Télécharger le fichier pdf d’un mémoire de fin d’études
La forme de garderie à Madagascar
En second lieu, nous allons exposer brièvement l’évolution dans le temps de la Garderie à Madagascar.
En 1963, au cours de la première République Malgache, la Croix Rouge fut installée à Madagascar et créa la première crèche en collaboration de près avec une Organisation Non Gouvernementale Française
Ensuite, durant la période de la deuxième République Malgache de 1975 à 1978, la crèche commence à se développer. Cependant, le nombre de garderie était encore très peu.
A cette époque même, l’Etat Malgache a créé une sorte de garderie appelée « AKANIN-JAZA », qui s’occupait notamment des enfants des couches défavorisées. Toutefois le principe de cette garderie n’est pas seulement de prendre en charge les enfants de 0 à 3ans mais aussi de donner des instructions et d’éduquer les enfants plus de 3ans jusqu’à leur puberté. Au début, cela a commencé dans quelques régions de Tananarivo, mais peu après, éparpillé dans toute la grande île.
Enfin, il ne faut pas oublier la présence des Orphelinats, qui ont aussi le but d’élever et d’éduquer les enfants, mais leurs activités sont un peu plus complexes par rapport aux autres garderies citées ci-dessus.
Citons à titre d’exemple l’orphelinat fondé par le Révérant Docteur Rakotobe Andriamaro qui se situe à Ambohitrimanjaka et qui existait plus de quarantaine d’années dont le but est d’éduquer les enfants orphelins de tout âge dans tous les domaines et de garantir leur avenir.
L’appui institutionnel
En troisième lieu, en ce qui concerne l’appui institutionnel, Depuis et jusqu’à maintenant, aucun statut n’est appliqué pour la création d’une crèche, mais tous ceux qui en ont déjà créé à Madagascar faisaient ce que bon leur semble.
Pourtant, l’Etat Malgache a déjà envisagé d’adopter un statut dans les normes quasi-internationales l’année dernière (2004) afin de pouvoir éliminer les amateurs et d’améliorer l’école infantile, cependant cette proposition est encore en cours.
Pour plus d’informations, l’Assemblé Nationale et le Sénat ont adopté en leur séance respective en date du 19/12/2003 et de 09/06/2004.
Vu la décision N°08-HCC/D3 du 14/07/2004 de la H.C.C; qui promulgue certaines lois dont :
L’article 27- l’éducation non formelle comprend :
l’école infantile ;
l’alphabétisation fonctionnelle ;
l’éducation à la citoyenneté et au civisme ; L’article 28- l’école infantile comprend :
les nurseries qui prennent en charge les bébés de zéro à deux ans ;
les jardins d’enfants qui s’occupent de la garde des enfants de deux et trois ans ;
les écoles maternelles assurant l’éducation des enfants de trois à cinq ans.
Les collaborateurs pour l’éducation des enfants
En dernier lieu, concernant les organisations et les responsables de l’éducation’ en voici quelques uns qui collaborent de près et travaillent pour l’éducation de la petite enfance :
le ministère de la population, de la protection sociale, et des loisirs;
l’United Nation International Children’s Emergency Fund (U.N.I.C.E.F.);
l’Organisation des Nation Unies, pour l’Education, la science, et les Cultures (U.N.E.S.C.O.) ;
l’United State Agency International Development (U.S.A.I.D.).
le ministère de l’éducation de base.
LA CRECHE DE LA ZONE DU 5ème ARRONDISSEMENT.
Cette section permet de nous exposer la situation de la zone en question, ainsi qu’un exemple de crèche très connue dans la partie Amboniloha.
La situation de la zone
D’habitude, lorsqu’un projet surgit dans une zone déterminée, cela doit apporter au moins le minimum d’avantages pour la majorité du secteur. Toutefois ce n’est pas tout à fait le cas du 5ème Arrondissement en matière de crèche.
D’abord cette zone est très vaste, elle constitue 27 Fokontany et 312 000 habitants. Mais on peut dire que la situation de chaque fokontany n’est pas pareille. On remarque aussi que même dans un fokontany, on découvre que le mode de vie est assez varié.
En se référant à l’enquête menée auprès de certains fokontany d’un échantillonnage du firaisana, nous pouvons résumer que la plupart de la population suit un rythme de situation de vie moyenne.
En effet : 23%, famille aisée
55%, famille moyenne
22%, famille défavorisée
Par conséquent, nous pouvons dire davantage selon cette enquête que quelque chose de très modeste mais de bonne qualité manque dans cette zone.
Exemple de crèche
Ici on parle de garderie, au cours des descentes sur terrain que nous avons effectuées, nous avons decouvert que le 5ème Arrondissement a un peu de problème car les crèches récemment créées dans cette zone sont quasiment destinées aux familles aisées et les Akany aux familles défavorisées.
Citons à titre d’exemple, la crèche « LE JASMIN » qui se situe à Amboniloha. Une crèche très développée et aussi très équipée en matière de jeux, qui possède un endroit accueillant ainsi qu’agréable et aéré.
Elle s’occupe des enfants de 6mois à 3ans. Sa création remonte en 1999, c’est-à-dire qu’elle a déjà 5ans d’existence. La gérante est la propriétaire même de l’établissement, elle emploie des éducateurs, de personnel d’appui, une femme de ménage, ainsi qu’un gardien.
Vu la conception de cette crèche, selon la qualité de son service, ainsi que le frais de scolarité, elle cible surtout les enfants issus de haut standing, ce qui signifie que l’écolage est très élevé. Le nombre d’enfants intégré dans cette crèche est encore très limité malgré sa potentialité et son ancienneté.
N’empêche, la gérante a déjà instauré une nouvelle section pour la maternelle dans le but de fidéliser la clientèle.
Prenons une autre garderie comme l’Akany « SANTATRA » qui se trouve à Ampanitokana. Cette Akany est conçue particulièrement pour les enfants défavorisés dans le but de libérer les parents de la garde de leurs enfants, et d’aider ces parents à l’éducation fondamentale de leurs bébés.
En d’autre terme, elle se manifeste notamment pour les familles pauvres, car même le frais de scolarisations est sous forme de participation.
Bref, dans la zone du 5ème Arrondissement, il n’y a pas encore assez de crèche ou de garderie pour satisfaire le besoin de la population entière. C’est la raison même de la création de TSARATAIZA, dans le but d’épanouir la zone et aussi de permettre aux enfants de ce secteur de grandir dans une condition favorable.
CARACTERISTIQUE DU PROJET
Cette section va relater la distinction du projet par rapport à ceux qui sont déjà implantés.
Aperçu caractéristique :
Ce qui rend vraiment singulier ce projet vient du fait qu’il est conçu pour la majorité de la population. En effet, en tant que semi privée elle offre une opportunité aux nombreux enfants de grandir et de se développer dans tous les domaines.
Ces enfants seront éduqués, élevés, ainsi qu’éveillés petit à petit à travers les instructions civiques et les jouets adéquates.
Et afin d’assurer leur croissance équilibrée, ils seront bien nourris et soignés en suivant les conseils requis auprès des nutritionnistes et pédiatres en collaboration avec les CSB II.
La situation de la zone
D’habitude, lorsqu’un projet surgit dans une zone déterminée, cela doit apporter au moins le minimum d’avantages pour la majorité du secteur. Toutefois ce n’est pas tout à fait le cas du 5ème Arrondissement en matière de crèche.
D’abord cette zone est très vaste, elle constitue 27 Fokontany et 312 000 habitants. Mais on peut dire que la situation de chaque fokontany n’est pas pareille. On remarque aussi que même dans un fokontany, on découvre que le mode de vie est assez varié.
En se référant à l’enquête menée auprès de certains fokontany d’un échantillonnage du firaisana, nous pouvons résumer que la plupart de la population suit un rythme de situation de vie moyenne.
En effet : 23%, famille aisée
55%, famille moyenne
22%, famille défavorisée
Par conséquent, nous pouvons dire davantage selon cette enquête que quelque chose de très modeste mais de bonne qualité manque dans cette zone.
Exemple de crèche
Ici on parle de garderie, au cours des descentes sur terrain que nous avons effectuées, nous avons decouvert que le 5ème Arrondissement a un peu de problème car les crèches récemment créées dans cette zone sont quasiment destinées aux familles aisées et les Akany aux familles défavorisées.
Citons à titre d’exemple, la crèche « LE JASMIN » qui se situe à Amboniloha. Une crèche très développée et aussi très équipée en matière de jeux, qui possède un endroit accueillant ainsi qu’agréable et aéré.
Elle s’occupe des enfants de 6mois à 3ans. Sa création remonte en 1999, c’est-à-dire qu’elle a déjà 5ans d’existence. La gérante est la propriétaire même de l’établissement, elle emploie des éducateurs, de personnel d’appui, une femme de ménage, ainsi qu’un gardien.
Vu la conception de cette crèche, selon la qualité de son service, ainsi que le frais de scolarité, elle cible surtout les enfants issus de haut standing, ce qui signifie que l’écolage est très élevé. Le nombre d’enfants intégré dans cette crèche est encore très limité malgré sa potentialité et son ancienneté.
N’empêche, la gérante a déjà instauré une nouvelle section pour la maternelle dans le but de fidéliser la clientèle.
Prenons une autre garderie comme l’Akany « SANTATRA » qui se trouve à Ampanitokana. Cette Akany est conçue particulièrement pour les enfants défavorisés dans le but de libérer les parents de la garde de leurs enfants, et d’aider ces parents à l’éducation fondamentale de leurs bébés.
En d’autre terme, elle se manifeste notamment pour les familles pauvres, car même le frais de scolarisations est sous forme de participation.
Bref, dans la zone du 5ème Arrondissement, il n’y a pas encore assez de crèche ou de garderie pour satisfaire le besoin de la population entière. C’est la raison même de la création de TSARATAIZA, dans le but d’épanouir la zone et aussi de permettre aux enfants de ce secteur de grandir dans une condition favorable.
Analyse de la FFOM
En réalité, cette analyse permet de montrer aussi la spécificité de notre crèche par rapport aux autres. Elle distingue les forces et les opportunités qui nous permettent davantage de réaliser notre projet. Mais sans négliger les menaces et les faiblesses qui peuvent frapper notre projet, cependant nous ferions en sorte que ces derniers soient des moyens qui nous poussent à se persévérer au lieu de se décourager.
ETUDE DE MARCHE
Cette étape est indispensable. Elle repond à plusieurs objectifs :
– vérifier que l’idée correspond à une véritable opportunité du marché,
– affiner l’idée, définir un positionnement permettant de se différencier de la concurrence existante,
– déterminer le lieu d’implantation,
– définir la stratégie et la politique commerciale de l’entreprise,
– réaliser des prévisions d’activité et estimer les moyens matériels, financiers et humains à mettre en œuvre pour les atteindre.
DESCRIPTION DU MARCHE
Définition du marché
A l’origine, le mot « marché » désigne le lieu où l’acheteur et le vendeur se rencontrent pour échanger des biens et des services.
Dans son acception macro-économique, le terme du marché englobe l’ensemble des demandeurs et offreurs qui participent aux processus d’un bien déterminé. Ce n’est plus le lieu géographique qui est décisif, mais les aspects économiques de l’échange que sont le prix, la quantité, le coût, le temps et le territoire.
Enfin, en économie d’entrprise, on utilise le mot marché pour désigner toutes les personnes et organisations qui sont des acheteurs effectifs ou potentiels. Cette définition privilégie donc la demande. Le côté offreur, à savoir l’offre de l’entreprise elle-même et celle de ses concurrents, est appelé branche.
Forme de marché
Avant de se lancer dans des considérations ressortissant à la théorie des prix, l’entreprise doit délimiter son marché avec précision et l’analyser dans ses moindres détails. C’est la raison pour laquelle la théorie des prix contient une classification du marché en fonction de la quantité et de la taille des usagers du marché, à savoir celles des offreurs et des demandeurs. Les trois formules possibles, c’est-à-dire « un grand nombre de petits usagers », « un nombre restreint d’usagers de taille moyenne » et « un seul usager de grande dimension » constituent la classification morphologique des marchés parfaits. La concurrence atomique est appelée également concurrence parfaite.
|
Table des matières
Introduction générale
PREMIRE PARTIE : IDENTIFICATION DU PROJET
CHAPITRE I : Présentation du projet :
Section 1 : Historique et définition
Section 2 : La crèche de la zone de la 5ème arrondissement
Section 3 : Caractéristique du projet
CHAPITRE II : Etude de marche :
Section 1 : Description du marché
Section 2 : Analyse de la demande
Section 2 : Analyse de la demande
Section 3 : Analyse de l’offre
Section 4 : Concept marketing
CONCLUSION DE LA PREMIERE PARTIE
DEUXIEME PARTIE : CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : Réalisation et montage du projet
Section 1 : La mise en marche
Section 2 : Les caractéristiques techniques du projet
Section 3 : Processus d’élaboration des dossiers administratifs
CHAPITRE II : Capacité au niveau des services à rendre et commercialisation envisage
Section 1 : Etude qualitative et quantitative des services
Section 2 : Evolution des chiffres d’affaires
CHAPITRE III : Etude organisationnelle
Section 1 : Organigramme à adopter
Section 2 : Organisation auprès des collaborateurs
Section 3 : La gestion du personnel
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
TROISIME PARTIE : ETUDE FINANCIERE
CHAPITRE I : Evaluation du montant d’investissement
Section 1 : La nature et le coût d’investissement
Section 2 : Prévision de financement
Section 3 : Les comptes de gestion
CHAPITRE II : Etude de faisabilité
Section 1 : Les comptes de résultat prévisionnel
Section 2 : Le flux de trésorerie prévisionnelle
Section 3 : Les bilans prévisionnels
CHAPITRE III : Evaluation du projet
Section 1 : Evaluation sociale
Section 2 : Evolution des chiffres d’affaires
CHAPITRE III : Etude organisationnelle
Section 1 : Organigramme à adopter
Section 2 : Organisation auprès des collaborateurs
Section 3 : La gestion du personnel
CONCLUSION DE LA DEUXIEME PARTIE
TROISIME PARTIE : ETUDE FINANCIERE
CHAPITRE I : Evaluation du montant d’investissement
Section 1 : La nature et le coût d’investissement
Section 2 : Prévision de financement
Section 3 : Les comptes de gestion
CHAPITRE II : Etude de faisabilité
Section 1 : Les comptes de résultat prévisionnel
Section 2 : Le flux de trésorerie prévisionnelle
Section 3 : Les bilans prévisionnels
CHAPITRE III : Evaluation du projet
Section 1 : Evaluation sociale
Section 2 : Evaluation financière
Section 3 : Evaluation économique
CONCLUSION DE LA TROISIEME PARTIE
Conclusion générale
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE
Télécharger le rapport complet