Principales pathologies rencontrées chez les asins

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Races asines rencontrées au Sénégal

Le cheptel asin comporte six races en zone soudano-sahélienne (DOUTRESSOULE, 1947). Il s’agit de l’âne de l’Aïr ; l’âne de Mauritanie ; l’âne du Sahel ; l’âne de Minianka ; l’âne du Gourma et l’âne du Yatenga. Présentement nous ne sommes pas à mesure de confirmer la présence de ses six races sur le territoire Sénégal (SENEGAL, 2003); une étude récente a permis d’établir une caractérisation phénotypique qui suggérerait une homogénéité des races d’ânes du Sénégal et une distribution des ânes selon les zones agro-pastorales. Cependant cette homogénéité confirmerait la présence d’une seule race (ROAMBA, 2014). Par la même occasion d’un point de vue phénotypique, le même auteur affirme la présence de deux couleurs de robe dominantes au Sénégal, la grise dont les nuances varient du clair au foncé (69%) et la baie variant également du clair au foncé (30,9%). Aussi quelques ânes hybrides sont rencontrés au Sénégal.

Modes d’élevage asin au Sénégal

Au Sénégal, l’élevage de l’âne se fait sous sa forme traditionnelle en raison des contraintes sociales qui pèsent sur cette espèce. L’élevage des asins au Sénégal est de type sédentaire. La plupart de ces animaux sont en divagation permanente, c’est-à-dire qu’ils sont en liberté totale, cherchent eux même leur nourriture et sont récupérés au besoin du travail ponctuel (figure 2). Aussi les animaux peuvent dans certains cas être en stabulation, c’est-à-dire isolés (fréquemment les mâles) entravés d’une patte au moyen d’une corde reliant le paturon à un morceau de bois ou un piquet solidement planté dans le sol en vue de limiter le mouvement de l’animal ou des animaux (figure 3 p7). Les sujets entravés ne doivent sortir de là que pour effectuer un travail (transport d’eau, de céréales, de bois, de fourrages, etc.). Ils y reçoivent aliments et eau indispensables à leurs besoins (OUMSONRE, 1987).

Importance de l’élevage asin au Sénégal

L’âne joue divers rôles importants au Sénégal : cette importance est notamment économique, culturelle, sociale etc.

Importance socioculturelle

L’âne contribue efficacement à l’amélioration des conditions de travail de la femme en l’aidant dans ses tâches domestiques dures et longues comme le portage de l’eau et du bois sur de longues distances. La contribution des ânes laisse aux femmes davantage de temps pour gagner de l’argent et participer à la vie de leur communauté. La plupart des chevaux et des ânes de trait appartiennent à des gens qui s’en servent pour supporter leur revenu primaire et ainsi nourrir des familles souvent nombreuses et élargies. L’importance de ces animaux croît régulièrement dans les pays en voie de développement car ils allègent la pauvreté, assurent la sécurité alimentaire et renforcent l’autonomie. Dans les nations en voie de développement qui comptent 95% des ânes et 60% des chevaux du monde, l’argent gagné par chaque animal de trait supporte en moyenne une famille de six membres. (THE BROOKE, 2010).

Importance économique

Les ânes représentent une source d’énergie sous-estimée dans une grande partie du monde. Leur capacité au travail est très élevée et leur contribution aux tâches des ménages, voire à l’économie nationale, est considérable. Généralement, le prix d’achat et de vente des ânes est nettement inférieur à leur valeur réelle, qui devrait être calculée en fonction du travail qu’ils fournissent pendant 14 ans, s’ils sont bien traités. (OUDMAN, 2001).
L’âne joue un rôle économique important du fait de son implication dans diverses activités. L’âne est aussi source de revenu bien que la valeur marchande de l’âne vivant est faible. Une fois abattue la chair de l’âne est vendue et les produits issus de l’âne sont aussi valorisés à affirmer NDAO interrogé par ANDRIANTSOAVINA (2015).

Transport

L’âne est une bonne bête de somme : Il se déplace facilement sur des sentiers étroits dans des terrains montagneux et abrupts (OUDMAN, 2001). C’est la raison pour laquelle il est utilisé pour le transport des humains et de marchandises, aussi bien dans le milieu urbain que dans le milieu rural. Dans le milieu urbain l’âne est très peu, voire pas utilisé dans le transport des humains, mais est essentiellement orienté dans le transport de marchandises et d’ordures. Cependant dans le milieu rural, les asins sont employés pour divers travaux, parmi lesquels on peut citer le transport d’eau potable, de matériaux de construction, de bois de chauffe, de céréales, de foin, de produits maraîchers, les ordures, etc. Ces transports peuvent s’effectuer parfois sur de longues distances (15- 20 kilomètres). (ROAMBA, 2014). (Figure 4)

Culture attelée

Les chevaux ont été avec les ânes, les premiers animaux de l’ère de la mécanisation agricole au Sénégal. Avec le matériel composé de semoirs, de houes mono rang et de charrettes, ces animaux ont permis de constituer des unités de “traction légère”. (FAYE, 1988). Selon HAVARD (2007), plus de 90% des exploitations agricoles sont équipées de tractions équines ou asines (figure 5). L’âne serait, l’animal qui développe plus d’effort à la traction par rapport à son poids, 1/5 à 1/6 de son poids que tous les animaux employés à cet effet. Un âne de 150 kg fournit en moyenne le même effort qu’un bœuf de 260 kg (BERE, 1981). Les superficies cultivées augmentent au profit de la culture de rente (riz, arachide et coton etc.) au Sénégal (CASSE et al., 1965).

Production de viande et de lait

Les considérations religieuses au Sénégal font que la viande d’âne n’est pas trop prisée. Selon KABORET (1984), la viande d’âne n’est exceptionnellement consommée au Sénégal qu’au cours des initiations mystiques. Au Burkina-Faso la viande d’âne est une excellente source de protéine animale. La viande d’âne commercialisée provient essentiellement des animaux malades ou épuisés par une surexploitation dans les villages de la zone semi-aride (BLENCH, 1993). Si pour des raisons religieuses le Sénégalais ne s’intéresse pas à la viande d’âne tel n’est pas le cas des chinois vivant au Sénégal qui seraient des grands consommateurs de la viande d’âne. D’importantes tonnes de viande d’âne ont été saisies à l’abattoir de Dakar selon Diallo l’inspecteur chef de service du département de l’élevage de Dakar interviewé par la presse (SENEWEB.com, 2016) en 2016.
Le lait d’ânesse, autrefois, était un aliment très recherché et utilisé dans la pharmacopée traditionnelle. Il serait un antidote contre les intoxications au soufre, à la ciguë. Le lait d’ânesse serait un médicament miracle contre la goutte (ROSSIE, 1995). Donné avant ou après le repas, il améliore l’appétit des enfants chétifs, des malades ou les personnes âgées (MICHAEL et JANE, 2006). Le lait d’ânesse est aujourd’hui utilisé pour la production de savons (TAPSOBA, 2012).

L’exhaure de l’eau et le transport des produits de récolte

L’exhaure de l’eau consiste, essentiellement à puiser de l’eau à l’aide d’une corde et d’un récipient manœuvrés à bout de bras ou tirés par un animal (âne, bœuf, chameau). L’exhaure de l’eau se fait principalement de façon traditionnelle au Sénégal, c’est-à-dire manuellement et avec traction animale.
L’exhaure manuelle de l’eau est une servitude sévère pour les ménages et les éleveurs d’où l’utilisation de plus en plus de l’exhaure avec la traction animale (MOUELLE, 1996). Avec un manège relié à une pompe alternative, Les débits extraits par traction animale sont de l’ordre de 600 litres à l’heure à 60 mètres de profondeur (MDAP, 1977).

Autres utilisations

Les ânes servent également à faire tourner les roues qui broient le grain. Au Tchad par exemple, les ânes servent à garder d’autres animaux, comme les moutons, et à les protéger contre les prédateurs ce qui n’est pas le cas au Sénégal. Leurs braiments sonores déclenchent l’alarme et il leur arrive dans des cas exceptionnels d’attaquer les prédateurs qui viennent trop près. Ils peuvent se lier « d’amitié » avec d’autres animaux, notamment lorsqu’il n’y a qu’un seul autre âne dans le voisinage.
L’âne est utilisé dans la course hippique au Sénégal depuis l’époque coloniale précisément dans la ville de Saint-Louis. Un championnat national annuel de courses de « mbam » est organisé sur les terrains ou dans les stades municipaux de plusieurs localités du pays (SISSOKO, 2015) (figure 6 p12).

Sources de revenus monétaires

Les animaux de trait contribuent à l’augmentation des revenus de leurs propriétaires en transportant des personnes, des produits fermiers, des aliments pour d’autres animaux, des matériaux de construction et bien d’autres choses. Selon NDAO, chevillard au niveau de l’abattoir de Dakar interviewé par ANDRIANTSOAVINA (2015), un âne réformé destiné à l’abattoir, est vendu entre 25 000 et 30 000 FCFA toujours. Cette sous-estimation s’explique par le fait que, les éleveurs ne dépensent pratiquement rien pour les soins et la nourriture de leurs ânes. Cependant, en Zambie, par exemple, les ânes se vendent actuellement au même prix que les bovins (OUDMAN, 2001).
Les autres sous-produits provenant de l’âne sont faiblement exploités au Sénégal. Le fumier peut être utilisé comme engrais pour l’agriculture. Quant à la peau fine, très solide, dure et élastique elle servirait à la maroquinerie pour la fabrication de tambours, de chaussures et de cribles (CHAPPEZ, 2000).

Contraintes liées à l’élevage de l’âne

L’élevage de l’âne au Sénégal est confronté à de nombreux problèmes de différents ordres ; culturels et médicaux, alimentaires, sanitaires.

Contraintes culturelles et médicales

Culturellement dans certaines localités du Sénégal, dans le Ferlo par exemple, 67% des propriétaires d’ânes ne sont pas disposés à débourser la plus petite somme pour le traitement de leurs ânes contrairement au traitement du cheval où ils ne ménagent aucun effort financier (SECK, 2015). Bien vrai que ceux-ci n’ignorent pas l’importance de l’âne dans la société. SECK (2015) stipulent qu’au Ferlo, 56% des propriétaires ne sollicitent pas les agents de la santé animale lorsque leurs ânes tombent malades ou se blessent et cela malgré la disponibilité des prestataires de services vétérinaires. Seulement 6% d’entre eux sollicitent un agent de la santé animale pour le traitement de leur animal 1 à 3 fois dans l’année (SECK, 2015).
A Sokone par contre, les ânes sont beaucoup mieux considérés, seule une infime partie des éleveurs (2%) ne contactent pas les prestataires de services vétérinaires et ne sont pas disposés à payer les traitements (SECK, 2015).

Contraintes alimentaires

Les ânes cherchent par eux même leurs nourritures. A l’entrée de la saison des pluies les ânes sont utilisés au maximum pour avoir d’importantes surfaces de culture donc leur alimentation est peu importante ou voire oubliée par les propriétaires (SENEGAL, 2007). L’alimentation des ânes dépend uniquement du pâturage (SMITH et WOOD, 2008) car ils ne bénéficient pas des suppléments alimentaires comme c’est le cas pour d’autres espèces (chevaux, bovins, moutons etc.).

Contraintes matérielles

La traction animale a un effet positif sur le rendement, celle-ci est limitée par la technicité des opérateurs et le manque d’entretien des outils. Chaque type de travail nécessite un équipement sûr qui protège les animaux contre la douleur et les blessures, par exemple charrettes, harnais, charrues et selles. L’équipement doit être fabriqué avec des matériaux locaux adéquats, correctement adaptés à chaque animal et maintenus propres et secs (THE BROOKE, 2010).

Contraintes zootechniques

Les dépenses énergétiques des animaux ne sont pas couvertes par l’apport alimentaire, puisque ceux-ci sont qualitativement et quantitativement insuffisants. Les besoins énergétiques de l’âne varient en fonction de son sexe et de son niveau d’activité journalière. L’animal dépense plus qu’il ne récupère.
L’âne d’Afrique n’a pas assez d’énergie pour lui permettre une croissance normale et une adaptation aux différentes phases de croissance. Le pâturage seul n’est pas suffisant pour couvrir les besoins d’un ânon en croissance (SMITH et WOOD, 2008).

Contraintes sanitaires

Les asins sont sujets à de multiples pathologies que nous classerons en trois groupes
– les affections d’origine traumatique ;
– les pathologies infectieuses ;
– les pathologies parasitaires.

Principales pathologies rencontrées chez les asins

Affections d’origine traumatique

L’utilisation excessive et les équipements non adéquats pour le travail des ânes, les prédisposent à différentes affections d’origine traumatique (SECK, 2015). Ces affections sont les suivantes :
– les plaies de harnachement, dues à l’utilisation des mors traumatisants en raison de leur mauvaise conception et des pressions excessives qu’ils exercent sur la bride ; cela occasionne des lésions labiales, dans la zone du passage de la sangle au niveau du ventre;
– les œillères mal ajustées à l’origine de différentes anomalies oculaires comme les conjonctivites, la formation d’abcès, d’ulcère, la perte de vue partielle ou totale ;
– la pression et abrasion croupière à l’origine des lésions de la queue et de la base de la queue lors de la collision avec l’avant de la charrette;
– le fouettage du testicule et de la face interne de la cuisse;
– les douleurs rachidiennes et l’abrasement de la peau en l’absence d’un bon équipement;
– les blessures d’engravement dues à l’emploi de cordes trop serrées pour entraver les animaux au repos (SECK, 2015);
– les fractures, foulures et entorses qui surviennent lors de travaux sur un mauvais terrain (BERE, 1981);
– les clous de rue, à l’origine de boiteries ;
– les fourmilières qui sont des collections de pus ou de sang se formant sous la corne du sabot suite à un choc contre la paroi ou la sole.
Lorsque ces affections sont mal traitées, elles peuvent mettre fin aux activités de l’animal et réduire son rendement au travail.

Affection d’origine infectieuse

Les affections d’origine infectieuse se distinguent selon l’agent étiologique, en affections virales et bactériennes.

Affection d’origine virale

Grippe équine

La grippe équine est une affection respiratoire virale très contagieuse, rarement mortelle. Elle est due à deux sous-types de virus grippaux de type A, H7N7 et H3N8 qui appartiennent à la famille des orthomyxoviridae. Elle se manifeste sur le plan clinique par une fièvre et une toux sèche et stridente suivie d’un écoulement nasal. Dépression, perte d’appétit, douleurs musculaires et asthénie sont fréquentes (OIE, 2007). Des complications bactériennes peuvent survenir chez l’animal ayant un système immunitaire affaibli et conduit le plus souvent à une pneumonie pouvant être fatale à l’animal. Il n’existe pas de traitement spécifique à cette maladie. Cependant un traitement peut être mis en place contre les risques de surinfections bactériennes et associe l’utilisation de mucolytiques. Pour la prévention, des vaccins inactivés ou recombinants sont disponibles associés au tétanos ou à la rhinopneumonie virale équine (PETIT, 2013).

Rhinopneumonie virale équine

La rhinopneumonie virale équine est une maladie infectieuse due à l’herpès virus équin 1 et 4 (EHV-1 et EHV-4). Selon le ou les virus en cause, la rhinopneumonie se traduirait par des troubles respiratoires, de l’avortement ou des manifestations nerveuses. Cette maladie est spécifique aux équidés et ne peut se transmettre à d’autres espèces animales ou à l’homme (MOUCHEL-VICHARD, 2010). Le traitement est symptomatique et est à base d’antibactérien, de corticoïdes, de laxatifs et l’évacuation manuelle des fèces et sondage vésical. La prophylaxie repose sur l’hygiène et l’administration d’un vaccin inactivé à une valence EHV-1 ou associée à EHV-4 ou à la grippe équine (PETIT, 2013).

Anémie infectieuse

L’anémie infectieuse est une maladie infectieuse des équidés, due à un virus de la famille des retroviridae, genre Lentivirus, auquel appartient le virus de l’immunodéficience humaine(VIH). L’infection aboutit à la persistance à vie du virus chez l’animal infecté, qui devient alors un réservoir du virus et une source de contamination potentielle pour les équidés environnants. La maladie évolue sous trois formes : une forme aigue, une forme subaigüe et une forme asymptomatique. Le traitement est uniquement symptomatique et hygiénique tel que l’isolement des malades, le nettoyage et la désinsectisation des box. Par ailleurs, l’utilisation des corticoïdes est contre-indiquée. A ce jour, il n’existe pas de vaccin (PETIT, 2013).

Rage

La rage est une maladie virale affectant la totalité des mammifères domestiques et sauvages ainsi que l’homme et qui se transmet par morsure d’un animal infecté. La rage se traduit sur le plan clinique par une excitabilité, une paralysie des membres postérieurs, un fort prurit chez l’âne (HARY, 2010).
La prévention se repose sur le respect du protocole vaccinal contre la rage. Il n’y a aucun traitement contre la rage déclarée.

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE
Chapitre I : Généralités sur l’élevage des ânes au Sénégal
1 Généralités sur les ânes
2 Anes au Sénégal
2.1 Répartition du cheptel au Sénégal
2.2 Races asines rencontrées au Sénégal
3 Modes d’élevage asin au Sénégal
4 Importance de l’élevage asin au Sénégal
4.1 Importance socioculturelle
4.2 Importance économique
4.2.1 Transport
4.2.2 Culture attelée
4.2.3 Production de viande et de lait
4.2.4 L’exhaure de l’eau et le transport des produits de récolte
4.3 Autres utilisations
4.4 Sources de revenus monétaires
5 Contraintes liées à l’élevage de l’âne
5.1 Contraintes culturelles et médicales
5.2 Contraintes alimentaires
5.3 Contraintes matérielles
5.4 Contraintes zootechniques
5.5 Contraintes sanitaires
Chapitre II : Principales pathologies rencontrées chez les asins
1. Affections d’origine traumatique
2. Affection d’origine infectieuse
2.1 Affection d’origine virale
2.1.1 Grippe équine
2.1.2 Rhinopneumonie virale équine
2.1.3 Anémie infectieuse
2.1.4 Rage
2.1.5. Artérite virale équine
2.1.6 Peste équine
2.2. Affections d’origine bactérienne
2.2.1. Fièvre charbonneuse
2.2.2. Tétanos
2.2.3 Botulisme
2.2.4. Gourme
2.2.5. Morve
2.2.6. Salmonellose
2.2.7. Clostridioses intestinales
2.2.8. Leptospirose
3. Affections d’origine parasitaire
3.1. Parasitoses externes
3.1.1. Mycoses
3.1.2. Acarioses
3.1.3. Infestation par les tiques
3.2. Parasitoses internes
3.2.1. Habronémose
3.2.2. Myiases
3.2.3. Helminthes digestifs
3.2.4 Parasitoses sanguines
Chapitre III : Trypanosomoses Animales Africaines transmises par des Glossines (Nagana)
1. Généralités
2. Etiologie et biologie des agents pathogènes
3. Morphologie
4. Structure des agents responsables
5. Nutrition
6. Reproduction
7. Cycles évolutifs
7.1 Chez la glossine
7.2 Chez l’hôte mammifère
8. Ecologie des Glossines et transmission des pathogènes
9. Epidémiologie du Nagana
9.1. Epidémiologie descriptive
9.1.1 Evolution dans l’espace
9.1.2 Evolution dans le temps
9.1.3 Evolution dans l’effectif
9.2. Epidémiologie analytique
9.2.1. Sources de parasites
9.2.2. Modes d’infection
9.2.3. Réceptivité et Sensibilité des hôtes
10. Etudes cliniques
10.1 Pathogénie
10.2. Symptômes et lésions
10.2.1. Symptômes
10.2.2. Lésions
10.3. Diagnostic
10.3.1. Diagnostic de terrain
10.3.1.1. Diagnostic épidémiologique
10.3.1.2. Diagnostic clinique
10.3.2. Diagnostic de laboratoire
10.3.2.1. Diagnostic direct
10.3.2.2. Diagnostic indirect
11. Moyens de lutte
11.1 Traitement
11.2 Prophylaxie
11.2.1 Prophylaxie médicale
11.2.2 Prophylaxie sanitaire
DEUXIEME PARTIE : ETUDE EXPERIMENTALE
Chapitre I : Matériel et méthodes
1- Cadre d’étude
1.1. Région de Kaolack
1.2. La commune de Dahra
2. Matériel
2.1. Matériel biologique
2.2. Matériel de prélèvements
2.3. Matériel de laboratoire
3- Méthodes
3.1 Echantillon et échantillonnage
3.2 Prélèvements et récolte de sérums
3.3 Test de laboratoire
3.3.1. Principe du test ELISA Indirect
3.3.2. Traitement des données
Chapitre II : Résultats
1- Séroprévalence de Nagana
1-1 Séroprévalence globale
1-2 Séroprévalence de Nagana chez les asins selon la région
1-3 Séroprévalence de Nagana chez les asins selon l’âge
1-4 Séroprévalence de Nagana chez les asins selon le sexe
1-5 Séroprévalence de Nagana chez les asins Selon la NEC
1-6 Séroprévalence de Nagana chez les asins selon les différentes espèces
2- Séroprévalence en fonction de l’espèce de parasite identifiée
2.1. Séroprévalence des infections à Trypanosoma vivax
2.1.1. Séroprévalence globale des infestations à Trypanosoma vivax chez les asins
2.1.2. Séroprévalence des infestations à Trypanosoma vivax chez les asins selon la région
2.1.3. Séroprévalence des infestations à Trypanosoma vivax selon l’âge
2.1.4. Séroprévalence des infestations à Trypanosoma vivax chez les asins selon le sexe
2.1.5. Séroprévalence des infestations à Trypanosoma vivax chez les asins selon la NEC
2.2. Séroprévalence des infestations à Trypanosoma brucei
2.2.1 Séroprévalence globale des infestations à Trypanosoma brucei chez lesasins
2.2.2 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma brucei chez les asins selon la région
2.2.3. Séroprévalence des infestations à Trypanosoma brucei chez les asins selon l’âge
2.2.4 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma brucei chez les asins selon le sexe
2.2.5 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma brucei chez les asins Selon la NEC
2.3 Séroprévalence des infections à Trypanosoma congolense
2.3.1 Séroprévalence global des infestations à Trypanosoma congolense chez les asins
2.3.2 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma congolense chez les asins selon la région
2.3.3 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma congolense chez les asins selon l’âge
2.3.4 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma congolense chez les asins Selon le sexe
2.3.5 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma congolense chez les asins Selon la NEC
Chapitre III : Discussion et recommandation
1. Discussion
1.1 Séroprévalence des infestations à Nagana
1.1.1 Séroprévalence globale des infestations à Nagana
1.1.2 Séroprévalence selon la région
1.1.3 Séroprévalence selon l’âge
1.1.4 Séroprévalence des infestations à Nagana selon le sexe
1.1.5 Séroprévalence selon la NEC
1.2 Séroprévalence des infestations selon les espèces
1-2-1 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma vivax
1.2.1.1 Séroprévalence globale des infestations à Trypanosoma vivax
1.2.1.2 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma vivax Selon la région
1.2.1.3 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma vivax selon l’âge
1.2.1.4 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma vivax selon le sexe
1.2.1.5 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma vivax selon la NEC
1.2.2 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma brucei
1.2.2.1 Séroprévalence globale des infestations à Trypanosoma brucei
1.2.2.2 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma brucei selon la région
1.2.2.3 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma brucei selon l’âge
1.2.2.4 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma brucei selon le sexe
1.2.2.5 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma brucei selon la NEC
1.2.3 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma congolense
1.2.3.1 Séroprévalence globale des infestations à Trypanosoma congolense
1.2.3.2 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma congolense selon la région
1.2.3.3 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma congolense selon l’âge
1.2.3.4 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma congolense selon le sexe
1.2.3.5 Séroprévalence des infestations à Trypanosoma congolense selon la NEC
2. Recommandations
2.1. Aux autorités des services de santé animale
2.2. Aux éleveurs
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
ANNEXES

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