Production de jeune caille
L’incubation des œufs chez les cailles est d’une méthode artificielle afin d’assurer le bon développement de la filière « COTURNICULTURE ». Latempératurede couvaison est autour de 38°C pour une durée d’incubation de 18 à 19jours.Le retournement d e s oe u f s doitavoir lieu pendantles14premiersjours.L’humidité relative est de l’ordre de 53% pour la même période pour atteindre 58% jusqu’à l’éclosion. L’augmentation dela surface d’évaporation facilite l’éclosion.
Par ailleurs, il faut noter que les poules peuvent être utilisées dans la couvaison des oeufs de caille. Mais dans la plupart des cas, les coturniculteurs utilisent des incubateurs artificiels à empiècement semi-automatique ou automatique car c’est facile à manipuler et qu’on peut incuber des centaines d’oeufs en même temps. De plus, ces appareils apportent un taux d’éclosion plus élevé que les poules ou autres couveuses artisanales.
A la naissance, les cailleteauxont un duvet jaune rayé de brun qui les fait ressembler à des pintadeaux du point de vue plumage. Leur croissance est extrêmement rapide durant les 3 premiers jours de leur vie. Dès le troisième jour apparaissent les premières plumes au niveau des ailes. Par ailleurs, le reste du corps est couvert de plumes vers la deuxième semaine d’âge des oisillons .
A l’âge de trois semaines, les jeunes cailles sont entièrement emplumées (sauf le dessous des ailes près du corps, ne sont pas entièrement garnis quelque fois). A cette période, les mâles se distinguent facilement des femelles par les couleurs rousses au niveau de la tête et surtout du poitrail,si les femelles au poitrail moucheté (Figure 10).
La formation des plumes procurent une alimentation riche en protéine soutenue d’un apport complémentaire spéciale pour permettre une bonne croissance. A dix jours d’âges, les jeunes cailles avoisinent les 60 g de poids vif et c’est à partir de cet âge que l’engraissement commence pour une durée de 5 semaines environ. Il faut noter que le développement pondéral est achevé à l’âge de 8 à 10 semaines (Figure 11).
MATERIELS ET METHODES
CONTEXTE EXPERIMENTAL
Cette étude a pour objet de déterminer les paramètres zootechniques et les paramètres de production des cailles japonaises élevées à Madagascar. La durée de l’expérimentation est de 4 mois (07 Janvier 2013 au 05 Avril 2013). Elle commence par une collecte des oeufs pendant une semaine, puis une incubation de ces oeufs durant 19 jours environ.
L’engraissement commence dès la naissance jusqu’à 6 semaines d’âge des oiseaux suivi de l’abattage et de la découpe de carcasses. Elle a été menée à la ferme de « Caille de Mada » située à Mahazo et à Ambohimanambola. Les pondeuses âgées de 6 mois et les cailles de chair sont élevées à Mahazo tandis que les pondeuses en début de ponte (6 semaines) sont placées à Ambohimanambola à Antananarivo.
PRESENTATION DE LA FERME « CAILLE DE MADA »
La ferme « Caille de Mada » est une petite ferme ayant pour objectif de produire de viande de caille engraissé et des œufs de consommation pour satisfaire les besoins des particuliers et quelques restaurants de la Capitale. Elle se situe à Mahazo dans l’enceinte de la communauté Adventisteet à Ambohimanambola près du pont à l’entrée de la commune.
Chaque mois, environ 300 têtes de caille d’origine Japonaise de variété grise, jaune et blanche sont livrées et vendues. L’élevage est encore de type extensif moyennant des matériels et des équipements d’élevage locaux de fabrication artisanale entre autre les incubateurs, les mangeoires, les batteries, les abreuvoirs. Leurs produits sont commercialisés sous trois formes selon la commande de leurs clients. Ils sont distincts chacun du poids de la carcasse, de son conditionnement et de sa mise en sac (Tableau n°4).
Ces trois types de cailles cités dans ce tableau ne sont que des appellations commerciales ayant les mêmes caractéristiques de mode d’abattage. Leurs différences se basent sur le poids de chaque caille vidée et du nombre de pièce à emballer ou à vendre.
En 2007, le propriétaire a importé depuis la France 200 oeufs prêts à incuber. A l’éclosion, l’effectif initial était de 98 cailleteaux et c’est à partir de ces poussins qu’il a commencé sa COTURNICULTURE.
Entre les années 2008 et 2009, la ferme a rencontré certains problèmes d’ordre technique, sanitaire et économique (conduites d’élevage non satisfaisantes, surpopulation et une surproduction). Par conséquent, vers la fin de l’année 2009, l’effectif du cheptel a été réduit à 30 cailles.
Ainsi, un redémarrage a été effectué courant l’année 2010 suite à un accord de partenariat privé. Ce qui a redressél’exploitation en attribuant au partenaire la responsabilité technique au niveau de la ferme (zootechnie et production) en tant que Chef de Ferme tandis que le propriétaire s’occupe essentiellement du circuit de commercialisation des produits.
MATERIELS
Matériel animal
Les animaux d’élevage sont constituésdes cailles domestiques de race «COTURNIXJAPONICA » de souche jaune, blanche et grise. La souche jaune est une nouvelle variété obtenue à partir du croisement entre la grise et la blanche.
Deux types de production ont été réalisées au cours de l’expérimentation dont :
– l’engraissement portant sur un effectif de 157 cailleteaux est utilisé. Ces animaux sont issus de l’incubation des oeufs des pondeuses âgés de 6 mois et sont composés de 37 jaunes, 32 blanches et 84 grises. L’élevage est divisé en deux bandes. La première bande avec 35 têtes d’effectif provenant de l’incubation à partir de la couveuse de type BRUJA née une semaine avant l’autre. La deuxième est issue de l’autre couveuse artisanale avec un effectif de 120 au total. La conduite d’élevage ainsi que les divers entretiens sont identiques de la naissance jusqu’à l’abattagepour les deux bandes d’élevage.
– la ponte en deux catégories d’âges portant sur un effectif total de 106 têtes réparties en 43 jaunes, 32 grises et 31 blanches. Ainsi, la première catégorie des cailles pondeuses est d’un effectif de 36 têtes âgées de six mois et est composée de 12 individus jaunes, 12 grises et 12 blanches (Tableau n°5). Concernant la deuxième catégorie des cailles pondeuses, elle est constituée de 70 cailles en début de ponte âgées de 6 semaines environ. Elles sont composées de 31 jaunes, 20 grises issues de deux bandes différentes et de 19 blanches (Tableau n°5).
Les reproducteurs plus âgés sont élevés dans une batterie en fer à Mahazo où chaque variété a sa propre cage. Les cailles pondeuses en début de ponte sont placées à Ambohimanambola dans une batterie construite en bois.
Matériel d’élevage
Bâtiment
Les bâtiments d’élevage sont au nombre de trois et sont en dur. Chacun est orienté parallèlement à l’axe Est-Ouest. Parmi les trois bâtiments d’élevage utilisés, un local est utilisé tant qu’éleveuse comprenant deux poussinières de dimension respective de 180x120x120cm pour élever les cailleteaux d’une semaine et de 240x110x110cm pour les jeunes âgés de 2 semaines. La surface réservée à la croissance est de 180x120x120cm. Ces locales sont chauffées à partir des lampes électriques. Pour la poussinière de premier âge, en plus de l’électricité, une source de chaleur à charbon de bois est utilisée durant les trois premiers jours d’âges pour réchauffer le local jusqu’à 38°C. Cette température diminue au fur et à mesure que l’âge augmente. Et à partir de 4ème semaine d’âge, les cailles bénéficient de la lumière naturelle du local d’élevage.
L’autre est divisé en deux grandes salles où les reproducteurs et les cailles en finition sont logés. Ce dernier est bien éclairé naturellement pendant le jour et durant la nuit, les cages des pondeuses sont éclairées par des lampes électriques (Figure 12).
Mangeoire
Pour les pondeuses et les cailles en finition, des mangeoires allongées en fer ont été utilisées. Elles sont placées sur la façade de chaque cage. Sa dimension est conçue pour permettre une bonne alimentation aux animaux (Tableau n°6). Pour les cailleteaux d’un jour, leur alimentation est distribuée dans des alvéoles en carton, puis dans des mangeoiresallongées en fer et à 3ème jour d’âge des animaux, elle est remplacée par des mangeoires circulaires en plastiques (Tableau n°6).
Alimentation
L’aliment utilisé durant l’expérimentation est un aliment commercial poule pondeuse et poulet de chair fourni par la société AGRIVAL spécialiste en alimentation animale. Les cailles pondeuses ont été nourries avec du concentré de « PONDEUSE 1» tandis que pour l’engraissement, l’aliment spécial « DEMARRAGE » a été utilisé pour les cailleteaux. L’eau de boisson utilisée est l’eau de puits au sein de la Ferme.
L’aliment de type « DEMARRAGE » est présenté sous forme de granulé en petite miette tandis que l’aliment de type « PONDEUSE 1 » est sous forme de farine. Les aliments sont à base de : céréale, sous-produits céréaliers, tourteaux, mélasse, huile végétale, vitamines et minéraux, anticoccidien et conservateurs contre le rancissement. Les proportions respectives par rapport aux apports nutritionnels sont données comme suit (Tableau n°8).
METHODES
Expérimentation à la ferme
L’étude a été réalisée durant une période de quatre mois allant du mois de Janvier jusqu’au début de mois de Mai 2013. Au cours de ces travaux de terrain, différentes méthodes ont été utilisées et portant essentiellement sur la conduite d’élevage des cailles de l’incubation des oeufs jusqu’à la découpe après abattage des cailles engraissées.
Incubation
L’incubation des oeufs de caille a été effectuéedans deux couveuses artificielles. Le travail a commencé par la collecte et la conservation des oeufs dans un endroit sec, frais et à l’abri de la lumière pendant une semaine suivi d’une phase de traitement de ces oeufs à incuber à la fin de la semaine. Il s’agit de la sélection suivant sa consistance, son poids et du nettoyage des oeufs sélectionnés à être incubés. Après le nettoyage, les oeufs sont placés dans l’incubateur.
L’incubation est d’une durée de 19 à 20 jours en moyenne avec une température continue avoisinant le 38°C. A partir du 5ème jourjusqu’au 15ème jour d’incubation, on pulvérise avec de l’eau les oeufs deux fois par jour (7h et 19h). Avec la couveuse artisanale, on effectue un retournement journalier des oeufs jusqu’au 15ème jour. L’éclosion commence à partir du 15ème jour d’incubation pourtant les jeunes cailleteaux restent encore en couveuse durant les 24 heures qui suivent l’éclosion.
Engraissement
Après l’éclosion, les cailleteaux d’un jour sont placés dans une éleveuse préchauffée à l’aide d’une lampe électrique et de charbon de bois. La température du local avoisine le 33 à 37°C et elle diminue au fur et à mesure que les poussins accroissent.
Pendant les 2 premières heures de naissance, l’eau de boissonest donnée à volonté aux oisillons, puis une alimentation très fine a été distribuée. Aussi de l’antistress « Covit » et de l’« Antitox » ont été apportés de la naissance jusqu’au 5ème jour d’âge et que de l’anticoccidien a été incorporé dans l’alimentation.
Alimentation
Les pondeuses et les cailles en finition ont été nourries par rationnement quantitatif. La distribution a été effectuée deux fois par jour à heure fixe. La moitié de la ration est distribuée le matin entre 7 à 7h30 et le reste, le soir entre 18 à 19h. Tandis que pour les cailleteaux, ils sont alimentés en une seule fois par jour. Cette distribution se fait le matin entre 7 à 7h30 et la quantité donnée augmente suivant les stades physiologiques des animaux.
Quant à l’eau de boisson, sa distribution est « ad libitum ». Elle suit toujours la distribution des provendes en une seule fois par jour.
Abattage
Les cailles ont été abattuesselon les guides pratiques d’abattage des volailles de l’ITAVI,(2010).Chaque abattage a été précédé d’une période de mis à jeun des animaux pendant 12 heures qui précèdent l’abattage pour faciliter l’éviscération et limiter la contamination des carcasses. De plus, avant l’abattage proprement dit, il y a lieu la pesée individuelle des animaux permettant de renseigner le poids vif avant abattage des animaux pour des traitements et des analyses ultérieures.
L’abattage a été effectué à l’aire libre dans la cours de la ferme. Les opérations d’abattage comprennent la saignée, la plumaison, l’éviscération et le lavage.
Pour la saignée, chaque animal a été tué dans un saignoir artisanal fait à partir d’une bouteille plastique, la tête à l’envers. Puis, la plumaison se fait manuellement. Mais elle est précédée d’un échaudage qui consiste à tremper la caille saignée dans de l’eau à température ambiante. L’extraction des viscères est complète c’est-à-dire, toute la totalité des viscères abdominaux et thoraciques sont enlevées avec les pattes et le jabot. Le lavage termine l’abattage. Il consiste à laver les carcasses dans des cuvettes contenant de l’eau suivi de ressuyage à la fin (Figure 16).
Découpes anatomiques
On a fait les découpes anatomiques selon les procédés de HANTANIRINA, (2010). Il s’agit de mettre en évidence quelques morceaux issus de la carcasse pour en déduire les rendements à l’abattage et en carcasse.
A partir de la volaille entière dite carcasse habillée qui désigne la carcasse vidée, déplumée dépourvue de pattes, différentes découpes peuvent être obtenues et sont désignées en fonction de chaque morceau concerné (HANTANIRINA, 2010). Par contre dans cette étude, trois principaux morceaux de découpes ont été retenus, compte tenu de la petite taille des animaux, à savoir :
– La cuisse qui provient de la partie de la volaille entière. Elle est obtenue en coupant dans le creux de la cuisse à travers l’articulation de la hanche (articulation entre fémur et os pelvien). Elle comprend le haut de cuisse et le pilon.
– L’aile issue de la carcasse habillée. Elle est obtenue en coupant à travers l’articulation de l’épaule (articulation entre la clavicule, os coracoïdien et l’humérus). Ce morceau comprend l’aile et l’aileron.
– Le filet de poitrine constitué par un muscle rond, allongé et fusiforme supra coracoïdien ou pectoral profond trouvé sur chaque côté du bréchet (sternum).
Paramètres mesurés etcalculés
Quantités d’aliments ingérés
La consommation alimentaire correspond à la quantité de nourriture que l’animal a ingérée lorsqu’il y a libre accès. Ainsi, la quantité d’aliments ingérés a été obtenue grâce au pesage journalier des aliments distribués et des refus (Annexe n°2). Puis, on a fait leur somme pour chaque cycle d’élevage et d’en déduire à la fin la quantité d’aliment ingéré en effectuant la soustraction entre la quantité distribuée et le refus (TSIVINGAINA, 2005).
Taux d’éclosion et taux d’handicape
C’est le nombre de cailleteaux nés par rapport au nombre des oeufs incubés. Il est obtenu après l’incubation. A l’éclosion, on compte les cailleteaux nés et les oeufs morts. Et c’est à partir de cela qu’on peut calculer la valeur de ce taux.
Le taux d’handicape représente le nombre des cailleteaux mal formés (ayant des pattes et des becs disproportionnés) par rapport aux cailleteaux nés (Annexe n°4).
Rendements d’abattage
Après l’abattage, deux rendements ont été calculés. Il s’agit du rendement en carcasse et du rendement en morceaux. Le premier a été obtenu en faisant le rapport entre le poids de carcasse vidée ou éviscérée avec le poids vif de l’animal avant abattage. Tandis que pour le second, il secalcule par le rapport de poids de chaque morceau considéré avec le poids de carcasse vidée (TSIVINGAINA, 2005) (Annexe n°5) :
Les variables étudiées sont au nombre de six dont : les poids vifs, les gains de poids moyens quotidiens, les indices de conversion, les rendements d’abattage, la production et les poids d’oeuf. Tous ces paramètres sont soumis à des analyses statistiques. Il s’agit de l’analyse de la variance (analyse posthoc en cas de différence significative), l’analyse de corrélation, l’analyse des composantes principales. Elles ont été faites moyennant le logiciel XL STAT 2008 et le JMP 5.0.1. Il est noté que les données incomplètes relatives à un animal mort ne sont pas prises en compte. Les traitements statistiques ont été réalisés en collaboration étroite avec Madame HANTANIRINA.
Analyse de variance
L’Analyse de variance a été utilisée dans le traitement de données recueillies pour mettre en évidence la différence entre la souche blanche, jaune, grise.
La réalisation de tests d’hypothèses (hypothèses d’égalités de moyenne) et la détermination des limites de confiance sont basées sur l’analyse de variance. C’est donc une méthode statistique d’interprétation des résultats rassemblés au cours d’une expérimentation où les facteurs contrôlés sont qualitatifs par nature. Le principe consiste à comparer les moyennes des résultats relatifs aux variantes d’un facteur à l’erreur expérimentale c’est-à-dire à tester si les effets s’ajoutent de façon significative ou non à l’effet des facteurs aléatoires.
L’erreur expérimentale étant la résultante de l’influence de l’ensemble des facteurs aléatoires.
Dans cette étude, l’analyse de variance à un facteur a été utilisée.
Pour ordonner les moyennes significativement différentes, l’analyse posthoca été utilisée. Ce test classe et rassemble les moyennes qui ne montrent une différence d’une part, et ceux qui se correspondent statistiquement d’autre part.
Analyse de corrélation
Cette analyse a permis de connaitre la netteté de la relation existante parmi les paramètres étudiés. C’est une mesure de l’intensité de relation utilisant le coefficient de corrélation notée r. Sa valeur est comprise entre l’intervalle -1 et +1. Une corrélation est fortement positive lorsque cette valeur est supérieure à 0,8. Deux variables sont corrélées faiblement quand le coefficient de corrélation est compris entre 0,6 et 0,8. Et elles sont non corrélées lorsque ceci est inférieur à 0,5.
|
Table des matières
INTRODUCTION
1ère Partie : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
I-DESCRIPTIONS DU COTURNIX JAPONICA
I-1- Classification
I-2- Morphologie
II-CAILLE JAPONAISE A L’ETAT SAUVAGE
II-1- Habitat et écologie
II-2- Répartition géographique
II-3- Régime alimentaire
II-4- Reproduction
III-CAILLE JAPONAISE DOMESTIQUE
III-1- Habitat et logement
III-2- Zone d’élevage
III-3- Régime alimentaire
III-4- Reproduction
III-5- OEuf de caille
III-6- Production de jeune caille
CONCLUSION PARTIELLE
2ème Partie : MATERIELS ET METHODES
I-CONTEXTE EXPERIMENTAL
II-PRESENTATION DE LA FERME « CAILLE DE MADA »
III-MATERIELS
III-1- Matériel animal
III-2- Matériel d’élevage
III-2-1- Bâtiment
III-2-2- Equipements
III-2-3- Alimentation
III-3- Matériel de pesée
IV-METHODES
IV-1- Expérimentation à la ferme
IV-1-1- Incubation
IV-1-2- Engraissement
IV-1-3-Alimentation
IV-1-4- Abattage
IV-1-5- Découpes anatomiques
IV-2- Paramètres mesurés et calculés
IV-2-1- Quantités d’aliments ingérés
IV-2-2- Gain Moyen Quotidien
IV-2-3- Indice de conversion
IV-2-4- Production et Poids de l’oeuf
lV-2-5- Taux d’éclosion et taux d’handicape
IV-2-6- Rendements d’abattage
IV-2-7- Taux de mortalité
IV-3- Méthodes d’analyses statistiques
IV-3-1-Analyse de variance
IV-3-2- Analyse de corrélation
3ème Partie : RESULTATS ET DISCUSSIONS
I-RESULTATS
I-1- Pour les cailles pondeuses
I-1-1- Poids vif
I-1-2- Consommation alimentaire
I-1-3- Indice de conversion
I-1-4- Production d’oeuf
I-1-5- Poids de l’oeuf
I-1-6- Taux d’éclosion
I-2- Pour les cailles de chair
I-2-1- Poids vif et croissance pondérale
I-2-2- Gain moyen quotidien
I-2-3- Consommation alimentaire
I-2-4- Indice de conversion
I-2-5- Rendements
I-2-6- Etude de la population
I-2-7- Taux de mortalité
II- DISCUSSIONS
II-1- Pour les cailles pondeuses
II-1-1- Poids vif
II-1-3- Consommation alimentaire
II-1-4- Indice de conversion
II-1-5- Production
II-1-6- Poids de l’oeuf
II-1-7- Taux d’éclosion
II-2- Pour les cailles de chair
II-2-1- Poids vif et croissance pondéral
II-2-2- Gain moyen quotidien (GMQ)
II-2-3- Consommation alimentaire
II-2-4- Indice de conversion
II-2-5- Rendements
II-2-6- Taux de mortalité
CONCLUSION PARTIELLE
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
Télécharger le rapport complet