Principales sources du stress dans la profession du chirurgien-dentiste

Généralités sur le stress

Définition

Selye définit le stress comme étant une réaction neurophysiologique d’un organisme face à une agression ou une menace.
Dans le langage, courant le stress correspond à des situations éprouvantes qui imposent à l’organisme des efforts d’adaptation qui sont à la limite ou dépassent les capacités de l’individu. Cependant, l’intensité montante du stress peut aboutir à des états pathologiques.
L’une des caractéristiques du stress est d’être dépourvue de spécificité. Les réactions physiologiques sont identiques, qu’il s’agisse de facteurs physiques (froid ou chaleur excessifs, lumière intense ou très faible, bruits etc.) ou émotionnels (chocs émotionnels, tâches complexes, situations d’imprévisibilité, menaces vitales).
Le stress ne correspond pas uniquement aux tensions et aux soucis, il constitue un élément de vie, avec ses hauts et ses bas. Le stress désigne tout autant la réaction neurophysiologique que l’agent causal. On peut leconsidérer sous un triple point de vue :

Le stress en tant que stimulus

On trouve dans cette catégorie les situations éprouvantes et désagréables qui induisent le stress. Elles concernent principalement l’influence de l’environnement. De nombreux et différents facteurs peuvent entrer en jeu (lieu d’activité professionnel et sportif, bruit ambiant, froid ou chaleur excessif, recherche de travail, activités monotones, impression d’isolement, conduite dans un trafic embouteillé).
Mais il faut tenir compte du fait que chaque individu a son propre seuil d’interprétation et de réactivité sous l’influence de ces facteurs agressifs.

Le stress en tant que réponse

Il s’agit d’une conception physiologique de défense selon Hans Selye, connue sous la dénomination de « Syndrome général d’adaptation ». La réponse au stress est un mécanisme programmé qui entre en jeu chaque fois que l’agression se fait jour. C’est une réaction de défense qui a une fonction de protection et d’adaptation. Elle se produit quelle que soit la nature du stress et agit en général dans notre propre intérêt.
Selon Hans Selye, le stress est une réponse non spécifique de l’organisme à n’importe quelle pression ou demande de l’environnement. Il correspond aussi à l’état d’un organisme dont l’équilibre est menacé et qui ne voit pas de réponse immédiate pour écarter cette menace, soit par l’attaque, soit par la fuite. Il s’agit d’une réaction défensive d’alarme qui évolue en trois phases.

Le stress en tant que perception d’une menace

C’est le stress psychologique où l’agent stressant est interprété comme une menace. Certaines situations ou objectifs nous paraissent menaçant parce que nous les interprétons comme tels plutôt que par suite de leurs qualités propres. La réponse de stress n’apparait que si le sujet appréhende subjectivement la situation comme une menace et qu’il se sent incapable d’y faire face. Bien entendu le degré de stress est principalement en relation avec la signification pour l’individu des éléments en présence à un moment donné ainsi que ses modalités émotionnelles à cet instant. Il apparait donc que la réaction d’adaptation d’un individu à un agent stressant est déterminée par :
 L’évaluation de l’évènement stressant
 Les conséquences de cet évènement sur la vie de l’individu (3).

Epidémiologie 

Selon l’OMS, près de 450 millions de personnes seraient directement concernées par le stress dans le monde. En France, on estime ce chiffre à 4 millions, soit près d’une personne sur 15.
Entre 23000 et 36000 décès par an seraient dus au stress en France.
Une enquête à l’échelle européenne a révélé que pour 17% des Européens, le stress était considéré comme le facteur de risque le plus important pour la santé, à égalité avec le tabac (4).
L’échelle des évènements de la vie, de Holmes et Rahe (1967), tente de « chiffrer » le stress causé par différentes situations selon deux types d’échelle :
– L’échelle des stress négatifs
 Mort du conjoint = 100
 Divorce = 75
 Perte d’emploi = 70
 Mort d’un proche = 60
 Licenciement = 60
 Retraite = 45
 Grossesse = 39
 Problèmes financiers = 35
– L’échelle des stress positifs :
 Bien s’entendre avec son conjoint = 76,3
 Bien s’entendre avec ses amis = 74,4
 Se sentir en bonne santé = 72,2
 Bien dormir = 69,7
 Bien manger = 68,4
 Se sentir bien chez soi = 65,6
En ce qui concerne la chirurgie dentaire, on la retrouve parmi les professions de santé les plus stressantes avec un pourcentage de 43% (enquête réalisée sur la santé dans les collectivités de la société canadienne en 2003). D’autres études l’ont classé en tête de liste des métiers les plus stressants (1).

Causes

Parmi les causes, on cite :
– le choc émotionnel (deuil, etc.),
– le travail (surcharge, burn-out (syndrome d’épuisement professionnel), mobbing (harcèlement professionnel), examen, etc.),
– les problèmes psychologiques (sentimental, dépression, et.).
– le sommeil difficile (installation d’un cercle vicieux),
– la dépendance à des produits : café, alcool, tabac, drogues.

Les Signe de stress 

Plusieurs signes peuvent être évoqués

Signes physiques

Ce sont :
– les tensions musculaires,
– les maux de tête,
– la fatigue,
– les troubles de sommeil ou de l’appétit,
– et la douleur ulcéreuse

Signes psychiques

Ce sont :
-le manque de concentration,
– les difficultés de mémorisation,
– l’indécision et leserreurs répétées.

Signes comportementaux

Ils sont à type :
– d’augmentation ou de diminution de l’appétit,
– de consommation d’excitants, d’alcool, de tabac et de médicaments en excès,
– et de bruxisme.

Le système hormonal

L’aménorrhée par blocage ovulatoire peut être constatée chez la sportive.

Participation psychique

La répétition des stress provoque des décharges d’adrénaline, avec augmentation de la vigilance diffuse. Le sujet présente une hyperexcitabilité, il devient hyperactif, avec des réactions précipitées, promptes et excessives, explosives et inadaptées. On peut assister à des réflexes de fuite, descrises d’agitations ou bien à une attitude figée. La vievégétative est perturbée. Si cet état persiste, par répétition des stress, peuà peu l’état d’hyperexcitabilité va faire place à un abandon de l’excès tonique, ouvrant la voie à la dépression. Le sujet perd une partie de ses motivations, le pessimisme s’empare de lui. Il devient inquiet. Deuxième chapitre : Stress au cabinet dentaire

Stress chez le chirurgien-dentiste

Introduction

L’exercice de la profession dentaire comporte des caractéristiques qui sont des facteurs de stress et de tension surtout par leur répétition [7].

Principales sources du stress dans la profession du chirurgien-dentiste

Une phrase de MONDRAGON [8] résume bien les caractéristiques dangereuses liées au métier du chirurgien-dentiste << cet effort positionnel, cette attention manuelle et visuelle, ce contrôle gestuel et instrumental, associés aux réactions du patient lui-même qui peut être contracté, en défense aboutit à une tension singulière elle-même à la longue devient facteur de stress, desurmenage voire de dépression >>.
Il est important de retenir qu’il y a plusieurs catégories de facteurs de stress, que leurs actions s’additionnent, s’interfèrent et que leurs effets sont ressentis plus ou moins gravement et différemment selon la personnalité de chaque praticien. D’où la nécessité de faire l’inventaire de tout ce qui, dans le contexte odontologique, peut être source de stress et de fatigue nerveuse [9].

Organisation

L’organisation est un facteur qu’il faut prendre en compte en matière de stress. Une mauvaise disposition des locaux, une mauvaise organisation des équipements et un rangement du matériel dispensé du sens de l’ergonomie; occasionnent une fréquence élevée de gestes et de positions inutiles, des déplacements importants et répétés dans la salle de soin,entre celle-ci et la salle d’attente et la réception, entraînant ainsi une pertede temps, des états d’irritabilité et de nervosité.

Source matérielle

Le chirurgien-dentiste, contrairement à d’autres types d’exercices professionnels et médicaux, passe presque toutes ses heures de travail à l’intérieur de son cabinet. Pour lui, son cabinet est son second domicile. La durée moyenne de son activité est de 4 à 6 jours par semaine, soit 30 à 50 heures de temps opératoire. Durant ce temps, il est soumis à des conditions de travail particulières. Il lui est indispensable d’utiliser d’une part, l’éclairage artificiel quelle que soit l’heure de la journée, et d’autre part, des instruments générateurs de bruit (tels que la sonnerie de l’entrée ou du téléphone, le sifflement de la turbine, le ronflement du compresseur, l’aspiration, les détartreurs, etc.) pour exercer son activité quotidienne. Ainsi, l’odontologiste est sujet à des pathologies oculaires et auditives spécifiques. Ces pathologies ne sont pas à négliger car l’œil et l’oreille sont des organes sensoriels indispensables à notre vie de relation et leur atteinte entraîne de véritables handicaps qui, très rapidement,perturberaient ou empêcheraient l’exercice professionnel. D’où la constatation que si l’intensité des sons et de la lumière n’estpas adéquateet bien calculée, ils seront à cet instant des générateurs de stress [10 – 12].

Posture de travail

Au cours de l’exécution du travail, le praticien est confronté à des difficultés physiques, il exerce un travail statique, où les physiologistes ont démontré que ce travail est plus épuisant que le travail dynamique. De plus, la position debout exige une dépense énergétique supplémentairepour maintenir la tête, la colonne vertébrale et les membres inférieurs. Les positions non antalgiques provoquent des dorsalgies et des problèmesrachidiens qui affectent la vie du praticien [8, 13].

Aspects pratiques de la vie quotidienne au cabinet

Le chirurgien-dentiste est confronté dans le cadre de son exercice à la pression due aux actes qui demandent une attention, une précisiongestuelle et donc visuelle qui augmentent selon l’importance de ces acteset de leur gravité en cas d’échec. La charge devient encore plus lourde lorsde l’utilisation de matériaux ou d’instruments dangereux.

Justification de l’étude

Le stress est un problème de santé publique

La pratique odontologique a été classée par l’OMS comme étant un exercice stressant. La pratique privée au Sénégal indépendant que depuis 1960 est très récente. Les vicissitudes de la vie de nos jours aggravées par la crise économique mondiale sont une source potentielle de stress pour le chirurgien-dentiste. C’est dans ce contexte que nous avons mené cette étude pilote épidémiologique de type transversal sur une population des praticiens du secteur privé exerçant à Dakar.

Objectifs

On distingue deux objectifs.
L’objectif principal de ce travail est d’évaluer la prévalence de chirurgiens dentistes stressés.
L’objectif secondaire est de relever les moyens utilisés par les chirurgiens dentistes pour gérer ce stress.

Matériel et méthode

Type d’enquête

Il s’agit d’une enquête pilote épidémiologique, descriptive de type transversal.

Population d’étude

Elle concernait les chirurgiens dentistes exerçant dans le secteur privé à Dakar.

Critère d’inclusion

Etait inclus dans cette étude tout praticien ayant un diplôme de doctorat en chirurgie dentaire. Le praticien devait être installé à Dakar.

Critère de non inclusion

N’était pas inclus dans l’étude tout chirurgien dentiste exerçant dans le secteur privé mais n’étant pas propriétaire du cabinet dentaire.

Critères d’exclusion

Etait exclu de l’analyse toute fiche d’enquête non remplie par le praticien.

Taille de l’échantillon

Etant une étude pilote, la taille d’échantillon a été fixé à 80 chirurgien dentistes exerçant dans le secteur privé.

Cadre et durée d’étude

L’enquête a été effectuée auprès de 80 chirurgiens-dentistes exerçant à Dakar. Le choix de cette région fréquemment sollicitée par différents sujets d’étude compte tenu de sa proximité de la faculté de médecine de pharmacie et d’odontostomatologie Cheikh Anta Diop.
L’enquête a été effectuée durant la période du 09 au 27 juillet 2012.

Procédure de collecte des données

Il s’agit d’un questionnaire auto-administré.
Le questionnaire était laissé au chirurgien dentiste après lui avoir exposé les objectifs de l’étude. Un rendez-vous était fixé de commun accord pour la récupération du questionnaire dûment rempli par le praticien.
Le questionnaire était composé de deux parties.
 La première partie renseigne sur les caractéristiques sociodémographiques du praticien. Ces caractéristiques sont :
 Le sexe
C’est une variable qualitative dichotomique : sexe masculin ou sexe féminin
 L’âge
Il s’agit d’une variable quantitative. La moyenne et l’écart type seront calculés. Elle sera ensuite transformée en variable qualitative par classe d’âge.
 Situation matrimoniale C’est aussi une variable qualitative dichotomique : célibataire ou marié
 Durée d’exercice
Il s’agit d’une variable quantitative. Elle a été transformée en variable qualitative par classe de durée d’exercice de 5 ans d’intervalle.
 La deuxième partie concerne l’évaluation du stress et les moyens utilisés par le praticien pour gérer ce stress.
Une série de questions orientées pour évaluer l’état de stress du praticien sont proposées. La dernière concerne les moyens utilisés poursoulager ce stress (voir questionnaire en annexe)

Plan d’analyse des données

Le logiciel Stata version 10 pour Windows a été utilisé pour l’analyse des données recueillies. Pour les variables quantitatives, la moyenne et l’écart-type à la moyenne ont été calculés. Pour les variables qualitatives, les proportions ont pu ainsi être calculées. Le test de Student appliqué aux variables quantitatives et le test du Chi carré de Pearson (lorsque les effectifs théoriques sont supérieurs à 5) ou le test du Chi carré de Fisher (lorsque les effectifs théoriques sont inférieurs à 5) appliqué aux variables qualitatives nous ont permis de faire les comparaison entre les variables.
Pour tous les tests utilisés, le seuil de significativité était fixé à p<0,05.
Est considéré comme stressé tout praticien ayant répondu par :
– L’affirmative à la question « Pensez-vous que la profession de médecine dentaire est stressante ? »
– L’affirmative aux questions « Présenter-vous des signes de lassitude et de fatigue ? » et « Ressentez-vous des signes d’épuisement».
– La négative à la question « Si vous ressentez cet épuisement, peut-il avoir d’autres causes qui ne sont pas liées à l’exercice dentaire ».
Les graphiques ont été réalisés grâce au logiciel Excel.

Stress et durée d’exercice

Un peu plus de 80% des praticiens stressés avaient une durée d’exercice comprise entre 0 et 5 ans, 94.73% avaient une durée d’exercice entre 5 et 10 ans, et 100% avaient une durée d’exercice entre 10 et 15 ans. Seuls 44.44% des praticiens stressés avaient une durée d’exercice entre 15 et 20 ans, contre 0% pour une durée d’exercice de plus de 20 ans avec p=0,00.

Discussion

Limites méthodologiques et contraintes

Cette étude est une étude pilote. La taille de l’échantillon n’a pas été calculée. Au cours de l’enquête nombre de chirurgiens-dentistes étaient en vacances. Il a été noté aussi un retard de remise du questionnaire rempli. Il faut signaler la difficulté de certains praticiens à remettre le questionnaire complet (par manque de temps ou problème d’anonymat).
Le taux de réponse a été de 75% (60 praticiens sur 80).

Caractéristiques sociodémographiques

La population d’étude avait une moyenne d’âge de 41 ans avec un écart type de 9 ans. Cette moyenne se justifie d’avoir par l’âge de soutenance de la thèse de chirurgie dentaire (autour de 30 ans) et une installation dans le privé un peu tardive avec une première expérience en pratique publique.
Les hommes sont plus représentatifs. Cela peut s’expliquer par une masculinisation de la profession de chirurgien dentiste. Mais de plus en plus avec la politique du maintien des filles dans les filières scientifiques, la profession se féminise avec une association des femmes chirurgiens dentistes très dynamique dans les actions sociales.
La chirurgie dentaire étant une activité lucrative, elle ne s’oppose pas à une union maritale. Ce qui explique cette forte proportion de chirurgiens dentistes mariés comme étant un signe de bien être social. Il ressort également dans cette étude que les hommes mariés étaient plusimportants que les femmes mariées mais cette différence n’est passtatistiquement significative (p=0,35).

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Table des matières
1. INTRODUCTION 
PREMIERE PARTIE 
PREMIER CHAPITRE : GENERALITES SUR LE STRESS 
1.1. DEFINITION
1.2. EPIDEMIOLOGIE
1.3. CAUSES
1.4. LES SIGNE DE STRESS
1.4.1. SIGNES PHYSIQUES
1.4.2. SIGNES PSYCHIQUES
1.4.3. SIGNES COMPORTEMENTAUX
1.4.4. SIGNES EMOTIONNELS
1.5. PHYSIOPATHOLOGIE [
DEUXIEME CHAPITRE : STRESS AU CABINET DENTAIRE 
2.1 STRESS CHEZ LE CHIRURGIEN-DENTISTE
2.1.1 INTRODUCTION
2.1.2 PRINCIPALES SOURCES DU STRESS DANS LA PROFESSION DU CHIRURGIEN-DENTISTE
2.1.2.1. Organisation
2.1.2.2 Source matérielle
2.1.2.3. Posture de travail
2.1.2.4. Aspects pratiques de la vie quotidienne au cabinet
2.1.2.5 Les patients
2.1.2.6. Le praticien
2.1.3 REPERCUSSION DU STRESS SUR LA SANTE DU CHIRURGIEN-DENTISTE
2.1.3.1 Douleurs musculaires et douleurs de la posture
2.1.3.2 Troubles cardiovasculaires
2.1.3.3 Troubles oculaires
2.1.3.4 Troubles neuropsychiques
2.1.3.5 Dermites
2.1.3.6 Infection par contagion
DEUXIEME PARTIE : L’ENQUETE 
2.1. JUSTIFICATION DE L’ETUDE 
2.2. OBJECTIFS
2.3 MATERIEL ET METHODE 
2.3.1. TYPE D’ENQUETE
2.3.2. POPULATION D’ETUDE
2.3.2.1. Critères d’inclusion
2.3.2.2 Critères de non inclusion
2.3.2.3. Critères d’exclusion
2.3.3. TAILLE DE L’ECHANTILLON
2.3.4. CADRE ET DUREE D’ETUDE
2.3.5. PROCEDURE DE COLLECTE DES DONNEES
2.3.6. PLAN D’ANALYSE DES DONNEES
2.4. RESULTATS 
2.4.1 CARACTERISTIQUES SOCIODEMOGRAPHIQUES
2.4.1.1 L’âge
2.4.1.2 Le sexe
2.4.1.3. Répartition selon le statut matrimonial
2.4.1.4. Répartition de la population selon le sexe et le statut matrimonial
2.4.1.5. Répartition de la population selon la durée d’exercice
2.4.2. AVIS DES PRATICIENS SUR LA PROFESSION DE CHIRURGIEN DENTISTE
2.4.3. PREVALENCE DE PRATICIENS STRESSES
2.4.4. ETUDE DE L’ASSOCIATION
2.4.4.1. Stress et tranche d’âge
2.4.4.1. Stress et sexe
2.4.4.2 Stress et statut matrimonial
2.4.4.3. Stress et durée d’exercice
2.4.5. MOYENS DE GESTION DU STRESS
2.5. DISCUSSION 
2.5.1. LIMITES METHODOLOGIQUES ET CONTRAINTES
2.5.2. CARACTERISTIQUES SOCIODEMOGRAPHIQUES
2.6. CONCLUSION 
2.7. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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