Les difficultés d’installation des lycées

Besoin d'aide ?

(Nombre de téléchargements - 0)

Catégorie :

Pour des questions et des demandes, contactez notre service d’assistance E-mail : info@chatpfe.com

Table des matières

Introduction
pour une étude des bourses communales
Première partie
Les bourses communales au lycée : 125 ans de politique communale 
I) Préambule : méthodologie et ordres de grandeur
A) Des effectifs modestes mais non négligeables
1) précisions liminaires
2) Les élèves de la Ville au lycée : une vue d’ensemble
B) Un budget significatif mais limité
1) Précisions liminaires
2) Le budget des bourses communales : ordres de grandeur
II) Une mise en place sous contrainte : 1808-1830
A) Des débuts difficiles
1) Le décret de 1808 globalement accepté à Nantes
2) Un lycée accueilli sans enthousiasme
3) Le contexte nantais
4) Une acceptation ambigüe
B) Des effectifs stables et bien pourvus
C) Un budget contraint et stable
II) L’étiage des bourses communales (1831-1874)
A) La crise de 1830 : la fin des bourses communales ?
1) Un an d’incertitudes
2) Les arguments avancés
3) Un début de politique scolaire ?
4) Une crise nantaise ?
B) Les bourses communales à un seuil plancher
1) Un soutien garanti à minima : les évolutions budgétaires
2) Les effectifs au plus bas
III) Un essor sous contrôle 1874-1933
A) Entre mutations et permanences : le lycée à Nantes
B) Le budget des bourses communales : un accroissement mesuré
1) Les débuts de la Troisième République (1874-1893) : entre innovations et reculs idéologiques.
2) 1893-1933 : adaptabilité sous contrôle budgétaire
C) expansion et stagnation des effectifs
D) Une part très minoritaire des effectifs du lycée
Deuxième partie
Devenir boursier communal : le recrutement
I) Les bourses communales au temps de Napoléon : des villes « agents payeurs »
A) Aux origines des bourses communales
B) Le décret de 1808 : « une mauvaise manière faite aux villes »
C) Des recrutements centralisés : l’importance des relations
II) Une première autonomie des villes : 1817-1848
A) Les villes reconsidérées par les ordonnances de 1817, 1819 et 1821
B) Des difficultés non réglées
C) Les crises des années 1830 : limites de la contrainte administrative
D) Des nominations à la faveur ? L’exemple nantais
1) Avant 1832, des nominations peu transparentes
2) Un effort de réglementation (1833-1837)
3) Un retour aux pratiques antérieures ?
III) La Seconde République et le Second Empire : un retour en arrière pour les villes ?
A) Mettre fin aux abus
B) L’installation de nouvelles pratiques de recrutement
1) Une législation porteuse de modernité
2) A Nantes, une application plutôt réussie
IV) La Troisième République: un cadre réglementaire desserré
A) Une marge de manoeuvre accrue pour les villes
B) A Nantes, un recrutement personnalisé
1) Les familles méritantes et peu fortunées privilégiées
2) Des allocations personnalisées
C) Les familles face aux évolutions administratives
1) De la « supplique » à la lettre de demande : un changement des pratiques de demande
2) Un contrôle administratif accru
D) Epilogue
Troisième partie 
Les boursiers de la Ville au lycée : une promotion scolaire pour les classes moyennes modestes 
I) Le corpus : précisions méthodologiques
A) Le corpus : saisie des données brutes
1) Replacer les élèves dans leur époque
2) Repérer les jalons dans le parcours scolaire
3) L’élève dans son milieu : origines et contextes familiaux
B) « Faire parler les données » : la saisie et les codages
1) Le codage des professions et des statuts sociaux
2) Etablir une échelle des revenus
3) Coder le cursus scolaire
4) Considérations autour de moyennes d’élèves
II) Origines des élèves : des parents issus des « couches moyennes » modestes
A) Des élèves « locaux »
B) Des conditions matérielles plutôt modestes
C) Les « couches moyennes » inférieures dominantes
1) Les échelons hiérarchiques supérieurs peu représentés
2) La montée des catégories moyennes et inférieures
3) Fonctionnaires et salariés du privé privilégiés
4) Instantanés
5) Des recrutements originaux ?
6) Les bourses communales : un ascenseur scolaire ?
II) Les boursiers communaux au lycée : parcours et intégrations scolaires
A) Quelques parcours dominants
1) Une majorité d’élèves issus du lycée
2) Des parcours peu corrélés aux origines socio-professionnelles
3) Quelques cursus types
C) Des élèves plutôt honorables
1) Des élèves moyens dans l’ensemble et bien classés
2) Du travail et du sérieux
3) Des élèves diplômés ?
4) Que deviennent-t-ils ?
D) La vie au lycée : pression et ostracisme social ?
De nouvelles pistes ?
Bibliographie 
Etat des sources 
Annexes 
Table des matières

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *