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Notion du développement d’Amartya Sen
Pour Amartya Sen, « le développement vise à élargir les potentialités ouvertes aux hommes pour mener l’existence qu’ils choisissent d’avoir » 4. Pour lui, il fallait dépasser l’étude de la faiblesse des revenus quand on analyse le développement d’un pays.
Il ne reste qu’identifier les quatre grands facteurs qui conditionnent la capacité de conversion du revenu en « aptitude à avoir le minimum vital acceptable ».
– Les hétérogénéités personnelles, dont l’âge, la prédisposition à la maladie ou l’ampleur des incapacités.
– Les diversités tenant à l’environnement, par exemple, l’exposition à des climats spécifiques nécessitant, selon leur froideur ou leur chaleur, des dépenses différentes d’habitat, d’habillement ou de carburant.
– Les variations du climat social, l’impact de la délinquance, les troubles de la société et la violence.
– Les différences de privation relative, un état de relatif appauvrissement dans une société prospère diminuant la possibilité de prendr part à la vie de la communauté concernée.
Selon Sen, « le développement économique suppose de réduire les sources de la privatisation des potentialités qui empêchent les gens de jouir de la liberté de mener l’existence qu’ils désirent » 5.
Théorie de modernisation de Rostow
Rostow concevait le développement de façon linéaireet progressive, pour lui, chaque pays devait nécessairement passer par cinq étapes, avant d’atteindre le développement. Première étape : la société traditionnelle.
Société dominée par un pouvoir de nature féodale, et une production largement agricole, archaïque, de subsistance. La productivité du travail est faible car les techniques sont rudimentaires.
Les mentalités ne sont pas favorables au développement car un fatalisme à long terme règne c’est-à-dire qu’une crainte envers le changement existe.
Deuxième étape : les conditions préalables aux décollages.
Les conquêtes de la science moderne entrainent de g rands progrès économiques qui vont favoriser le premier développement de l’agriculture. Cette dernière doit accroitre pour alimenter les travailleurs non agricoles, car l’industrie s’introduit petit à petit dans l’économie.
Les traditions se modifient et les mutations dans les esprits que dans les structures sont nécessaires : le fatalisme recule et « de nouveaux types d’hommes animés de l’esprit d’entreprise apparaissent » .
Un Etat centralisé et efficace se substitue aux pouvoirs régionaux traditionnels et il est indispensable pour investir dans les transports, en particulier pour créer des infrastructures. Mais toutes ces transformations se produisent à un rythme modéré.
Troisième étape : le décollage.
La phase essentielle, il faut pour cela que diminuent les freinages sociopolitiques et que se produisent des accélérations (découvertes, industries).
Pour caractériser ce décollage, Rostow propose trois critères :
– Que l’investissement passe de 5 à 10% du revenu national.
– Que se créent des industries de transformation.
– Et qu’un appareil politique axé sur le développement apparaisse.
« La structure fondamentale de l’économie et la structure sociale et politique de la société se transforme de telle façon que le taux de croissance pourra par la suite resté constant6. Quatrième étape : maturité
Pendant cette période, la technologie tient un rôle essentiel : les techniques modernes se diffusent. Le secteur agricole doit diminuer pour alimenter en bras l’industrie. Ceci est à environ 50 ans après décollage.
Cinquième étape : la consommation de masse.
Le progrès technique est alors largement diffusé. Les principaux secteurs de l’économie deviennent la production de biens de consommation et de services alors les produits sont de plus en plus accessibles à tous.
Selon cet économiste, le sous-développement n’est qu’un retard de la part de la société archaïque. Pour accélérer la croissance économique,il faut des investissements suffisants alors la mobilisation de l’épargne est l’une des conditions importants pour le démarrage.
Une faible formation de capital constitue un obstacle au développement, alors il faut faire appel à des épargnes externes.
Cette théorie met également l’accent sur la nécessité de transformation de mentalité, l’émergence des industries, l’intervention de l’Eta en tant qu’Etat providence et l’ouverture au reste su monde.
les chemins du développement proposés par la Banque mondiale
« Il n’ait pas, pour l’espèce humaine, de défi à relever aussi important que celui du développement » 7.
Les pays développés d’aujourd’hui ont eu chacun sa propre stratégie pour arriver à ce développement. On est loin de comprendre pleinement le jeu des forces qui régissent le développement économique. Mais l’histoire nous enseigne pour qu’on puisse dire que la politique économique et les institutions ont une importance primordiale. Au sens large, développer c’est améliorer la qualité de la vie.
Dans son rapport, la banque mondiale précisait que l’avenir des pays en développement est principalement entre leurs propres mains.
Elle ne fait que proposer des reformes qu’ils devront entreprendre pour assurer une amélioration de vie. Cette stratégie est au nombre de quatre :
Investir dans la personne humaine.
L’Etat devra augmenter ses investissements dans l’éducation, la santé et le planning familial pour avoir une rentabilité économique plus élevé. Pour cela, l’Etat devra réaménager leurs priorités de dépenses et mieux cibler celles-ci.
La hausse de la productivité d’un pays est liée à son capital humain. Plus ce dernier est meilleur, plus la productivité augmente. On sait que l’accroissement de la productivité est le moteur du développement du fait qu’il en résulte une croissance économique supplémentaire.
Pourquoi dit-on une croissance supplémentaire ?
Productivité égale au rapport de la quantité de production et la quantité de facteur utilisé. Avec la même quantité de facteur, une augmentation de la productivité après une amélioration de connaissances, de qualifications et de capacité des travailleurs signifie une hausse de production. Dans le rapport sur le développement dans le monde 2007, la banque mondiale soutenait que les jeunes sont un élément primordial de la réduction de la pauvreté :
« la jeunesse est une période d’apprentissage intense, où l’on peut acquérir le capital humain nécessaire pour sortir, soi-même et sa famille, de la pauvreté ». (p30)
Il est important, pour atténuer la transmission intergénérationnelle de la pauvreté, de former un capital humain tôt dans la vie. Les jeunes qui sont plus instruits sont davantage disposés à diminuer le nombre de la famille et à investir dans la santé et le bien-être de leurs enfants.
Une meilleure scolarité et une meilleure santé des jeunes vont croître la probabilité d’un développement du pays dans l’avenir.
Dans les pays africains où il existe plusieurs épidémies, il est nécessaire de stopper la propagation du VIH/SIDA, paludisme, malaria,….Car e lle a de répercussion considérable sur la croissance. « On estime que la propagation non contrôlée de l’épidémie réduit la croissance du PIB de 0,8% à 1,5% par année » 8.
Les économistes de la banque mondiale affirmaient que ; « il n’est rien de plus solide sur quoi fonder un développement durable qu’un investissement humain bien conçu » 9.
Créer un climat sécurisant pour l’entreprise.
Un cadre réglementaire pour assurer la concurrence ainsi que le cadre juridique doivent être définis par l’Etat. Seuls les pouvoirs publics sont à pouvoir les fournir.
« La concurrence intérieure et extérieure engendre les incitations propres à libérer l’esprit d’entreprise et à promouvoir le progrès technologique » 10.
Cela exige aussi des investissements d’infrastructure, par exemple la construction des routes qui resoud le problème d’enclavement des produits dans le milieu ruraux.
La politique d’un pays devrait permettre aux chefs d’entreprise d’avoir des informations nécessaires pour prendre des décisions sur les moyens à mettre en œuvre.
Les investissements d’infrastructures, la bonne politique et les renforcements institutionnels ont des effets positifs sur la rentabilité des projets.
Processus de marché financier et les innovations financières
Pour qui il y ait endettement public, il faut d’ abord que des épargnants acceptent de prêter leurs fonds à l’Etat.
Les pays développés ont été convaincus qu’il fautsortir les pays développés de sa misère.
Des flux publics prennent le relais sur le plan bilatéral ou sur le plan multilatéral. La crise des années 30 avait conduit à l’abandon du mode de financement direct obligataire, c’’est ainsi qu’il s’agit d’aide publique au développement. Ce dernier représente 57% les flux dirigés vers les pays en développement dans esl années 1960 – 1961, en moyenne.
En plus, les conditions auxquelles les ressources sont mises à la disposition deviennent de plus en plus très douces.
C’est grâce au marché financier tel que celui-ci a évolué et dans la situation où il se trouve aujourd’hui que l’Etat peut emprunter les sommes considérables dont ils ont besoins, à des conditions de taux d’intérêt favorable, que l‘emprunt public s’est développé. C’est à dire qu’une facilité de mouvement de capitaux résulte dela mondialisation ou des innovations en matière financière.
Le développement que les organismes internationales tels que fonds monétaire internationale (FMI) et la banque mondiale, et la coopération bilatérale ainsi que la coopération multilatérale connaissent, fait continuer à prêter à financer le déficit public et les projets de développement.
Montée du financement privé
Le financement privé du développement prend un essor remarquable au début des années 70, avant même que les liquidités issues des chocs pétrolières n’inondent le système financier international.
Il s’agit des crédits accordés par un syndicat de banques regroupées pour répartir les risques et dirigées par une banque chef de file. La durée des prêts est faible et avec un taux d’intérêt fixé par référence au taux directeur sur l’euro-marché, le LIBOR, auquel s’ajoute le prime du risque. L’intérêt pour le pays en développement de prêter auprès de ces banques est que : il est possible de financer tout ce que l’on souhaite sans contrainte d’aucune sorte. Les conditions sont plus dures que les prêts public s, mais cette dureté relative est limité par de taux d’inflation élevé qui rend faiblement positif, voire négatif, le taux d’intérêt réel.
La concurrence interbancaire conduit les banques commerciales à s’intéresser de plus en plus de prêter des fonds aux pays du tiers monde et aux pays riches que sont susceptibles d’absorber un important financement. Les financements publics représentaient 55% du total en 1970 et ils ne sont que le tiers en 198119.
Effets théoriques de l’endettement public
La poursuite d’un politique d’endettement peut être supportable et jouer dans le sens du développement, disaient certains économistes, mais d’autres mettre en doute cette version. Voyons ce qui leur pousse à affirmer cela ou le contre dire.
Théorie du Keynes sur le politique de relance
Le courant de pensée keynésianisme recommandait la mise en place d’une politique de relance qui aurait permis d’augmenter durablement la production.
Keynes exige l’intervention de l’Etat dans l’économie. Pour lui, il doit faire des investissements publics en rendant ses charges plus considérables pour avoir une croissance par l’effet du multiplicateur. Cet accroissement va engendrer une demande globale plus élevée car la dépense publique y faitpartie de la demande.
La somme déboursée devient un surplus d’argent pourcertains agents. On sait que quand le revenu augmente, la consommation va dans le même se ns.
C’est-à-dire que celui-ci est alors la fonction croissante de ce que perçoit une personne. Les frais pour assouvir les besoins font aussi partie dans la demande globale. Alors cette dernière trouve encore un accroissement supplémentaire.
Pour satisfaire cette demande, les entreprises vont combler la quantité en manque, ce qui fait que la production s’accroit.
Cette majoration de l’offre correspond à un excédent de revenu.
Et revenu augmenté entraine une consommation de plus , l’offre supplémentaire et ainsi de suite.
Déficit de la balance des paiements
Aussi, il est motivé par le déficit de la balance des paiements.
L’incapacité de la réserve de change à financer une pénurie répétée sur plusieurs années donnera lieu à un endettement externe.
définition et les éléments de la balance de paiements
Définition :La balance des paiements est composée de plusieurs comptes qui repèrent à la fois les paiements et les recettes du pays dans ses relations avec l’étranger. On enregistre dans cette balance divers transactions :
1- Les transactions qui impliquent l’exportation ou importation de biens ou services.
2- Les transactions qui ont pour conséquence l’achat ou la vente d’actifs.
3- Enfin les activités qui se traduisent par des transferts de fortune entre pays.
Elément de la balance des paiements :
La balance des paiements est composée de 3 postes.
La balance courante mesure les exportations nettes de biens et services. Ce compte est reparti en trois catégories :
o Le premier concerne le commerce des marchandises.
o La seconde catégorie couvre les revenus d’investissement c’est-à-dire le paiement des dividendes et des intérêts entre les d eux pays.
o La dernière est appelée autres services qui inclut des postes comme les dépenses des touristes, les frais de transport ou les services juridiques.
Ce sont les transferts de richesse qui figurent dans le compte capital.
Ces transferts proviennent pour la plupart du temps d’activités en dehors du marché et représentant l’acquisition ou la liquidation d’actifs non financiers.
De même que le compte courant, le compte financier mesure les ventes et les achats mais la différence se situe sur le point où on enregistre que les actifs vendus à l’étranger et les achats qu’on y fait.
Historique de l’endettement à Madagascar
Dès 1961, Madagascar commençait à s’endetter auprès de l’organisme français de coopération. A cette époque, il s’agissait d’emprunt pour financer des projets à caractère social. C’est-à-dire qu’un an après son indépendance, notre pays a commencé à contracter des dettes extérieures. Mais jusqu’en 1977, le volume des nouveaux emprunts extérieurs restait relativement faible, il a été à 87,2 millions de DTS.
Dans le cadre du plan triennal de développement économique pendant 1978 à 1980, Madagascar a effectué des investissements à outrance.
A ce moment, l’Etat empruntait auprès des organismes publics et des gouvernements des ex-pays de l’Est avec un intérêt de 5,7% à 7,5%.
L‘échéance de la dette était en moyenne de 15 à 17ans. A partir de 1980, Madagascar commençait à se trouver en face des problèmes de paiements de la dette. Pour financer le déficit des paiements extérieurs, FMI et les Fonds Arabes ont donné des prêts d’aide à la balance des paiements.
Les programmes d’ajustement avec le FMI et la banque mondiale ont permis à Madagascar de bénéficier de financements divers. (Pays de l’Est, de l’Ouest de Arabes, Créanciers public, Banques commerciales et ces organismes multilatéraux même).
Alors l’encours de la dette extérieure n’a pas arrêté de progresser malgré les conditionnalités sur les nouveaux emprunts.
De 1981 à 1990, Madagascar s’est présenté sept foisdevant le club de Paris et quatre fois devant le club de Londres pour de rééchelonnement.
D’un autre côté, des autres créanciers accordaientdes rapports d’échéances mais notre pays n’a pas pu respecter. Malgré ces accords successifs auprès du club de Paris, le problème de l’endettement y résistait car en 1991 à 1996, les créanciers n’ont pas eu l’intention de revoir les conditions de remboursement de la dette c’est-à-dire une absence de réaménagement.
Le huitième accord avec le club de Paris a été effectué en 1997, aux conditions concessionnelles de Naples, qui a contribué à une normalisation des relations avec les prêteurs et a permis une relance de la croissance é conomique. (Base 100, année précédent, en 1997 : 11,1%, en 1998 : 12,7%)44.
En 2000, l’analyse de soutenabilité de la dette a abouti à une conclusion que le niveau d’endettement de Madagascar est insoutenable, ce qui fait la cause de l’éligibilité de notre pays à l’Initiative PPTE. Le point de décision est atteint en décembre 2000. Et certains créanciers ont commencé à octroyer leur part d’allégement de la dette.
En 2001, le neuvième accord du club de Paris aux conditions de Cologne concrétise la participation des créanciers membres à l’allégement de la dette.
En 2004, le point d’Achèvement est atteint après une année de mise en œuvre du Document de stratégie de Réduction de la Pauvreté (DSRP) et la satisfaction de plusieurs autres conditions comme bonne gouvernance et prise de mesures structurelles.
Les créanciers du club de Paris procèdent une annulation portant sur le stock de la dette après le dixième présentation de Madagascar au club.
Madagascar figure parmi les premières bénéficiairesde l’Initiative d’allégement de la dette Multilatérale vis-à-vis de la banque mondiale, du FMI et du Fonds Africaine de développement en 2006.
Avec la crise politique qui a commencé au début de l’année 2009, tous les projets de développement sont tombés à l’eau par les créanciers.
Seuls les projets d’Urgence de Sécurité Alimentaire et de Reconstruction de la banque mondiale, le projet de Réhabilitation du Périmètre du Bas Mangoky du FAD et Projet de la RN6 du OFID et Fonds Koweït sont financés par les réanciers parmi les projets qui ont été planifiés.
Affectation de la dette extérieure
On se demande maintenant, Madagascar empruntait pour faire quoi exactement ?
Les dépenses publiques sont définies dans la loi de finances. Et cette dernière est un moyen de mise en œuvre des stratégies définies afin de réaliser les grandes objectifs socio-économiques. On a déjà dit auparavant que l’Etat a deux types de dépenses : dépenses de fonctionnement et dépenses d’investissement.
A côté des emprunts contractés par l’Etat Malgacheà l’étranger, l’aide externe peut vêtir une autre forme : il y a aussi les subventions.
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Table des matières
PARTIE I : BASES CONCEPTUELLES DE L’ENDETTEMENT ET DEVELOPPEMENT
CHAPITRE I : ANALYSE THEORIQUE DE DEVELOPPEMENT
I-1 : Théorie sur la croissance
I-1-1) Modèle d’Harrod
I-1-2) Modèle de Solow
I-1-3) Théorie de la croissance endogène
I-1-4) Théorie du surplus de main d’oeuvre de Lewis
I-1 : Théorie du développement
I-2-1) Définition et indicateur de développement humain
I-2-2) Notion du développement d’Amartya Sen
I-2-3) Théorie de modernisation de Rostow
I-2-4) les chemins du développement proposés par la Banque mondiale
CHAPITRE II : BASE THEORIQUE DE L’ENDETTEMENT PUBLIC
II-1 : Causes théoriques
II-1-1)Concept de l’endettement
II-1-2) Problème d’accumulation interne
II-1-3) Processus de marché financier et les innovations financières
II-1-4) Montée du financement privé
II-2 : Effets théoriques de l’endettement public
II-2-1) Théorie du Keynes sur le politique de relance
II-2-2) Principe d’équivalence Ricardienne
II-2-3)Effets globaux de l’endettement extérieur
II-2-4) Crise de l’endettement
PARTIE II : ANALYSE EMPIRIQUE DE L’ENDETTEMENT PUBLIC A MADAGASCAR
CHAPITRE III: CAUSES DE L’ENDETTEMENT
III-1 : Formes d’emprunt
III-1-1) Bons du trésor par Adjudication (BTA)
a- Distinction entre Marché primaire et secondaire
b- Types d’offres de BTA
III-1-2) Dette extérieure
a- Quelques définitions
b- les créanciers de Madagascar
III-2 : Causes de l’endettement
III-2-1)Déficit budgétaire
a- Budget de l’Etat en général
b-causes de déficit
c-Evolution budgétaire
III-2-2) Déficit de la balance des paiements
a – définition et les éléments de la balance de paiements
b- excédent de l’importation par rapport à l’exportation
c-Analyse des balances des Paiements
III-3 : Evolution et affectation de la dette extérieure
III-3-1) Historique de l’endettement à Madagascar
III-3-2) Affectation de la dette extérieure
III-3-3) Evolution de la dette extérieure
a- Tendance de l’encours de la dette extérieure
b-Analyse de porte feuille
c- Critère de soutenabilité
CHAPITRE IV : EFFETS DE L’ENDETTEMENT
IV-1 : Les déséquilibres externe et interne
IV-1-1) Déséquilibre de la balance commerciale
IV-1-2) Déséquilibre budgétaire
IV-1-3) effet « boule de neige »
IV-2 : Les programmes d’ajustement structurel
IV-2-1) Causes du programme
IV-2-2) Conséquences du PAS
IV-3 Initiatives d’allègement et Document Stratégique pour la Réduction de la Pauvreté
IV-3-1) Initiative en faveur des pays pauvres très endettés (IPPTE) et Initiative d’allégement de la dette multilatérale (IADM)
IV-3-2) Document Stratégique pour la Réduction de la Pauvreté
IV-3-3) Situation économique Malgache
CONCLUSION
Annexe 1
Annexe 2
Annexe 3
Annexe 4
Annexe 5
Annexe 6
LISTE DESTABLEAUX
LISTE DES ABREVIATIONS
BIBLIOGRAPHIE
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