La région médicale est la structure de coordination au niveau régional. Elle correspond à la région administrative. Elle est dirigée par un médecin chef de région qui anime l’équipe cadre composée de l’ensemble des services régionaux de santé (43).
Le niveau central comprend en plus du Ministre et de son cabinet, des directions. Les directions comprennent des divisions et des services rattachés. On compte 6 directions :
• la Direction de la Santé,
• la Direction de l’Administration Générale et de l’Equipement,
• la Direction de la Pharmacie et du Laboratoire,
• la Direction des Etablissements Publics de Santé,
• la Direction des Etudes, de la Recherche et de la Formation,
• la Direction de la Prévention.
Ainsi les structures de soins s’intègrent à cette pyramide suivant cinq niveaux de la périphérie au sommet (39, 43).
NIVEAU 1 : La case de santé : correspond à la structure de santé située dans le village. Les services y sont assurés par des agents de santé et on y mène des activités de promotion de la santé, de prévention primaire, de prise en charge des affections et des lésions courantes à leur début. Leur gestion incombe à un comité de santé.
NIVEAU 2 : Le poste de santé : correspond à la structure de santé située au niveau du chef-lieu de communauté rurale. Il est sous la responsabilité d’un infirmier chef de poste. Un comité de santé assure la gestion des ressources fournies par la communauté et dirige les activités du poste conformément aux besoins exprimés par la population. C’est la structure de référence pour les malades provenant des cases de santé.
NIVEAU 3 : Le Centre de santé : c’est la structure de santé située dans le chef-lieu de département. Il est administré par une équipe cadre sous la direction d’un médecin. On trouve à ce niveau un comité de santé mais aussi un comité de développement du district où sont représentés tous les comités de santé du district. C’est le centre de référence pour les malades venant des postes de santé.
NIVEAU 4 : La région médicale : c’est le centre administratif de la région sanitaire, elle est située au chef-lieu de région, assurant la supervision des 3 niveaux précédents. En plus, on y trouve des hôpitaux régionaux qui sont les structures de référence pour les malades venant des centres de santé.
NIVEAU 5 : Le Centre Hospitalo-Universitaire (CHU) : correspond au dernier établissement de recours pour les niveaux précédents. C’est également le lieu de formation du personnel de santé. Il est situé au niveau de la capitale Dakar. Il est divisé en services spécialisés dirigés par des professeurs titulaires. A ce niveau il existe aussi un comité de gestion appelé Association pour la Promotion de l’Hôpital qui gère les ressources fournies par la communauté. Il faut noter que cette association a disparu depuis l’érection des hôpitaux en établissement public de santé.

Le système de transfert

Au Sénégal, le transfert des urgences médicales vers les services de référence est assuré le plus souvent par la famille elle-même qui utilise soit le transport en commun ou des voitures privées.
Au meilleur des cas, les patients sont acheminés vers les structures de référence par des ambulances non médicalisés disponibles seulement dans certaines structures sanitaires.
A ce jour, il n’existe aucun service public médicalisé de transfert des urgences vers les structures spécialisées.
Le secteur privé (SUMA assistance, SOS médecin) commence à se développer mais il est encore hors de portée des populations.
Ailleurs dans les pays développés, notamment en France, les services d’aide médicale urgente (SAMU) sont chargés d’organiser la réponse aux appels médicaux (adultes et enfants) d’où qu’ils viennent, soit en donnant un simple conseil, soit en mettant en œuvre les moyens d’intervention adéquats.
En fonction des possibilités locales et de la spécialité de l’intervention, le SAMU contacté pourra faire intervenir un service mobile d’urgence et de réanimation (SMUR) polyvalent, un SMUR pédiatrique du département ou un SMUR pédiatrique d’un département ou d’une région voisine.
Dans certains départements, la prise en charge des urgences de néonatologie et de pédiatrie est confiée à des antennes exclusivement pédiatriques. Ces SMUR pédiatriques dont les équipes sont constituées de médecins spécialisés, peuvent intervenir dans trois circonstances :
– transports urgents : toute détresse pédiatrique ne pouvant être contrôlée dans la structure d’origine (maternité, service d’urgence ou de pédiatrie, domicile ou voie publique) ;
– transports programmés : pour les enfants dont l’état est précaire et qui nécessitent une consultation ou un examen spécialisé hors de l’établissement d’origine ;
– appel anténatal : l’intervention du SMUR est demandé avant une naissance prématurée à très haut risque.

Les ressources de la santé

→ Les infrastructures
Le Sénégal comptait en 2001 (39), 888 postes de santé, 56 centres de santé et 23 hôpitaux dont 19 fonctionnels. Même si le nombre d’infrastructures a augmenté par rapport à 1992 où l’on dénombrait 47 centres de santé et 581 postes de santé ; la couverture en infrastructures sanitaires reste insuffisant. C’est le volet fondamental du programme actuel de réfection, de rénovation et de construction de nouvelles infrastructures. En terme de couverture passive, en 2001 (39, 43), il y avait :
– 1 poste de santé pour 11 260 habitants
– 1 centre de santé pour 175 439 habitants
– 1 hôpital pour 434 583 habitants
Les normes de l’OMS sont :
– 1 poste de santé pour 10 000 habitants
– 1 centre de santé pour 50 000 habitants
– 1 hôpital pour 150 000 habitants
→ Le personnel
Le nombre total du personnel sanitaire toutes catégories confondues s’élevait en 1999 (37) à 6035 agents dont 4813 pour le secteur public, soit 80 % et 1222 pour le secteur privé, soit 20 %.
Malgré les efforts constatés (restrictions budgétaires, quota spécial pour un recrutement annuel de divers personnels de santé) la situation n’est pas encore satisfaisante comparée aux normes de l’OMS. En 2001 (39), le Sénégal comptait :
– 1 médecin pour 9 699 habitants
– 1 infirmier pour 3 137 habitants
– 1 sage-femme pour 4 297 femmes en âge de reproduction (FAR)
L’OMS préconise
– 1 médecin pour 5 000 à 10 000 habitants
– 1 infirmier pour 300 habitants
– 1 sage-femme pour 300 FAR
→ Le budget
Les principales sources de financement de la santé au Sénégal sont l’Etat, les collectivités locales, les comités de santé et les partenaires. L’Etat contribuait en 2001 à hauteur de 48% ; les collectivités locales pour 2% ; les comités de santé pour 15 % et les partenaires pour 35 %.
Le budget que l’Etat alloue au Ministère de la Santé est une traduction éloquente de son engagement face aux problèmes socio-sanitaires auxquels les populations sont confrontées quotidiennement.
À ce titre, l’OMS recommande aux Etats de consacrer au moins près de 9 % de leur budget de fonctionnement au ministère de la santé.
Dans cette optique, depuis 1993, le Sénégal a décidé d’augmenter de 0,5 % la part du secteur de la santé dans le budget national. Ainsi cette part, estimée à 5,17 % en 1992, a-t-elle été portée à 7,85 % en 1999.

Programmes de santé de l’enfant

L’un des objectifs essentiels de la politique nationale de santé est de réduire la mortalité infanto-juvénile qui demeure encore une préoccupation majeure au Sénégal. D’importants Programmes de Santé Infantile ont été mis en place. Ces programmes intègrent en général des activités curatives, préventives, promotionnelles et gestionnaires.

Programme Elargi de Vaccination

Le Programme Elargi de Vaccination (PEV) initié au Sénégal en 1979 (44, 45), a pour objectif de vacciner au moins 80 % des enfants avant leur premier anniversaire contre les sept maladies cibles évitables par la vaccination (Tuberculose, Diphtérie, Tétanos, Coqueluche, Poliomyélite, Rougeole, Fièvre Jaune).
Pour améliorer la disponibilité constante en vaccins et consommables, huit pays du Sahel dont le Sénégal ont signé une convention de financement, avec la commission des Communautés Européennes pour la mise en œuvre du projet d’Initiative Indépendance Vaccinal (IIV).
A ce titre, une ligne budgétaire a été créée dans le budget national pour garantir la disponibilité en vaccins et consommables au Sénégal.
Pendant les premières années du programme, des résultats appréciables ont été notés en termes de couverture vaccinale (80 %), et ceci jusqu’en 1995 mais à partir de 1996, les taux de couverture vaccinale ont stagnés voire baissés.

Programme National de Lutte contre le Paludisme

Il comporte un volet important consacré à l’enfant et à la femme enceinte.
En 1998, l’OMS lançait la stratégie mondiale appelée « Faire Reculer le Paludisme » ou « Roll Back Malaria »
L’engagement du Sénégal dans l’application des recommandations s’est traduit par l’élaboration et l’adoption d’un plan stratégique quinquennal 2001-2005 piloté par le Programme National de Lutte contre le Paludisme (46).
De même, depuis 1997, le volet consacré à l’enfant occupe une place privilégiée dans la PCIME.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
CHAPITRE I : DEFINITIONS
1. Mortalité
2. Mortalité infantile
3. Mortalité néonatale
4. Mortalité néonatale précoce
5. Mortalité néonatale tardive
6. Mortalité juvénile
7. Mortalité infanto-juvénile
8. Taux de mortalité spécifique d’une maladie
9. Morbidité
9.1. Incidence d’une maladie
9.2. Prévalence d’une maladie
10. Létalité
CHAPITRE II : DONNEES GENERALES SUR LE SENEGAL
1. Caractéristiques physiques
2. Données climatiques
3. Découpage administratif
4. Données démographiques
5. Situation socio-économique
CHAPITRE III : SITUATION SANITAIRE AU SENEGAL
1. Santé de la mère
2. Santé de l’enfant
3. Politique sanitaire
3.1. Organisation du système sanitaire
3.1.1. Organisation structurelle
3.1.2. Le système de transfert
3.1.3. Les ressources de la santé
3.2. Programmes de santé de l’enfant
3.2.1. Programme Elargi de Vaccination
3.2.2. Programme National de Lutte contre le Paludisme
3.2.3. Programme National de Lutte contre les Maladies Diarrhéiques
3.2.4. Programme National de Surveillance Nutritionnelle et Pondérale
3.2.5. Programme National de Santé de la reproduction
3.2.6. Prise en Charge Intégrée des Maladies de l’Enfant
3.3. La réforme hospitalière
3.3.1. Objectifs
3.3.2. Principes
3.3.3. Cadre juridique
3.3.4. Classement des Hôpitaux
3.3.5. Opportunités pour les usagers
3.3.6. Opportunités pour le personnel
3.3.7. Opportunités pour l’hôpital
3.3.8. Risques
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODE
1. Matériel
1.1. Cadre de l’étude
1.1.1. Le service
1.1.2. Le personnel
1.1.3. L’équipement et le fonctionnement pratique
2. Méthode
2.1. Critère d’inclusion
2.2. Critère d’exclusion
2.3. Période de déroulement de l’étude
2.4. Recueil des données
2.5. Analyse des données
CHAPITRE II : RESULTATS
1. Données de consultation
1.1. Fréquence
1.2. Répartition des patients vus à la consultation externe en fonction de la période
2. Données d’hospitalisation
2.1. Morbidité des malades en situation d’urgence
2.1.1. Fréquence
2.1.2. Répartition des malades en fonction de la période
2.1.3. Caractéristiques socio-démographiques des malades
2.1.4. Répartition des malades en fonction de la référence
2.1.5. Répartition des malades en situation d’urgence par groupe d’affection
2.2. Mortalité des malades en situation d’urgence
2.2.1. Fréquence
2.2.2. Répartition des malades décédés en fonction de la période
2.2.3. Caractéristiques socio-démographiques des malades décédés
2.2.4. Répartition des malades décédés en fonction de la référence
2.2.5. Répartition des malades décédés par groupe d’affections
2.2.6. Répartition des malades décédés en fonction des principales pathologies
2.3. Facteurs associés à la mortalité des malades en situation d’urgence
CHAPITRE III : DISCUSSION
1. Morbidité
1.1. Etude descriptive de la morbidité
1.2. Etude analytique de la morbidité
1.2.1. La période
1.2.2. Le sexe
1.2.3. L’âge
1.2.4. Le niveau d’instruction de la mère
1.2.5. La référence
1.2.6. Le type de service qui réfère
1.2.7. Le type de transport
2. Mortalité
2.1. Etude descriptive de la morbidité des malades en situation d’urgence
2.2. Etude analytique des facteurs associés à la mortalité
2.2.1 La période
2.2.2. Le sexe
2.2.3. L’âge
2.2.4. Le niveau d’instruction de la mère
2.2.5. La référence
2.2.6. Le type de service qui réfère
2.2.7. Le type de transport
2.2.8. Les soins reçus avant transfert
2.2.9. Disponibilité des produits d’urgence
2.2.10. Le diagnostic
CONCLUSION ET RECOMMANDATIONS
BIBLIOGRAPHIE

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