Principaux facteurs de risque d’accidents de la route et de traumatisme

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Les causes des accidents de la route

« Un accident est rarement dû à une cause unique, il réside dans le comportement du complexe conducteur – milieu – véhicule au cours de quelques instants précédant » formule de LG Norman [6].
Ces trois facteurs sont étroitement liés et tout accident a son origine dans la défaillance d’un seul ou de plusieurs de ces facteurs. Des études menées de par le monde ont tenté d’évaluer l’incidence de chacun des facteurs.

Causes liées aux véhicules :

Ces causes occupent une place non négligeable dans la survenue des accidents. Des statistiques Nord Américaines (National Highway Trafic Safety Administration) [7] et Françaises évaluent à 7% le nombre d’accidents de la voie publique imputable à des vices techniques du véhicule [7]. Le National Safety Council des USA estime à 2/5 le nombre de véhicules potentiellement dangereux. Si les progrès techniques ont réduit le nombre d’accidents imputables aux vices de fabrication et augmenté très notablement la sécurité des usagers des véhicules modernes, ils n’ont pas encore réussi à diminuer les vices imputables au vieillissement des machines.
En 1958, la police britannique estimait à 2,5 % les accidents occasionnés par la défectuosité et le mauvais fonctionnement des véhicules [7].
En 1969, au Sénégal des contrôles techniques ont retenu le chiffre astronomique de 97,54% des véhicules en mauvais état [8].
Au Mali, des contrôles techniques inopinés en 2003 ont retenu 2979 véhicules en mauvais état sur 60477 véhicules visités [9].
Les défauts les plus fréquents portaient sur :
– une défaillance du système de freinage ;
– un vice dans la direction ;
– le mauvais état des pneumatiques ;
– la défectuosité de la suspension

Causes liées à l’usager [10].

Le conducteur est sans doute l’élément primordial du complexe. C’est lui qui à tout moment doit s’adapter si certains paramètres changent au niveau des deux autres facteurs (véhicule – milieu), par exemple le conducteur règle la vitesse par rapport :
– au profil de la route,
– au revêtement de la chaussée,
– aux conditions climatiques,
– à l état des pneumatiques ou des freins de son véhicule,
– à la zone traversée (agglomération ou campagne).
Les statistiques mondiales accablent l’homme de la responsabilité de 80 à 95% des accidents de la circulation routière [2].
L’état psychologique et psychique est, chez le conducteur, un paramètre essentiel dont les fluctuations régissent l’adaptabilité à la conduite.
En effet, les conséquences d’une crise épileptique ou celles d’une simple lipothymie surprenant un automobiliste à son volant sont dangereuses pour la conduite. Signalons également l’effet doublement néfaste des toniques à la fois sur le plan physique et psychique et la conduite en état d’ivresse.
Les différents éléments intervenant chez l’homme sont donc complexes. Le schéma de Michel ROCHE résume les fonctions psychologiques de la conduite en trois stades [10] :
– Stade de perception.
– Stade d’interprétation.
– Stade d’action.
L’accident de la voie publique est la résultante d’une cascade de facteurs liés les uns aux autres :

Les facteurs comportementaux :

Il s’agit des attitudes qu’on observe chez les individus au cours de la circulation routière ; il s’agit entre autres du non respect du code de la route, des excès de vitesse, des traversées imprudentes de chaussées, des refus de priorité, de l’imprudence des conducteurs, des engagements imprudents, des changements brusques de direction et de l’inobservance des panneaux de circulation.

Les facteurs inhérents à l’individu :

Ils intéressent toute activité de l’individu le conduisant à utiliser un engin ou à se déplacer même à pied.

Les facteurs liés à l’état de santé des individus :

Ce sont des facteurs qui compromettent l’état de santé, il s’agit entre autres de la prise d’excitants (alcool, drogue), des maladies troublant la vigilance (épilepsie, mal voyance, handicapés physiques etc.)

Causes liées à l’environnement structurel :

Il s’agit de l’insuffisance dans l’équipement des infrastructures routières (absence de feux, panneaux, trous de séparations, chaussées défectueuses etc.)
Les statistiques françaises accordent une incidence de 1,6% à la route et à son environnement dans la genèse des accidents de la voie publique [7]. Ce pourcentage doit être notablement majoré en ce qui concerne notre pays où certaines routes créées depuis trop longtemps ne répondent plus aux critères de sécurité exigés et doivent être retracées [11].
On remarque souvent que les accidents sont dus :
– aux mauvais aménagements des croisements et des accotements ;
– aux virages dangereux ;
– aux obstacles mobiles (animaux en divagation ou gibiers).

Les principaux facteurs de risque d’accidents de la route et de traumatismes

Facteurs intervenant sur l’exposition à la circulation routière :

Il s’agit de :
 Facteurs économiques, notamment le développement économique
 Facteurs démographiques, notamment l’âge, le sexe et le lieu d’habitation.
 L’aménagement du territoire qui intervient sur les trajets effectués par les populations (durée et moyen de transport).
 La présence simultanée sur les routes d’usagers vulnérables et d’une circulation automobile à grande vitesse.

Facteurs de risque intervenant avant l’accident :

 La vitesse inadaptée, excessive ;
 La consommation d’alcool ou de drogues ;
 La fatigue ;
 Le fait d’être un homme jeune ;
 Les déplacements de nuit ;
 L’entretien insuffisant du véhicule ;
 Les défauts dans la conception, l’implantation et l’entretien de la route;
 Le manque de visibilité en raison des conditions météorologiques ;
 Les défauts de vision.

Facteurs d’aggravation des traumatismes après l’accident 10.

C’est facteurs sont surtout dominés par la précocité et la qualité de la prise en charge pré hospitalières des victimes :
 les retards dans la détection de l’accident et les transports vers les services de soins ;
 les secours et l’évacuation des blessés (s’ils ne sont pas suffisamment performants) ;
 l’insuffisance des soins avant l’arrivée dans un établissement de santé ;
 les incendies et les fuites des matières dangereuses.

Lésions survenant au cours des accidents de la circulation routière

Le traumatisme crânien

On appelle traumatisé crânien ou traumatisé craniocérébral, ou encore cranioencéphalique, tout blessé qui, à la suite d’une agression mécanique directe ou indirecte sur le crâne présente immédiatement ou ultérieurement des troubles de la conscience traduisant une souffrance encéphalique diffuse allant de l’obnubilation au coma. Il est dit grave si le score de Glasgow est inférieur à 8 [12]. Ce traumatisme peut entraîner des lésions immédiates ou alors des lésions secondaires si dans les minutes ou les heures qui suivent l’accident, les phénomènes dynamiques apparaissent. Dans ce dernier cas, la gravité dépend à la fois des circonstances du traumatisme et des facteurs systémiques plus ou moins considérables.

Les lésions immédiates

Elles sont crâniennes et cérébrales et sont avant tout locales ou loco régionales. Ce sont des lésions vasculaires (vasoparésie, oedème vasogénique ou cellulaire, dépolarisation membranaire, libération du contenu cellulaire, mort cellulaire, oedème cytotoxique).

Le traumatisme du rachis cervical [14]

Luxations et fractures des deux premières vertèbres cervicales

Ces deux lésions sont étroitement associées au niveau de l’atlas et de l’axis et si les fractures peuvent être observées seules, les luxations sont toujours accompagnées de fracture réalisant la « dislocation » des auteurs anglo-saxons. Ces dislocations constituent pour le bulbe une menace très sérieuse ; la tétraplégie ou la mort subite en sont parfois la conséquence immédiate et font la gravité de ces lésions traumatiques.
Au plan clinique, à coté des formes graves où la mort est immédiate, il existe trois formes cliniques:
 les formes à symptomatologie évidente où il existe une tétraplégie, des troubles respiratoires et cardiaques.
 Les formes frustrent se traduisant par une syncope de courte durée, des accidents paralytiques passagers.
 Les formes à symptomatologie tardive grave : la notion d’intervalle libre est capitale où apparaissent des troubles de la déglutition, une névralgie occipitale secondaire.
L’étude radiologique est essentielle et nécessite d’excellents clichés : de face, de profil, à bouche ouverte, à bouche fermée.

luxations et fractures des cinq dernières vertèbres cervicales.

Le siège de prédilection de ces lésions est la 5ème et la 6ème vertèbre cervicale. On rencontre habituellement les luxations qui sont en avant, les fractures parcellaires. La fracture totale est rare. On observe des tassements vertébraux cunéiformes à sommet antérieur. La symptomatologie est caractérisée par l’association de signes ostéoarticulaires et neurologiques.

Les traumatismes du rachis dorsolombaire [14]

Ces traumatismes sont les fractures des corps vertébraux localisées électivement au niveau de D5, L2 et L3. Les accidents d’automobiles, les chutes d’une certaine hauteur et les éboulements en sont les principales étiologies.
Les fractures des arcs postérieurs vertébraux comprennent celles des apophyses transverses, des apophyses épineuses, des lames et celles des pédicules.

Les traumatismes du thorax [15]

Ils se définissent comme des lésions traumatiques intéressant la paroi et/ou le contenu viscéral du thorax. Ils peuvent être classés en deux grands groupes : les traumatismes fermés du thorax et les traumatismes ouverts ou plaies du thorax ou encore traumatismes pénétrants du thorax.

Les lésions du contenant ou lésions pariétales.

Il s’agit des fractures des côtes dont le mécanisme correspond le plus souvent à un choc direct de dehors en dedans. Leur gravité est fonction de leur nombre, de leur topographie et de leur association à d’autres lésions endo ou extra thoraciques.
Les fractures les plus fréquentes sont les fractures de la 5ème à la 9ème côte.
On peut avoir :
 Le volet costal qui se définit par l’existence d’un double trait de fracture sur au moins trois côtes adjacentes ou des traits sur l’arc antérieur de trois côtes symétriques par rapport au sternum.
 Les ruptures diaphragmatiques qui correspondent à une brèche musculaire de la coupole pouvant se compliquer d’une issue intra- thoracique des viscères abdominaux de voisinage.

Les lésions du contenu ou lésions viscérales entraînent [15]:

 Le pneumothorax : épanchement aérien situé dans la cavité pleurale.
 L’hémothorax : épanchement de sang dans la plèvre, généralement associé à un pneumothorax.
Le pneumatocèle qui se définit comme une lésion aérique ou hydroaérique sans paroi propre, conséquence d’une dilacération du parenchyme pulmonaire.
 La contusion pulmonaire : Risque d’évolution vers le SDRA et risque de surinfection.
 La contusion myocardique : Pouvant entrainer l’hémorragie, l’oedème et ou la nécrose de la zone d’impact.
L’ECG, la troponine, l’échographie trans-thoracique et/ou trans oesophagienne permettent de poser le diagnostic.
 Les traumatismes de l’aorte : le décès survient dans 80% sur le terrain et 20% à l’hôpital.
 Les ruptures trachéo-bronchiques ;
 Rupture de l’artère pulmonaire et de la veine cave.

Les traumatismes du bassin [16]

Ce sont en général les luxations et les fractures qu’on groupe en trois ordres de lésions qui sont :
 Les fractures de la ceinture pelvienne qui rompent la continuité du bassin sont potentiellement hémorragiques et peuvent menacer la portion urinaire de l’appareil urinaire.
 Les fractures de la cavité cotyloïdienne qui affectent la statique et la marche.
 Les fractures partielles atteignant l’une ou l’autre des pièces du bassin, sans interrompre la ceinture pelvienne.
Ces fractures sont causées dans 50% des cas par les accidents de la circulation routière. Elles occasionnent la fracture des pièces osseuses et la lésion des parties molles aggravant ainsi le pronostic.
Des lésions de l’appareil urinaire, la plus courante est la rupture de l’urètre membraneux. Ainsi, il peut exister des déchirures de la vessie en position extra péritonéale ou intra péritonéale.

Les pathologies traumatiques des articulations

Ce sont les entorses, les luxations et les plaies articulaires. L’évolution des plaies articulaires est dominée par le danger de l’infection secondaire et expose les articulations à une raideur ou à une ankylose totale. Le but du traitement est de faire la prophylaxie de l’infection et de s’assurer des meilleures conditions pour la réparation des lésions.

Les traumatismes des muscles

Parmi elles, on cite :
 Les plaies musculaires qui sont des plaies linéaires incomplètes, les plaies par section complète et les plaies contuses.
 Les contusions et ruptures musculaires qui peuvent réaliser des hernies musculaires et dont les séquelles sont souvent la sclérose et l’ostéome musculaire.
 Les luxations, plaies, sections et ruptures des tendons.

Les traumatismes vasculaires

Ce sont les plaies et les ruptures artérielles, des lésions traumatiques pénétrantes de la paroi artérielle avec ou sans plaie cutanée.
Les lésions associées sont la plaie cutanée, l’atteinte veineuse, la blessure d’un tronc veineux, les dégâts musculaires et les lésions osseuses et articulaires.

Les traumatismes nerveux

Les plaies peuvent déterminer au niveau des nerfs, des sections complètes et des lésions dans la continuité des fibres.
Classification anatomo-clinique des lésions nerveuses :
 La section complète ou neurotmésis : toutes les fibres périphériques dégénèrent, la régénération spontanée est impossible.
 La contusion nerveuse ou axonotmésis : la continuité macroscopique est conservée mais uniquement par les éléments conjonctifs, à l’intérieur des gaines intactes, la fibre nerveuse est détruite.
 La sidération nerveuse ou neuropraxie : ce sont des lésions microscopiques ne touchant pas la structure du nerf mais qui provoquent une interruption physiologique d’ailleurs souvent incomplète ; il n’y a pas de dégénérescence.

Fréquence :

L’expansion croissante du réseau routier, l’augmentation considérable des véhicules de tout genre constituent des risques supplémentaires pour les accidents de la voie publique.
Au cours de cette étude transversale prospective portant sur un mois d’activité du SAU de l’HPD, les patients victimes de traumatismes de la voie publique représentaient 10,66% de l’ensemble des patients reçus dans le service.
Cette fréquence était superposable à celle de Allode S A et al [19], au Benin en 2008 et à celle de Lacheheb M [20] en 2013 au Maroc qui avaient trouvé respectivement 13,09% et 4%.
Diango D et al [21] à Bamako au CHU Gabriel Tour é en 2009, avaient trouvé que les traumatismes par AVP représentaient 53,40% des admissions des urgences.

Caractéristiques socio – démographiques:

Tranche d’âge :

Il découle de cette étude que la tranche d’âge 15-29 ans était la plus concernée avec 68 cas soit 40,2% des cas. Ceci s’explique par l’insouciance des conducteurs d’engin à deux roues utilisé en majorité par cette tranche d’âge.
Nos résultats sont superposables à ceux de Diango D et al [21], Cissé A [22] et SOW AA [23] qui avait trouvé respectivement 43%, 39,67% et 37,8% de taux entre la tranche 15-29 ans, mais non superposables à ceux de Amadou K [24] qui avait obtenu un taux de 39,2% pour la tranche de 25-44 ans.

Sexe :

A l’issue de ce travail, nous avons noté une nette prédominance masculine avec 127 patients soit 75,1% des cas, ceci s’explique d’une part par le fait que l’instinct de conservation est beaucoup plus développé chez la femme et d’autre part, parce que l’homme occupe une grande place dans notre société du fait de l’étendue de ses activités par rapport à la femme. Cette prédominance masculine est retrouvée classiquement dans la littérature.
Le tableau ci-dessous représente la prédominance masculine selon les auteurs.

Profession :

Toutes les classes socio-professionnelles étaient plus ou moins retrouvées, par contre les élèves et les étudiants étaient les plus représentés avec 54 patients soit 32% ; cela pourrait s’expliquer d’une part par le fait que ces personnes sont les plus représentées dans la tranche d’âge la plus touchée par ce fléau , et d’autre part par le fait que l’étude s’est déroulée en pleine année scolaire, une période à laquelle ces personnes sont plus actives et donc leurs déplacements sont assez fréquents.
Ces résultats concordent avec ceux obtenus par Cissé A [22] et Sow A A [23] qui étaient respectivement de 20 et 24,06% d’élèves et étudiants, mais sont discordants avec ceux de Traoré M B à Bamako [25] qui avait retrouvé 30,34% pour la profession libérale.

Période de l’accident :

Les accidents étaient survenus plus fréquemment les jours ouvrables avec 63,9 % des cas. Cela s’explique par une forte augmentation des activités des populations.
Ce résultat est quelque peu superposable à ceux de Famakan M [30], qui retrouvait 24,5 %,

Heure de l’accident :

Cent huit (118) cas d’accidents avaient eu lieu entre 6 et 18 heures soit 69,8% des cas.
Cette fréquence élevée pourrait s’expliquer par le fait que la tranche d’heure 6- 18 heures correspond à la période de pleine activité. Beaucoup d’auteurs ont abordé le problème dans le même sens ; ainsi le bureau de la circulation et des transports urbains de Bamako [31] avait trouvé 76,89 % des accidents entre 6-18 heures ; Diarra A [36] avait trouvé 61,8 % entre 8 h et 17 h et Famakan M [30] 95,5 % entre 6 h et 18h.

Type d’usager victime d’accident :

Il ressort de notre étude que les motocyclistes représentaient une proportion très élevée parmi les accidentés soit 36,1 % des cas. Ceci pouvait s’expliquer par la vulnérabilité, l’augmentation vertigineuse des engins à deux roues et le non respect du code de la route.
Une étude faite au Mali par le bureau de régulation de la circulation routière et des transports urbains en 2002 avait trouvé 53,3 % des cas chez les conducteurs d’engins à deux roues [31].
Nos taux sont inférieurs à ceux de Setodji K [10] : 55,13 % mais cependant comparables à ceux de Traoré M B [25] et Sophie B [26] qui avaient trouvé respectivement 37% et 27,1 %.

Facteurs favorisants :

L’excès de vitesse était le facteur le plus souvent retrouvé dans 27,8%.
Les autres facteurs favorisants étaient: la méconnaissance du code de la route, l’état de dégradation des routes, l’état défectueux des moyens de déplacements, la fatigue des conducteurs, l’alcoolisme.
Ces mêmes facteurs ont été retrouvés par d’autres auteurs ;
Ainsi Tangara B S au Mali [9] avait trouvé que les causes d’accident étaient par ordre de fréquence décroissante.
– L’excès de vitesse 27 %
– La traversée imprudente de la chaussée 20,68 %
– Le déplacement défectueux 18,49 %
– Le refus de priorité 9,49 %
– L imprudence des conducteurs 7,5 %
– Les défaillances mécaniques apparentes 3,65 %
– La circulation à gauche 2,92 %
– Les manoeuvres dangereuses 2,68 %
– Les engagements imprudents 2,68 %
– Autres 2,20 %
– Les changements brusques de direction 2,19 %
– L’inobservation du panneau de stop 0,97 %.

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Table des matières

Objectifs
Première partie : généralités
1. Définitions
2. Causes des accidents de la route
3. Principaux facteurs de risque d’accidents de la route et de traumatisme
4. Lésions survenant au cours des accidents de circulation routière
Deuxième partie : notre travail
1. Patient et Méthode
1.1Cadre d’étude
1.1.1 Présentation du service
1.1.2 Personnel
1.1.3 Matériels techniques
1.2Type et durée de l’étude
1.3Critères d’inclusion
1.4Critères d’exclusion
1.5Recrutement
1.6Recueil des données
1.7Méthodologie
1.8 Paramètres étudiés
1.9Traitement des données
2. Résultats
2.1 Fréquence
2.2 Caractéristiques sociodémographiques des patients
2.3 Caractéristiques cliniques des patients
3. Discussion
3.1 Fréquence
3.2 Caractéristiques sociodémographiques des patients
3.3 Caractéristiques cliniques des patients
Conclusions
Recommandations
Références bibliographiques

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