PRINCIPE DE GESTION D’UNE INSTITUTION FINANCIERE

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Structure organisationnelle de la société

La structure d’entreprise repose sur la notion d’or ganes, qui peut être un homme (cadre), ou un groupe d’hommes (une équipe avec son chef), agissant comme centre de décision ou comme agent d’exécution dans un domained’activité déterminé. Aussi allons – nous voir la structure de l’entreprise à partir de l’organigramme structurel et les fonctions de chaque direction au sein de la société.

Attributions des différentes fonctions :

La CEM est un système organisé, formé par des éléments humains répartis dans les différentes directions, à savoir :

La Direction Générale

La Direction Générale est représentée par le Dirtecur Général le principal détenteur du pouvoir de décision, donc le premier responsablede la CEM. Son rôle est de superviser l’ensemble des activités des directions. La Direction Générale se charge :
de l’exécution des délibérations du conseil d’administration ;
de représenter la CEM ;
d’élaborer un plan stratégique de développement pour atteindre les objectifs de la CEM ;
d’être « Exécutive contact » de la Western union.
Les directions et services rattachés à la Direction Générale sont les suivantes :

Direction de contrôle de gestion

C’est une direction qui s’occupe du budget de la CEM et de la rentabilité des agences. Elle occupe:
– du traitement des livrets
– du redressement de l’anomalie sur les livrets ;
– de la migration des données du livret ;
– du traitement des demandes des agences ;
– de la collecte des données CSR ;
– de la consolidation des données CSR .

Direction de l’audit interne

Elle assure l’audit interne de la CEM et vérifie les opérations des agences. Pour cela, elle est étoffée par deux services :
× Le service de Méthode – Organisation – Procédure ;
× Le service Inspection vérification

Service juridique et contentieux

Ce service est responsable de l’évaluation de tous les litiges et les contentieux de la CEM tout en la représentant devant les tribunaux.

La Direction Générale Adjointe

Représentée par le Directeur Général Adjoint, elleapour attribution :
. d’établir la politique budgétaire ;
. de définir la politique de la trésorerie ;
. de définir la gestion de fonds de la CEM
Elle se charge de la bonne marche des quatre autres directions dont :

La Direction du Réseau et de l’Exploitation

Elle garantit le suivi de la ligne budgétaire du réseau de distribution. Elle s’occupe aussi de la direction des études qui se charge d’assurer la politique commerciale de la CEM et a pour mission principale d’établir le plan marketing approprié à cette politique. Pour ce faire, elle a pour attribution de :
. Concevoir la stratégie marketing ;
. Faire l’étude du marché ;
. Renouveler et améliorer les produits déjà existants ;
. Elaborer des actions promotionnelles et publicitaires.

Direction de l’administration général e

Elle se charge du suivi de la qualification et de la formation du personnel ainsi que de la  maintenance des techniques logistiques afin d’appliquer la politique de la CEM. Elle est étoffée par trois services dont :
Le service des Ressources Humaines : qui s’occupe de la gestion du personnel et de la paie ;
Le service Logistique et Approvisionnement, chargéà la fois de :
– la gestion des stocks et des immobilisations ;
– le ravitaillement des directions et des agences en fournitures de bureau et autres ;
La gestion du parking de la CEM.

Direction du Système d’Information

Elle est composée de deux services qui sont :
– Le service de sécurité informatique qui assure al sécurité de tous les matériels, les bases de données et logiciels contre les virus, les vols et autres.
– Le service étude et exploitation qui assure :
La programmation des logiciels ;
La formation des utilisateurs ;
La recherche de nouvelles technologies qui pourraient être utiles dans les activités de la CEM ;
La maintenance du site web

La direction des études

Elle est chargée du marketing de la CEM. Elle a pour mission de conquérir le marché, gérer et fidéliser ses clients. Pour cela, elle a es stratégies telles que : déterminer des nouveaux produits adaptés aux besoins de clientèle,développer les produits déjà sur le marché, améliorer la qualité du service offert…
Ainsi, elle devrait : – établir le plan marketing de l’entreprise
– assurer l’ordination et le suivi de la ligne budgétaire de la direction.

La Direction Financière

Sa mission est d’organiser, de contrôler et de gérer toutes les activités financières de la CEM.
Elle est composée :
– du service de Budget et de la Comptabilité qui a pour mission d’établir le budget et la comptabilité ainsi que d’assurer la tenue des comptes de la CEM ;
– du service de la Western Union qui se charge du paiement des transactions ;
– de l’installation des nouveaux matériels et la formation des utilisateurs ;
– du service Trésorerie et Engagements qui maximise la rentabilité des placements ; Dans ce service, nous allons voir les différents organes qui constituent la gestion de trésorerie et l’organigramme structurel dont :

Les organes responsables de la gestion de trésorerie :

· Le Chef d’Agence
– d’assurer la liquidité de l’agence. La tenue de liquidité désigne ici l’aptitude de l’agence à faire face au fonctionnement de l’agence ;
– mettre en œuvre un plan pour que l’agence ait à cha que instant les ressources satisfaisantes pour remplir ses engagements financiers : le règlement de toutes les dépenses de l’agence, y compris le paiement des salaires.
· Le service de Trésorerie
Au sein du service de trésorerie, il y a des agentsqui assurent le fonctionnement de liquidité de l’entreprise :
1. Responsable financier
Il a pour attribution :
– d’analyser les besoins de fonctionnement de chaque agence ;
– d’identifier les opportunités favorables pour les placements à long et court termes à partir du taux existant du marché ;
– de suivre les comptes de virement au niveau de chaque entité ;
– de procéder à l’analyse du marché interbancaire des devises pour une meilleure rentabilité de change ;
– de classer toutes les pièces bancaires.
2. Responsable de l’entité
Il a pour mission :
– de procéder au paiement en aval de la direction ;
– d’assurer la sécurité et le niveau de liquidité ducoffre ;
– de confronter les pièces justificatives avec l’encaisse existante de la journée.
· Liquidateur de dépenses
de suivre les opérations de provision en compte bancaire ; d’assurer l’existence de provision du compte bancai re ; de procéder aux paiements des factures existantes ;
de contrôler les factures impayées par le chef d’agence.

Organigramme du service de trésorerie

L’organigramme est une représentation schématique te matérialise la structure de l’entreprise. Il est le tableau de l’unité bien défini composant l’entreprise, ainsi que du réseau de leur liaison officielle. On entend par « liaison officielle », les ordres, instruction information…. Descendant vers les exécutants ; et par lequel, monte de la base ausommet, les informations sur le travail, les difficultés ou les besoins des divers échelons. Nous présentons ici l’organigramme du service de trésorerie afin que nous puissions connaitre leshiérarchisations qui existent au sein de ce service que nous avons effectué notre stage.

Activités et Mission de la CEM

La CEM est une entreprise prestataire de service qui œuvre principalement dans la collecte d’épargne. De ce fait, elle joue un rôle prépondérant pour le développement du pays, par ses placements auprès du Trésor Public et par al fructification de l’argent des ménages. Nous allons voir dans cette section les missions et les activités de la caisse d’Epargne.

Les ressources de l’épargne

Le livret de l’épargne

Le compte ordinaire

Ce type de dépôt est caractérisé par le montant dupremier versement limité à Ar 20 au minimum et productif d’intérêt dont le taux est fixé à 5,5% l’an. Le client peut effectuer des versements à tout moment et le remboursement peut s e faire 15 jours à compter de la dernière opération effectuée.

Le compte stable

Un compte devient stable dès qu’il réunit les conditions suivantes : le titulaire n’a pas effectué plus de quatre remboursements par an ; son avoir moyen doit être de l’ordre d’Ar 10.000 par an ; le versement doit être excédentaire par rapport auretrait en une année à compter de la seconde année de dépôt.

Le Compte Spécial de l’Epargne ou CSE

Ce compte est réservé uniquement pour les clientsdétenant une liquidité supérieure à Ar 20.000.000.Le détenteur de ce compte se verra octroyer un titre spécial épargne à la place du livret. La durée de validité de ce titre s’étalepar tranche de trois mois renouvelable. Cette période dépassée, le titulaire du compte peut remplir un formulaire spécial .
Le taux d’intérêt attribué au titulaire du compteste négociable pour une période de trois, six et douze mois et dépend du taux directeur de la BanqueCentrale. En général, il varie entre 7% et 9%.

Le Compte Spécial Retraite CSR

Le CSR est un compte ouvert aux salariés des entreprises du secteur primaire et de la profession libérale comme retraite complémentaire tesupplémentaire à celle de la CNaPS.
Les versements sont réalisés par les employeurs etles employés par prélèvement mensuel sur leurs salaires. Le taux d’intérêt perçu par le titulaire du compte est négociable et proche de celui du compte stable de la CEM. Les remboursements peuvent se faire dès que le titulaire atteint l’âge de 60 ans.

Les emplois de l’épargne

Pour faire fructifier les fonds collectés comme épargne, la CEM place auprès du trésor public sous forme de CDC ou BTA, ou les met à la dispositi on de Western Union pour ces activités de transfert  d’argent.

Le Bon de Trésor par Adjudicationou BTA

Le BTA est aussi un moyen de placement, productif d’intérêt, des fonds disponibles de la CEM auprès du Trésor Public. C’est un instrument financier et monétaire lancé par la Banque Centrale de Madagascar depuis 1996 par l’intermédiaire du Trésor Public.
Le principe est que l’Etat, pour compenser ses besoins en trésorerie, s’endette en lançant des appels d’offre pour l’achat d’un bon de trésor auprès des agents économiques.

Seules les offres compétitives sont retenues (à prix d’achat élevé et taux d’intérêt faible). La fixation et la publication du taux du marché sont assurées par l’organe centralisateur qui est la Banque Centrale. La transaction se réalise sur deuxtypes de marché :
Le marché primaire :
Appelé aussi marché de nouvelle émission, il est ouvert aux intermédiaires de marché agréés ayant rempli les conditions d’éligibilité, et tousles agents économiques non écartés de refinancement auprès de la Banque Centrale.
Le marché secondaire :
Sur ce marché se négocient les bons déjà émis. Lesintervenants sont composés :
– Des entreprises ayant des excédents de trésorerieou des épargnants qui possèdent des fonds à investir ;
– Des agents en possession de bons de trésor et quiont besoin de liquidités
Les intermédiaires de marché
La Banque Centrale
Dans le cas de la CEM, elle peut participer au marché primaire plus qu’au marché secondaire. Les intérêts perçus lui permettent de ompenserc ses besoins en fonds de roulement et d’étoffer sa trésorerie.

Le compte de dépôt et de consignation ou CDC

Selon l’article 49 de la loi n°63-015 du 15-juillet -1963, tout établissement public se trouve dans l’obligation de déposer ses fonds auprès du trésor public sous forme de Compte de dépôt et Consignation.
Ayant été une entreprise publique, la CEM doit placer la totalité de ses fonds au trésor public jusqu’en 1995, ce qui n’est plus le cas actuellemen t. Toutefois, elle est toujours tenue à placer la majeure partie de ses fonds en CDC.
Ce type de placement est productif d’intérêt et letaux est fixé trimestriellement par l’Etat.

Le Western Union

Le WU est une société Américaine dont la principaleactivité réside dans le transfert international d’argent.
Afin d’élargir son réseau et d’atteindre une envergure internationale, le WU collabore avec des sociétés étrangères qui deviennent ses représenta ts à travers le monde. Tel est le cas de la CEM qui devient le premier représentant de WU à Madagascar depuis l’année 1998.
Une partie des commissions reçue pour chaque tran saction revient à la CEM, en guise de rémunération aux services rendus et aux fonds employés dans le cadre d’un transfert d’argent. Le versement des commissions et le remboursement des fonds se font par virement bancaire au compte en devises de la CEM, et sont libellés en dollars. La CEM bénéficie aussi des gains de change sur ses avoirs en devises.
Pour conclure, en ce qui concerne la CEM, sa structure organisationnelle, ses activités et ses missions nous montrent qu’elle est une grande institution financière. Comme toute entreprise qui a des objectifs, la CEM en a aussi pour but et veut atteindre ses activités par les biais de devenir un établissement de crédit, mais en reste seulement une institution d’épargne. Après avoir présenté la CEM en général, nous allonsentamer le principe de la gestion d’une institution financière.

PRINCIPE DE LA GESTION D’UNE INSTITUTION FINANCIERE

Dans le premier chapitre, les généralités nous ontpermis non seulement de présenter globalement la société CEM mais aussi d’avoir un aperçu sur la gestion de sa trésorerie. Aussi dans ce deuxième chapitre, il est important de parler du principe de la gestion d’une institution financière. La CEM, comme toute Société Anonyme, fonctionne entoute logique pour atteindre des objectifs fixés à l’avance, raison de son existence. L’un de ses objectifs est de couvrir non seulement les charges et de sortir un niveau de trésorerie zéro, mais aussi d’obtenir des gains financiers. Néanmoins ceux- ci ne seront atteints ans un plan bien établi ni sans une gestion adéquate et savamment élaborée. C’est justement, les raisons d’être du deuxième chapitre. De ce fait, Il est nécessaire avant tout de donner un aperçu général sur la gestion d’une institution financière.

Les règles relatives aux établissementsfinancières

Definitions

La loi du 13 juin 1941 ne donne pas, à proprement p arler, une définition des établissements financiers. C’est l’article 27.2 èmelinéa, portant création du comité permanent d’organisation professionnelle des banques, entreprises et établissements financiers, qui précisent ce que l’on doit entendre par ce vocable.
« Les personnes ou entreprises qui, sans être inscrites sur les listes des banques, font profession habituelle d’accomplir une ou plusieurs des opérations suivantes :
– Servir de commissionnaire, de courtier ou d’intermédiaire dans les opérations portant sur les valeurs mobilières et les fonds d’Etat, les effets de commerce et les effets publics ;
– Effectuer des opérations de crédit à court ou moyen terme, ou des opérations de change ;
– Escompter et prendre en nantissement ou encaisser des effets de commerce, des chèques et des effets publics. »

En outre, elles peuvent être également considéréescomme établissements financiers astreinte au respect de tout en partie de la réglementation, les entreprises ou personnes qui, sans faire profession habituelle pour accomplir une ou plusieurs des opérations énumérées ci-dessus. Elles peuvent être amenées à les traiter comme objet accessoire dans leurs activités principales, ou à titre occasionnel.
On notera – c’est la différence essentielle avec les banques que les établissements financiers ne sont pas autorisés à recevoir des fonds en dépôt public. Ils travaillent essentiellement avec leurs fonds propres ou avec des capitaux empruntés .
Il est à remarquer toutefois qu’une décision du Conseil national du crédit du 26 février 1971 a élargi la notion de fonds propres qui jusqu’alors, ne comprenaient que le capital et les réserves. Dorénavant, les fonds propres pourront comprendre la moitié du produit de l’émission d’obligations convertibles, à condition que la conversion en capital ait lieu dans les 3 ans. Cette mesure est importante car elle permet aux établissements financiers de disposer de limites supplémentaires pour exercer leur activité. Une mesure comparable a été en faveur des banques le 11 septembre 1969.

Règles relatives aux établissements financiers

La réglementation des établissements financiers, instituée par la loi du 14 juin 1941, a été amendée ultérieurement par différents textes i qun’en ont toutefois pas modifié profondément la teneur.
La loi classe les établissements financiers en trois catégories selon que ces entreprises exercent leurs activités :
Comme profession habituelle. Ces établissements doivent être enregistrés auprès du Conseil National du crédit et sont obligés d’adhérer avecl’Association professionnelle des entreprises et établissements financiers ;
Comme objet accessoire d’une activité principale. Les établissements exerçant cette activité dans ces conditions sont soumis aux mêmes règles que les précédents à l’exception de l’adhésion à l’Association professionnelle qui, en ce qui les concerne, demeure facultative ; A titre occasionnel. Ces entreprises doivent seulement se conformer aux prescriptions de la réglementation bancaire relative aux opérations qu’elles traitent.

Principe de tenue de compte

Définition

On peut définir le compte comme un état comptable urs lequel est inscrit l’ensemble des opérations  effectuées entre la banque et son client.
Pour le particulier, le compte de dépôts de fonds sert essentiellement à déposer des disponibilités à l’abri de tout risque et à les prélever au fur et à mesure de ses besoins, le plus souvent avec des chèques, ce qui fait appeler ces comptes « comptes de chèques ».

Tenue de compte

Les remises ou versements sous toutes, les formes sont inscrits au crédit (espèces, chèques et virement reçus etc).
Les retraits, par différents moyens également, sont inscrits au débit (chèques émis, prélèvements espèces, frais divers dus, virements,prélèvements automatiques).

Les différentes catégories de comptes

Le compte de chèque ou compte de dépôts

Le code civil définit le dépôt et impose au dépositaire (celui qui reçoit), l’obligation de restituer au déposant (celui qui donne) la chose déposée après en avoir assuré la garde.
En ce qui concerne le cas particulier du dépôt de fonds, le banquier, s’il a le devoir d’assurer une bonne conservation des fonds reçus, n e peut être tenu de restituer exactement les mêmes espèces monétaires, mais seulement d’autres espèces de même valeur nominale.
C’est un contrat de dépôt imparfait, compte tenu de la fongibilité de la chose déposée. Le second caractère du dépôt de fonds est la possibilité pour le banquier d’utiliser ses fonds pour son propre compte, à condition toutefois d’être en mesure de les restituer à première demande.
D’une façon générale, les comptes de chèques sont ouverts à des particuliers non commerçants ou à des commerçants pour leurs opérati ons personnelles. Ils n’enregistrent que des dépôts et des retraits, des opérations sur titres, des remises à l’encaissement, des achats ou ventes de devises. Ils ne peuvent, en principe, devenir débiteurs.
Clôture du compte
Le compte peut être fermé :
A la demande du client : Il est alors « arrêté » par les services comptables.Il ne faut pas confondre un compte dit « soldé » ou « balance » – et qui ne peut fonctionner à nouveau – avec un compte « fermé ».
-Par décision de la banque, si le client devient indésirable. Dans ce cas, la banque doit signaler la fermeture d’office à la banque.
En cas de décès du titulaire, le compte est seulement bloqué jusqu’au règlement de la succession. Lorsque le décès du conjoint du titulaire survient, le contentieux de la banque peut également être amené à prendre des mesures : suspension du fonctionnement du compte.

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Table des matières

INTRODUCTION GENERALE
PARTIE 1 : LA CEM EN TANT QUE INSTITUTION FINANCIERE
Chapitre I : GENERALITES SUR LA SOCIETE
Section 1 : Présentation de la CEM
1.1 Historique
1.2 Identification de la société
1.3 Présentation juridique
1.4 Objectifs
1.4.1 Les systèmes électroniques : guichets automatiques
1.4.2 Octroi de crédit
Section 2 : Structure organisationnelle de la société
2.1 Attributions des différentes fonctions
2.1.1 Direction générale
2.1.1.1 Direction de contrôle de gestion
2.1.1.2 Direction de l’audit interne
2.1.1.3 Service juridique et contentieux
2.1.2 Direction générale adjointe
2.1.2.1 Direction du réseau et de l’exploitation
2.1.2.2 Direction de l’administration générale
2.1.2.3 Direction du système d’information
2.1.2.4 Direction des études
2.1.2.5 Direction financière
Section 3 : Activités et mission de la CEM
3.1 Les ressources de l’épargne
3.1.1 Le livret de l’épargne
3.1.1.1 Le compte ordinaire
3.1.1.2 Le compte stable
3.1.2 Le compte spécial épargne ou CSE
3.1.3 Le compté spécial retraite ou CSR
3.2 Les emplois de l’épargne
3.2.1 Le bon de trésor par adjudication ou BTA
3.2.2 Le compte de dépôt et de consignation ou CDC
3.2.3 Le western union
Chapitre II : PRINCIPE DE GESTION D’UNE INSTITUTION FINANCIERE
Section 1 : Les règles relatives aux établissements financières
1.1 Définition
1.2 Règles relatives aux établissements financiers
Section 2 : Principe de tenue de compte
2.1 Définition
2.2 Tenue de compte
2.3 Les différentes catégories de compte
PARTIE 2 : LA PRATIQUE DE LA GESTION DE TRESORERIE DE LA CEM
Chapitre I : PLACEMENT
Section 1 : Les points forts de la gestion de trésorerie de la CEM
1.1 Excédent de la trésorerie des agences
1.2 Excédent de la trésorerie de sièges
Section 2 : Les points faibles de la gestion de trésorerie de la CEM
2.1 Problèmes liés à l’emploi de l’excèdent de trésorerie
2.1.1 Placement en banque
2.1.2 Placement en trésor publique
2.1.2.1 Placement en BTA ou bon de trésor par adjudication
2.1.2.2 Placement en CDC (compte de dépôt et consignation)
2.2 Problème lié à la rentabilité des activités de la CEM
2.2.1 Insuffisance du logiciel
2.2.2 Manque de formation
Section 3 : L’impact de la force et faiblesse de trésorerie de la CEM
3.1 Impact de la force de la gestion de trésorerie de la CEM
3.1.1 Au niveau des agences
3.1.1.1 Risque de l’insécurité pour le coffre de l’agence
3.1.1.2 Risque d’insuffisance de fonds de roulement
3.1.2 Au niveau de siège
3.1.2.1 Insuffisance des activités pour faire fructifier les excédents de la trésorerie
3.2 Impact de la faiblesse de la gestion de trésorerie de la CEM
3.2.1 Risque de retard de remboursement en BTA et en CDC
3..2.2 Dépréciation du taux de la BTA
3.2.3 Diminution du taux de l’épargne
3.2.4 Perte de clients
Chapitre II : LA PRATIQUE DE L’WESTERN UNION
Section 1 : Principe de base
1.1 Le système de transfert d’argent
1.2 Mécanisme de transmission
1.3 La collaboration de la CEM avec l’Western union
1.3.1 Technique de transfert d’argent
1.3.2 Procédure
Section 2 : Les points faibles de la gestion de transaction
2.1 Risque de change
2.2 Dévaluation de l’ariary
2.3 Les concurrences de la CEM au niveau de transfert d’argent
Section 3 : L’impact des points faibles de la gestion de transaction
3.1 Risque de perte d’argent
3.2 Risque de perte des clients
PARTIE 3 : PROPOSITION DES SOLUTIONS
Chapitre 1 : Solution concernant le placement
Section 1 : Solution concernant au problème de l’excèdent de trésorerie
1.1 Solution concernant l’excédent au niveau des agences
1.1.1 Bonnes gestions de fond par le chef d’agence
1.1.2 Suivis stricts de mouvement de compte des agences
1.2 Extension de l’activité de la CEM
1.2.1 L’octroi de crédit
1.2.1.1 Les crédits de trésorerie
1.2.1.2 Les crédits de consommation
1.2.1.3 Les crédits immobiliers
1.3 Les procédures à suivre pour devenir un établissement de crédit
1.3.1 Acquisition d’agrément pour devenir un établissement
1.3.1.1 Forme juridique de l’entreprise
1.3.1.2 Capital minimum
1.3.1.3 Organisation
1.3.2 Organisation du système bancaire
1.4 Lutte contre les concurrences au niveau des autres établissements de crédit
Section 2 : Solution concernant les points faibles de la gestion de trésorerie de la CEM
2.1 Politique de placement en BTA
2.1.1 Politique de placement profitable
2.1.2 Solution sur la diminution de taux de l’épargne
2.1.2.1 Stratégie adoptée pour satisfaire le client
2.1.2.2 Prospection de client
2.1.2.3 Amélioration de la rentabilité des activités de la CEM
2.1.2.4 Privatisation de la CEM
2.2 Amélioration de la rentabilité des activités de la CEM
2.2.1 Organisation matérielle
2.2.1.1 Mise en service de nouveau logiciel
2.2.2 Organisation fonctionnelle
2.2.2.1 Besoin de formation du personnel à la technique bancaire
Chapitre 2 : SOLUTION CONCERNANT LES OPERATIONS EN DEVISE
Section 1 : Solution concernant la gestion de transaction
1.1 Suivi strict de cours de change
1.2 Solution concernant les concurrences
1.3 Fidélisation des clients
1.4 Organisation de suivi et des mouvements en devise
Chapitre 3 : RESULTATS ATTENDUS
Section 1 : Impact de la proposition des solutions sur l’excédent la trésorerie
1.1 Conséquence de l’extension de l’activité de la CEM
1..2 Conséquence des solutions sur l’amélioration de la rentabilité des activités de la CEM
Section 2 : Impact de la solution proposé à l’opération en devise
2.1 Conséquence de la solution concernant la transaction
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIES

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