Principales substances à activités biologiques potentielles

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Essais et dosages (Chimie)

Identification et dosage spécifique des principes actifs

Plusieurs auteurs ont étudié la composition chimique de la plante. Aux termes de ces recherches il est établi que le nebneb présente une forte teneur en tanin. KERHARO rapporte que la plante contiendrait jusqu’à 36% de tanins dans l’écorce de la racine. ADEWOYE R. O a trouvé 29,8% de tanins dans la gousse entière ; 50% de tanins dans la graine avec épicarpe ; 18% dans l’enveloppe des gousses et 2% de tanins dans les graines. DIABIRA a mis en évidence des tanins galliques et catéchiques dans le fruit SIDDHURAJU, quant à lui, s’est intéressé à la composition chimique des graines. Il a décèle une importante concentration en potassium, phosphore, magnésium fer et manganèse. Il a également trouvé des protéines brutes, des cendres ; des acides gras glycéridiques dont l’acide oléique et linoléique sont les prédominants. Ces résultats sont confirmés par TERRY DE et AGBAJI AS qui ont étudié la composition approximative et la composition minérale des graines.
La gomme arabique : la gomme retient environ 10 à 15% d’eau. La présence de tanins est notée chez les gommes colorées. Des enzymes (oxydases, peroxydases) sont présentes mais il n’y a pas d’amidon Le composant majoritaire est un polysaccharide acide qui existe combiné à l’état de sels (Ca, Mg, K) ce qui explique la teneur appréciable en matières minérales de la drogue brute [42].

Humidité – cendres

Dans les graines on retrouve une humidité de 40,0 g/kg et un taux de cendres de 50,0 g/kg.

Pharmacologie

Le foisonnement de propriétés thérapeutiques d’Acacia nilotica var adansonii découle de sa composition chimique en particulier sa forte teneur en tanins.
La propriété cicatrisante est la conséquence d’une action vasoconstrictrice des tanins sur les petits vaisseaux d’où l’emploi de la plante contre les hémorroïdes et les blessures superficielles.
L’action anti-diarrhéique de la plante résulte de la fixation des tanins sur la muqueuse intestinale avec comme conséquence une diminution de sa perméabilité.
L’activité antiparasitaire justifie l’utilisation du nebneb contre la dysenterie. Des études ont été menées sur l’activité antiplasmodique aux termes desquelles Acacia nilotica a montré une certaine efficacité vis-à-vis du Plasmodium falciparum et constitue de ce fait une source prometteuse dans la lutte contre le paludisme.
La poudre des fruits séchés possède des propriétés molluscicides prouvées. Cette action est obtenue en pulvérisant l’extrait éthéré ou la poudre de gousses dans les lacs contenant des mollusques. Elle s’exerce sur les hôtes intermédiaires des schistosomes.
La décoction de la poudre des gousses séchées de Acacia nilotica a révélé une efficacité comparable à celle du fluconazole sur la candidose bucco-œsophagienne. La posologie proposée est de 10 ml en bain de bouche après chaque repas pendant 15 jours suivi de 3 ml à avaler après chaque repas.
Acacia nilolita a une propriété hepatoprotectrice certaine. Le nebneb en stimulant la capacité du foie à transformer la bilirubine libre en bilirubine composée, revêt une activité anti-ictérique (ictère intra hépatique) [42].

Adansonia digitata

Identification botanique :

. Famille : Bombacaceae
. Nom vernaculaire : Wolof : gui (l’arbre), bui (le fruit, sa pulpe, sa farine [36].
. Parties utilisées : la pulpe du fruit mélangé avec de l’eau
. Origine géographiques
Il est irrégulièrement réparti au Sénégal. Il en existe de beaux peuplements aux environs de Dakar, de Thiès et dans la région de Kédougou. Ailleurs il se rencontre dans la plupart des villages et persiste lorsque les anciens rameaux ont disparu. Il est rare, même exceptionnel, dans les savanes boisées soudaniennes.
. Caractéristiques botaniques
Arbre au fut énorme, court atteignant 7 m de diamètre, mais dont la hauteur avec la cime ne dépasse pas 15 m, écorce lisse grise ou rougeâtre. Branches robustes généralement étalées. Feuilles composées digitées avec sept folioles longuement pétiolées entières ou légèrement denticulées, pubescentes surtout à la face inférieure.
Gros boutons floraux sphériques puis ovoïdes, pendants à l’extrémité d’un long pédoncule. Grandes fleurs blanches pendantes, larges de 8 à 10 cm à étamines nombreuses. Elles s’épanouissent le soir et la fécondation s’effectue surtout par les chauves-souris.
Fruits de formes diverses subsphériques ou ovoïdes pouvant atteindre 15 cm de long, ligneux à épicarpe verdâtre bronzé, velouté. Endocarpe fibreux plongé dans une pulpe farineuse à maturité. Nombreuses graines contenant une huile à utilisations variées [36].

Essai et dosage (Chimie )

Identification et dosage spécifique des principes actifs

La pulpe du fruit d’Adansonia digitata renferme principalement les vitamines A, B et C, des minéraux (calcium, phosphore), du mucilage, des protéines, de la cellulose et des tanins.
On y retrouve également des anthraquinones, de la saponine, de la pectine, des stérols et triterpènes, des acides aminés (sauf cystine et tryptophane), et des acides organiques (acide citrique, acide tartrique, acide malique, acide stéarique, acide linoléique, acide oléique, acide palmitique) [52].

Humidité – cendres :

Les feuilles d’Adansonia digitata examinées donnent une teneur en humidité entre 12 et 13%; es cendres totaux y représentent 7 à 9% [52].

Chromatographie sur couche mince :

L’analyse par chromatographie sur couche mince avec phase stationnaire : gel de silice (0,25 mm) montre après révélation la présence de quatre taches distinctes avec des valeurs de Rf de 0,68 (rose), 0,48 (violet), 0,42 (rose) et de 0,28 (rose) [52].

Pharmacologie :

Les différentes usages du baobab sont classés suivant les différentes parties de la plante : emménagogue ( fibres du fruit en décoction ), antiménorragique ( écorces ), antidiarrhéique (feuilles), antientéralgique et antidysentérique ( graines pilées en décoction, pulpe du fruit avec de l’eau, lalo per os ou en bains de sièges ), antianémique, antirachitique et tonique ( lalo ), antidote de la strophantine (écorces), béchique et antiasthmatique (lalo et fleurs), rafraichissant (pulpe du fruit avec de l’eau ou du lait), émollient (lalo), fébrifuge (écorces, lalo en tisanes, lotions chaudes de feuilles bouillies, antimaladies des voies urinaires (décocté de lalo per os), antiodontalgique (sève sur caries, pate de graines grillées sur partie malade ) [36].

Balanites aegyptiaca

Identification botanique :

. Famille : Balanitaceae
. Nom vernaculaire wolof : sump [30, 36].
. Parties utilisées : le décocté des fruits [36, 42].
. Origine géographiques :
Au Sénégal Balanites aegyptiaca est rencontée au niveau de la vallée du fleuve Sénégal, le Djiolof, le Cayor ou le Ferlo. Elle est également présente dans le fouladou et en basse Casamance à Kédougou [73, 30].
.Caractéristiques botaniques
Arbuste de 7 à 9 m de haut, Balanites aegyptiaca présente un tronc gris lisse à l’état jeune et qui devient gris-brun voir fortement crevassé avec l’âge.
Les rameaux sont verts, lisses au sommet, assez flexibles, ils présentent à la base des lenticelles grises.
Les branches portent des épines axillaires, isolées, droites prenant naissance à l’aisselle des feuilles ou au niveau des nœuds. Toujours dirigées vers l’avant, ces épines lisses de couleurs vertes qui ne porte ni fleurs ni feuilles présentent une pointe de couleur jaune. Leur taille peut dépasser 11 cm elles ne sont pas fourchues.
Les feuilles bilobées sont portées par un pétiole court ; elles sont de formes et de dimensions variables. Les folioles subsessiles ou portants des pétioles de 1mm environ ou peuvent être obovales ou orbiculaires-rhomboidales de couleur verte. Les nervures sont saillantes sur les deux faces pennées à cinq ou neuf paires secondaires, les nervures tertiaires sont effacées. Réticulées, coriaces, pubescentes, à l’état juvénile, les folioles deviennent glabres à l’état adulte.
Leurs tailles peuvent être comprises entre 2.5 et 5cm de long et 2.5 et 1.5cm de large.
Les fleurs se présentent en grappe, en fascicules ou en racème à l’aisselle des feuilles. Les diamètres de ces fleurs pentamères est de 1 à 1.7cm et elle porte 10 étamines. L’ovaire supère est entouré par un disque nectarifère.
Le fruit vert gris d’abord, puis jaunâtre à maturité est une drupe. Il mesure 2.5 à 4cm de long et environ 1.5cm de diamètre. Quand il est ridé, il est oblong-ellipsoide ceci est dû à l’espace laissée entre l’épicarpe et le mésocarpe. Le péricarpe du fruit comprend un épicarpe mince, un mésocarpe visqueux et comestible, un endocarpe sclérifié donnant une coque ligneuse dure. Dans cette coque se trouve une amande [48].

Essai et dosage

Identification et dosage spécifique des principes actifs

Les études phytochimiques de Balanites aegyptiaca ont révélées :
– Des alcaloïdes dont la N-transferuloyltyramine et la N-cisferuloyltyramine,
– Des flavonoïdes qui sont au nombre de sept :
La quercetine-3-O-glucoside
La quercetine-3-O-rutinoside
L’isorhamnétine-3-O-glucoside
L’isorhamnétine-3,7-O-diglucoside
L’isorhamnétine-3-O-rutinoside
L’isorhamnétine-3-O-rhamnogalactoside L’isorhamnétine-3-glucoside [30].

Humidité – Cendre

Les feuilles de Balanites aegyptiaca sont caractérisées par une humidité de 8.45% et un taux de cendre de 12.1% [52].

Chromatographie sur couche mince

L’analyse par chromatographie avec phase stationnaire : gel de silice ( 0,25mm ) montre après révélation la présence de trois taches distinctes avec des valeurs de Rf de 0,40 ( cendres ), 0,31 ( rose) et 0,027 (rose) [52].

Pharmacologie

Le macéré de racines et d’écorces à action purgative est un calmant très renommé pour les coliques.
Les sarakholés traitent les maux de ventre avec le macéré d’écorces de Balanites aegyptiaca, Securinega virosa et Scoparia dulcis. Le même traitement est appliqué pour combattre la stérilité, mais il est alors précédé pendant trois jours de l’absorption d’une solution de balanites seul. D’autres traitements de la stérilité, chez les Manding par exemple, font également appel à Balanites aegyptiaca associé à Zizyphus mauritiana et autres espèces bénéfiques.
En association encore avec Maytenus senegalensis, Bauhinia rufescens, Cocculus pendulus, Entada africana, Sclerocarya birrea, etc. Le décocté d’écorces de racines entre aussi dans des traitements toucouleur réputés de maladies mentales et de l’épilepsie. Le simple décocté d’écorces est vermifuge, mais on l’additionne souvent des écorces de Cordyla pinnala et des racines de Leptadenia hastata.
Les wolofs font entrer les extrémités des feuilles et les foliolules dans des compositions stimulantes. Ils attribuent aussi aux racines des propriétés antivenimeuses.
Les épines de soump sont utilisées dans le traitement antilèpreux.
En usage externe les fruits et l’huile riches en saponosides, donnent une embrocation antirhumatismale, tandis que les feuilles, aux dires du chef de village centenaire de Thille Boubacar (préfecture de Dagana ), serait le meilleur médicament contre le ‘’ fet’’ des wolof ou ‘’dianou’’ des peulh, maladie qui, d’après notre interprète, préposé du service de Eaux et Forêts, serait le charbon [36].

Combretum glutinosum

Identification botanique :

. Famille : combretaceae
. Nom vernaculaire Wolof : rat
. Parties utilisées : le décocté des feuilles
. Origine geographique
Ce petit arbre est très répandu, au Sénégal, dans la savane boisée, surtout dans les terres argileuses des plateaux latériques. Il existe partout sauf dans la forêt guinéenne de la Casamance maritime. Il forme des peuplements monospécifiques dans les dunes du Sahel (Djolof) et il est à la base de nombreux taillis culturaux (Sine, Saloum, Casamance, Tamba). Il résiste à la sécheresse et existe en Mauritanie avec 200 mm d’eau .
. Caractéristiques botaniques
Combretum glutinosum est un arbuste, ou petit arbre haut de 4 à 12m.
Les feuilles sont généralement verticillées par 4 ; elles peuvent être aussi opposées, ou même alternes.
Le limbe est coriace, de forme variable, généralement elliptique ou oblong, parfois largement obovale elliptique, long de 6 à 10 cm, large de 3 à 4 cm, à base arrondie ou en coin large, à sommet arrondi ou en coin obtus. Il a sept à dix nervures ordinairement très saillantes dessous, entre lesquelles se trouve un réseau réticulé très fin comprenant comme de petites aires déprimées, circonscrites par les mailles proéminentes du réseau de nervilles.
Le pétiole est long de 5 à 10 mm, gris tomenteux, de même que les rameaux. Les inflorescences en épis axillaires ou venant avant les feuilles, sont longs de 4 à 6 cm, formés de petites fleurs jaune- verdâtre.
Les fruits sont longs de 25 à 30 mm, larges de 25 mm, à 4 ailes, glabres, ou un peu pubescents sur la partie centrale, entre les ailes [49].

Essais et dosages (Chimie)

Selon Daffe, (1973) les principaux constituants chimiques de C. glutinosum se trouvent dans sa feuille. On y retrouve quatre hétérosides flavoniques, des sucres, du leucocyanidol, du leucodelphidinol, des acides phénols (gallique, ellagique, férulique), des tanins condensées. Parmi les tanins condensés, on peut citer la combreglutinine, le 2, 3-(S) hexahydroxy diphénoyl-D- glucose, la punicaline et la punicalgine [49].

Pharmacologie

On distingue principalement trois activités thérapeutiques de Combretum glutinosum :
-Activité diurétique et hypotensive : Une importante étude clinique portant sur les différentes indications thérapeutiques signalées sur cette espèce a été effectué à Dakar par le Docteur BLATT cité par KERHARO (1974). L’expérimentation réalisée avec le décocté aqueux de feuilles de C. glutinosum (5 feuilles pour 1litre d’eau) a mis en évidence une action diurétique et hypotenseur d’appoint très intéressante.
-Activité anti-spasmodique de Combretum glutinosum a été testé par Ngaba et al, (1982).
Les essais effectués sur le duodénum isolé de rat ont montré une activité antispasmodique nette vis-à-vis des contractions obtenues soit par l’acétylcholine, soit par le chlorure de baryum.
-Activité antipaludique : l’utilisation traditionnelle de Combretum glutinosum dans le traitement de la fièvre, l’ictère, l’an mie qui sont les symptômes du paludisme, serait ainsi justifiée l’activité antipaludique de cette plante [49].

Combretum micrantum

Identification botanique

. Famille : combretaceae
. Nom vernaculaire Wolof: séxéw
. Parties utilisées : le décocté des feuilles
. Origine géographiques
Répandu partout au Sénégal sur les cuirasses latéritiques : très reconnaissable à son joli feuillage vert clair, au milieu des Guiera, au début des pluies ; et plus tard, en autonome, à ses feuillages rougissant et prenant une couleur rouille.
En Casamance, dans des forets humides des environs d’Oussouye, on peut le rencontrer sous formes de grande liane à tronc de 15cm, et s’ levant jusqu’à 10 et 15m de hauteur dans les arbres voisins.
. Caractéristiques botaniques
C’est un petit arbuste buissonnant, haut de 2 à 5m.
Ses feuilles illustrées par la figure 6, sont opposées par deux, l’extrémité des rameaux ayant facilement une tendance volubile. Le Limbe est elliptique et long de 5 à 8 cm, large de 25 à 50 mm (limbe parfois elliptique allongée et 2 fois plus long que large). La base est en coin ou arrondie, le sommet en coin ou parfois atténué en pointe avec 6 nervures latérales ayant, en général, une petite
touffe de poils l’aisselle, sous le limbe. Les nervures tertiaires sont fines et parallèles entre elles. Les surfaces sont glabres, en général, mais le dessous
lenticellé d’écailles blanches très fines. Le pétiole est court et mesure 5 à 10 mm, généralement glabre, parfois finement lenticellé de blanc, de même que les très jeunes pousses.
Les fleurs sont en épis fasciculés, quand la plante est défeuillée, ou avec les premières feuilles. Les épis sont courts, ne dépassant guère 2 à 3 cm parfois jusqu’à 4 cm, au moment de l’ouverture des futurs fleurs. Les fleurs sont petites, blanches et munies de pédicelles mesurant environ 1mm de long
Les fruits: ils sont à 4 ailes sont glabres, longs et larges de 15 mm, facilement un peu moins larges que longs [49].

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE: GENERALITES SUR LES PLANTES MEDICINALES
A. LES PLANTES MEDICINALES
I. Définition
II. Technique de récolte des plantes médicinales
II.1. Les organes souterrains ou racines et rhizomes
II.2. Les écorces de tronc et de branches
II.3. Le bois
II.4. Les feuilles ou tiges herbacées
II.6. Les fleurs
II.7. Les fruits
B.8. Les graines
II.9. Les produits bruts retires des végétaux
II.10. Les procédés de fabrication
II.10.1. Les plantes fraiches
II.10.2 – Les plantes séchées
III. Principales substances à activités biologiques potentielles
III.1. Les métabolites primaires
III.2. Les métabolites secondaires
III.2.1. Composés phénoliques ou polyphénoliques
III.2.2. Phénols et acides-phénols
III.2.3. Coumarines
III.2.3.1. Lignâmes
III.2.3.2. Dérivés propaniques
III.2.3.3. Flavonoïdes
III.2.3.4. Tanins
III.2.4. Terpènes et stéroïdes
III.2.4.1. Des monoterpènes
III.2.4.2. Des sesquiterpènes
III.2.4.3. Des diterpènes
III.2.4.4. Des triterpènes
III.2.5. Alcaloïdes
B. LA PHYTOTHERAPIE
I. Définition
II. Médicaments à base de plantes
DEUXIEME PARTIE
I. CADRE ET METHODOLOGIE DE L’ETUDE
I.1. Cadre d’étude
I.2. Méthodologie de recherche
II. COLLECTE DE DONNEES
III. Analyse des données
IV. RESULTATS
IV. 1. Plantes médicinales sélectionnées
IV.2. Essai d’une pharmacopée traditionnelle
IV.2.1. Acacia nilotica
IV.2.1.1 – Identification botanique :
IV.2.1.2. Essais et dosages (Chimie)
IV.2.1.2.1. Identification et dosage spécifique des principes actifs
IV.2.1.2.2. Humidité – cendres
IV.2.1.3. Pharmacologie
IV.2.2. Adansonia digitata
IV.2.2.1. Identification botanique :
IV.2.2.2. Essai et dosage (Chimie )
IV.2.2.2.1. Identification et dosage spécifique des principes actifs
IV.2.2.2.2. Humidité – cendres :
IV.2.2.2.3. Chromatographie sur couche mince :
IV.2.2.3. Pharmacologie :
IV.2.3. Balanites aegyptiaca
IV.2.3.1. Identification botanique :
IV.2.3.2. Essai et dosage
IV.2.3.2.1. Identification et dosage spécifique des principes actifs
IV.2.3.2.2. Humidité – Cendre
IV.2.3.2.3. Chromatographie sur couche mince
IV.2.3.3. Pharmacologie
IV.2.4. Combretum glutinosum
IV.2.4.1. Identification botanique :
IV.2.4.2. Essais et dosages (Chimie)
IV.2.4.3. Pharmacologie
IV.2.5. Combretum micrantum
IV.2.5.1. Identification botanique
IV.2.5.2. Essai et dosage (Chimie)
IV.2.6. Guiera senegalensis
IV.2.6.1. Identification botanique :
IV.2.6.2. Essais et dosages
IV.2.6.2.1. Identification et dosage spécifique des principes actifs
IV.2.6.2.2. Humidité – cendre
IV.2.6.2.3. Chromatographie sur couche mince
IV.2.6.3. Pharmacologie
IV.2.7. Hibiscus sabdariffa
IV.2.7.1. Identification botanique :
IV.2.7.2. Essais et dosages (Chimie)
IV.2.7.3. Pharmacologie
IV.2.8. Khaya senegalensis
IV.2.8.1. Identification botanique :
IV.2.8.2. Essais et dosages
IV.2.8.2.1. Identification et dosage spécifique des principes actifs
IV.2.8.2.2. Humidité – cendres
IV.2.8.2.3. Chromatographie sur couche mince
IV.2.8.3. Pharmacologie
IV.2.9. Moringa oleifera
IV.2.9.2. Essais et dosages
IV.2.9.2.1. Identification et dosage spécifique des principes actifs
IV.2.9.2.2.Humidite – cendres
IV.2.9.2.3. Chromatographie sur couche mince
IV.2.10. Psidium guajava
IV.2.10.1. Identification botanique :
IV.2.10.2. Essaie et dosage
IV.2.10.2.1. Identification et dosage spécifique des principes actifs
IV.2.10.2.2. Humidité – cendres
IV.2.10.3. Pharmacologie
IV.2.11. Vernonia colorata
IV.2.11.1. Identification botanique :
IV.2.11.2. Essai et dosage
IV.2.11.2.1. Identification et dosage spécifique des principes actifs
IV.2.11.2.2. Chromatographie sur couche mince
IV.2.11.3. Pharmacologie
V. DISCUSSION
V.2. Adansonia digitata
V.3. Balanites aegyptiaca
V.4. Combretum glutinosum
V.5. Combretum micrantum
V.6. Guiera senegalensis
V.7. Hibiscus sabdariifa
V.8. Khaya senegalensis
V.9. Moringa oleifera
V.10. Psidium guajava
11.1. Vernonia colorata
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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