Le parasite Encephalitozoon cuniculi

Besoin d'aide ?

(Nombre de téléchargements - 0)

Catégorie :

Pour des questions et des demandes, contactez notre service d’assistance E-mail : info@chatpfe.com

Table des matières

Introduction
Première partie : étude bibliographique
1 Le parasite Encephalitozoon cuniculi
1.1 Historique
1.2 Classification
1.2.1 Le phylum Microspora
1.2.2 Origine des microsporidies
1.2.3 Souches et caryotypes d’Encephalitozoon cuniculi
1.3 Morphologie
1.3.1 En microscopie optique
1.3.1.1 A l’état frais
1.3.1.2 Avec coloration
1.3.2 En microscopie électronique
1.4 Cycle
1.4.1 Phase infectieuse
1.4.2 Phase proliférative
1.4.3 Phase de différenciation
2 L’encéphalitozoonose du lapin
2.1 Epidémiologie
2.1.1 Epidémiologie descriptive
2.1.1.1 Prévalence
2.1.1.1.1 Chez le lapin de laboratoire
2.1.1.1.2 Chez le lapin d’élevage
2.1.1.1.3 Chez le lapin sauvage
2.1.1.1.4 Chez le lapin de compagnie
2.1.1.2 Importance économique
2.1.2 Epidémiologie analytique
2.1.2.1 Sources de parasites
2.1.2.2 Modes d’infection
2.1.2.3 Facteurs prédisposants
2.1.2.3.1 Âge
2.1.2.3.2 Sexe
2.1.2.3.3 Race
2.1.2.3.4 Immunocompétence
2.1.2.3.5 Maladie sous-jacente
2.1.3 Epidémiologie synthétique
2.2 Symptômes
2.2.1 Symptômes nerveux
2.2.2 Symptômes rénaux
2.2.3 Symptômes ophtalmologiques
2.2.4 Autres symptômes
2.3 Lésions
2.3.1 Lésions macroscopiques
2.3.2 Lésions histologiques
2.3.2.1 Lésions du système nerveux
2.3.2.2 Lésions rénales
2.3.2.3 Lésions oculaires
2.3.2.4 Autres lésions histologiques
2.4 Pathogénie
2.4.1 Pathogénie générale
2.4.2 Pathogénie de l’encéphalitozoonose oculaire
2.5 Immunité
2.5.1 Interaction hôte-parasite
2.5.2 Rôle de l’immunité à médiation cellulaire
2.5.2.1 Importance de l’immunité à médiation cellulaire
2.5.2.2 Rôle des cytokines
2.5.2.3 Types de lymphocytes T induits
2.5.3 Réponse des lymphocytes T cytotoxiques à l’infection
2.5.3.1 Rôle des lymphocytes T CD8+
2.5.3.2 Régulation des lymphocytes T CD8+
2.5.3.2.1 Rôle des lymphocytes T CD4+
2.5.3.2.2 Rôle des lymphocytes T γδ
2.5.4 Rôle de l’immunité à médiation humorale
2.6 Diagnostic
2.6.1 Diagnostic différentiel
2.6.1.1 Diagnostic différentiel des troubles neurologiques
2.6.1.2 Diagnostic différentiel des troubles oculaires
2.6.2 Méthodes de diagnostic
2.6.2.1 Sérologie
2.6.2.1.1 ELISA (Enzyme-Linked ImmunoSorbent Assay)
2.6.2.1.2 Immunofluorescence indirecte
2.6.2.1.3 Immunoélectrophorèse
2.6.2.1.4 Réaction à l’encre de Chine ou Carbon ImmunoAssay (CIA)
2.6.2.1.5 Test d’agglutination indirecte
2.6.2.1.6 Avantages et inconvénients des méthodes sérologiques
2.6.2.2 Recherche des spores
2.6.2.2.1 Mise en évidence ante mortem
2.6.2.2.2 Mise en évidence histopathologique
2.6.2.3 Méthodes moléculaires [11]
2.6.2.3.1 Polymerase Chain Reaction (PCR)
2.6.2.3.2 Migration sur gel
2.6.2.3.3 Autres techniques
2.6.2.4 Epreuve cutanée
2.7 Pronostic
2.8 Moyens de lutte
2.8.1 Traitement
2.8.1.1 Elimination du parasite
2.8.1.1.1 Albendazole
2.8.1.1.2 Fenbendazole
2.8.1.1.3 Oxytétracycline
2.8.1.1.4 Fumagilline
2.8.1.1.5 Itraconazole
2.8.1.1.6 Métronidazole
2.8.1.1.7 Lufénuron
2.8.1.2 Corticoïdes
2.8.1.3 Traitement symptomatique
2.8.1.3.1 Traitement des signes neurologiques
2.8.1.3.2 Traitement de l’incontinence urinaire
2.8.1.3.3 Traitement de l’insuffisance rénale
2.8.1.3.4 Traitement des signes oculaires
2.8.2 Prophylaxie
2.8.2.1 Prophylaxie sanitaire
2.8.2.2 Prophylaxie médicale
3 L’encéphalitozoonose chez les autres animaux et chez l’homme
3.1 L’encéphalitozoonose chez les animaux
3.1.1 L’encéphalitozoonose chez les rongeurs
3.1.1.1 Chez la souris
3.1.1.2 Chez le cobaye
3.1.2 L’encéphalitozoonose chez les carnivores.
3.1.3 L’encéphalitozoonose chez les primates non humains
3.1.4 L’encéphalitozoonose chez les oiseaux
3.1.5 L’encéphalitozoonose chez les autres animaux
3.2 L’encéphalitozoonose chez l’homme
3.2.1 Les agents de microsporidioses chez l’homme
3.2.2 Symptômes induits par Encephalitozoon cuniculi
3.2.3 Potentiel zoonotique
Deuxième partie : étude expérimentale
1 Objectifs de l’enquête
2 Matériels et méthode
2.1 Nature des prélèvements
2.2 Lieux et durée des prélèvements
2.2.1 Docteur Jean-François QUINTON
2.2.2 Docteur Didier BOUSSARIE
2.2.3 Docteur Christophe BULLIOT
2.3 Réalisation et stockage des prélèvements
2.4 Recueil des commémoratifs
2.5 Réalisation des analyses
2.5.1 Immunofluorescence indirecte
2.5.2 Dot- Blot
2.5.2.1 Principe
2.5.2.2 Réalisation
2.5.2.3 Interprétation
2.6 Répartition en lots
2.6.1 Par symptômes
2.6.1.1 Symptômes évocateurs d’encéphalitozoonose
2.6.1.2 Différents groupes de symptômes cliniques
2.6.2 Par sexe
2.6.3 Par âge
2.7 Analyse des résultats
2.7.1 Calcul de la prévalence de l’échantillon et extension à la population
2.7.2 Comparaison des différents lots
2.7.3 Comparaison des différents tests
3 Résultats
3.1 Séroprévalence pour Encephalitozoon cuniculi
3.1.1 Parmi les lapins tout venant
3.1.2 Répartition par symptômes
3.1.2.1 Symptômes évocateurs d’encéphalitozoonose
3.1.2.2 Différents groupes de symptômes cliniques
3.1.3 Répartition par sexe
3.1.4 Répartition par âge
3.2 Comparaison des différents tests
3.2.1 Comparaison Immunofluorescence / Dot-Blot sur protéines totales
3.2.2 Comparaison Immunofluorescence / Dot-Blot sur protéines purifiées
4 Discussion
4.1 Protocole
4.1.1 Nature des prélèvements
4.1.2 Choix des analyses
4.1.3 Choix des animaux
4.1.4 Nombre de prélèvements
4.1.5 Recueil des commémoratifs
4.1.6 Répartition en lots
4.2 Résultats
4.2.1 Séroprévalence pour Encephalitozoon cuniculi
4.2.2 Comparaison des différents tests
4.2.2.1 Choix de l’antigène
4.2.2.2 Intérêt pratique en clientèle
4.2.2.3 Critères de validité des Dot-Blot
Conclusion
Bibliographie

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *