PROBLEMES D’APPRENTISSAGE D’HISTOIRE EN CLASSE DE SECONDE

Problèmes d’équipements audiovisuels

                Les équipements audiovisuels sont des outils importants dans la transmission de savoir enseigner et dans l’apprentissage de la matière histoire chez les élèves de la classe de seconde. Qu’est ce que nous entendons par équipement audiovisuel? Il s’agit de l’ensemble des techniques de communications qui font appel à la sensibilité visuelle et auditive dans le but de faire, apprendre aux élèves et de transmettre des savoirs. Ce qui nous intéresse, ce sont les équipements audiovisuels pour les lycées étudiés. Comment sont-ils ? De ce fait, quand on parle d’équipement audiovisuel, il faut parler des salles spécialisées, pour la diffusion des films ou des documentaires ou des diapos, etc. Est- ce que ces lycées disposent de ces équipements dans l’enseignement de l’histoire ? C’est aussi une autre question à répondre dans ce travail. D’après notre observation, des entretiens avec les chefs d’établissements et les présidents de l’E.P.E23 d’histoire. Ils ont tous répondu que leurs établissements ne disposent pas d’équipement audiovisuel pour le cours d’histoire. Ils affirment aussi que leurs lycées ne possèdent pas de salle spécialisée pour des séances de projections. De ce fait, l’audiovisuel, les jeux, l’informatique appellent évidemment l’attention et la compétence du professeur d’histoire. On ne les méprise en rien….24 Donc, l’inexistence d’équipement d’audiovisuel découragent les élèves et ne les motivent pas. Guy AVANZINI insiste sur l’importance et le rôle d’équipement audiovisuel dans l’apprentissage dans son ouvrage intitulé : « La pédagogie aujourd’hui». Il affirme que «les produits multimédias qui sont commercialisés aujourd’hui, permettent de nouveaux progrès dans le domaine de l’individualisation des apprentissages. Ils accroissent en effet les possibilités d’autoformation…, ces supports rendent cette autoformation plus attractive et plus efficace»25. Ces nouvelles technologies contribuent au développement de l’enseignement et surtout pour l’apprentissage de l’histoire chez les élèves de la classe de seconde. Récemment est apparu le sigle TICE ou le E, abréviation d’éducation ou d’enseignement. Il s’agit de la Technologie de l’Information et de la Communication destinée à l’Enseignement (Education). Ces technologies englobent en effet l’ensemble des dispositifs permettant de traiter ou de communiquer de l’information et recouvre des applications très différentes en termes d’usages éducatifs26. Vu aussi que, de nos jours, la technologie ne cesse de s’évoluer. Donc, l’enseignement doit aussi suivre cette évolution pour les biens faits de l’apprentissage Ensuite, les élèves ne s’intéressent pas vraiment à l’histoire, car ils la considèrent comme des contes et des fois même de légendes. Sans ces équipements les élèves ont du mal à apprendre l’histoire en tant que discipline scolaire. Enfin, ces nouveaux moyens complètent les supports traditionnels qui sont : des cartes murales, des tableaux, des livres, des planches illustrées. Alors, nous pouvons dire que l’inexistence ou le manque d’équipement audiovisuel dans ces lycées étudiés est un obstacle dans l’apprentissage des élèves en matière d’histoire. Que pourrions nous dire des documentations dans ces trois lycées ?

Problèmes de formation

                     La compétence des enseignants dans l’enseignement en matière d’histoire dépend principalement de sa formation et de son expérience dans le travail. La bonne formation reçue par les enseignants d’histoire leur facilite la tâche dans l’enseignement et l’apprentissage des élèves. Pour mieux enseigner en classe de seconde, il faut avoir une bonne formation pédagogique à part la formation académique. Gaston MIALARET affirme dans son ouvrage «La formation des enseignants» que l’acquisition des méthodes et techniques de transmissions de messages aussi que les conditions d’une bonne transmission et d’une bonne réception des messages font partie de la formation pédagogique de l’enseignant. Donc, la formation professionnelle ou pédagogique des enseignants leur permet de conduire à bien leur enseignement et de faciliter l’apprentissage de l’histoire aux élèves de la classe de seconde. L’auteur confirme dans son ouvrage que«La formation pédagogique est l’ensemble de processus qui conduisent à exercer une activité professionnelle (celle d’enseignant) et le résultat de cet ensemble de processus»33.Cela implique que la formation académique doit compléter la formation professionnelle. Vue que la formation académique ne donne que des cultures générales à l’enseignant. Comme notre étude s’intéresse au problème d’apprentissage de l’histoire chez les élèves de la classe de seconde, nous allons montrer dans ce travail les relations entre formation des enseignants d’histoire et l’apprentissage de cette matière chez les élèves des établissements de notre étude. Il y a toujours des relations de communications entre enseignants et apprenants. C’est ce que nous allons appeler relation d’enseignement. Quand cette relation se détériore, il y aura un problème dans l’apprentissage de l’histoire chez les élèves. Pendant notre observation sur terrain et nos enquêtes, nous avons pu effectuer des enquêtes et entretiens avec 8 enseignants. Ce sont tous des enseignants d’histoire et géographie de la classe de seconde, qui se répartissent comme suit : 5 enseignants capeniens, c’est-à-dire des enseignants titulaires d’un diplôme professionnel pour l’enseignement de l’histoire et de la géographie au lycée, puis 2 enseignants titulaires de licence : l’un licence en géographie, et l’autre licence en Es lettres. Enfin, un enseignant titulaire du maîtrise en géographie. Alors, ces trois derniers enseignants ne possèdent pas de diplôme professionnel adéquat à l’enseignement de l’histoire vu leur formation académique. Pourtant, ils enseignent tous la matière histoire au lycée en classe de seconde.Par ailleurs, les enseignants qui ont reçu une formation professionnelle se trouvent encore confrontés à des difficultés pour l’enseignement de l’histoire, faute de recyclage de leur formation et des suivis du ministère. Ensuite, leurs savoirs se dévalorisent avec le temps. Par contre, les enseignants qui n’ont pas reçu de formation professionnelle seront vite confrontés à des tas de problèmes dans l’enseignement de l’histoire surtout pour la transmission de savoirs à enseigner chez les élèves. Le tableau suivant nous montre le corps d’appartenance de ces enseignants. Ce tableau nous montre que 5 enseignants soit 62,5% des enseignants enquêtés sont titulaires d’un CAPEN (Certificat d’Aptitude Pédagogique de l’Ecole Normale) c’est-à-dire, ils ont reçu une formation adéquate en la matière (d’histoire). La formation leur permet d’enseigner l’histoire au lycée, ils sont bien préparés moralement que mentalement dans leur travail. Pourtant, les restes d’où les trois enseignants enquêtés ou 37,5% n’ont pas de diplôme professionnel. Donc, la formation suivie par ces enseignants de la classe de seconde ne sont pas la même, pour cela, ils n’auront pas la même pratique pédagogique quand ils enseignent leurs élèves respectifs. D’après le programme MAGPLANED qui est un programme d’amélioration de la planification de l’éducation à Madagascar, il affirme que «près de 15% des enseignants sont titulaires de CAPEN, diplôme requis pour enseigner dans le second cycle du secondaire…, on observe que le nombre des enseignants titulaires de la licence sont plus important»34. Alors, cela confirme que des enseignants sans diplôme professionnel peuvent enseigner l’histoire au lycée. Ce ci pourrait engendrer des obstacles dans l’apprentissage de l’histoire aux élèves de la classe de seconde des trois établissements étudiés. Vu que 37,5% des enseignants n’ont pas fait de la didactique, ni la science de l’éducation comme la psychologie, la sociologie de l’éducation, la législation et administration scolaire, la pédagogie,etc.Sylvain LOURIE confirme que «ces enseignants sont la plupart du temps livrés à eux mêmes. Ils manquent d’encadrement, d’appuis, de conseils ou de mise à jour de leurs connaissances»35. Le tableau suivant nous montre la situation de ces enseignants. Parmi les enseignants enquêtés, 7 soit 87,5% ont affirmé qu’ils ont besoin de formation. Ils en ont besoin parce qu’ils voulaient améliorer leur pratique pédagogique. Ensuite, ils n’ont pas reçu de formations pendant leur carrière. Mais pour les 12,5%soit un enseignant, il ne voulait plus de formation parce qu’il ressent déjà qu’il va prendre sa retraite. Alors, il n’en a plus besoin de formation. Donc, la formation ne lui sert à rien même pour la culture générale à son âge. Bref, la qualification des enseignants est indispensable dans l’enseignement de l’histoire, vu que cette matière est considérée comme abstraite et difficile à comprendre pour les élèves. Donc, cela nécessite un bel enseignant qui a reçu une formation adéquate à la matière et un recyclage permanent de leur pratique pédagogique pour éviter que leurs connaissances soient dépassées par le temps. Pourtant, dans les lycées étudiés, c’est loin d’être le cas, même s’il existe une réunion pédagogique entre les enseignants d’histoire une ou deux fois par mois. Mais cela ne pourrait pas enlever les lacunes de formations des enseignants. Comment former ces enseignants de la classe de seconde ? C’est ce que nous allons voir dans les paragraphes suivants.

Méthode d’apprentissage

                   Dans ce travail, nous allons analyser, les méthode d’apprentissage des élèves dans les lycées : d’Andohalo, de Nanisana, et d’Andoharanofotsy. Par définition, une méthode c’est un ensemble de procédés, de moyen pour arriver à un résultat. Il s’agit ici de l’apprentissage des élèves. La question que nous allons poser c’est, quelle méthode ces élèves vont-ils utiliser pour apprendre leurs leçons d’histoire ? Nous tenons à mentionner qu’il existe diverses méthodes pour apprendre. Pour nous, il s’agit de la matière d’histoire. En plus, cette méthode varie selon les moyens, la capacité et la motivation de chaque élève envers la matière d’histoire en classe de seconde.Jean BERBOUM a remarqué que « Chaque apprenant a une manière d’apprendre qui lui est propre et qui peut différer selon l’objet et la situation d’apprentissage»52. Pour bien apprendre, il faut avoir une bonne méthode. Philippe MEIRIEU constate aussi dans son ouvrage « Apprendre …oui, mais comment ? » que « un apprentissage s’effectue quand un individu prend de l’information dans son environnement en fonction d’un projet personnel». Nous avons effectué des observations et des enquêtes par questionnaire dans le but de connaître et de savoir les méthodes d’apprentissage des élèves en matière d’histoire dans ces trois lycées. Le tableau suivant va nous montrer les résultats obtenus. Ce tableau nous montre que 176 élèves soit 60,90% apprennent leurs leçons d’histoire en apprenant le résumé par cœur. Ceci veut dire que plus de la moitié des élèves enquêtés se contentent des résumés donnés par l’enseignant d’histoire. Les raisons de ce choix sont les suivantes : d’abord, ils ne maîtrisent pas très bien la langue d’enseignement/ apprentissage dans la transmission de savoir enseigné par l’enseignant et l’exploitation. Ensuite, la plupart des enseignants utilise la méthode traditionnelle, c’est –à- dire ces enseignants pratiquent un enseignement centré sur lui-même et sur sa matière. Donc, les élèves ne sont que des simples récepteurs de savoir. Voilà pourquoi ils apprennent leur leçon par cœur. Enfin, les élèves apprennent leur leçon par cœur dans le but d’avoir des bonnes notes et non de connaître l’intérêt de l’histoire étudiée. Dans son ouvrage intitulé : « Didactique de l’histoire » Henri MONIOT confirme que l’histoire transmet une mémoire collective revue et corrigée à chaque génération, c’est aussi véhiculer des idées reçues, ensuite développer chez les élèves l’esprit critique, de tolérance, enfin, c’est un instrument de cohésion sociale54. Par ailleurs, les raisons qui poussent les élèves à apprendre par cœur aussi, c’est le manque de matériels (livres polycopiés, etc.). Ces matériels, et ces documents sont considérés comme indispensables pour l’étude historique. L’auteur insiste sur le rôle des documents en disant que « le manuel remplit possiblement diverses fonctions.Auprès de l’élève, il est le réservoir d’informations, référence du savoir, trésor de leçons… voir instrument d’apprentissage » 55. Donc les documents sont des outils inévitables et indispensables dans l’apprentissage de l’histoire pour éviter d’apprendre par cœur. D’après notre tableau 86 élèves soit 29,76% disent qu’ils apprennent l’histoire en lisant des documents affèrent à cette matière. C’est déjà bien, vu que ces élèves n’apprennent pas leur leçon par cœur mais par des raisonnements. Ce cas affirme qu’ils comprennent la leçon et ils approfondissent leur connaissance en histoire en lisant des documents. Pourtant, leur pourcentage est un peu faible (29,76%). Enfin, 27 élèves soit 09,34% étudient leur leçon en pratiquant d’autre méthode. Il s’agit de faire des fiches de révision, de bien comprendre la leçon et apprendre l’essentiel, écouter attentivement l’enseignant pendant le cours et y participer. En résumé, la majorité des élèves étudient leur leçon d’histoire en apprenant le résumé par cœur. Cela pourrait constituer un problème dans l’apprentissage de l’histoire. Vu qu’apprendre par cœur n’est pas apprendre. Cette méthode ne permet pas à l’élève de développer son esprit critique et de synthèse qui est vivement souhaité pour l’étude historique. Donc, il n’est pas la meilleure façon d’apprendre la leçon d’histoire en classe de seconde.

Regroupement des anciens élèves des établissements

                Pour les trois lycées étudiés (lycée Andoharanofotsy, lycée Nanisana et lycée Andohalo) les infrastructures restent toujours un problème commun. La vétusté des infrastructures ennuie les élèves dans l’apprentissage de l’histoire. Face à ces problèmes, nous pensons à apporter des solutions d’amélioration aux infrastructures scolaires existantes aux lycées et à les réparer si possible. A savoir, la reconstitution des terrains de sports. Nous pensons que le regroupement des anciens élèves de chaque établissement dans une association qui porte le nom du lycée s’avère nécessaire et indispensable pour résoudre ce problème même en partie. Quand ces anciens élèves se regroupent en une association, et ils pourront conjuguer leur talent et leurs compétences par des multiples activités lucratives. Le chef d’établissement peut lancer un appel à l’association par annonces à la radio et à la télévision (par exemple RNM et TVM). Donc, le Proviseur doit avoir cette initiative, il fixe le lieu et l’heure du premier regroupement. Par la suite, le chef d’établissement et son staff vont se réunir avec les anciens élèves, ils vont mettre au point les objectifs à atteindre et les stratégies de réalisation dans le but d’amélioration des infrastructures de l’établissement. Pour la réalisation de l’activité à but lucrative, ils pourront organiser un déjeuner dansant ou un concert. Pour la première proposition, ils devront établir des commissions : logistiques, financières, et le Proviseur et le président de l’Association s’engagent à toutes les formalités des dossiers et leur envoi, et même que la signature des dossiers, du contrat avec le restaurateur et les commandes à faire. En outre, ils pourront demander de l’aide auprès de l’autorité locale, pour faciliter la location d’une salle de fête pour le déjeuner ou la réservation d’un espace donné. En ce qui concerne la vente des billets et des invitations, l’association pourrait frapper la porte ou demander une coopération avec les opérateurs économiques de la région, les responsables des entreprises franches et les grandes sociétés, sans oublier les parents d’élèves. Par ailleurs, les anciens élèves d’établissement doivent cotiser pour démarrer cette activité ou encore faire une levée de fonds pour une œuvre de bienfaisance. Par la suite, les responsables du restaurant s’occupent de la préparation des plats, de l’organisation de la table, les décorations et du déjeuner même. Bref, si tout le monde se donne la main, cette activité connaîtra une réussite. Donc, nous suggérons aux responsables de l’établissement et aux anciens élèves d’y penser. L’argent obtenu, on pourrait l’utiliser dans l’amélioration de l’infrastructure. En plus, ils pourront aussi trouver des partenaires de financement à la réalisation de leurs projets de la part des organismes nationaux ou internationaux. A savoir le projet F.I.D. (60), il s’agit d’un projet financé par la Banque Mondiale qui apporte des ressources financières aux communautés ou établissements scolaires dans l’amélioration des infrastructures scolaires, sanitaires et construction des marchés ou barrage hydraulique entre autre. L’établissement intéressé par ce projet doit déposer leur demande et leur projet de réhabilitation des infrastructures au siège du F.I.D à Anosy. Notons que le montant du crédit F.I.D IV atteint 137 millions de dollar américain ou 878 milliards de fmg. Le projet a une durée de 5 ans, qui a débuté au mois de novembre 2001. Donc, leurs infrastructures redeviendront comme neufs et le problème de mauvais état des infrastructures sera résolu. Les aides ou l’argent obtenu pourraient reconstruire les salles de classe désuètes et de construire d’autres salles de classe pour résoudre le problème de manque de salle de classe. Vu aussi que ce manque de salle de classe conduit au sureffectif des élèves. En plus, avec l’argent obtenu par les anciens élèves de l’établissement, on pourrait acheter des tables bancs pour les élèves. Dans l’identification des problèmes, nous avons vu que presque tous ces établissements étudiés souffrent du manque de tables bancs. Il n’y en avait même pas d’infirmerie, ni de laboratoire de langues. Pour que l’apprentissage de l’histoire soit une réussite, il faut que l’établissement dispose le minimum nécessaire c’est-à-dire un environnement calme et favorable à cette activité. Dans les rapports économiques de la Banque Mondiale concernant l’éducation, il constate qu’il est essentiel que tous les matériels d’appui soient de bonne qualité et suffisants (61). Cela affirme que pour qu’il y ait un bel apprentissage, il faut disposer des matériels et des conditions nécessaires à l’apprentissage d’une matière, il s’agit ici de l’histoire. Bref, nous pouvons dire et affirmer que le rôle des anciens élèves des établissements est indispensable pour résoudre le problème d’ordre infrastructurel des trois lycées étudiés. Pourtant, l’Etat reste toujours le premier responsable de l’éducation à Madagascar. Donc, que pourrait-il faire pour résoudre ce problème d’ordre infrastructurel ?

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PREMIERE PARTIE: PRESENTATION DE LA ZONE D’ETUDE, DES ETABLISSEMENTS ET IDENTIFICATION DES PROBLEMES 
Chapitre I: LOCALISATION GEOGRAPHIQUE 
I.1. Le relief de la région d’Antananarivo
I.2. Caractéristique du climat
I.3. Les végétation de l’Imerina centrale
I.4. Activités économiques des Tananariviens
Chapitre II: APECU HISTORIQUE D’ANTANANARIVO
II.1. Les origines de la population Tananarivienne
II.2. Les nouvelles vagues d’immigrants
II.3. La population à l’heure actuelle
Chapitre III: PRESENTATION DES TROIS ETABLISSEMENTS
III.1. Le lycée d’Andoharanofotsy
III.2. le lycée Nanisana
III.3. Le lycée d’Andohalo
Chapitre IV : PROBLEMES MATERIELS 
IV.1. Problèmes sur l’emplacement des lycées
IV.2. Problèmes concernant les infrastructures
IV.3. Problèmes en matériels didactiques
IV.4. Problèmes d’équipements audiovisuels
IV.5. Problèmes en matière de documentation
Chapitre V : PROBLEME AU NIVEAU DES ENSEIGNANTS
V.1. Problèmes de formation
V.2. Problèmes de méthode d’enseignement
V.3. Problèmes de motivation des enseignants
Chapitre VI : PROBLEMES D’APPRENTISSAGE DES ELEVES 
VI.1. Conditions d’apprentissage
VI.2. Méthode d’apprentissage
VI.3. Problèmes de langue
Conclusion de la première partie
DEUXIEME PARTIE : PROPOSITIONS DE SOLUTIONS 
Chapitre I : DANS LE DOMAINE DES INFRASTRUCTURES 
I.1. Jumelage et coopération avec d’autres lycées
I.2.Regroupement des anciens élèves des établissements
I.3. Rôle de l’Etat dans l’amélioration des infrastructures scolaires
I.4. Rôle de l’autorité locale
I.5. Fonds de prévoyance de l’Association des parents d’élèves
Chapitre II : DOCUMENTATION, MATERIELS DIDACTIQUES ET EQUIPEMENT AUDIOVISUEL
II.1. Jumelage, pour obtention des documents ou matériels didactiques
II.2. Initiative du chef d’établissement
II.3. Création des matériels didactiques par les enseignants d’histoire
II.4. Apports de l’Etat en matière de documentation et matériels didactiques
Chapitre III : FORMATION ET CONDITION DE TRAVAIL DES ENSEIGNANTS
III.1. Sur le plan pédagogique et didactique
III.2. L’importance de l’Equipe Pédagogique d’Etablissement dans l’amélioration des méthodes d’enseignement
III.3. Améliorer les conditions de travail des enseignants
III.4. Nouvelle politique de recrutement d’enseignant
III.5. Ecole de formation
Chapitre IV : L’APPRENTISSAGE DES ELEVES
IV.1. Améliorer les conditions d’apprentissage des élèves
IV.2. Débat favorisant l’amélioration des méthodes d’apprentissage des élèves
IV.3. Inciter l’élève à aimer la matière histoire
IV.4. Maîtriser la langue d’enseignement/apprentissage
Chapitre V : LANGUE D’ENSEIGNEMENT
V.1. Utilisation rationnelle du bilinguisme
V.2. Utilisation des laboratoires de langues pour les élèves
V.3. Augmenter les heures d’enseignement du français
V.4. Travail en synergie entre enseignants de Français et d’histoire
Conclusion de la deuxième partie
CONCLUSION GENERALE
BIBLIOGRAPHIE

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