L’anthropomorphisme : généralités

Besoin d'aide ?

(Nombre de téléchargements - 0)

Catégorie :

Pour des questions et des demandes, contactez notre service d’assistance E-mail : info@chatpfe.com

Table des matières

Chef du département : Mme COMBRISSON Hélène, Professeur – Adjoint : Mme LE PODER Sophie, Maître de conférences
Chef du département : M. POLACK Bruno, Maître de conférences – Adjoint : M. BLOT Stéphane, Maître de conférences
– UNITE DE REPRODUCTION ANIMALE
Chef du département : M. MAILLARD Renaud, Maître de conférences – Adjoint : Mme DUFOUR Barbara, Maître de conférences
– UNITE DES MALADIES CONTAGIEUSES
PREMIERE PARTIEL’apport des sciences humaines dans l’étude des relations affectives chez l’être humain
I. Les apports de l’éthologie : la période sensible, les liens sélectifs et le comportement d’attachement
A. L’empreinte, la période sensible et le lien sélectif
B. L’apport de HARLOW dans l’étude des comportements affectifs chez les primates
II. L’apport de la théorie psychanalytique
A. Présentation d’éléments de la théorie psychanalytique
B. Le narcissisme primaire et secondaire
III. L’apport de la psychologie du développement
A. L’apport de Bowlby : l’Attachement
1. La théorie de l’attachement de BOWLBY
2. L’accueil de la théorie
3. Pour élargir la notion d’attachement
B. L’apport de SPITZ : le besoin d’affectivité
C. L’apport de AINSWORTH
1. La « Situation Etrange »
2. Interprétation : un attachement de qualité est une base sécure
IV. De l’attachement au détachement :
la difficile émergence du sujet
A. L’apport de WINNICOTT : la notion d’objet transitionnel
1. La « mère suffisamment bonne »
2. L’acceptation de la réalité et la mise en jeu d’un objet transitionnel
B. Le détachement et la construction d’autres liens affectifs
1. La nécessaire séparation
2. L’individuation
DEUXIEME PARTIE Les possibilités d’interactions avec les animaux de compagnie quels outils cognitifs et sensoriels pour la communication interspécifique?
I. Présentation d’études de psychologie comparée
quelles facultés cognitives les animaux de compagnie
mobilisent-ils face à leur environnement ?
A. L’étude du développement des représentations mentales de PIAGET
1. La permanence de l’objet chez l’enfant
2. La permanence de l’objet chez les animaux
B. Le stade du miroir de LACAN
1. Présentation du stade du miroir
2. Le stade du miroir chez les animaux
II. Les relations interspécifiques humain-chien, humain-chat : quelles possibilités d’interactions et de communication ?
A. L’importance de contacts intraspécifiques pour un développement comportemental correct
B. Les contacts interspécifiques humain-chat : une approche éthologique
C. Les possibilités de communication dans la dyade propriétaire-chien de compagnie
1. Le rôle de la communication olfactive
2. Le rôle de la communication auditive
3. Le rôle du canal visuel
a. Les signaux visuels utilisés par le chien dans la communication intraspécifique
b. Les signaux visuels humains utilisés par le chien
c. La reconnaissance de l’état d’attention des humains
d. L’influence de la domestication, sélection concomitante des mêmes caractéristiques chez l’être humain et chez le chien ?
TROISIEME PARTIE : Quels liens possibles entre le propriétaire et son animal de compagnie?
I. Les représentations culturelles, conscientes et inconscientes de l’animal
A. Les animaux dans les spiritualités humaines
1. Le totémisme
2. Croyances et religions
B. Les mythes, les contes et les rêves
II. Les représentations des propriétaires
A. L’anthropomorphisme : l’expression d’une méconnaissance éthologique
1. Définition
2. Données d’enquêtes
3. Les conséquences de la confusion entre humains et animaux
a. Pour l’animal
b. Pour l’être humain
B. Les raisons d’adoption et les qualités des animaux
1. Un intérêt esthétique ou éthologique : de l’animal à l’état de nature à l’objet pouponnée
2. Un intérêt social : une question d’image
3. L’importance de la composante affective de la relation : un amour inconditionnel
4. La valorisation du propriétaire par la dépendance de l’animal
5. Une relation ludique et reposante
III. L’investissement psychologique de l’animal de compagnie
A. Les projections sur l’animal familier
1. L’animal : objet d’attachement et charge projective
2. Les aspects psychopathologiques de la projection sur l’animal de compagnie
3. Les caractéristiques de l’animal valorisées dans le mécanisme de projection
a. L’animal est un être vivant
b. L’absence de langage verbal, mise en valeur du langage non verbal
B. La mort de l’animal de compagnie : un lieu d’expression particulier de l’attachement
1. La mort de l’animal de compagnie met en évidence un investissement affectif important de cet animal
3. Les caractéristiques du deuil de l’animal de compagnie
a. L’euthanasie
b. L’absence de rites sociaux
c. L’influence du milieu socio-culturel
4. Les deuils pathologiques
IV. La relation affective avec l’animal de compagnie : une aire transitionnelle ?
A. Définition
B. L’animal objet transitionnel, aire transitionnelle ?
1. Chez l’enfant et l’adolescent
2. Chez l’adulte
C. Les caractéristiques de l’animal valorisées dans cette relation : l’importance du langage non verbal et du contact corporel avec les animaux
D. L’animal comme substitut : une aire transitionnelle thérapeutique ou pathologique ?
QUATRIEME PARTIE: Les conséquences des relations affectives entre le propriétaire et son animal de compagnie : implications pour l’animal et le vétérinaire clinicien
I. Les conséquences comportementales pour l’animal de la relation affective avec son propriétaire
A. La corrélation entre la relation humain-animal et l’occurrence de troubles du comportement
1. Chez le chien
2. Chez le chat
B. La modélisation clinique des troubles du comportement liés au propriétaire
1. Les troubles comportementaux liés au propriétaire
a. La sociopathie du chien
b. Les phénomènes anxieux chez le chien et le chat
c. Le lien entre les troubles du comportement et la relation affective entre le propriétaire et son animal de compagnie
2. L’exemple du syndrome du chien de remplacement comme pathologie liée aux projections sur l’animal de compagnie
a. L’étiopathogénie
b. Les symptômes
c. L’évolution, le pronostic
II. Les implications pour le vétérinaire de la relation affective entre le propriétaire et son animal de compagnie
A. Les implications pour le vétérinaire clinicien
1. L’optique marketing : une gestion de la clientèle plus rentable
2. L’optique médicale : une gestion de la clientèle plus efficace
3. L’optique psychologique : une gestion de la clientèle plus humaine et empathique
B. Limites du rôle du vétérinaire
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *