HISTORIQUE DE L’ENSEIGNEMENT PHARMACEUTIQUE
L’un des acteurs clefs du domaine pharmaceutique au Moyen âge est représenté par les ordres religieux. C‘est Cassiodore né en 468, retiré de Celadore au monastère viviers qui est l’instigateur du mouvement pharmaceutique que nous devons aux religieux de cette époque. Il recommande en effet aux moines de distinguer chaque sorte de plante, de mélanger avec diverses espèces de drogues, d’étudier les ouvrages de Dioscoride, Hippocrate, Galien. Il fit traduire de nombreux livres ce qui permit la diffusion des œuvres médicinales, la plupart des ordres monastiques suivent ses instructions [15], [11], [14]. Une deuxième influence majeure au moyen âge est celle des arabes considérée à juste titre par G. le Bon comme les véritables instigateurs de la pharmacie. Ils ont joué un rôle essentiel dans la transmission des connaissances pharmaceutiques de l’antiquité, mais aussi introduites de nombreux remèdes nouveaux [11]. En France, à la fin du dixième siècle, on trouve dans les couvents l’apotecarius, qui remplit le rôle de médecins et de pharmaciens. Les interdictions des différents conciles n’empêchent pas le clergé d’exercer la pharmacie, comme la médecine. En 1309 le couvent des dominicains de Montpellier abrita plus de 60 moines qui enseignent la pharmacie à des prêtres de toutes nationalités, à ses débuts, la formation de l’apothicaire, ancêtre des pharmaciens était exclusivement pratique, consistant en un long apprentissage des tours de mains nécessaire pour réussir les préparations [14]. Les maîtres apothicaires se chargeaient dans leur apothicairerie, de l’instruction des candidats à la maîtrise. L’apprenti devait avoir des notions de latin et de grammaire afin de lire les formulaires et les ordonnances des médecins. Après dix ans de compagnonnage l’élève pouvait accéder à la maîtrise à la suite d’épreuves multiples dont la confection d’un chef d’œuvre [6]. A la fin de 18ème siècle, la pharmacie était en déclin à trop se replier sur elle-même. La profession était devenue peu attractive et le manque d’élèves se faisait sentir. La déclaration royale du 25 avril 1777 promulgua la séparation de la pharmacie et de l’épicerie [5]. L’obligation d’assister aux cours de l’académie imposé aux aspirants dijonnais par un acte de 1782 amorça l’un des premiers enseignements théoriques de la pharmacie en France [3]. L’idée d’un monopole de compétence était enfin posée. Elle fut étendue à tout le territoire par la loi de 1803 lors de l’étatisation de l’enseignement se traduisant concrètement par la démocratisation et l’uniformisation des soins. La loi 21 du germinal an 11 a créé des écoles de pharmacie à Paris, Montpellier, et Strasbourg ainsi qu’à Turin et Gênès où les écoles ont existé trois ou quatre ans. A partir de 1846, à des dates diverses, les trois premières écoles ont pris le nom de écoles supérieures en dehors de tout textes réglementaires. Jugeant insuffisant trois écoles pour l’enseignement de la pharmacie, le 12 mars 1840, l’ordonnanceur créa une vingtaine d’écoles préparatoires de médecine et de pharmacie où la durée des études de pharmacie était limitée à trois années. A partir de 1874, certaines de ces écoles furent transformées en facultés mixtes ou en écoles de plein exercice, en 1955 les onze dernières écoles sont devenues nationales, qui seront plus tard transformées en UER puis en UFR [1]. Au Sénégal l’enseignement de la pharmacie fut introduit en 1916 avec l’Ecole Africaine de Médecine et de Pharmacie de DAKAR ; qui sera transformée plus tard en faculté de médecine, de pharmacie et d’odontostomatologie. Elle forma jusqu’en 1953 ,581 médecins et 56 pharmaciens [7].
Activités relatives aux soins infirmiers
L’étudiant durant son stage devra : pratiquer des injections : injections intramusculaire (IM) et sous cutanée (SC) ; participer à la mise en place d’une perfusion ; effectuer des prélèvements de produits pathologiques ; acquérir des notions de base concernant l’asepsie, l’antisepsie, la stérilisation etc.
Le stage hospitalier doit familiariser l’étudiant aux divers instruments médicaux et chirurgicaux utilisés. A titre d’exemple, en Chirurgie, l’étudiant verra le matériel d’intervention chirurgicale, les fils et ligatures, les produits d’anesthésie et de stérilisation, etc.
Le stagiaire fera la visite des lits du service et devra : prendre une température, une tension ; établir une feuille de température ; lister les pathologies dominantes revues au service ; donner les premiers soins à un traumatisé ; suivre l’évolution d’une affection et le traitement associé.
Moyens et techniques utilisés
Notre évaluation porte sur le taux et la durée des études en pharmacie. C’est ainsi qu’un choix a été porté sur trois promotions d’étudiants : celles des étudiants entrant en 2001, 2002 et 2003. Pour chaque promotion, nous avons suivi le cursus des étudiants en vue de déterminer la durée de leurs études, c’est-à-dire le temps mis pour arriver en année de thèse, ainsi que les taux de réussite pour chaque année. Pour cela, nous nous sommes rapprochés de la scolarité pour obtenir les listes de ces promotions, de leur première année d’étude à l’année de thèse ainsi que les années suivant la thèse. Cette évaluation va se faire pour chaque promotion comme suit : En premier lieu, nous déterminerons pour chaque promotion, le nombre d’étudiants réussissant chaque année d’étude, de la première à la cinquième année. Afin de déterminer les courbes évolutives des nombres d’étudiants jusqu’en année de thèse pour chacune de ces promotions. En deuxième lieu, nous allons superposer ces trois courbes, afin de pouvoir faire une comparaison de ces trois promotions et voir les années où les échecs sont les plus importants. En dernier lieu nous allons faire :
l’évaluation du taux de réussite et la durée des études en fonction de l’effectif total des primo-entrants.
l’évaluation du taux de réussite et la durée des études en fonction des sénégalais et des étrangers primo-entrants.
CONCLUSION
La Faculté de Médecine, Pharmacie et d’odontologie de Dakar est le premier établissement de l’AOF sous le nom de l’Ecole Africaine de Médecine et de pharmacie fondé en 1916. Elle reçoit de nos jours beaucoup d’étudiants d’horizons différents grâce à sa bonne réputation et l’expérience accumulée depuis les temps coloniaux. Actuellement, étant donné que la pharmacie demande une formation médicale et scientifique polyvalente, la réussite à ces études demande beaucoup d’abnégation et d’effort. Ce qui fait constater que la section de pharmacie enregistre depuis plusieurs années des taux d’échecs assez importants. C’est dans cette optique que nous nous sommes intéressés à la problématique de la réussite des étudiants en pharmacie de la FMPOS de Dakar. Il s’agit essentiellement, d’une évaluation des taux des durées de réussite de trois promotions d’étudiants choisies : celles de 2001, 2002 et 2003. Nous avons eu pour cela recours aux listes de ces promotions choisies auprès du service de scolarité : de leur 1ère à leur année de thèse, mais aussi des années de thèse des promotions suivantes. Et d’une enquête faite auprès des étudiants pour essayer de trouver une explication de ces taux élevés d’échec. Au terme de notre travail qui a duré 5 mois, nous avons recensé 156 étudiants primoentrants pour l’année académique 2001 dont 43,43% sénégalais et 52,56% étrangers ; 186 primo-entrants en 2002 composés dont 67,7% sénégalais et 32,25% étrangers et enfin 256 primo-entrants en 2003 engorgeant 74,60% sénégalais et 25,39% étrangers. Une progression du nombre d’étudiants est notée puisque qu’on passe de 156 à 256 primo-entrants entre 2001 et 2003. Cette étude a montré que seuls 14,74% de la promotion de 2001, 20,26% de celle 2002 et 22,26% de celle de 2003 ont fait 5 ans pour être en année de thèse. Bien que faible nous notons une nette progression en valeur relative du nombre d’étudiants arrivant en année de thèse sans redoublement. Il faut cependant noter que plus de 50% des primo-entrants font 7 ans ou plus pour arriver en année de thèse. Une analyse plus fine faite en divisant l’effectif des primo-entrants en deux groupes : les étudiants étrangers et les étudiants sénégalais. Cette étude montre qu’en valeur relative les étudiants sénégalais réussissent mieux en général que les étudiants étrangers. En effet,-Pour la promotion de 2001, nous avons 18,82% de primo-entrants sénégalais contre 10,92% de primo-entrants étrangers.
– Pour la promotion de 2002 nous avons 17,43% sénégalais contre 28,33% étrangers
– Pour la promotion de 2003 nous avons 24,08% sénégalais contre 16,92% étrangers
Ces résultats pourraient trouver une explication dans l’hébergement pour les étudiants étrangers, mais aussi le système de sélection différent. Concernant les étudiants mettant plus de 7 ans pour arriver en année de thèse les résultats montre la même tendance face à la réussite par exemple. Pour la promotion de 2003 nous notons plus de 54% des primo-entrants sénégalais contre plus de 74% de primo-entrants étrangers mettant plus de 7 ans pour arriver en thèse. L’étude a montré aussi que les 3 premières années d’étude constituent celles où les échecs sont plus importants. Ce qui a été étayé par notre investigation qui a démontré que 55 de nos enquêtés ont eu à reprendre au moins une fois une année d’étude. 75 redoublements ont été notés, dont 32 en première année, 22 en deuxième année, 15 en troisième année et 6 en quatrième année. D’après les étudiants ceci est dû au fait que 73% des étudiants avaient eu des problèmes liés à l’environnement universitaire. 45,2% de ces derniers ont eu du mal à s’adapter sur le plan pédagogique et 43,8% par rapport à la vie du campus. Néanmoins 77% de nos enquêtés pensent que leur temps est mieux géré quand ils logent au sein du campus, où 72% des étudiants pensent paradoxalement être très stressés. Pour apprendre leurs cours 63% des étudiants ont en faite des problèmes, dont le plus cité est les plages horaires des cours théoriques et pratiques pour 60,3% d’entre eux. S’agissant de la qualité de l’enseignement, 46% des étudiants sont satisfaits de la manière dont les cours sont dispensés. En effet, ils pensent de comprendre d’habitude à 25% au sortir des amphithéâtres selon 43% des enquêtés. Néanmoins, 87% pensent que quelques difficultés sont enregistrées par rapport à certaines matières, du fait que certains professeurs passent leur temps à dicter au lieu d’apporter des explications si nécessaire pour 85%, de plus, ils ne vérifient même pas si les étudiants les comprennent ou pas pour 55% d’entre eux. Enfin, nous avons noté que pour 70% des étudiants seuls quelques professeurs sont disponibles pour des explications supplémentaires. Les conséquences sont néfastes pour 69% des étudiants au moment d’apprendre leurs cours. En réalité d’énormes problèmes d’assimilation et de compréhension sont rencontrés par 55% d’entre eux, mais force est de reconnaître que ces faits rendent aussi certaines matières très difficiles pour 30% de ces étudiants. En ce qui concerne la méthode de travail des étudiants, temps de travail personnel moyen quotidien de ces derniers est de 8,47 heures. Pour atteindre cet objectif, ils sont obligés selon 55% d’entre eux de toujours s’absenter durant les cours magistraux et pour 29% de s’absenter parfois. Notre enquête a révélé aussi que 52% des étudiants apprennent leurs cours en fonction des examens précédents, ce qui leur permet selon 23% d’entre eux de comprendre plus facilement ces cours (23%), mais surtout qu’il y’a souvent répétition des sujets d’examens selon 50% des étudiants. Etant donné que 66% des étudiants apprennent les cours en les résumant, cette méthode leur permet de faire de bons résumés selon13% d’entre eux. Parmi les méthodes d’acquisition, apprendre par cœur occupe une place importante, mais n’empêche que 79% des étudiants essayent de comprendre les cours au préalable. Enfin, nous avons aussi noté que 43% des étudiants travaillent seuls et pour essayer de combler leurs lacunes 20% travaillent le plus souvent en groupe. Concernant l’évaluation des étudiants, notre enquête a montré que les étudiants ne sont pas bien évalués selon 73% de ces derniers. Pour 21% d’entre eux le fait d’être évalué sur une petite partie du programme ou de donner des épreuves poussant les étudiants à apprendre par cœur, ainsi que les questions mal comprises pour 16% sont les justifications données par les étudiants. Ce pendant, certaines matières se trouvent être bien évaluées en l’occurrence : la botanique pour 13%, la physiologie pour 12%, la chimie organique pour 12%, la chimie thérapeutique pour 8% Elles sont bien évaluées car elles portent sur tout le programme, les cours sont plus faciles à assimilés du fait de la bonne explication de la part des professeurs pour 22% des étudiants. Selon les étudiants les types d’évaluation les mieux adaptées restent : une dizaine de questions portant sur l’ensemble du programme pour 66% d’entre eux ou des QCM pour 30% des étudiants. Le système des 2 sessions rapprochées est approuvé par tous les étudiants qui ont eu à vivre les deux systèmes. Selon eux ils n’y voient que des avantages car il leur permet d’être dans le sillage des études entre les deux sessions pour 40%d’entre eux, mais aussi de leur permettre de jouir des vacances et de revenir frais l’année suivante pour 53%. 77% des étudiants ont souhaité aussi avoir une commission d’aide à la réussite, dont les attentes sont: d’assister les étudiants pour 36%d’entre eux, guider les nouveaux bacheliers pour 22%de ces étudiants. Le pharmacien est essentiellement connu comme spécialiste du médicament que ce soit au sein d’une pharmacie d’officine, d’une pharmacie hospitalière ou de l’industrie pharmaceutique. Mais de par sa formation médicale et scientifique polyvalente, il intervient également dans beaucoup de secteurs comme la biologie médicale, la santé publique, la recherche, l’enseignement [16]. Ce qui nous amène à dire que la pharmacie occupe une place irremplaçable dans le domaine de la santé. Ainsi, pour rendre la formation du pharmacien efficace et efficiente, avec de bons résultats du point de vue de la réussite, nous suggérons : la mise en place d’une commission d’aide à la réussite. Cette commission aura principalement pour mission :
– D’organiser avant la première année des stages pour les élèves admis dans la faculté. Ces stages auront pour objectifs de familiariser les élèves à diverses situations d’apprentissage et d’évaluation à l’Université et de développer des compétences linguistique et méthodologique dans ces domaines.
– De mettre en place un dispositif d’aide pour les étudiants de la première année qui leur permettra de savoir comment prendre des notes correctement, structurer une matière, synthétiser l’information, maitriser la langue et le vocabulaire spécifique, faire preuve d’esprit critique, gérer le temps. Ainsi ce dispositif permettra de mettre des exercices de mise en niveau en ligne.
– De mettre en place des personnes ressources qui vont aider les étudiants sur le plan psychologique.
– De mettre en place un centre didactique qui aura pour mission de conseiller, former les enseignants en charge des étudiants de premier cycle. Les enseignent trouveront sur les pages web du centre de nombreuses informations sur les actions spécifiques du centre (forums, évaluation, formation) ainsi qu’un index détaillé de ce qu’offre la faculté en terme d’aide à la réussite
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Table des matières
INTRODUCTION
1ère PARTIE : GENERALITES
I. / HISTORIQUE DE L’ENSEIGNEMENT PHARMACEUTIQUE
II. /ORGANISATION DE LA SECTION DE PHARMACIE DE LA FMPOS
II.1 / Département des sciences pharmaceutiques physiques et chimiques
II.2 / Département des sciences biologiques et pharmaceutiques appliquées
III. /CURSUS POUR L’OBTENTION DU GRADE DE DOCTEUR EN PHARMACIE
III.1/ Dispositions générales
III.2/ Premier cycle des études pharmaceutiques
III.3 /Deuxième cycle des études pharmaceutique
III.5 /Troisième cycle pharmaceutique
III.6 / Les stages au cours de la formation
III.6.1/ Stage officinal du premier cycle
III.6.2/ Stage hospitalier : 4ème année pharmacie
III.6.2.1/ Formation au cours du stage hospitalier
III.6.2.1.1/ Objectifs du stage
III.6.2.1.1.1/Objectifs généraux
III.6.2.1.1.2/Objectifs spécifiques
III.6.2.1.1.2.1/ Activités relatives à la pharmacie et à la Biologie
III.6.2.1.1.2.2/Activités relatives aux soins infirmiers
III.6.2.2./ Evaluation du stage hospitalier
III.6.3. / Stage spécialisé de 5ème année de pharmacie : option officine
III.6.3.1/ Formation au cours du stage
III.6.4 / Stage de spécialisé de 5ème année : option Biologie
IV. / L’INTERNAT EN PHARMACIE
V. / PROJET DE MISE EN PLACE DU SYSTEME LMD (licence-Master-Doctorat)
DEUXIEME PARTIE : TRAVAIL PERSONNEL
III. / METHODOLOGIE
III.1 / Méthodologie de l’évaluation du taux et de la durée des études en pharmacie
III.1.2 / Moyens et techniques utilisés
III.2 / Méthodologie de l’enquête
III.2.1 / Présentation du lieu d’enquête
III.2.2 / Echantillonnage
III.2.3 / Technique de collecte de l’information
III.2.4 / Technique d’analyse
CHAPITRE I : EVALUATION DES TAUX ET DUREE DE REUSSITE
IV. / RESULTATS
IV.1/ Résultats de l’évaluation
IV.1.1/ Détermination du nombre d’étudiants de la première année à l’année de thèse pour chaque promotion étudiée
IV.1.2/ Détermination des années où les échecs sont plus ressentis
IV.1.3.1/ Evaluation du taux de réussite et de la durée des études des étudiants de la promotion de 2001
IV.1.3.1.2/Evaluation du taux de réussite et de la durée des études des étrangers et des sénégalais de la promotion de 2001
IV.1.3.2/ Evaluation du taux de réussite et de la durée des études des étudiants de la promotion de 2002
IV.1.3.2.2 / Evaluation du taux de réussite et de la durée des études des étrangers et des sénégalais de la promotion de 2002
IV.1.3.3 / Evaluation du taux de réussite et de la durée des études des étudiants de la promotion de 2003
IV.1.3.3.1/Evaluation du taux de réussite et de la durée des études des primo-entrants en fonction de l’effectif total de 2003
IV.1.3.3.2/ Evaluation du taux de réussite et de la durée des études des étrangers et des sénégalais de la promotion de 2003
CHAPITRE II : PROBLEMATIQUE DE LA REUSSITE
IV.2 / Résultats de l’enquête
IV.2.2.1/ Types de problèmes d’adaptation rencontrés à l’arrivée à l’UCAD
IV.2.2.2/ Gestion du temps dans les lieux de logement
IV.2.2.3/ Stress rencontré en fonction des lieux de logement
IV.2.2.4/ Problèmes de temps rencontrés pour apprendre les cours
IV.2.2.5/ Origines des problèmes de temps pour apprendre les cours
IV.2.3/ Qualité de l’enseignement
IV.2.3.1/ Avis sur la manière dont les cours sont dispensés
IV.2.3.2/ Niveau de compréhension au sortir des cours
IV.2.3.3/ Problèmes rencontrés dans certaines matières
IV.2.3.4/ Disponibilité des professeurs pour des explications supplémentaires
IV.2.3.5/ Vérification par les professeurs de la compréhension du cours par les étudiants
IV.2.3.6/ Avis sur le fait que les professeurs passent leur temps à dicter au lieu d’expliquer
IV.2.3.7/ Types de problèmes rencontrés au moment d’apprendre les cours
IV.2.4/ Méthode de travail des étudiants
IV.2.4.1 / Heures de travail personnel par jour des étudiants
IV.2.4.2/ Répartition des étudiants selon qu’ils travaillent en groupe ou seul
IV.2.4.4/ Présence aux cours magistraux
IV.2.4.5/ Répartition des étudiants en fonction de la manière dont ils apprennent leurs cours
IV.2.4.6/ Conséquences des plages horaires des cours théoriques et pratiques sur leur méthode de travail
IV.2.4.7/ Avantages d’apprendre en fonction des questions données lors des examens des années antérieures
IV.2.5/ L’évaluation
IV.2.5.1/ Qualité de l’évaluation
IV.2.5.2/ Justifications sur le fait qu’ils pensent être mal évalués
IV.2.5.3/ Types d’évaluation des étudiants les mieux adaptées
IV.2.5.5/ justification concernant ces matières les mieux évaluées selon les étudiants
IV.2.6/ Rapprochement des deux sessions des examens
IV.2.6.1/ étudiants ayant vécu ou non les deux systèmes
IV.2.6.2/ Avantages du rapprochement des deux sessions d’examen
IV.2.6.3/ Types d’avantages obtenus grâce au rapprochement des deux sessions d’examen
IV.2.7/ Aide à la réussite
IV.2.7.1/ Souhait d’avoir ou non une commission d’aide à la réussite
IV.2.7.2/ Les attentes des étudiants pour cette commission
CONCLUSION
QUESTIONNAIRE
REFRECENCES BIBLIOGRAPHIQUES
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