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Répartition et exigence écologique :
Oréochromis niloticus présente une répartition originelle strictement africaine couvrant les bassins du Nil, du Tchad, du Niger, des Volta, du Sénégal et du Jourdain ainsi que les lacs du graben est-africain jusqu’au lac Tanganyika. Cette espèce a été largement répandue hors de sa zone d’origine pour compléter le peuplement des lacs naturels ou de barrages déficients ou pauvres en espèces planctonophages ainsi que pour développer la pisciculture. Elle est également cultivée dans les lacs, les fleuves et les piscicultures en Amérique, en Asie et en Europe.
Oréochromis niloticus est une espèce adaptée aux larges variations des facteurs écologiques du milieu aquatique et colonisant des milieux extrêmement variés. C’est un poisson thermophile qui préfère les températures de 14 à 35°C et en conditions extrêmes, il peut supporter des températures de 7 à 41°C pendant plusieurs heures. Il supporte une salinité de 0,015 à 30 pour mille et un pH de 5 à 11. Au point de vue de la concentration en oxygène dissous, cette espèce tolère à la fois de nets déficits et des sursaturations importantes. Il peut supporter plusieurs heures de teneurs en oxygène dissous de l’ordre de 0,1 PPM (part par million), ce qui est très faible. Cette espèce est, en milieu naturel, mangeuse de phytoplancton, des algues bleues, du zooplancton, des sédiments riches en bactéries et en diatomées ainsi que des aliments artificiels dans les systèmes de pisciculture.
En général,O. niloticus est connu pour sa croissance rapide et présente un indice de croissance plus performant que les autres espèces de tilapia. Sa durée de vie est relativement longue, sa vitesse de croissance est extrêmement variable selon les milieux. Une autre grande caractéristique d’O. niloticus concerne son dimorphisme sexuel de croissance. A maturité, les individus mâles présentent une croissance nettement plus rapide que les femelles et atteignent une taille nettement supérieure. Ainsi, les mâles peuvent vivre longtemps avec une taille de 38 cm pour 2 kg alors que les femelles ne dépassent pas 28 cm pour 950 g.
IMPORTANCE ECONOMIQUE
Production
La Chine est de loin le plus grand producteur de tilapia du Nil. En 2003, la production chinoise annuelle a connu une hausse de presque 806 000 tonnes et l’Egypte a signalé une production d’environ 200 000 tonnes, alors que les Philippines, la Thaïlande et l’Indonésie ont produit 111 000 tonnes, 97 000 tonnes et 72 000 tonnes respectivement. Les autres cinq «top ten» producteurs de tilapia du Nil étaient Laos, Costa Rica, Equateur, Colombie et Honduras. Le Brésil et le Taiwan Province de Chine sont aussi de grands producteurs de tilapia du Nil ainsi que plusieurs autres pays, tels que Cuba, Israël, Malaisie, les États-Unis d’Amérique, Viet Nam et Zimbabwe. Ces derniers produisent d’importantes quantités chaque année. Cependant, la production de ces pays est reportée à la FAO sous la catégorie des statistiques générales «tilapias nei» (qui peuvent inclure d’autres espèces de tilapia) et «poissons d’eau douce nei».
Commercialisation et marché du tilapia
Le tilapia du Nil a été introduit dans les pays en voie de développement et mis en élevage à une échelle de subsistance afin de subvenir aux besoins locaux en protéine. Avec l’évolution des techniques de production et le contrôle des mauvais goûts, le tilapia rejoint les produits comestibles marins sur les marchés de ces pays. Dans les pays fortement industrialisés, des petits marchés pour de tilapia local vivant ou de tilapia congelé importé se sont développés à travers les communautés des immigrés. Après l’apparition des filets frais de tilapia provenant des pays tropicaux, de nouveaux marchés ont vu le jour dans les restaurants haut de gamme, les dîners d’occasion «casual dining», les hypermarchés et les magasins à demi-gros. Pratiquement tous les dîners d’occasion «casual dining» aux États-Unis servent des tilapias, qui sont une addition idéale au menu vu leur prix raisonnable, leur disponibilité le long de toute l’année, leur douceur, leur saveur délicieuse et leur flexibilité lors de la préparation. La plupart des Européens viennent de découvrir le tilapia tout récemment, et un grand potentiel existe en Europe pour l’expansion de son marché. La Chine, exportateur principal du tilapia, a un grand potentiel pour le développement du marché en vue d’approvisionner la classe moyenne en pleine croissance.
Le tilapia ainsi que (toutes ses espèces) est, le deuxième plus important groupe de poissons, cultivé après les carpes, et le plus largement mis en élevage parmi tous les poissons. En 2004, le tilapia a gagné la huitième place parmi les produits comestibles marins les plus populaires aux États-Unis d’Amérique. La production globale de toutes les espèces de tilapia est préconisée augmenter de 1,5 million tonnes en 2003 à 2,5 millions tonnes en 2010, avec une valeur marchande de plus de 5 milliard d’USD. On s’attend à ce que la majeure partie de cette grande production soit attribuée au tilapia du Nil.
Utilisation de EM et du Moringa Oleifera (Never die) :
Utilisation EM :
EM est l’abréviation de micro-organismes efficaces. C’est une combinaison de microorganismes utiles qui existent librement dans la nature et ne sont pas manipulés en aucune façon. Ce mélange augmente la résistance naturelle des sols, des plantes, de l’eau, des humains et des animaux. EM améliore considérablement la qualité et la fertilité des sols ainsi que la croissance et la qualité des cultures.
Les micro-organismes (EM) ont été découverts par leDr Teruo Higa, Professeur d’horticulture de l’Université de la Ryukyu à Okinawa en 1983. Depuis lors, les produits EM ont été sur le marché japonais. EM est l’une des technologies les plus populaires en matière de microbes utilisée dans le monde entier en particulier dans l’agriculture, l’élevage, le nettoyage de l’environnement (cours d’eau pollués, lacs et lagunes) et les industries de la santé. Les micro-organismes efficaces sont sans danger pour l’utilisation parce qu’ils sont inoffensifs du fait qu’ils sont 100% bio, pas synthétisé chimiquement. En outre, EM n’est pas un médicament (Ismah, 2011).
Les possibilités et les avantages dans l’utilisation des EM sont dénombrables et comprennent:
Avantages pour les plantes :
– EM encourage la croissance et la maturité des plantes et les rend plus verte ;
– il inhibe la croissance des bactéries nuisibles porteuses de maladies dans le sol et encourage l’enracinement et la floraison des plantes ;
– il agit comme un engrais naturel en ajoutant de la matière organique dans le sol et élimine l’utilisation d’engrais chimiques ;
– il contrôle le taux d’hydratation du sol et l’absorption des nutriments ;
– il améliore les propriétés physiques et biologiques du sol et augmente sa ventilation ;
– enfin il agit comme des insecticides, des pesticides et des produits anti-moustiques aux parasites comme les rats et les cicadelles qui peuvent endommager les plantes.
Avantages pour l’élevage :
– il améliore la santé de l’animal et prolonge son espérance de vie :
– il agit dans la production de selles inodores à grande qualité et permet de réduire les mouches, les puces et autres insectes nuisibles aux bétails (Ismah, 2011).
EM se compose des cinq familles de micro-organismes qui sont:
1. Les bactéries lactiques: ces bactéries se distinguent par leurs propriétés stérilisantes puissantes. Elles suppriment les micro-organismes nuisibles et encouragent la ventilation rapide des substances organiques. En outre, elles peuvent supprimer la reproduction de Fusarium, un champignon nuisible.
2. Levures: ces substances antimicrobiennes sont utiles pour la croissance des plantes. Leurs métabolites sont la nourriture d’autres bactéries telles que les groupes d’acide lactique et actinomycètes.
3. Actinomycètes: ceux-ci suppriment les champignons et les bactéries nuisibles et peuvent vivre ensemble avec des bactéries photosynthétiques.
4. Bactéries photosynthétiques: ces bactéries jouent un rôle important dans l’activité de l’EM. Elles synthétisent des substances utiles aux sécrétions provenant de racines, de matière organique et / ou de gaz nocifs (par exemple de sulfure d’hydrogène) en utilisant la lumière du soleil et la chaleur du sol comme source d’énergie. Elles contribuent à une meilleure utilisation de la lumière du soleil ou, en d’autres termes, une meilleure photosynthèse. Les métabolites développés par ces micro-organismes sont directement absorbés par les plantes. En outre, ces bactéries augmentent même le nombre de bactéries et certaines agissent en tant que liants de l’azote.
5. Champignons qui provoquent la fermentation et décomposent les substances organiques rapidement. Cela supprime l’odeur et prévient les dommages qui pourraient être causés par les insectes nuisibles (Ismah, 2011).
Utilisation du moringa oleifera (Never die) :
Moringa oleifera appartient à la famille monogénérique des arbustes et arbres des Moringaceae qui comprend environ 13 espèces (Foidl et al., 2001) . Moringa oleifera est l’espèce la plus largement connue et utilisée (Morton, 1991). Originaire de l’Inde, M. oleifera est également indigène dans de nombreux pays d’Afrique, d’Arabie, d’Asie du Sud-Est, du Pacifique et des Caraïbes, et en Amérique du Sud (Morton, 1999 ; Price, 2007). L’arbre a une hauteur de 5 à 10 m (Morton, 1991). Il peut être sauvage et cultivé dans les plaines, en particulier dans les haies et dans les cours des maisons. Il se développe mieux sous le climat tropical insulaire, et est abondant près des lits de sable, des rivières et des ruisseaux (Qaiser, 1973). Il peut bien pousser dans les régions tropicales humides ou les terres sèches et chaudes, mais ne peut survivre sur des sols démunis, et est peu affecté par la sécheresse (Morton, 1991 ; Becker et Makkar., 1999; Foidl et al. 2001). Il est qualifié «d’arbre de vie», «d’arbre miracle» ou « plante divine » du fait de ses nombreuses potentialités nutritives, médicinales et industrielles (Fuglie, 2001 ; Olson, 2001).
La valeur nutritive des feuilles de Moringa est d’une richesse rarement observée. En effet Les feuilles de M. oleifera sont un légume de bonne qualité nutritionnelle et sont l’un des meilleurs légumes tropicaux. Elles sont une excellente source de protéines dont les teneurs moyennes varient entre 19-35 % MS (Makkar et Becker, 1996 ; Foidl et al., 2001 ; Fuglie, 2002 ; Richter, et al., 2003; Tchiégang et Kitikil, 2004 ; Pamo et al., 2005 ; Kakengi et al., 2007 ; Ndong et al., 2007 ; Adeyinka et al., 2008 ; Olugbemi et al., 2010). Ces différents auteurs ont trouvé que les feuilles matures contiennent moins de protéines que les jeunes feuilles du fait de leur teneur élevée en fibres, notamment en cellulose brute variant de 9,13-28,2% MS. Les feuilles de M. oleifera ont un bon profil en acides aminés. Un phénomène plutôt rare pour une plante, elles possèdent les 10 acides aminés essentiels à l’homme. La teneur en acides aminés (en g/16g N) des feuilles fraîches est plus faible que celle des feuilles traitées à l’éthanol. Ceci est dû à une quantité plus importante d’azote non protéique dans les feuilles fraîches (4,7% contre 2,7%) (Zarkadas et al., 1995). Tous les acides aminés essentiels présentent une concentration supérieure à celle préconisée par la FAO, l’OMS et l’ONU pour les enfants de 2 à 5 ans. La teneur en acides aminés de la farine de feuilles de M. oleifera est comparable à celle du tourteau de soja (Bau et al., 1994 ; Makkar et Becker, 1996) avec une digestibilité de 79,2% (Ly et al., 2001). Ayant une teneur relativement élevée en énergie métabolisable, 2273 et 2978 kcal/kg MS (Makkar et Becker, 1996 ; Olugbemi, 2010), les feuilles de M. oleifera contiennent une très grande concentration en vitamines A (6,8 mg), B (423 mg), C (220 mg) etc, en minéraux (fer, calcium, zinc, sélénium, etc.) et sont riches en ß-carotène (Fuglie, 2002 ; Mbora et al., 2004). Les minéraux occupent une part modeste de la matière sèche de feuilles de M. oleifera avec des teneurs de 0,6 à 11,42% MS. Quant à la matière grasse contenue dans les feuilles de M. oleifera, elle varie de 2,3 à 10% MS (Fuglie, 2002 ; Richter et al., 2003 ; Ndong et al., 2007 ; Olugbemi et al., 2010). En somme, M. oleifera se caractérise par une forte teneur en nutriments, en antioxydants, en glucosinolates, en composés phytochimiques et par ses qualités organoleptiques. Cependant, le stade de maturation des feuilles et la saison de récolte peuvent influencer ses teneurs, d’un facteur de 1,5 à 3, en particulier pour le ß-carotène,
le fer et les facteurs antinutritionnels (Yang et al., 2006). Les feuilles de M. oleifera, ajoutées au fourrage pour l’alimentation animale, pourraient être utilisées comme agent bioceutique pour remplacer les antibiotiques (Yang et al., 2006). Une activité anthelminthique a été découverte au niveau des fleurs et des feuilles de cette espèce (Shola et Isaiah, 2013). Du fait de ses qualités nutritives exceptionnelles, les feuilles deM. oleifera ont été utilisées aussi bien en alimentation humaine qu’animale (Price, 2007). Nombre d’auteurs se sont intéressés à l’utilisation de la farine de ses feuilles en alimentation animale. Plusieurs travaux se sont aussi intéressés aux feuilles deM. oleifera Lam. (Kakengi et al., 2007; Makkar et Becker, 1996).
Matériel de fabrication des aliments
Le matériel utilisé lors de la fabrication des aliments est composé :
Les ingrédients nécessaires [farine de poisson etde blé, farine de Moringa oliefera ou never die + EM {déchets domestiques, mélasse, son de riz, EM1 (inoculation de bactéries EM) et récipient plastique (Bokashi bin)}, huiles de poisson et végétale, carboxyméthyl cellulose, vitamine et minéraux]
Matériel de mesure
Balance de précision 0,1pour la réalisation les différentes pesées de marque Ohaus Appareil multifonctionnel YSI Modèle 58 pour mesurer l’oxygène dissous et la température (Yellow Springs Instruments, OH, USA)
Matériel d’analyse biochimique
. Kjeltec 1002 (Tecator), analyse des protéines,
. Materiel d’extraction de lipide (Soxhelet),
. Fibertec M 1020 (Foss Tecator), analyse des fibres,
. Four à moufle, analyse des cendres et l’humidité,
. Etuve,
. Ordinateur,
. Logiciel statistical analysis system (SAS-PC).
METHODES
Milieu d’étude
L’étude a été effectuée à l’écloserie de l’Institut Universitaire de pêche et de l’Aquaculture (IUPA) qui se trouve au département de Biologie Animale (BA) à la Faculté des Sciences et Techniques (FST) de l’Université cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD).
La salle est constituée de deux systèmes d’aquarium en circuit fermé et d’une écloserie. Le système 1 est constitué de 32 aquariums de 50 litres (25cm x 50cm x 40cm), il dispose de deux rangées munies d’un bac de pompage d’une contenance de 500L et d’un vortex à quatre compartiments (un décanteur, deux filtres mécaniques et un filtre biologique). L’eau est pompée du bac vers les aquariums à l’aide d’une pompe immergée placée dans le bac de pompage. Le système 2 est constitué de 8 aquariums 250L (1m×0,5m×0,25m). Mais l’expérience a été réalisée dans un système isolé de 10 bacs de 50 litres. Dans chaque bac se trouve un dispositif de diffuseur d’air connecté à un compresseur assurant l’oxygénation de l’eau.
Fabrication des aliments :
– Fabrication de EM « effective microorganisms »
La fabrication de EM consiste à utiliser un dispositif de deux compartiments. Dans le 1 er compartiment on y met des déchets d’aliments, puis on répand une quantité de la mélasse + EM de base (l’inoculum) à la surface de ces déchets d’aliments. Ensuite, il faut mettre une couche de son de riz dans le récipient, puis répandre encore une quantité de la mélasse + EM de base à la surface de cette couche. Alors, on répète ce procédé jusqu’à ce que le premier compartiment soit rempli. Après, il faut fermer le couvercle du récipient et laisser le contenu se fermenter au moins deux semaines. Enfin, on récupère le probiotique (EM) dans le deuxième compartiment au cour de cette fermentation.
Composition d’EM (Teruo Higa 1990):
• Bactéries lactiques :Lactobacillus plantarum, L. casei, Septococcus lacti ;,
• Bactéries photosynthétiques : Rhodopseudomonas palustris, Rodobacter sphaeroides ;
• Levures: Saccharomyces cerevisiae, Candida utilis ;
• Actinomycètes: Streptomyces albus, S. griseus ;
• Champignons fermentaires : Aspergillus oryzae, Mucor hiemalis.
– Fabrication de la farine du moringa oleifera (Never die)
Les feuilles de moringa oleifera utilisées ont été achetées au niveau du marché local. Après broyage et analyse, son taux de protéine brute est égal à 25.84%. Ensuite il a subi une fermentation de 48h avec l’EM (même quantité : 100g demoringa oleifera et 100g de EM).
– La farine de poisson
La farine de poisson utilisée a été achetée à la Nouvelle Société d’Assistance et d’Approvisionnement (NSAAP) localisée au Sacré Cœur 3 (PB : 56,05%). Contrairement aux farines de viande, les farines de poissons possèdent un excellent équilibre en acides aminés indispensables. La quantité et la qualité des protéines des farines de poissons sont supérieures à celles des principales matières premières utilisées en alimentation animale (Dieng, 1998). Elles représentent des sources de lysine et de méthionine pour les poissons.
– Carboxy-cellulose utilisé comme liant
– Huile de poisson acheté à AFRIC AZOTE
– Farine de blé (PB : 9.5)acheté au niveau du marché local
– Vitamines prémix acheté à Aquavet
– Minéraux prémix acheté à Aquavet
Procédure de fabrication des aliments
Cinq régimes expérimentaux ne différant que par le taux demoringa oleifera + EM fermenté pendant 48 heures incorporé (R1 : 0%, R2 : 25%, R3 : 50%, R4 : 75% et R5 : 100%) sont formulés. Dans chaque régime le taux de protéine brute provenant de la farine de poisson est fixé à 56.05%. Le reste provient de différents ratios de farine de blé et de farine demoringa oleifera (Never die). Pour la fabrication de chaque aliment, les matières premières sont pesées et mélangées entre elles ; avec les vitamines, les minéraux et l’huile de poisson de manière à obtenir un mélange homogène. De l’eau a été ensuite ajoutée à raison de 30 % de matière sèche. Ce qui a permis d’obtenir une pâte malléable. Des filaments de 2 mm de diamètre (spaghettis) sont obtenus après passage à travers la filière d’un Moulinex. Ces filaments sont par la suite séchés au soleil, fragmentés à la taille désirée, mis dans des pots en verre et stockés en attendant leur distribution.
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Table des matières
LISTE DES SIGLES ET ABREVIATIONS
LISTE DES FIGURES
LISTE DES TABLEAUX
INTRODUCTION
CHAPITRE I: SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
I.1. PRESENTATION DE L’ESPECE
I.1.1. Taxonomie et morphologie
I.1.2. Répartition et exigence écologique
I.2. IMPORTANCE ECONOMIQUE
I.2.1. Production
I.2.2. Commercialisation et marché du tilapia
I.2.3 Utilisation de EM et du Moringa Oleifera (Never die)
CHAPITRE II: MATERIEL ET METHODES
II.1. MATERIEL
II.1.1. Matériel biologique
II.1.2. Matériel d’élevage
II.1.3. Matériel de fabrication des aliments
II.1.4. Matériel de mesure
II.1.5. Matériel d’analyse biochimique
II.2. METHODES
II.2.1. Milieu d’étude
II.2.2. Fabrication des aliments
II.2.3. Procédure de fabrication des aliments
II.2.4. Conditions d’élevage
II.2.5. Analyses biochimiques
II.2.6. Paramètres physico-chimiques
II.2.7. Paramètres de croissance
II.2.8. Analyse statistique
CHAPITRE III: RESULTATS
III.1. Paramètres physicochimiques
III.2. Les paramètres de croissance
V CONCLUSIONS ET PERSPECTIVES
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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