Articulation talo-crurale
L’articulation de la cheville (talo-crurale ou tibio-tarsienne) est une articulation synoviale uniaxiale entre le tibia, la fibula et la throchlée du talus.
Cette articulation permet la flexion dorsale du pied et la flexion plantaire (extension). Sa capsule fibreuse mince est renforcée par le ligament médial (deltoïde) et le ligament collatéral.
Articulation subtalaire
L’articulation subtalaire, également appelée articulation talo-calcanéenne est une articulation synoviale unissant le talus et le calcanéus.
Elle permet l’inversion et l’éversion du pied (cf. mouvements physiologiques du pied p 27).
Articulation transverse du tarse (articulation de Chopart)
L’articulation transverse du tarse ou articulation de Chopart unit le tarse postérieur au tarse antérieur. Elle comporte deux articulations : l’articulation talo-calcanéo-naviculaire sur la face médiale et l’articulation calcanéo-cuboïdienne en latéral.
L’articulation de Chopart est renforcée par le ligament bifurqué du tarse (en forme de Y). Ce dernier se divise en deux faisceaux : le ligament calcanéo-naviculaire plantaire et le ligament calcaneo cuboïdien plantaire.
Cette articulation joue un rôle essentiel dans les mouvements de glissement et de rotation du pied.
Le genou
Le genou est composé de trois pièces osseuses : le tibia, le fémur et la patella (rotule).
L’articulation du genou est la plus complexe du corps humain, elle se compose d’une articulation synoviale bi-axiale entre les condyles fémoraux et tibiaux (double articulation fémoro-tibiale) et d’une articulation entre le fémur et la patella (articulation fémoro-patellaire).
Ces articulations sont stabilisées par les ligaments croisés (postérieur et antérieur), les ligaments collatéraux (médial et latéral) et les ménisques (externe et interne). Ces derniers participent également à amortir les chocs et préservent le cartilage du fémur et du tibia.
Le genou participe à la flexion et à l’extension. Quand il est fléchi, il participe aussi à des mouvements de glissement et de rotation. Le cartilage assurant la bonne fluidité de ces mouvements.
La hanche
Le squelette de la hanche constitue la ceinture pelvienne. Cette ceinture est formée de chaque côté par un os volumineux qui est l’os iliaque (ou os coxal). Les deux os iliaques sont réunis en avant sur la ligne médiane par la symphyse pubienne et en arrière, ils sont soudés au sacrum. L’os iliaque se compose de trois pièces osseuses qui sont :
– L’ilion sur la partie haute de l’os iliaque (figure ci-après), il dessine la saillie de la hanche avec la crête iliaque sur sa partie supéro-externe.
– L’ischion forme la partie postéro-inférieur de l’os coxal.
– Le pubis forme la partie antéro-médial de l’os coxal.
Biomécanique du pied
Architecture globale (CLEMENÇON, 2012)
Le pied est constitué d’un assemblage complexe et harmonieux d’éléments osseux, ligamentaires, tendineux et musculaires.
L’architecture du pied repose sur une combinaison de trois arches : l’arche médiale (interne), l’arche latérale (externe) et l’arche antérieure.
Ces arches permettent d’amortir les pressions induites par le poids du corps en les absorbant et les répartissant de façon homogène.
La tige
Elle correspond à la partie supérieure de la chaussure. Elle est fixée à la semelle et a pour rôle de protéger les faces dorsales et latérales du pied.
Elle se divise en deux parties : les quartiers (qui dessinent l’emboitage) en arrière et l’empeigne (ou claque) au niveau de l’avant pied.
La languette est une partie de l’empeigne qui facilite l’enfilage et protège le pied des lacets.
La baguette renforce l’assemblage au niveau de la jointure arrière des quartiers.
Le glissoir facilite l’entrée du pied dans l’emboitage.
Les oreilles (fig. 36) font partie des quartiers qui se rejoignent grâce aux lacets, ces derniers passent dans les œillets (perforation au niveau des quartiers avant permettant le passage des lacets).
La doublure est la partie intérieure d’une chaussure en contact avec le pied.
Le semelage
Il correspond à la partie inférieure de la chaussure, il est composé de la semelle et du talon. Son rôle est de protéger le pied des aspérités du sol des intempéries.
La semelle est composée de plusieurs couches, qui peuvent être en cuir ou en matériaux synthétiques (caoutchouc, crêpe, gomme,…)
La première de propreté et la première de montage (fig. 38) permettent de solidariser la tige avec le semelage. La première est directement en contact avec le pied, on parle de « première cuir » lorsqu’elle celle-ci est composée de cuir.
La cambrure est la partie de la chaussure qui fait la jonction entre la zone de contact de l’avant pied et le talon. Cette cambrure est matérialisée par le cambrion (fig. 38): petite pièce allongée (en cuir, bois, plastique ou acier) placée dans le semelage et permettant la fermeté de cette cambrure. La rigidité de la cambrure permet de soutenir le pied sans gêner ou contrarier le travail des arches du pied qui jouent un rôle d’amortisseur du poids du corps lors de la marche.
La trépointe (fig. 38) est une bande de cuir souple et profilée qui est fixée autour de la chaussure.
Le talon, élément du semelage arrière, est composé de plusieurs couches : les « sous-bouts » et le « bon-bout » (fig. 36). Ce dernier est en contact direct avec le sol lors de la marche, c’est un excellent marqueur de l’usure d’une chaussure et doit être changé quand il est usé (l’usure normale du talon se fait au niveau du coin postéro-latéral). Il répartit de manière équitable le poids du corps entre le talon postérieur (calcanéum) et le talon antérieur (1 ère et 5 ème tête métatarsienne).
Le talon soutien la cambrure de la chaussure. Un talon trop long gêne la marche, un talon trop court fatigue l’arche interne du pied et casse la cambrure du pied. Un talon pas assez large manque de stabilité à la marche.
Afin d’éviter certaines souffrances du pied, la hauteur du talon ne doit pas dépasser 12-20 mm chez l’enfant, 10-25mm chez l’homme et 30-50 mm chez la femme.
Chaussures de sport
La chaussure du sportif doit être pensée en fonction de la nature du sport pratiqué et du terrain sur lequel ce sport est réalisé.
Il n’existe pas de chaussure standardisée pour la pratique du sport en général. En effet, chaque sport nécessite une chaussure adaptée à son environnement afin d’améliorer les performances et de protéger le pied des microtraumatismes.
La chaussure de sport, à la différence de celle de la ville, se compose uniquement d’une tige sans couture et ne possède donc ni quartier, ni empeigne.
Elle doit être adaptée aux mouvements physiologiques types du sportif de supination ou de pronation.
Chaussures de série « paramédicales et de confort »
Ces chaussures sont utilisées pour les pieds acceptant mal les chaussures standards. Il existe une multitude de modèles qui ne sont pas remboursés par la Sécurité sociale.
Chaussures thérapeutiques de série (CHUT, CHUP)
Les chaussures thérapeutiques à usage temporaire (CHUT) ou prolongé (CHUP) sont des dispositifs médicaux selon le code de la santé publique.
Elles sont destinées à des patients dont les anomalies constatées au niveau du pied demandent un maintien, un chaussant particulier ou une correction que ne peut assurer une chaussure ordinaire,sans pour autant justifier l’attribution d’une chaussure thérapeutique sur mesure.
Ces chaussures répondent à une finalité thérapeutique et sont prises en charge par la sécurité sociale sur prescription médicale. (POURTIER-PIOTTE et al. 2006)
Les CHUT sont conçues pour être utilisées de façon temporaire. Elles sont délivrées par paire ou à l’unité. On distingue :
– Les chaussures à décharge de l’avant-pied (prises en charge pour les pathologies ou lésions d’origine post-chirurgicale, traumatique ou médicale)
– Les chaussures à décharge du talon (prises en charge pour les pathologies ou lésions d’origine post-chirurgicale, traumatique ou médicale)
– Les chaussures pour augmentation du volume de l’avant-pied (prises en charge pour les inflammations ou les troubles métaboliques, tels que l’œdème, avec risque de trouble trophique)
Les CHUP sont conçues pour être utilisées de façon prolongée. Elles sont délivrées par paire et sont indiquées pour certaines pathologies neurologiques (myopathies, infirmité motrice cérébrale), pour les séquelles post-traumatiques ou post-chirurgicales, certaines déformationsimportantes du pied ainsi que pour les inégalités de longueurs des membres inférieurs.
Chaussures thérapeutiques sur mesure
Egalement appelées chaussures orthopédiques, elles font partie des articles de grand appareillage.
Elles sont fabriquées sur mesure lorsque l’un ou les deux pieds ne peuvent être chaussés en série.
Cet appareillage orthopédique est soumis à une prescription médicale par un spécialiste (Médecin spécialiste en médecine physique et réadaptation fonctionnelle, chirurgien orthopédique ou rhumatologue)
L’utilisation d’un imprimé Cerfa spécial, ne comportant aucun autre produit, est obligatoire.
Ces chaussures ne peuvent être délivrées que par des podo-orthésistes agréés.
Critères de choix d’une bonne chaussure (GOLDCHER, 2012)
Actuellement, choisir une bonne chaussure est devenu affaire compliquée. L’esthétique et le « low-cost » prenant une place considérable dans notre société au détriment de la qualité.
Pour ne pas avoir de mauvaises surprises, il est important de connaître les critères de qualité d’une bonne chaussure mais aussi de pouvoir déceler ses défauts.
ü Longueur
La longueur d’une chaussure correspond à la pointure.
Trois systèmes de mesures sont utilisés en France : le point de Paris, le point anglais et le point américain.
Un individu ayant une pointure 40 en France trouvera sa pointure correspondante en Angleterre avec 6 et aux Etats-Unis avec 7.
ü Largeur
La largeur d’une chaussure est définie par un chiffre de 1 à 11 ou par une lettre de A à K.
Cependant, il n’existe qu’une seule largeur possible par pointure dans les chaussures de série.
ü Souplesse
Pour un déroulé du pas idéal, une bonne chaussure doit être résistante sans être rigide, elle doit pouvoir subir une flexion antéro-postérieure transversale au niveau des articulations métatarsophalangiennes. La recherche du cambrion par le « test de l’essorage » et le « test de l’enroulement » permettent d’évaluer la souplesse d’une chaussure et donc sa qualité.
Réglementation
Généralités
La délivrance d’orthèses plantaires à l’officine nécessite un Diplôme Universitaire de pharmacien orthésiste, celui-ci étant délivré dans différentes facultés de France.
L’orthèse plantaire est amovible, fabriquée sur mesure et doit pouvoir être placée dans une chaussure de série.
Une orthèse a pour objectif de :
– corriger les anomalies de statique du pied ou du relief plantaire ;
– englober et compenser les différentes affection du pied ;
– soulager les appuis plantaires sensibles ;
– rectifier les déséquilibres statiques et dynamiques inférieurs à 20 mm ;
Sont exclues :
§ les semelles fabriquées en série
§ les semelles dites proprioceptives, à action ascendante, par stimulation magnétique ;
§ les talonnettes pour corriger uniquement l’inégalité de longueur d’un membre inférieur.
L’orthèse plantaire ne peut être délivrée chez l’enfant avant l’acquisition de l’équilibre et de la motricité bi-podale.
L’arrêté du 11 juillet 2006, portant approbation de la convention nationale organisant les rapports entre les pharmaciens titulaires d’officine et l’assurance maladie, confirme la possibilité par le pharmacien de délivrer des semelles orthopédiques.
L’article 3 de l’annexe II-2 en précise les modalités : « Lorsque le pharmacien réalise des orthèses plantaires, celles-ci doivent être exécutées sur mesure après un examen podoscopique minutieux du pied malade, traduit par un dessin correctif nécessitant toujours une prise d’empreintes et, si nécessaire, un moulage complet du pied.
Le pharmacien est équipé d’un podographe, d’un podoscope, du matériel nécessaire au moulage du pied et à la fabrication des semelles, ainsi qu’à leur adaptation progressive.
Il remet à l’utilisateur un document sur lequel sont indiquées les dates prévues pour les contrôles des corrections progressives. Celles-ci ont pour finalité d’adapter les semelles à l’évolution du pied et constituent de ce fait un véritable traitement.
La fabrication des orthèses plantaires peut être confiée à un orthopédiste-orthésiste sous-traitant. » (LEGIFRANCE, 2006)
Local
L’examen du patient ainsi que la fabrication des orthèses plantaires à l’officine nécessitent un local consacré à cette activité sauf si la superficie de la pharmacie ne le permet pas ; auquel cas le travail sera réalisé au sein du local orthopédique.
Les règles de bonne pratique sont définies dans l’arrêté du 1 er février 2011 : « L’orthopédiste-orthésiste reçoit la personne dans des locaux conformes aux dispositions de l’article D. 4364-14 du même code, accessibles aux personnes handicapées conformément aux dispositions légales et réglementaires applicables en la matière, conçus de façon à permettre à la personne une prise en charge dans de bonnes conditions d’isolement phonique et visuel.
Les locaux sont équipés de manière à ce que l’intimité de la personne soit préservée, le cas échéant lors des essayages, y compris vis-à-vis du professionnel. Les locaux sont équipés d’un éclairage convenable et d’un point d’eau. Ils comportent un espace minimum de déambulation de 3,50 m de long et de 1,20 m de large avec une tolérance possible de 50 cm pour la longueur et la largeur. Ils comportent, selon les cas, une table ou un fauteuil d’examen. Les locaux du podoorthésiste et de l’orthopédiste-orthésiste doivent comporter un podoscope ainsi qu’un podographe.
Les locaux sont équipés du matériel nécessaire, conforme aux règles d’hygiène et de sécurité du travail, à l’adaptation et au suivi des appareils relevant de la compétence du professionnel et permettant de réaliser les retouches et adaptations possibles sur place. » (LEGIFRANCE, 2011).
Prescription
La prescription doit être réalisée par un médecin sur une ordonnance indépendante de tout autre traitement. Cette ordonnance est indispensable pour qu’une prise en charge puisse se faire. Celle ci doit indiquer la nature et le siège des troubles observés. Le médecin peut, s’il le désire, préciser des indications quant aux éléments de corrections à apporter.
L’appareillage est réalisé de façon bilatérale et ceci même si l’affection n’est observée que sur un membre.
Spécification technique
Constitution de la semelle
Les semelles sont élaborées de différentes manières en fonction des matériaux utilisés :
– Soit en fixant les éléments correcteurs sur une base appelée support ou première. La première est fabriquée sur-mesure en fonction des caractéristiques morphologiques du pied du patient.
– Soit en réalisant une orthèse dite monobloc qui ne possède pas d’éléments individualisés.
• Matériaux utilisés
Les matériaux utilisés ne doivent pas être traumatisants. Chaque semelle est unique et doit être façonnée de manière individuelle.
• Éléments de corrections
Ces éléments sont souples ou rigides, ils sont choisis en fonction de la prescription médicale de la consultation (interrogatoire et examen clinique) avec le patient.
• Base de support ou première (où sont fixés les éléments correctifs)
Elle est réalisée en cuir, en matériau synthétique ou naturel.
Recouvrement
La plupart des orthèses plantaires sont recouvertes de peausserie animale. Cette peausserie peut être remplacée par des matériaux synthétiques ou naturels présentant des normes équivalentes de confort et de résistance.
Prise de mesure
La prise de mesure s’effectue au sein d’un local adapté dans lequel se trouve un podoscope (fig. 44) et un podographe (fig. 45), deux éléments indispensables à cet exercice. Toutes les étapes de l’examen réalisé sur le patient (cf. examen du patient p 44) constituent une prise de mesure unique.
Dispositions diverses
Façonnage et mise au point
Lors de la délivrance des semelles au patient, ces dernières devront être testées et acceptées par le patient. Si le confort n’est pas parfait, des réajustements sont effectués immédiatement. Pour cette raison, le pharmacien doit posséder tout le matériel nécessaire pour une éventuelle correction.
Le patient est revu systématiquement trois semaines après pour une mise au point :
– Si le patient est satisfait, le recouvrement est réalisé ce qui porte la durée de vie d’une semelle à 1 an et demi.
– Si des douleurs sont toujours présentes, des retouches peuvent être effectuées gratuitement.
• Modifications et corrections
Toutes modifications ou corrections sont effectuées sur place, immédiatement et gratuitement.
• Renouvellement
Jusqu’à l’âge de 15 ans inclus, le renouvellement est possible tous les 6 mois.
Pour un adulte, les organismes sociaux (sécurité sociale et complémentaire) remboursent une paire d’orthèses plantaires par an.
Garantie
Les semelles sont garanties 6 mois à compter de la date de délivrance.
Cette garantie ne prend pas effet si les détériorations constatées ne sont pas liées à un défaut de fabrication ou une usure anormale des matières premières.
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Table des matières
LISTE DES TABLEAUX
LISTE DES FIGURES
INTRODUCTION
PARTIE 1 : GENERALITE DE PODOLOGIE
I- Anatomie du membre inférieur
A. Le pied
1) Le squelette du pied
1.1) Le tarse
1.2) Le métatarse
1.3) Les phalanges
2) Les articulations du pied (H.NETTER, 2015)
2.1) Articulation talo-crurale
2.2) Articulation subtalaire
2.3) Articulation transverse du tarse (articulation de Chopart)
2.4) Articulations tarso-métatarsiennes (articulation de Lisfranc)
2.5) Articulation métatarso-phalangiennes
2.6) Articulations inter-phalangiennes
3) Les muscles du pied (HANSEN, 2015)
3.1) Muscles extrinsèques
3.2) Muscles intrinsèques
B. Le genou
C. La hanche
II- Biomécanique du pied
A. Architecture globale (CLEMENÇON, 2012)
B. Mouvements physiologiques
C. Déroulement d’un pas
III- Initiation à la calcéologie
A. Anatomie d’une chaussure
1) La tige
2) Le semelage
3) Les renforts
B. Types de chaussures
1) Chaussures de ville
2) Chaussures de sport
3) Chaussures de série « paramédicales et de confort »
4) Chaussures thérapeutiques de série (CHUT, CHUP)
5) Chaussures thérapeutiques sur mesure
C. Critères de choix d’une bonne chaussure (GOLDCHER, 2012)
PARTIE 2 : LES ORTHESES PLANTAIRES A L’OFFICINE
I- Réglementation
A. Généralités
B. Local
C. Prescription
D. Spécification technique
E. Prise de mesure
F. Dispositions diverses
II- Examen du patient
A. L’interrogatoire
B. Sémiologie de la chaussure
C. Examen clinique du pied en charge et en décharge
1) Examen clinique en décharge
2) Examen clinique en charge
III- La semelle orthopédique
A. Indications
B. Choix du type d’orthèse
C. Les différents éléments de correction
IV- Principales pathologies du pied pouvant être appareillées par orthèses plantaires
A. Pathologies du pied
1) Avant-pied
1.1) Métatarsalgies
1.2) Autres pathologies du premier rayon
2) Médio-pied
3) Arrière-pied
3.1) Talalgies
B. Pathologies ascendantes
1) Genou
1.1) Genu varum/valgum
1.2) Tendinopathies
2) Hanche et Rachis
V- Cas clinique
PARTIE 3 : ENQUETE AUPRES DE 124 PHARMACIES FRANÇAISES
I- Présentation des objectifs
II- Méthodologie
III- Résultats et objectifs
A. Informations sur l’échantillonnage
B. Pratiques des semelles orthopédiques en officine
C. Discussion
CONCLUSION
ANNEXES
BIBLIOGRAPHIE