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L’enseignement de l’Odontologie conservatrice Endodontie
L’enseignement de l’OCE commence à partir de la 2ème année d’étude. Son enseignement se fait sous forme théorique et pratique (TP) en 2ème et 3ème année d’études, et sous forme théorique et clinique en 4ème et 5ème année. L’enseignement théorique de l’Odontologie Conservatrice Endodontie se divise en plusieurs sous disciplines :
– Odontologie conservatrice : avec les cours de cariologie et de restauratrice.
– Endodontie : avec les cours de pathologie pulpaire et d’endodontie. L’enseignement théorique de l’endodontie se fait à partir de la 3ème année. Son enseignement pratique commence en 3ème année. L’enseignement clinique de l’endodontie commence en 4ème année.
Organisation du service d’OCE
Le personnel du service d’OCE assure les enseignements théoriques, pratiques, cliniques et les travaux dirigés.
Les enseignements théoriques se font à intervenant multiple pour chaque année d’étude. Les travaux pratiques ainsi que les enseignements cliniques sont assurés par 2 équipes d’enseignants. Une équipe assure les enseignements de la 2ème année (enseignement pratiques et théoriques) et la 4ème année (enseignement clinique et théoriques). L’autre équipe gère ceux de la 3ème année (enseignement pratiques) et de la 5ème année (enseignement clinique).
Programme d’enseignement de l’OCE
Enseignements théoriques
En 2ème année
Le programme d’enseignement théorique de l’odontologie conservatrice Endodontie comporte plusieurs grands chapitres :
ODONTOLOGIE CONSERVATRICE
– Morphologie des dents humaines permanentes (3 heures)
– Principes généraux de la préparation cavitaire sur les dents pulpées (15heures)
– restauration à l’amalgame (3 heures)
– Le point de contact (2 heures)
– Matrices et porte matrices (3 heures)
Total = 26 heures
CARIOLOGIE
– Histologie et embryologie des tissus durs de la dents :email, dentine, pulpe
– Classification des lésions carieuses
– Démarche diagnostique
– Etiopathogénie de la maladie carieuse
– Etude clinique de la carie
– Facteurs de risque
– Outils diagnostiques
– Thérapeutiques (modèle médicale et chirurgicale)
Total = 30 heures
En 3ème année
L’enseignement théorique de l’Odontologie conservatrice Endodontie en 3ème année comporte plusieurs chapitres importants :
ODONTOLOGIE CONSERVATRICE
– Rappels sur l’odontologie conservatrice (1 heure)
– Anesthésie en OCE (2heures)
– Le champ opératoire (2 heures)
– Restaurations des dents dépulpées (6 heures)
Total = 11 heures
ENDODONTIE
– Le diagnostic en endodontie (2 heures)
– Les traitements dentinogènes (6 heures)
– Les traitements cémentogènes (6 heures)
– Les traitements ostéo-cémentogènes (6 heures)
Total = 20 heures
PATHOLOGIE PULPAIRE
– Hyperhémie pulpaire (2 heures)
– Pulpite aigue irréversible (2 heures)
– Pulpites chroniques (4 heures)
– Parodontites apicales (4 heures)
– Nécrose pulpaire (5 heures)
Total = 17 heures
En 4ème année
En 4ème année, l’enseignement théorique comporte plusieurs chapitres :
ODONTOLOGIE CONSERVATRICE :
– Restaurations adhésives (6 heures)
– Utilisation clinique des Ciments Verres Ionomères (2 heures)
– Les fonds de protection dentino-pulpaires (3 heures)
– Restaurations des dents dépulpées (5 heures)
Total = 16 heures
ENDODONTIE
– Traitement d’urgence (3 heures)
– Anesthésie en OCE (2 heures)
– Prescription en OCE (2 heures)
– Traitement de la catégorie III de BAUME (3 heures)
– Traitement de la catégorie IV de BAUME (5 heures)
– La cicatrisation apicale (3 heures)
– Les complications des traitements endodontiques (2 heures)
Total = 20 heures
En 5ème année
En 5ème année, 2 chapitres font partie de l’enseignement théorique de l’odontologie conservatrice endodontie :
ODONTOLOGIE CONSERVATRICE
– Nouvelles approches en Cariologie (3 heures)
– Les reconstitutions coulées Inlay – Onlay (3 heures)
– Les techniques de blanchiment (3 heures)
– Les lésions dentaires non carieuses (2 heures)
– Reconstitutions lésions dentaires non carieuses (2 heures)
Total = 13 heures
ENDODONTIE
– Les échecs endodontiques (2 heures)
– Le retraitement endodontique (3 heures)
– Les lésions endo-parodontales (3 heures
-Les traumatismes alvéolo-dentaires (3 heures)
– Les techniques d’Endodontie complexe (4 heures)
– Endodontie et patient à risque (2 heures)
Total = 17 heures
Place de l’enseignement de l’endodontie en OCE
L’endodontie est enseignée de la 3ème année à la 5ème année d’études odontologiques. En prenant compte des enseignements théoriques et pratiques, elle occupe une place très importante dans l’enseignement de l’OCE, avec 101 heures d’apprentissage (57 heures de cours et 44 heures de travaux pratiques).
Elle dépasse de très peu l’odontologie conservatrice (OC) avec 95 heures d’enseignement (69 heures de cours et 50 heures de travaux pratiques).
Démarche qualité en enseignement universitaire
L’évaluation de l’enseignement se fait dans l’optique d’une démarche qualité et a pour but l’harmonisation des curricula notamment depuis l’adoption du système LMD. L’Université de Genève, pionnière en matière d’évaluation des enseignements depuis les années 80 en Europe, définit l’évaluation comme étant une «démarche qualité», qui «vise à l’amélioration continuelle tant de la qualité de l’enseignement et de la recherche, que de la gestion administrative de l’institution, par des procédures claires et transparentes pour tous». Cette démarche qualité, dès ses débuts, s’est intéressée au «degré de satisfaction des étudiants vis-à-vis des cours, à l’adéquation des programmes d’études aux besoins de formation, à la valeur ajoutée des méthodologies éducatives ainsi qu’à l’impact de la formation universitaire sur le développement professionnel et personnel des diplômes» (4).
«La mise en place d’une démarche qualité dans l’enseignement supérieur est un des axes stratégiques de l’Université, … sous la dénomination d’évaluation de l’enseignement»( 53).
La qualité des programmes d’études est essentiellement la qualité des résultats. Et, si on interprète correctement la Déclaration de Bologne et le Communiqué de Prague, il y a seulement trois résultats ou buts majeurs à atteindre (26) :
– La qualité académique
– L’employabilité
– La mobilité
La finalité de l’évaluation de l’enseignement est l’amélioration de la qualité de la formation des étudiants par l’intermédiaire de l’amélioration de la qualité de l’enseignement. Elle est un des éléments utiles d’une nécessaire politique d’amélioration de la qualité de l’enseignement supérieur et de l’indispensable revalorisation des fonctions d’enseignement (11)
Avec l’évaluation de l’enseignement, l’enseignant reçoit un diagnostic sur la qualité de son travail dans un cours magistral. Il peut alors entreprendre les opérations nécessaires à l’amélioration de son enseignement (16).
L’évolution permanente de la qualité dans une institution est une préoccupation essentielle de ses dirigeants. Ce besoin s’accroît de par, notamment, l’augmentation de la concurrence, l’accroissement de la mobilité des étudiants et la mise en avant des classements nationaux et internationaux comparant les institutions sur différents critères.
Concernant plus spécifiquement l’évaluation des enseignements, les démarches qualité en la matière ont débuté dans les années 80 et se sont généralisées vers la fin des années 90. Ce Secteur a notamment pour mission d’apporter son soutien et son expertise tant sur les aspects conceptuels que méthodologiques de l’évaluation. (42)
Le peu de communication de résultats d’évaluation des enseignements que ce soit vis-à-vis des étudiants, ou vis-à-vis des autorités académiques implique une régulation individuelle et autonome de l’enseignement, une responsabilisation personnelle du développement des pratiques pédagogiques et plus largement du développement professionnel. C’est bien là un des leviers utilisés pour justifier et favoriser une réforme des procédures d’évaluation menant à rompre avec d’anciennes procédures en adoptant une démarche collective, équitable et transparente pour évaluer les enseignements (42).
La modification des pratiques et procédures de l’évaluation des enseignements pourrait permettre de basculer d’une approche individualiste et micro-régulée de la qualité des enseignements vers une approche collective permettant une régulation institutionnelle de la qualité des enseignements dispensés au sein de l’université. L’évaluation des enseignements est au service des enseignants en ce sens qu’ils permettent d’adapter et de réorienter à des questions spécifiques, et aussi parce qu’elle permet de guider leurs pratiques, leurs méthodes et, au sens large, leur développement professionnel.
Ce changement de pratique et, plus précisément, l’accès des résultats d’évaluation des enseignements marque une transition forte dans la culture de l’évaluation au sein de l’institution (42).
Toutefois, les difficultés sont nombreuses, les dispositifs souvent disparates et peu pérennes. De plus, l’évaluation est souvent perçue comme une fin en soi et non comme un instrument de mesure au service de l’amélioration de la qualité de l’enseignement.
L’endodontie
Définition
L’endodontie est la partie de l’odontologie qui traite de la morphologie, la physiologie et la pathologie de la pulpe dentaire humaine et des tissus péri-radiculaires. Son étude et sa pratique couvrent les sciences cliniques de base comprenant la biologie de la pulpe normale, l’étiologie, le diagnostic, la prévention et le traitement des lésions et maladies de la pulpe et des tissus péri-radiculaires qui y sont associés (6).
Objectifs
L’objectif principal de la thérapie endodontique est de préserver une dent qui autrement pourrait être perdue à la suite de problèmes pathologiques pulpaires ou péri radiculaires. (6).
L’endodontie est l’un des éléments de base de l’Odontologie. En effet, les techniques endodontiques sont toujours impliquées, directement ou indirectement, dans le traitement de la maladie parodontale et conditionnent largement la réussite à long terme des préparations prothétiques qu’elles soient pratiquées sur des dents pulpées ou dépulpées (30).
Étapes opératoires du traitement endodontique
Prévention en endodontie
Le but de la prévention en endodontie est la conservation d’une pulpe enflammée mais vivante en supprimant l’agression et en appliquant un pansement qui doit permettre au tissu pulpaire de retrouver sa physiologie normale. L’objectif principal est la production de dentine, et secondairement, l’élaboration d’une dentine tertiaire.
Cette conservation peut se faire essentiellement par 4 types de traitement, après avoir déterminé la vitalité pulpaire :
– Coiffage dentinaire : indiqué dans les caries à évolution rapide non pénétrante, traumatisme avec fracture coronaire, dénudation du collet dentaire.
– Coiffage juxta-pulpaire (indirect) : indiqué dans les caries à marche rapide et pénétrantes et les altérations superficielles de la pulpe.
– Coiffage direct : il permet la cicatrisation et stimule le pouvoir réparateur de la pulpe par la formation d’un pont de néo-dentine. Il permet de garder la vitalité de la pulpe infectée.
– Pulpotomie : une partie de la pulpe camérale est amputé et le moignon de la pulpe radiculaire est coiffé d’un pansement. Il est indiqué lors d’une lésion carieuse étendue.
Diagnostic en endodontie
Il doit être précis et posé rapidement à partir de l’interrogatoire et l’examen clinique.
Signes cliniques
Des signes subjectifs sont rapportés par le patient qui décrit le caractère de la douleur, sa fréquence, l’intensité de la douleur, la durée et son irradiation.
Des signes objectifs sont recherchés par le praticien, et permettent d’apprécier l’évolution et l’étendue de la carie, d’éventuelle restauration défectueuse, d’apprécier l’état parodontale et enfin la présence ou non de tuméfaction.
Tests diagnostiques
Ils font suite à l’interrogatoire du patient et l’observation clinique. Tous ces tests (tests thermiques, examen parodontal, palpation, percussion, test électrique ou encore test de sensibilité au fraisage, etc.) vont permettre au praticien d’affiner son diagnostic (21).
On distingue plusieurs tests diagnostiques :
– Test de percussion : la percussion axiale ou transversale de la dent se fait à l’aide d’un manche de miroir ou de sonde. Elle permet de mettre en évidence une éventuelle inflammation ligamentaire
– Test au froid : effectué à l’aide d’une boulette de coton réfrigéré au spray. La boulette est placée au niveau de la dent adjacente saine, puis au niveau de la dent infectée.
– Test au chaud : effectué avec un morceau de gutta réchauffé à la flamme et est ensuite placé sur la dent après l’avoir enduite de vaseline.
– Test électrique : réaliser a l’aide d’un appareillage appelé Pulptester®, permettant de diffuser un léger courant électrique au niveau de la dent.
L’examen radiologique
Le principe de la radiographie rétro alvéolaire avant, pendant, après, reste une règle absolue au cours du traitement endodontique. La radiographie préopératoire apporte des renseignements précieux sur l’allure générale de l’odonte au niveau radiculaire et canalaire; elle révèle aussi l’existence éventuelle de lésions péri apicales ou radiologiquement visibles. La radiographie per opératoire permet de contrôler la pénétration instrumentale. Enfin, la radiographie postopératoire tient une place importante en endodontie. Elle reste indispensable pour contrôler immédiatement la valeur des obturations canalaire, mais elle permet aussi, par comparaison, de suivre l’évolution périapicale et parodontale et de vérifier à long terme l’efficacité des traitements endodontiques (21).
Les radiographies sont faites à l’aide d’angulateurs. Ils garantissent l’obtention de radiographie parfaite, sans superposition, éliminant ainsi le besoin de répéter une prise et de réexposer le patient inutilement.
Anesthésie et mise en place de la digue
Il est généralement admis que l’anesthésie locale donne une entière satisfaction en endodontie. Elle est devenue quasiment systématique du fait de la demande des patients.
La mise en place de la digue permet de ne pas infecter et/ou de ne pas surinfecter l’endodonte. Le traitement endodontique est accompli dans le maintien permanent d’une chaîne d’asepsie-antisepsie dont fait partie la pose de la digue, ainsi que l’utilisation continuelle d’hypochlorite de sodium dosé à 2,5 %. Les matériels nécessaires pour poser la digue sont :
– Une feuille de digue, Pince porte- crampons, Crampons, Pince à perforer, Cadre à digue (21).
Cavité d’accès endodontique
Cette voie d’accès doit procurer à l’opérateur un espace visuel large et une aisance instrumentale en éliminant le maximum d’interférences. La chambre sera soigneusement débarrassée de la boue des débris pulpaires et dentinaires.
– La trépanation est réalisée à l’aide d’une fraise-boule au diamètre correspondant au volume pulpaire. Pour les monoradiculées, au centre de la dent. Pour les pluriradiculées, à l’aplomb du canal le plus large.
– Le dégagement du plafond pulpaire : suppression des surplombs et recessi
C’est l’étape incorrectement appelée « création de la cavité d’accès » car on ne crée pas la cavité d’accès, on la découvre. Cette étape est réalisée à l’aide d’une fraise flamme pour les monoradiculées ou à l’aide d’une fraise EndoZ ou Zékrya endo pour les pluriradiculées (21).
Cathétérisme
Une fois l’accès à la chambre pulpaire réalisé, sans altération de la topographie du plancher de la dent, il convient de procéder à la recherche des canaux et du trajet de ceux-ci. La pénétration initiale va permettre :
– l’évaluation de la perméabilité canalaire,
– le repérage tactile de certaines anomalies canalaire (cloisons, dédoublements, calcifications) de la trajectoire générale (courbures ou coudes)
– déterminer les modifications permanentes qu’il convient éventuellement de donner aux instruments (précourbure, coude général ou coude apical) en prenant soin de noter les repères (21).
Après exploration, la pénétration initiale cherche à atteindre les limites apicales choisies; le praticien va chercher à déterminer la longueur canalaire.
Nettoyage et mise en forme canalaire.
Cette phase doit assurer la désinfection par élargissement canalaire ainsi que la réalisation du réceptacle idéal, facilitant l’obturation canalaire finale.
Cet alésage du canal est réalisé par le passage successif des instruments (limes, broches) mis à notre disposition :
– Broche et lime K : pour la préparation des canaux radiculaires.
– Lime H ou racleur : pour le nettoyage et l’élargissement canalaire.
La technique la plus utilisée est la technique manuelle selon la standardisation ISO.
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Table des matières
Introduction
Chapitre 1 : formation initiale en odontologue et enseignement de l’endodontie au Sénégal
1. Formation initiale en odontologie
1.1. Département d’odontologie
1.2. Organisation des enseignements
1.2.1. Organisation des études odontologiques avant le système LMD
1.2.2. Organisation des études odontologiques avec la réforme LMD
1.2.3. Enseignement en odontologie selon l’année d’étude
2. Enseignement de l’Odontologie Conservatrice Endodontie
2.1. Organisation du service d’OCE
2.2. Programme d’enseignement de l’odontologie Conservatrice Endodontie
2.2.1. Enseignements théorique
2.2.2. Enseignements pratique
2.2.3. Enseignements clinique
2.2.4. Place de l’enseignement de l’endodontie en odontologue Conservatrice Endodontie
3. Démarche qualité en enseignement universitaire
4. L’endodontie
4.1. Définition
4.2. Objectifs
4.3. Étapes opératoires de traitement endodontique
4.3.1. Prévention en endodontie
4.3.2. Diagnostique en endodontie
4.3.3. Anesthésie et mise en place de la digue
4.3.4. Cavité d’accès endodontique
4.3.5. Cathétérisme
4.3.6. Nettoyage et mise en forme canalaire
4.3.7. Assèchement
4.3.8. Obturation canalaire
4.4. Évolution des concepts en endodontie
4.4.2. Évolution des matériaux utilisés en endodontie
4.4.3. Évolution des techniques d’obturation canalaire
Chapitre 2 : Évaluation de l’enseignement de l’endodontie par les étudiants
1. Justifications et objectifs
2. Matériels et méthodes
2.1. Cadre de l’étude
2.2. Type d’étude
2.3. Matériels et méthodes
2.3.1. Population d’étude
2.3.2. Recueil des données
2.3.3. Méthodes de collecte des données
3. Résultats
3.1. Age
3.2. Sexe
3.3. Répartition de la population d’étude selon le sexe et l’année d’étude
3.4. Tests diagnostics utilisés en endodontie
3.5. Traitement endodontique complet sur dents monoradiculées et pluriradiculées en TP de 3e année
3.6. Reconstitution coronaire pré endodontique et matériaux de reconstitution
3.7. Champ opératoire
3.8. Indications de traitement endodontique
3.9. Techniques de parage canalaire
3.10. Solutions d’irrigation canalaire
3.11. Médications inter-séances
3.12. Contrôle après pulpotomie
3.13. Obturation canalaire
3.14. Reconstitution coronaire définitive
3.15. Réalisation d’une chirurgie endodontique en clinique
3.16. Nombre de séances
4.1. Caractéristique de la population d’étude
4.2. Tests diagnostics en endodontie
4.3. Reconstitution coronaire pré endodontique
4.4. Pose du champ opératoire
4.5. Indications de traitement endodontique
4.6. Techniques de parage canalaire
4.7. Solutions d’irrigation canalaire
4.8. Médications inter-séances
4.9. Contrôle après pulpotomie
4.10. Obturations canalaire
4.11. Reconstitution coronaire définitive
4.12. Nombres de séances
4.13. Chirurgie endodontique
Conclusion
Annexe:
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