Processus dialogiques et réflexifs lors d’entretien d’orientation en Life Design

Les transitions professionnelles se multiplient, quelle qu’en soit la forme : prévues ou pas, ascendantes ou descendantes, anticipées ou pas… Dans son rapport de mai 2018, l’Observatoire des transitions professionnelles estime que les transitions professionnelles ont touché plus d’un quart des individus sur douze mois (26,9 % de la population active occupée). Les transitions professionnelles sont comprises comme une discontinuité entre une trajectoire initiale et une nouvelle, par suite d’évènements personnels ou professionnels. Ce sont des périodes de changement demandant aux individus une adaptation, et qui les amène à entamer un processus de désengagement de l’ancien univers professionnel, puis de réengagement dans un autre, par un travail de reconquête d’une identité satisfaisante pour soi, et de réécriture de soi (Jourdain, 2014). Ce travail de désengagement / réengagement, et de réécriture de soi, est coûteux pour les personnes et de nombreuses mesures ont été successivement mises en plus par les pouvoirs publics entrainant la création d’un nombre croissant de structures d’accompagnement. Pour ne citer que quelques mesures principales concernant les adultes : la loi de 1971 sur la formation continue a été suivie par la création en 1974 de l’Association pour l’emploi des cadres (APEC) et l’Association Retravailler. La loi de 1991 sur le Bilan de compétence a été suivie par la création des Centres Interinstitutionnels de Bilan de Compétences (CIBC) qui se sont réunis en Fédération en 2000. Depuis, de nombreux personnels travaillent dans des institutions dont le statut peut être public (Pôle Emploi, les Centres d’information et d’orientation-CIO), associatifs ou privés (les Cap Emploi, par exemple). Les pratiques d’accompagnement des transitions se développent et se diversifient (Pouyaud et Cohen-Scali, 2016), mais l’entretien en reste l’instrument privilégié. Pôle Emploi compte plusieurs dizaine de milliers de conseiller.ère.s chargé.e.s de l’accompagnement des demandeurs d’emploi et on peut estimer en dizaines de millions le nombre d’heures d’entretien proposées chaque année aux usagers : il s’agit d’une modalité importante, voire essentielle, de délivrance des services. Le Ministère du Travail et de l’Emploi, estime que plus de 50 000 bilans de compétences avaient été réalisés en 2003, essentiellement au profit des salariés, chacun proposant au minimum entre trois et cinq entretiens. Par ailleurs, depuis 2020, toutes les entreprises de plus de 50 salariés doivent proposer à leurs salariés un entretien tous les deux ans afin de faire un point sur les perspectives d’évolutions professionnelles. Comprendre ce qui est en jeu dans un entretien d’accompagnement ou d’orientation parait alors une nécessité. A quoi peuvent servir ces entretiens ? Dans quelle mesure aident-ils les personnes dans leurs transitions professionnelles ? Telles sont les questions auxquelles nous tentons d’apporter une contribution.

Différentes approches de l’identité

On assiste ces dernières années à une véritable explosion du concept d’identité (Bauman, 2001). Nous avons choisi, parmi la multitude de définitions possibles, celles de Pierre Tap (Tap, n.d. ; Tap, 1980/1986). Au sens littéral, de similitude absolue, l’identité personnelle (je suis « je ») n’existe pas, pas plus que l’identité interpersonnelle (je suis un autre). L’identité collective est également impossible, les membres d’un « nous » étant, tout au plus, semblables. Et, pourtant, c’est le caractère paradoxal de l’identité, il ne peut y avoir de variations que s’il existe des invariants permettant la comparaison. L’identité se construit par la confrontation de l’analogue et du différent. Le sentiment d’identité, c’est le fait que l’individu se perçoit le même, dans le temps, ce qu’on peut assimiler au système de représentations par lequel le sujet se singularise. « Mon identité, c’est donc ce qui me rend semblable à moi-même et différent des autres […]. Mon identité, c’est ce par quoi je me définis et me connais, ce par quoi je me sens accepté et reconnu comme tel par autrui » (Tap, 1980/1986, p. 8).

L’identité personnelle comporte plusieurs dimensions qui dépendent pour une large part des « idéologies de la personne » (Tap, 1980/1986) dans la culture ou la société considérée.
– La dimension temporelle du soi s’organise à partir du sentiment de continuité, qui permet au sujet de se situer dans le temps (Tap, n.d. ; Tap, 1980/1986) ; cette dimension diachronique (Almudever, Leblanc et Hajjar, 2013) concerne les relations entre les expériences actuelles, celles vécues dans le passé et celles projetées.
– Mais pour s’affirmer, l’identité doit être posée par des actes de séparation, d’autonomisation et d’affirmation, par la différenciation cognitive et l’opposition affective, faute de quoi l’individu s’aliène dans la dépendance, se dilue dans l’assimilation à autrui. Cette séparation d’avec l’autre (moi-autrui) ou le milieu externe se retrouve en interne avec la dualisation « moi-je » d’une identité multiple (Tap, n.d.).
– Les multiples lieux de socialisation, les différentes relations avec autrui, posent la question des liens entre l’unité et la diversité d’un soi constitué d’identités multiples liées à des positions et des rôles, aux personnes ou objets qu’on investit comme autant de parties de soi-même. Cette dimension de l’identité est l’intégration (Tap, n.d.). Elle est aussi qualifiée de synchronique (Almudever, Leblanc et Hajjar, 2013) et concerne la coordination des conduites dans les différentes sphères de vie du sujet et la hiérarchisation des valeurs qu’il leur accorde, la fonction d’étayage réciproque qu’elles ont les unes par rapport aux autres, ou de compatibilité, d’antagonisme ou de conflit et le sentiment de cohérence interne ou au contraire de diffusion qui en découle (Tap, n.d.).

La globalisation économique et sociale a mis en évidence la fragilité et l’instabilité des choses. Bien qu’étant une question privée, l’identité est aussi le résultat d’une production sociale. La forme de notre sociabilité dépend de la société dans laquelle nous évoluons et des conceptions et des réponses qu’elle propose aux différentes formes d’individualisation. Dans la société que Bauman (2000) qualifie de «liquide», l’individualisation, qui est élevée au rang de valeur suprême consiste dans « l’émancipation de l’individu de la détermination attribuée, héritée, innée de sa personne sociale, […] en donnant aux acteurs la responsabilité d’accomplir cette tâche et d’en revendiquer les conséquences » (Bauman, 2001, p. 15).

Cette identité présentée par Bauman (2001) est bien loin de celle imaginée par Erikson. En effet Erikson présente un développement identitaire normal passant par une série identifiable de stades psychosociaux, déterminés génétiquement, qui seraient indépendamment de la culture considérée (Murray-Thomas et Michel, 1994). Comme lors d’un parcours initiatique, que l’individu poursuivrait pendant sa vie entière, la tâche de l’individu consiste à atteindre l’identité du moi en résolvant une succession de crises spécifiques à chaque stade. Evoquant une histoire de l’identité, Kaufmann (2009) voit dans la carte d’identité « une illusion fondatrice » (p. 56) pour prétendre qu’on peut définir une personne comme une entité stable. En fait, estime-t-il, « la question que l’on doit se poser n’est pas : qui suis-je ? Mais plutôt, que vais-je faire ? Quelles sont mes valeurs ? Comment vaisje agir ? Quels sont mes choix ? » (p. 56). De même, pour Bauman (2001), l’identité n’est pas un état, ni même une succession de stades : « il serait peut-être plus approprié […] de parler d’identification : une activité interminable, toujours incomplète, inachevée et ouverte, dans laquelle nous sommes tous engagés, jour après jour, par nécessité autant que par choix » (p. 26).

Pour les individus, « l’identité est un processus historiquement nouveau, lié à l’émergence du sujet, et dont l’essentiel tourne autour de la fabrication du sens » (Kaufmann, 2004, p. 82). L’individu contemporain est tenu de donner lui-même un sens à sa vie. L’activité d’identification impose au sujet qu’il soit réflexif. La réflexivité impose de briser les certitudes et de remettre en cause ce qui est tenu pour acquis ; elle s’inscrit dans une logique d’ouverture alors que l’identité au contraire relève d’une logique d’unification sur la base d’un « système de clôture et d’intégration du sens » (Kaufmann, 2004, p. 82). Or, « l’identité, comme clôture de sens, et la réflexivité, comme ouverture de sens, s’articulent de façon complexe, au cœur même de cette subjectivité » (Martin, 2005, p. 2). La réflexivité et le sens seraient au centre du processus de « personnalisation » pour reprendre le concept de Malrieu (2003), de « se faire soi » (Guichard, 2004) ou de « life designing » (Savickas et al., 2010).

Une identité socialement construite

La thèse que nous proposons ici s’inscrit résolument dans une épistémologie constructiviste selon laquelle la réalité n’est pas immédiatement connaissable mais construite par l’esprit humain (Dumora et Boy, 2008, p. 350).

Le terme de « constructivisme » a été proposé par Piaget pour désigner le processus de construction des connaissances. Toute connaissance est la connaissance de quelqu’un (Morin, 1991), le sujet interprète et construit sa propre réalité à partir de ses activités individuelles, ses interactions et ses interlocutions. Les relations – interactions et interlocutions – sont fondamentales : la réalité est construite dans l’expérience, avec les autres, et par le langage (Guichard et Huteau, 2006). Pour les constructivistes, le langage et les relations construisent les structures mentales.

Au début, pour Berger et Luckmann (1966/2008), la socialisation désigne le mouvement par lequel la société façonne les individus vivant en son sein… Le point de départ du processus de socialisation primaire, est, pour ces auteurs, l’intériorisation des significations qui permet de comprendre les autres et d’appréhender le monde comme une réalité sociale signifiante. L’individu humain adopte de cette façon les attitudes du groupe social dont il est membre. Mead utilise le concept d’autrui généralisé pour expliquer la part sociale de la construction de l’identité individuelle : nous nous scindons en toutes sortes de soi, distincts selon nos relations et nos espaces de socialisation. Le soi parvient à son développement accompli en organisant les attitudes individuelles des autres en attitudes organisées du groupe ou de la société, et devient ainsi une réflexion individuelle du modèle général de conduite sociale dans lequel il est engagé avec autrui. Le modèle de Mead sert de bases aux modèles de la conscience de soi où la dimension sociale permettrait la prise de conscience du soi comme objet. Pour Mead, l’individu entre dans sa propre expérience en devenant un objet pour soi, de la même manière que les autres individus lui apparaissent comme des objets. Dubar (2000/2010) construit une approche de l’identité sociale qui dépasse cette opposition en croisant les traditions théoriques internes à la sociologie et la psychologie. Il propose pour cela les concepts d’offre identitaire et de la double transaction. De leur côté, certains psychologues étudient la socialisation. L’identité individuelle peut être vue comme une passerelle entre l’activité intra personnelle et les relations interpersonnelles, entre le moi et l’autre… L’individu n’absorbe pas passivement les normes sociales, il en est acteur. L’identité est, dans cette conception, un processus actif, un « travail de personnalisation ». Baubion-Broye et al. (1979) considèrent trois types de rapports : les rapports sociaux, les relations interpersonnelles et les relations à autrui, la personne et les institutions se construisant l’une l’autre. Dans ces conceptions, l’individu n’a pas une identité, mais de multiples formes identitaires en fonction des différents contextes dans lesquels il interagit. Guichard (2004 ; 2005 ; 2008) explique comment les sujets synthétisent leurs multiples formes identitaires dans une identité en forme de système, dynamique et ouvert aux réorganisations. L’idée générale de cette présentation est que l’individu ne se développe que dans une distanciation à l’égard de ses actes et en fonction de ce qui semble donner sens à sa vie. Chacun des auteurs étudiés insiste sur la dimension réflexive de la construction et de la conscience de soi. Nous verrons ensuite comment la narration peut structurer l’identité dans une société donnée. En introduisant la troisième mimesis de Ricœur (1983), nous tenterons de montrer comment la communication interpersonnelle, telle que décrite par Jacques (1982), est l’élément essentiel de l’institution du sujet.

Le constructivisme social de Berger et Luckmann

L’identité que nous tentons de décrire ici est une identité constructiviste. La société est un « produit de l’homme ou, plus précisément, une production continue de l’homme » (Berger et Luckmann, 1966/2008, p. 115). L’ordre social n’est pas biologiquement donné, la société est une réalité objective, qui s’émancipe des acteurs qui la produisent, et constituée de mondes d’objets séparés des sujets (Corcuff, 2017). C’est ce double processus d’extériorisation (une société extérieure aux agents qui la produise) et d’objectivation (constituée d’objets séparés des sujets) qui fonde le processus de construction sociale de la réalité. Dans leur théorisation du constructivisme social, Berger et Luckmann (1966/2008) partent de la vie quotidienne. Ces auteurs expliquent que toute activité humaine répétée fréquemment devient une habitude, qui peut ainsi être reproduite avec une économie d’efforts. Progressivement, l’acteur appréhende cette action habituelle comme un modèle qui conserve son sens pour lui bien que les significations se noient dans son « stock général de connaissances allant de soi » (p. 117). Ce processus d’« habituation » implique un important gain psychologique : il libère l’individu du poids des choix, et des incertitudes qui en découlent. L’arrière-plan de l’activité rendue habituelle révèle un avant-plan profitable à la délibération et à l’innovation. « Ce processus d’habituation précède toute institutionnalisation » (p. 118).

Avec la complexification de la société, et la spécialisation du travail en tâches, certaines « actions de type X sont exécutées par les acteurs de type X » (Berger et Luckmann, 1966/2008, p.118). Ces habitudes deviennent des institutions qui, finalement, contrôlent la conduite humaine et établissent des modèles prédéfinis, institutionnalisés. L’institutionnalisation passe par une typification d’actions habituelles. Les typifications sont une réserve de connaissances disponible sur le mode de l’évidence qui permet de s’orienter dans le monde, d’agir et d’interagir avec d’autres, de coopérer et de communiquer. Immédiatement disponibles pour l’interprétation des situations et l’anticipation des scénarios plausibles, les typifications sont comme des outils pour la compréhension. A ce stade, le langage joue un rôle important : notre monde est pré-typifié dans le langage, les significations stabilisées formant l’horizon à partir duquel nous interprétons nos expériences vécues, forgeons nos plans d’action, et tentons d’ajuster nos attentes de comportement respectives (Zaccaï-Reyners, 2005). Lorsque le processus de communication entre A et B devient « habitualisé », le monde institutionnel « qui existait in statu nascendi entre A et B » (Berger et Luckmann, 1966/2008, p. 123) est transmis à leur enfants. Les « habituations » et les « typifications » entre A et de B, qui se limitaient à deux individus, deviennent alors des institutions historiques et acquièrent une certaine objectivité. L’objectivité du monde institutionnel s’épaissit et se durcit, non seulement pour les enfants mais aussi, par effet de miroir, pour les parents. « Le « on recommence » devient « voici comment ces choses sont faites ». […] Pour les enfants, particulièrement dans la première phase de leur socialisation, il devient LE monde » (p. 125). C’est seulement en tant que monde objectif que les formations sociales peuvent être transmises à une nouvelle génération. Dans les premières phases de la socialisation, l’enfant est tout à fait incapable de faire la distinction entre l’objectivité des phénomènes naturels et l’objectivité des formations sociales. Lorsqu’apparait le langage, le mot est, pour l’enfant, indissociable de la chose. « Une chose est son nom, et elle ne peut être définie autrement. Toutes les institutions apparaissent de la même façon, comme des données évidentes en elles-mêmes » (p. 125). La typification des actions exige qu’elles aient un sens partagé, et donc une objectivation linguistique. Chacun peut être appréhendé comme l’exécutant d’actions objectives, qui « peuvent être répétées par n’importe quel acteur du type approprié » (p. 143). Les conséquences pour la perception de soi sont notables : dans le courant de l’action, le soi est objectivé « en tant que » exécutant de cette action. Ainsi, une partie du soi est objectivé en fonction des typifications socialement disponibles. « Le soi agissant et les autres agissant sont appréhendés non pas comme des individus uniques, mais comme des types » (p. 144). Les rôles peuvent être réifiés de la même manière que les institutions. Ce qui signifie que « la réification des rôles rétrécit la distance subjective que l’individu peut établir entre lui-même et son jeu de rôle » (p. 169). Les institutions sont incorporées dans l’expérience individuelle au moyen des rôles. « En jouant des rôles, l’individu participe à un monde social. En intériorisant ces rôles, le même monde devient, pour lui, subjectivement réel » .

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Table des matières

Introduction
Première partie Différentes approches de l’identité
1. Différentes approches de l’identité
1.1. Une identité socialement construite
1.1.1. Le constructivisme social de Berger et Luckmann
1.1.2. L’identité duale (Mead)
1.1.3. Dubar, la double transaction et les formes identitaires
1.2. Devenir soi
1.2.1. La socialisation en psychologie
1.2.2. Le modèle Se faire soi de Guichard
1.3. L’identité narrative ou biographique
1.4. L’identité construite dans la communication. L’approche de Jacques
1.5. Conclusion
Deuxième partie L’homme communiquant
2. L’homme communiquant
2.1. Le langage comme intersection entre l’individu et la société : Vygotski
2.2. La communication dialogique
2.1.1 Quelques précisions conceptuelles
2.1.1. Le cercle de Bakhtine : le dialogisme
2.1.2. Le locuteur, l’énonciateur ou le point de vue du sujet
2.1.3. Le dialogisme psychosocial de Marková
2.1.4. La pragmatique et la théorie des actes de langage
2.3. L’entretien, un acte de communication
2.3.1. Jacques, le sens se construit dans l’entre-deux de la relation
2.3.2. L’entretien d’aide, la co-construction du sens
2.4. Conclusion de la partie théorique
Troisième partie Questions de recherche et orientations méthodologiques
3. Questions de recherche et orientations méthodologiques
3.1. Question de recherche
3.2. Hypothèses
H1 L’évolution de l’identité au cours des entretiens
H2 La réflexivité dialogique trinitaire et dialogisme
H3 Réflexivité duelle et identité narrative
3.3. Orientations Méthodologiques
3.3.1. La démarche qualitative
3.3.2. La sélection des participants
3.3.3. Instrument. La méthode d’intervention : DCLD (Guichard, et al., 2017)
3.3.4. Les méthodes de recherche qualitative
3.3.5. La création du code
3.4. Orientations Méthodologiques
3.4.1. Alceste
3.4.2. Troppes
Quatrième partie Résultats
4. Résultats
4.1. Analyse thématique : la réorganisation identitaire
4.1.1. Le premier entretien de Gaspard
4.1.2. L’évolution du système de FIS : le deuxième entretien
4.1.3. Le troisième entretien : les projets
4.1.4. Le quatrième entretien : la clôture
4.1.5. Le système de FIS de Carine
4.1.6. Deuxième entretien, la réorganisation du système
4.2. La relation dialogique
4.2.1. L’analyse Tropes
4.2.2. Le codage avec la grille de codage adaptée de Cardoso et al. (2014a)
Cinquième partie Discussion
Conclusion

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