Principes d’analyse de suites remarquables de Z

Principes d’analyse de suites remarquables de Z#.

Notations et concepts de thรฉorie additive.

On dรฉfinit l’รฉnergie entre deux sousensembles A et B d’รฉlรฉments non nรฉcessairement distincts de l’ensemble A par :
Eยฐ,(A,B) := |{(a,fc,a’,fc’)| a o fc ~ a o fc’ avec a,a’ G A et fc,fc’ G B}\.
Le symbole o est une loi de composition quelconque et ~ est une relation d’รฉquivalence quelconque. Dans le cas oรน o est l’addition on รฉcrit E^(A,B) et on parle d’รฉnergie additive. On รฉcrit aussi EZ(A,A) โ€”: EZ(A) pour allรฉger. Clairement, on a que EยฐJA,B)>\A\\B\,
de plus, siaofc~xofc et o o i ~ a o y on respectivement au plus X et Y solutions en x et y parmi l’ensemble des couples possibles lorsque les variables sont fixรฉes dans les mรชmes ensembles que la dรฉfinition de l’รฉnergie, alors El(A,B)<\A\\B\mm(Y\A\,X\B\)
Dans ce travail, on a souvent A โ€” Z et il est entiรจrement question de relation de congruence modulo N que nous allons noter EยฐN(A, B). Nous allons aussi convenir naturellement que Eยฐ(A, B) := E^(A, B) correspond au cas oรน ~ est le = ordinaire. Comme
|A||ยฃ| = \A + B\<* \A\\B\ = \AB\e>(AA)n{BB) = {0},
on remarque aussi que E^(A,B) = \A\\B\ si et seulement si on est dans la situation |j4||i?| = \A + B\, i.e. r ,4+5(771) = 1 pour tout รฉlรฉment m G A f B oรน on note en gรฉnรฉral rAoB{m) := \RAoB{m)\ = \R%lB(m)\ = \R%lB{m)\ et oรน RAoB(m) ‘โ– โ€” {{a,b) Gv4x5|aofc~ m}, R(AoB{m) := {a G A\ fc G B et a o fc ~ m} et fi^B(m) := {fc G B\ a G A et a o fc ~ m}.
Ces derniรจres dรฉfinitions dรฉpendent รฉvidemment de ~, cependant il est inutile de l’inclure dans la notation pour les cas qui nous concernent puisque le tout est intimement liรฉ ร  la dรฉfinition de l’รฉnergie. Clairement, on a que EN(A, B) = EN(B. A) = EN(A + m,B + m) = EN(A. B) et que
Eยฐd(A,B)>Eยฐe(A,B)>Eยฐ(A,B) si d\e. On remarque que p4iiยฃi = Y rA+B^ = E r*-*(o meA+B lโ‚ฌA-B et que EN(A,B)= Y rA+B(m)2= ^ r^B(/)2-= Y r^(fc)rB_B(fc). meA+B 16.4-B fcโ‚ฌ(.4-.4)n(B-B)
On peut donc dรฉduire, en utilisant l’inรฉgalitรฉ de Cauchy-Schwarz, que (\A\\B\) et que
( Y rA+B(m)\ <\A + B\EN(A,B) \m<=A+B J EN(A,B)2=l Y, rA-A(l)rB-B(l) ) < EN(A)EN(B).
\ie(A-A)n(B-B) J
On retrouve souvent ces identitรฉs fondamentales de base dans le cadre de la thรฉorie additive des nombres. Un autres cas particuliรจrement important fait l’objet du lemme suivant.
Lemme 1.1. mยซr^+fl(TO) > Jd& max |l, (jยฑt|j) J.
Preuve. Comme
\A + B\max rA+B(โ„ข)2 > Y] rA+B{m)2 = EN(A,B), meA+B
alors
EN(A, B) > (|A||fรฎ|)2/min{|yl + B\, \A – B\)
et le rรฉsultat s’ensuit.D
Dรฉfinition. Soit N G N et / : Z# โ€”> C. La transformรฉe de Fourier discrรจte f de f est dรฉfinie par
JV-l
;/ x v^ r, – (mn\ f(n) = Y, f(m)e (โ€”) ,
m=0
oรน e(t) = exp(27riยฃ). On vรฉrifie facilement que son inverse est donnรฉ par
N-l
., x 1 vโ€”* i, . ( โ€”mn\
n=0 V ‘
ce qui s’รฉcrit f(โ€”m) = N f{m). On dรฉfinit la convolution f * g de f et g par (f*g)(n):= Y /(O^G)- iโ€”j=n
Une liste exaustive des propriรฉtรฉs que satisfait cette transformรฉe prendrait un livre entier. Nous proposons ici seulement certains faits qui sont fondamentaux dans l’optique de notre รฉtude.

Prรฉsentation et application de la mรฉthode de Stepanov.

Pour รฉtendre le domaine de validitรฉ du corollaire 1.1, il faut introduire une nouvelle famille d’idรฉes qui forment en quelque sorte le sujet central de ce mรฉmoire. Il s’agit d’une faรงon รฉlรฉmentaire de tantรดt compter, tantรดt majorer le nombre de solutions d’une รฉquation dรฉfinie sur un corps fini. Comme on le verra, la mรชme idรฉe sert depuis cent ans dans l’รฉtude des mesures d’irrationalitรฉ des nombres algรฉbriques. Cette mรฉthode de Thue fut adaptรฉe par Stepanov, il y a de cela environ 40 ans, ร  l’รฉtude des corps finis et elle est encore amรฉliorรฉe et gรฉnรฉralisรฉe de nos jours. Je me propose d’รฉlaborer cette thรฉorie dans le sens inverse dont l’histoire l’a formรฉe, i.e., aprรจs avoir รฉtendu et approfondi le corolaire 1.1, je vais faire un traitement personnalisรฉ de certaines truncations des fonctions ยซย transcendantesย ยป โ€” ln(l โ€” x) et exp(x) dans Fp pour finir avec une preuve de l’hypothรจse de Riemann dans ยฅq. Ensuite, je vais dรฉmontrer le fameux thรฉorรจme de Thue pour mettre en รฉvidence les points communs.
Dรฉfinition. Soit K[x] l’anneau des polynรดmes sur K. Soit d l’opรฉrateur de dรฉrivation dรฉfini par
<9(c*o + aix + … + atxl) = ai + 2a2x + … + tatxl~l.
On รฉcrit souvent dkP(x) = P’fe'(x) pour allรฉger la notation.
Lemme 1.2. Soit ยฅq un corps de caractรฉristique p et soit m < p un entier positif. Supposons que P(x) G F9[x] avec deg P(x) > m et que pour un certain (3 G F, on ait
0 = P((3) = pM(/3) = P<2>(i3) – … = P(m~l\(3).
Alors (x โ€” (3)m\P(x), i.e. P(x) a un zรฉro d’ordre au moins m en fo
Preuve. Il est facile de voir que pour chaque (3 G ยฅq on peut trouver Ci, …, Q tels que
P(x) := a0 + c*!X + … + atxl = Q, + c^x – ยฃ) + … + Ct{x – fo)1.
Alors,
Pw(x) = fc!
Ct + CW[^1)(l-^) + … + QQ(l -fit
En รฉvaluant en /? et en utilisant l’hypothรจse pour chaque 0 < k < m โ€” 1, on a que 0 = k\ck- Comme k < m – 1 < p, il s’ensuit que A;! ^ 0 dans Fg. Donc Ck = 0 pour 0 < ifc < m – 1, d’oรน (x – (3)m\P(x).\3
Remarques. La condition m < p est essentielle. Par exemple, considรฉrons le polynรดme P(x) = (x(x โ€” l))p. Les dรฉrivรฉes s’annulent en 0 pour 0 < m < 2p, mais P(x) a un zรฉro d’ordre seulement p en x = 0. Pour contrer ce phรฉnomรจne qui provient รฉvidement du facteur factoriel qui apparaรฎt ร  force de dรฉriver, Hasse eut l’idรฉe de dรฉfinir l’hyperdรฉrivรฉe gk par
k, t, fk + 1\ ft\ t-k
g (Q0 + axx + … -t- atx ) :โ€” ak + I 1 afc+1x + … + Il atx .
On รฉcrit souvent gkP(x) = P-fe-(x) pour allรฉger l’รฉcriture. Formellement, gk = dk/k\ et il possรจde รฉvidement des propriรฉtรฉs semblables ร  la dรฉrivรฉ ordinaire. En particulier, on peut รฉcrire le lemme 1.2 sans se limiter ร  m < p. Cet opรฉrateur sera beaucoup utilisรฉ aux chapitres 3 et 4.
Lemme 1.3. Soit P(x) G Zp[x] une somme de j > 1 termes distincts. Supposons que deg P(x) < p. Alors (x โ€” 1)J ne divise pas P(x).
Preuve. La preuve se fait par induction complรจte. Le cas j = 1 est trivial. Supposons que j > 1 et que le rรฉsultat est dรฉmontrรฉ pour tout polynรดme de degrรฉ 1 < i < j. Soit P(*) = YLi<**- Alors
XP(1)(X) – liP(x) = Yli(ai ~ <*j)Xย ยป-i=l
Le polynรดme ainsi formรฉ possรจde au plus j โ€” 1 termes. On voit alors que (x โ€” l)-7 ne peut pas diviser P(x), car sinon (x โ€” 1)J_1 diviserait xP^'(x) โ€” UP(x) ce qui contredit l’hypothรจse d’induction.D
Remarque. Le principe de Tao nous fournit un rรฉsultat d’une tout autre saveur. En effet, on apprend qu’un polynรดme ร  j + 1 termes ne peut pas possรฉder plus de j racines dans l’ensemble {x G C| xp โ€” L). Un tel polynรดme รฉtant essentiellement la transformรฉe de Fourier d’une fonction supportรฉe sur un ensemble ร  j> + 1 รฉlรฉments, sa transformรฉe doit avoir un support d’au moins p โ€” j รฉlรฉments, i.e. au plus j valeurs de {x G C| xp = 1} peuvent รชtre une racine du polynรดme. En utilisant l’argument du lemme 1.3, on dรฉduit alors que le nombre de racines provenant de cet ensemble, comptรฉes avec multiplicitรฉ, d’un tel polynรดme ne peut pas dรฉpasser j2.
Une borne sur l’รฉnergie additive de Gk fournit naturellement une majoration de la transformรฉe de Fourier correspondante. Plus prรฉcisรฉment, on montre le rรฉsultat suivant.
Lemme 1.4. L’estimรฉ suivant est valide pour tout k lorsque a ^ 0 modulo p :
Gk(a) < (mm{k,p^2}Ep(Gk))1/4. Preuve. Clairement, pour m ^ 0 modulo p, on a que
Gk(a) = Gk(amk). On en dรฉduit donc que
(pl)|Gfc(a)|4 = Y \Gk(amk)\4 < fc]T |Gfe(n)|4.
m=l n=l
Comme chaque valeur revient ou bien 0 ou bien k fois. On a alors
โ– HAwrรŠ (รฎ> O**ย ยป+^ /ย ยป ~ ^)nj) i &> w*).
mi,m2,m3*,TTi4 = l \n=l ^ ‘ /
ce qui fournit |G*(a)| < (kEp(Gk))1’4* De mรชme, pour l’autre partie, on a h\Gk(a)\2 = Y\G*(a9nk)\2 = YrGkGk(t)Gk(at).
n=l (=0
En applicant trois fois l’inรฉgalitรฉ de Holder, on obtient
(pi \2PI Pi
Yrokck(t) Yrckok(t)Y\Gk(at^ =Ph4Ep(Gk)2, t=0 / t=0 t=0
ce qui complรจte la preuve.D
Lemme 1.5. Pour chaque k > p1/3, on a
Ep(Gk) < 23/i5/2.
Preuve. Considรฉrons d’abord RckGk(n)Clairement, rckGk{ty โ€” h et on peut รฉcrire
pi pi
Ep(Gk) = YrokGk(n)2 = h2 + YrGkGk(n)2 = h2 + h Y rGkGk(n)2.
n=0 n=l neZl/Gi
De mรชme,
pi pi
h2 = YrGkGk{n) = h + YrGkGk{n) = h + h Y rGkGk{n),
n=0 n=l neZ’p/Gk

Calcul symbolique et thรฉorรจme de Kurepa

Aprรจs avoir remarquรฉ que certaines suites de polynรดmes classiques satisfont des identitรฉs familiรจres, nos ancรชtres ont eu l’idรฉe de faire du calcul symbolique pour dรฉcouvrir de nouvelles formules. Etant incapables de dรฉmontrer formellement leurs rรฉsulats par cette mรฉthode, ils utilisaient d’autres faรงons pour arriver ร  leurs fins. C’est vers les annรฉe 1970 que cette thรฉorie fut complรฉtรฉe par Gian-Carlo Rota. En gros, il s’agissait simplement de bien รฉcrire les choses et de dรฉfinir les bons opรฉrateurs. Ensuite, le reste n’est que de la simple algรจbre linรฉaire. Souvent, on dรฉmontre des choses presque triviales pour une base qui rรฉagit bien ร  un opรฉrateur, aprรจs on รฉcrit l’expression ยซย par linรฉaritรฉ nous avonsย ยป et on obtient une identitรฉ comme par magie. Telle est la force de cette thรฉorie. Ce qui ajoute encore une dimension de richesse, c’est que la linรฉaritรฉ des opรฉrateurs laisse cohรฉrente l’analyse dans les anneaux ZJV dans le sens direct. Pour les opรฉrations inverses on ne peut pas toujours conclure.
Cette thรฉorie porte aussi le nom de calcul ombrai. Elle gรฉnรฉralise une foule de rรฉsultats trรจs รฉlรฉmentaires que nous voyons normalement avant mรชme d’entrer ร  l’universitรฉ. Aprรจs avoir bien dรฉfini le sujet, nous allons donner quelques exemples pour aboutir ร  la preuve de la conjecture originale de Kurepa.
Thรฉorรจme (Kurepa, Barsky, Benzaghou). Pour tout n plus grand que 2,
n /ยซโ€ž(!) =: Kโ€ž,
i.e.
0! + 1! + … + (n – 1)! ^ 0 (mod n).
Comme on le verra, la preuve de ce thรฉorรจme est loin d’รชtre triviale et elle fait intervenir tout un arsenal d’idรฉes qui vont, sans aucun doute, intรฉresser un lecteur profane. Il n’est pas trรจs difficile de voir qu’il est suffisant de prouver le thรฉorรจme dans le cas oรน n = p, un nombre premier. C’est un petit miracle que nn ne s’annule jamais modulo n pour n > 2. Une analyse naรฏve de ce problรจme nous dirait que cette fonction doit s’annuler environ lnln(./V) fois dans l’ensemble des p < N, mais en fait il existe un raison pour que la rรฉponse soit 1 pour N > 2 et c’est le but ultime de ce chapitre que de le prouver. Dans la littรฉrature, la notation \n est utilisรฉe pour reprรฉsenter les valeurs de Kโ€ž et elle est prononcรฉe ยซย left factorialย ยป. Il est donc trรจs facile de constater que le dernier thรฉorรจme est en fait รฉquivalent au fait que (n!, !n) = 2 pour tout n > 2. Rappelons que nous avons dรฉmontrรฉ, dans la remarque qui suit le lemme 1.8, que le polynรดme KP(X) prend toujours au moins (l/14)px/2 des valeurs de Zp.

Quelques dรฉfinitions prรฉliminaires

Soit A un anneau unitaire commutatif. En pratique, A est souvent Z, Z[z] ou l’ensemble des nombres p-adiques. On appelรฉ delta-opรฉrateur un opรฉrateur linรฉaire 6 :
A[x] โ€”ยป A[x] qui satisfait 6(x) ^ 0 et qui commute avec les opรฉrateurs de translation
T0 : A[x] -> A[x], P(x) r-r P(x + a) (a G A),
oรน P(x) G A[x] ici et par la suite. On vรฉrifie que ces conditions entraรฎnent que 6(a) = 0 pour tout a G A et de mรชme, par induction, que deg SP(x) = deg P(x) โ€” 1. On dit qu’une famille (Pโ€ž(x))โ€žejv de polynรดmes est associรฉe ร  un delta-opรฉrateur si
โ€ข Po(x) โ€” 1 et Pโ€ž(0) = 0 (n > 1) : Propriรฉtรฉ de normalisation,
โ€ข 5Pn(x) = nPโ€ž_i(x) (n G N) : Propriรฉtรฉ symbolique (dite de Scheffer).
On en dรฉduit que (Pโ€ž(x))neZ est en fait une famille de polynรดmes unitaires qui forment une base de A[x].
L’exemple le plus familier est sans aucun doute celui de la base canonique xย ยป, avec n > 0, qui est naturellement associรฉe ร  l’opรฉrateur de dรฉrivation d. Un premier exemple moins รฉvident est celui de la base dite de Pochhammer, ร  savoir
n-l
(x)n := TT(X ~~ 0 pour 7i > 0,
i=0
qui est associรฉe avec l’opรฉrateur de diffรฉrence finie dรฉfini par
A : A[x] -> A[x], P(x) h-ยป P(x + 1) – P(x).
En effet, on vรฉrifie facilement que A(x)n -= n(x)n_i.
Il est alors trรจs pertinent de dรฉfinir l’opรฉrateur de changement de base naturel entre la base canonique et la base de Pochhammer, i.e.
<f> : A[x] -> A[x], (x)โ€ž t-* xn.
Cet opรฉrateur est trรจs riche en propriรฉtรฉs. Premiรจrement, c’est รฉvidement un opรฉrateur linรฉraire, ce qui implique en particulier qu’il rend cohรฉrent l’analyse dans les anneaux Zjv โ€ข Ceci signifie que si
f(x) = g(x) (modN),
alors
<P(f(x)) = 4>(g(x)) (mod N),
oรน /(x) et y(x) sont dans Z[x]. Une propriรฉtรฉ moins รฉvidente, de genre fonctionnelle, nous vient de la structure multiplicative des bases impliquรฉes. En effet, on a successivement pour tout m et n dans N,
**+* = xnรฉ((x)m) = <p((x)n+m) = 4>((x)n(x – n)m),
d’oรน on dรฉduit par linรฉaritรฉ que
xn4>(P(x)) = <t>((x)nP(x – n))

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Introductionย 
Remarques prรฉliminairesย 
1 Principes d’analyse de suites remarquables de Z#.
1.1 Notations et concepts de thรฉorie additive
1.2 Propriรฉtรฉs de la transformรฉe de Fourier discrรจte
1.3 Prรฉsentation et application de la mรฉthode de Stepanov
2 Calcul symbolique et thรฉorรจme de Kurepa.ย 
2.1 Quelques dรฉfinitions prรฉliminaires
2.2 Lemmes utiles
2.3 Vers la preuve de la conjecture de Kurepa
2.4 Preuve du thรฉorรจme de Kurepa, Barsky. Benzaghou
3 Hypothรจse de Riemann.ย 
3.1 Rรฉsultats prรฉliminaires
3.2 Construction de certains polynรดmes
3.3 Preuve de l’hypothรจse de Riemann pour les corps finis
4 Finitude du nombre de solutions de l’รฉquation de Thue.ย 
4.1 Lemmes techniques
4.2 Preuve du thรฉorรจme de Thue

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