Principe de synchronisation hormonale des chaleurs 

Holstein

Sa robe est pie noire avec des tâches blanches et noires bien délimitées. Son format est bien développé de même que la mamelle qui est enchâssée entre les cuisses bien écartées. Sa taille moyenne est comprise entre 1,50 m et 1,60 m et son poids adulte tourne autour de 675 kg. Le premier vêlage se situe entre 25 ème et 28 ème mois.
L’intervalle vêlage – vêlage est de 381, 9 ± 1, 4 jours en moyenne. Cette race a un grand succès dans les régions tropicales grâce à ses excellentes performances. Au Sénégal, sa production moyenne est 20 litres delait par jour (MOUDI, 2004).

Montbéliarde

C’est un animal bien conformé et sa robe est pie rouge avec des taches blanches à la tête et aux extrémités, le rouge étant rouge vif ou pâle.
Sa taille est comprise entre 1,38 m et 1,44 m au garrot pour un poidsvif de 600-1000 kg.
D’après DENIS et al. (1982) cités par DIALLOA. A. (2005), la production moyenne des femelles nées au Sénégal est de 3258 kg en 268 jours. L’âge moyen de premier vêlage est de 30,4 mois avec l’intervalle vêlage-vêlage moyen de 12,74 mois.

Brune des Alpes

C’est une race bovine laitière originaire des montagnes de l’Est de la Suisse. C’est unevache à grand format avec 1,4 m-1,5 m au garrot et le poids de 650-750 kg, à robe brune uniforme allant du gris foncé au gris argenté,sauf le mufle plus clair. L’âge moyen à la première mise bas est de 900 jours, alors que l’intervalle vêlage – vêlage est en moyenne de 391 jours. Sa production moyenneest de 7 800 kg de lait par an.

Jersiaise

Elle est originaire de l’Ile de Jersey dans la manche. Elle est principalement utilisée par les fermes laitières pour son lait riche en matières grasses (6,7 à 7 %). Elle de petit format (1,25 m-1,32 m et 400 kg), de robe froment clair à brun foncé. La tête est toujours plus foncée avec un mufle blanc. L’âge au premier vêlage est de 24 mois avec un intervalle entre vêlages de 360 jours en moyenne.
La production laitière moyenne est de 3217 kg pour une durée de lactation de 306 jours.
La Jersiaise est également appréciée à cause de sa longévité et son aptitude au vêlage.

Guzérat

Elle est importée du Brésil et fait partie des races indiennes les plus lourdes avec 1,3 à 1,5 m de hauteur au garrot. Sa robevarie du gris argent ou gris fer au noir acier. Ses cornes sont en forme de lyre. Au CRZ de Dahra, le Guzérat a donné un minimum de 201 litres de lait en 133 jours de lactation et un maximum de 1875 litres en 348 jours.
Son âge au premier vêlage est de 1618 ± 246,9 jours (4-5ans) avec un intervalle vêlagevêlage de 480,6 ±11,4 jours (LNERV, 1989).

Métis rencontrées au Sénégal

Les métis sont des produits de croisement entre les races locales ou entre une race locale et une race exotique. Ainsi, on note l’existence de la race Diakoré qui résulte du croisement entre la race Ndama et la race Gobra et plusieurs produits de croisement entre les races locales et les races exotiques. A titre d’exemple, la production moyenne est de 1302,8 litres en 256 jours de lactation pour les produits de croisement entre Ndama et Jersiaise. Ceux de Ndama et Montbéliard donnent 1293 litres en 326 jours de lactation.

Typologie des systèmes d’élevage

Selon la disponibilité des ressources fourragères et du type de conduite associé, trois systèmes de production laitièresont rencontrés au Sénégal (Figure 1). Ces systèmes de production sont essentiellement de type extensif et les animaux sont exploités par de petits producteurs. Ce sont des systèmes caractérisés par la non spécialisation de la production et le bétail joue divers rôles,économique (production de lait, viande, travail) et social. Néanmoins, dans la zone périurbaine de Dakar, le système de production de type intensif se développe de plus en plus.

Système agropastoral

Le système agro pastoral se fonde sur l’association de l’élevage aux cultures pluviales (mil, arachide, coton, etc.) etirriguées (riz, tomate et oignon). Ce système se rencontre principalement dans le bassin arachidier, la vallée du fleuve Sénégal et la zone Sud (de la Casamance au Sud Est du pays) etintéresse 67% des bovins et 62% des petits ruminants.
En général, l’association de l’agriculture et de l’élevage setraduit par le recours à la culture attelée, utilisation de la fumure animale pour fertiliserles champs et l’exploitation des résidus de récoltes pour nourrir des animaux. Selon BA (2000) cité par DIEDHIOU (2002), cette forme récente d’élevage sédentaire accompagne les progrès de l’intensification de l’élevage et contribue à la stabilisation de la migration pastorale.
Selon toujours le même auteur, les paysans prennent l’habitude de nourrir à l’étable les animaux destinés à la traction du matériel agricole et des charrettes.
Il en est de même pour les animaux en engraissement achetés par les producteurs en début de la saison sèche pour les revendre plus tard comme animaux de boucherie selon les besoins du marché.
Pour les petits troupeaux gérés dans le cadre des systèmes agropastoraux, le rayon des déplacements est généralement réduit, les animaux pouvant trouver dans leur zone de séjour habituelle une alimentation suffisante en saison sèche (champs récoltés et zones impropres à l’agriculture) et sont conduits enhivernage soit dans les zones plus boisées,soit dans des parcours maintenus temporairement en jachère.

Système à dominante pastorale

Ce système concerne 32% des bovins et 35% des petits ruminants et se rencontre généralement dans les zones sèches au nord de l’isohyète 400 mm. Il se rencontre dans la zone sylvopastorale qui correspond au bassin du Ferlo, domaine d’élevage extensif. Dans ces régions, les contraintes liées au milieu naturel, notamment la dispersion dans l’espace des ressources en eau et en pâturages et leur variabilité dans le temps, imposent une grande mobilité des groupes humains et du bétail. Dans la logique dece système, le mode de vie et l’ensemble des activités productives sont subordonnés à la sécurisation du cheptel.
C’est ainsi que face à une menace de la sécheresse, les éleveurs de lazone sylvopastorale n’hésitent pas à abandonner leurs parcelles pour conduire les animaux en transhumance vers les régions du Sud (SONED, 1999).

Système périurbain

Ce système localisé dans la zone des Niayes intéresse l’embouche industrielle, la production laitière et l’aviculture. Il concerne 1 % des bovinset 3% des petits ruminants.
Les élevages y sont intensifs et semi-intensifs.

Contraintes sanitaires

Elles sont plus constantes en élevage traditionnel. Bien que le Sénégal dispose d’une bonne couverture sanitaire concernant les grandes épizooties, le parasitisme et les pathologies infectieuses comme la dermatose nodulaire, la fièvre de la vallée du Rift méritent une attention particulière de la partdes autorités chargées de la santé animale.
Ces contraintes sont en relations avec la présence de glossines au Sud et au Sud-Est du pays. A cela s’ajoute le coûtde plus en plus élevé des médicaments et matériel vétérinaires.

Contraintes zootechniques

Ces contraintes sont étroitement liées au faiblepotentiel génétique denos races africaines. En effet, la production laitière des races africaines est estimée en moyenne à 2-3 litres de lait en saison des pluies et à moins d’un litre en saison sèche.
Le Zébu Gobra comme les autres races africaines est caractérisé par un faible potentiel génétique. Le rendement de la carcasse est de 50 à 53 %. C’est le meilleur Zébu de boucherie parmi les Zébusouest africains. Toutefois, son aptitude laitière est faible et est estimée entre 500 et 600 kg pendant une lactation de 7mois.

Contraintes commerciales

Le manque de maîtrise des circuits de commercialisation, associé à la dépendance du producteur vis à vis des intermédiaires intervenants dans la filière et la fixation du prix à la consommation font que le système de commercialisation du bétail n’offre pas de débouchés sûrs. Concernant la production laitière, l’enclavement des zones de productions rend sa commercialisation difficile. Par contre, en système intensif, le coût élevé des intrants et du crédit rend les produits peu compétitifs par rapport aux produitsimportés.

Contraintes climatiques

Le climat est certainement lacontrainte la plus déterminante car il conditionne lesressources alimentaires du bétail. Lorsqu’il s’agit de pluviométrie, la forte variabilité dansl’espace et dans le temps fait que la disponibilité des pâturages est très limitée en quantité et en qualité, surtout dans le système traditionnel qui caractérise l’élevage au Sénégal. Par ailleurs, d’après PAGOT cité par KOUAMO (2006), les températures tropicales élevées sont de loin une contrainteimportante à la production laitière intensive qui est pour la plupart axée sur l’exploitation des races tempérées. Il rapporte que de nombreuses études ont montré que le séjour pendant un temps prolongé à des températures supérieures à 25°C, particulièrement en ambiance humide entraîne une réduction de l’ingestion alimentaire des vaches et, par conséquent, une chute de la production et de la fertilité des animaux.

Contraintes politiques

En Afrique, on note une défaillance du système d’encadrementdes éleveurs. Rares sont les pays africains où l’intensification des productions animalesest une priorité. Le crédit agricole est difficilement accessible avec letaux d’intérêt très élevé (AMAHORO, 2005).

Contraintes socio-économiques

Pour le pasteur traditionnel, le critère numérique constitue le facteur prépondérant par rapport à la production par tête. Dès lors, la maximisation du profit par la production laitière plus rationnelle ne constitue pas lapréoccupation majeure. A cela s’ajoute le manque de formation des éleveurs et leur faible niveau de technicité.

Politiques d’amélioration des productions animales

Dans le but d’améliorer des productions animales et, par conséquent, de faire contribuer davantage l’élevage au développement du pays, des politiques sont mises en œuvre. Ces politiques ont subi une évolution depuis les indépendances jusqu’à nos jours.
Après les indépendances, l’accent était surtout mis sur la protection sanitaire. En effet, la politique d’élevage consistait à consolider des acquis de la prophylaxie contre les grandes épizooties comme la peste bovine et les trypanosomiases. La sécheresse de 1973-1974 a marqué un grand tournant dans la considération donnée au secteur. La sécheresse enregistrée au Sénégal a fortement ébranlé le sous secteur d’élevage.
En réponse à ces difficultés des populations pastorales, les politiques mises en place ont été caractérisées par un interventionnisme de l’Etat. En effet, des projets ont été initiés et sont devenus des pièces maîtresses des politiques d’élevage. Les stratégies mises en œuvre étaient marquées par l’intervention des structures de l’Etat dans les sphères de production et sur les marchés internationaux.
Selon LY (1994), la plupart de ces projets ont malheureusement échoué du fait qu’on ait ciblé la production et non le producteur et du fait de la négligence du rôle de la femme dans l’élevage. En résumé, la politique des projets a souvent échoué du fait des erreurs dans l’approche des cibles.
Les années 80 ont inauguré l’ère des programmes d’ajustement structurel qui se caractérise par un désengagement de l’Etat des fonctions marchandes, la responsabilisation des producteurs, la privatisation des services et la libéralisation des prix et des marchés des intrants des différents produits agricoles.
D’autres projets ont été mis en œuvre pour soutenir cette privatisation. C’est le cas du Projet d’Appui à l’Elevage (PAPEL) et du Pan African Rinderpest Campain (PARC).
De nos jours, la politique adoptée par l’Etat sénégalais vise entre autre à réduire la facture laitière, estimée à 46 milliards de CFA (DIREL, 2006) et parallèlement accroitre la production locale de lait.

Inconvénients

A coté de ces nombreux avantages de l’IA, il y a certains dangers qui tiennent à un mauvais choix du géniteur, une perte possible de gènes (c’est le cas de la sélection du caractère de haute production laitière qui a été obtenu au détriment de la rusticité, de la longévité, de la fécondité…)et la consanguinité.

Technique d’insémination artificielle

Moment d’I.A

L’insémination doit être pratiquée à un momentassez proche de l’ovulation. Si l’on admet que la durée de l’œstrus de 12 à 24 heures, que l’ovulation a lieu 10 à 12 heures après la fin de l’œstrus et que les spermatozoïdes doivent séjourner pendant environ 6 heures dans les voies génitales femelles (phénomène de capacitation), le meilleur moment pour obtenir une insémination fécondante est la deuxième moitié de l’œstrus (HASKOURI H., 2000-2001).
Dans la pratique, les animaux vus en chaleurs le matin sont inséminés le soir et ceux en chaleurs le soir sont inséminés le lendemain matin (tableau II et figure 2).

Rappels physiologiques sur la reproduction chez la vache

Etapes de la vie sexuelle et a puberté

Quatre périodes chronologiquescorrespondant chacune à un état donné de l’ovaire sont décrites chez la vache. Il s’agit d’une période pré-pubertaire, une période pubertaire, une période adulte et une période sénile.
La puberté est la période au cours de laquellese met en place la fonction de reproduction.
Elle se définit comme l’âge auquel l’animal devient apte à produire les gamètes fécondants. C’est donc le moment d’apparition des premières chaleurs.
La période pubertaire annonce la maturité sexuelle par l’apparition de la première ponte ovulaire et l’installation dela période adulte qui est celle de l’activité sexuelle.
La puberté est atteinte en général lorsque la vache atteint un poids moyen minimum équivalent aux 2/3 de son poids adulte ; soit 60% de celui-ci. L’âge à la puberté varie en fonction de trois principaux facteurs que sont le niveau alimentaire, l’environnement et les facteurs génétiques (DIADHIOU A., 2001). A partir de la puberté et durant la période adulte, il apparaît chez la femelle une manifestation cyclique dénommée cycle sexuel.
Selon NIBART (1991) cité par THIAM (1996), cette cyclicité chez la vache, une fois déclenchée, n’est plus interrompue que par lagestation, le postpartum et les troubles alimentaires.

Cycle sexuel de la vache

Chez tous les mammifères, l’appareil génital femelle est sujet à des modifications histophysiologiques au cours de la vie de la femelle. Elles se produisent toujours dans le même ordre et revenant à intervalle périodique suivant un rythme bien défini pour chaque espèce. Ces modifications ou cycle sexuel commencent au moment de la puberté, se poursuivent tout au long de la vie génitale et ne sont interrompues que par la gestation, le postpartum et le déséquilibre alimentaire. Ces manifestations dépendent de l’activité fonctionnelle de l’ovaire, elle-même tributaire de l’action hypothalamo-hypophysaire (DERIVAUX ,1971). Ainsi, trois composantes caractérisent le cycle sexuel chez la vache :
¾ une composante cellulaire
¾ une composante comportementale ou psychique
¾ une composante hormonale

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE
CHAPITRE I : L’ELEVAGE BOVIN AU SENEGAL
I.1. Cheptel
I.1.1. Effectif du cheptel bovin au Sénégal
I.1.2. Races bovines exploitées au Sénégal
I.1.2.1. Races locales
I.1.2.2. Races exotiques
I.1.2.3. Métis rencontrées au Sénégal
I.2. Typologie des systèmes d’élevage
I.2.1. Système agropastoral
I.2.2. Système à dominante pastorale
I.2.3. Système périurbain
I .3. Différents types de production dela vache au Sénégal
I.3.1. Production laitière
I.3.2. Production bouchère
I .3.3. Productions annexes
I.3.3.1. Trait
I.3.3.2. Cuir
I.3.3.3. Fumure
I.4. Contraintes de l’élevage
I.4.1. Contraintes alimentaires
I.4.2. Contraintes sanitaires
I.4.3. Contraintes zootechniques
I.4.4. Contraintes commerciales
I.4.5. Contraintes climatiques
I.4.6. Contraintes politiques
I.4.7. Contraintes socio-économiques
I.5. Politiques d’amélioration des productions animales
CHAPITRE II. AMELIORATION GENETIQUE BOVINE
II. 1. Méthodes d’amélioration génétique
II.2. Principales étapes de l’amélioration génétique des caractères quantitatifs
II.3. Outils de l’amélioration génétique : les biotechnologies de la reproduction
II.4. Insémination artificielle
II.4.1. Définition
II.4.2. Avantages et inconvénients
II.4.2.1. Avantages
II.4.2.2. Inconvénients
II.4.3. Technique d’insémination artificielle
II.4.3.1. Moment d’I.A
II.4.3.2. Procédé d’IA
II.4.3.3. Lieu du dépôt dela semence
II.4.4. Facteurs de réussite de l’insémination artificielle
CHAPITRE III. MAITRISE DE LA REPRODUCTION
III.1. Rappels anatomiques de l’appareil génital femelle
III.2. Rappels physiologiques sur la reproduction chez la vache
III.2.1. Etapes de la vie sexuelle et a puberté
III.2.2. Cycle sexuel de la vache
III.2.2.1. Composante cellulaire du cycle sexuel
III.2.2.2. Composante comportementale
III.2.2.3. Composante hormonale
III.2.3. Contrôle hormonal du cycle sexuel
III.3. Maîtrise de la reproduction chez la vache
III.3.1. Définition et intérêts
III.3.2. Moyens et méthodes de maîtrise de la reproduction bovine
III.3.2.1. Moyens et méthodes zootechniques
III.3.2.1.1. Climat
III.3.2.1.2. Alimentation
III.3.2.1.3. Animal
III.3.2.2. Moyens et méthodes médicaux
III.3.2.2.1. Principe de synchronisation hormonale des chaleurs
III.3.2.2.2. Intérêts de la synchronisation
III.3.2.2.3. Méthode de synchronisation des chaleurs
III.3.3. Détection des chaleurs
III.3.3.1. Observation directe
III.3.3.2. Observation indirecte
III.3.4. Fécondation et diagnostic de gestation
III.3.4.1. Fécondation
III.3.4.2. Diagnostic de gestation
III.3.4.2.1. Diagnostic précoce de gestation
III.3.4.2.2. Diagnostic tardif de la gestation
CHAPITRE IV : PROBLÉMATIQUE DE LA FILIERE LAITIERE AU SENEGAL
IV.1. Caractérisation de la filière laitière au Sénégal
IV.2. Evolution démographique au Sénégal
IV.3. Evolution de la demande laitière
IV.4. Production laitière au Sénégal
IV.5. Evolution des importations de lait et produits laitiers
IV.6. Stratégies de développement de lafilière laitière au Sénégal
DEUXIEME PARTIE 
OBJECTIFS DE L’ETUDE ET RESULTATS ATTENDUS .
CHAPITRE I : MATERIEL ET METHODES
I.1. Cadre expérimental
I.1.1. Zone sylvo-pastorale (Saint-Louis et Louga)
I.1.1.1. Situation géographique
I.1.1.2. Environnement naturel
I.1.1.3. Eléments socio-économiques
I.1.2. Présentation de la région de Tambacounda
I.1.2.1. Situation géographique
I.1.2.2. Environnement naturel
I.1.2.3. Eléments socio-économiques
I.1.3. Présentation de la région de Kolda
I.1.3.1. Situation géographique
I.1.3.2. Environnement naturel
I.1.3.3. Situation de l’élevage
I.1.4. Projet d’Appui à l’Elevage (PAPEL) et sa mission
I.2. Matériel
I.3. Démarche méthodologique des programmes d’insémination artificielle
I.3.1. Sensibilisation des éleveurs sur l’insémination artificielle
I.3.2 .Sélection et traitement sanitaire des animaux
I.3.2.1.Critères d’affiliation au programme d’insémination
I.3.2.2.Traitement sanitaire des animaux
I.3.3. Protocole d’insémination artificielle
I.3.3.1. Synchronisation des chaleurs
I.3.3.2. Surveillance des chaleurs
I.3.3.3. Insémination artificielle
I.3.3.4. Diagnostic degestation
I.4. Saisie et analyse des données
CHAPITRE II: RESULTATS
II.1. Résultats de la sensibilisation des éleveurs sur l’insémination artificielle
II.1.1. Motivation des éleveurs
II.1.2. Conduite et suivi des vaches sélectionnées avant etaprès insémination
II.1.3. Circulation de l’information
II.2. Résultats de l’insémination artificielle dans la campagne 2004/2005
II.2.1. Synchronisation des chaleurs et de l’insémination
II.2.2. Taux de réussite de l’IA
II.2.2.1. Relation entre le taux de gestation et la région
II.2.2.2. Relation entre le taux de gestation et le département
II.2.2.3. Relation entre le taux de gestation et la race
II.2.2.4. Relation entre le taux de gestation et l’âge de la vache
II.2.2.5. Relation entre le taux de gestation et le nombre de lactation
II.2.2.6. Relation entre le taux de gestation etle nombre de jours postpartum
II.2.2.7. Relation entre le taux de gestation etla note d’état corporel (NEC)
II.2.2.8. Relation entre le taux de gestation et le diagnostic ovarien
II.2.2.9. Relation entre le taux de gestation et l’heure de l’insémination
II.2.2.10. Relation entre taux de gestation et l’inséminateur
CHAPITRE III: DISCUSSION
III.1. Considérations générales
III.2. Résultats de la sensibilisation des éleveurs sur l’insémination artificielle
III.2.1. Motivation des éleveurs
III.2.2. Conduite et suivi des vaches sélectionnées avant etaprès insémination
III.2.3. Circulation de l’information
III.3. Résultats de l’insémination artificielle dans la campagne 2004/2005
III.3.1. Synchronisation des chaleurs et de l’insémination
III.3.2. Taux de réussite de l’IA
III.3.2.1. Relation entre le taux de gestation et la région
III.3.2.2. Relation entre le taux de gestation et le département
III.3.2.3. Relation entre le taux de gestation et la race de la vache
III.3.2.4. Relation entre le taux de gestation et l’âge de la vache
III.3.2.5. Relation entre le taux de gestation et le nombre de lactation
III.3.2.6. Relation entre le taux de gestation et le nombre de jours postpartum
III.3.2.7. Relation entre le taux de gestation etla note d’état corporel (NEC)
III.3.2.8. Relation entre le taux de gestation et le diagnostic ovarien
III.2.3.9. Relation entre le taux de gestation et l’heure de l’insémination
III.2.3.10. Relation entre le taux de gestation et l’inséminateur
CHAPITRE IV: RECOMMANDATIONS
IV.1. A l’Etat
IV.2. Au Projet d’Appui à l’Elevage (PAPEL)
IV.3. Aux inséminateurs
IV.4. Aux éleveurs
CONCLUSION GENERALE 
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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