Prévalence sérologique de la  peste porcine africaine dans les regions de FATICK, KOLDA  ET ZIGUINCHOR

Importance de l’élevage porcin

L’importance de l’élevage porcin est grande tant sur le plan socio-culturelle, qu’au plan économique.

Importance socio-culturelle

Les animaux de rente en général représentent une richesse sociale, une source incontestable de prestige, un objet utilisé pour de nombreux rites et sacrifices.
Ils permettent et symbolisent l’accès à un certain statut social, notamment le mariage (LHOSTE et al., 1993). En Basse Casamance, la viande de porc est très prisée par les grands consommateurs lors des fêtes etcérémonies mais aussi par un grand réseau touristique (NIANG, 1997). Selon le magazine Afrique Agriculture (2000), cette viande est la seule qui rythme la vie des populations comme les Ewé (Bénin, Togo, Ghana), les Mobas, les Komkombas etKabyés (Togo et Ghana), les Dagarys (Burkina Faso, Côte d’Ivoire) et les Diolas (Sénégal). Elle garantit le succès des cérémonies traditionnelles (naissance, baptême, mariage, accueil d’hôte de marque, funérailles, cérémonies religieuses). En général, ce sont les femmes et les enfants qui assurent la surveillance et l’entretien du porc, les hommes n’interviennent que pour la castration et l’abattage (BULGEN et al., 1994).

Importance économique

D’après la Direction de l’élevage ( Sénégal M.E DIREL 2005), la production locale de viande au Sénégal se chiffre à 104.135 tonnes, dont 35.912 tonnes de viande blanche. Dans cette viande blanche, lavolaille contribue pour 25.980 tonnes, soit 72 % et le porc pour 9.932 tonnes (28 %). Mais, en tenant compte du faible nombre de potentiels du porc essentiellement représentés au Sénégal par les catholiques (6 % de la population totale) et les animistes (2 % de la population), cette production locale de la viande de porc est très importante.
La commercialisation de la viande de porc est un secteur rentable mais peu contrôlée ; 87% des abattages ne sont pas contrôlés par les services vétérinaires.
Les grandes périodes de ventes sont étroitement liées aux types de structures de commercialisation.
Les prix actuels ne sont pas éloignés de ceux pratiqués il y a 10 ans. A Ziguinchor, en 14 ans le prix du kilogramme de viande de porc n’a augmenté que de 23,00%. L’élevage de porc ne coûte presque rien aux éleveurs du fait que l’essentiel de l’élevage est en divagation, ce qui explique cette relative stagnation des prix.
Une telle situation s’explique par le fait que les marges brutes totales de commercialisation (MBC) trouvés sont élevés. Le calcul de MBC confirme l’impression de rentabilité que dégage lafilière porcine (LALEYE 2007).

Principales races exploitées

Il est difficile de cerner de manière précise les races porcines exploitées au Sénégal ou dans les régions d’études, maisnous pouvons retenir globalement trois grands types de porcs : le porc local, les races importées, les produits de croisement.

Race locale

La race locale est la plus répandue et représente la quasi totalité des animauxen élevage porcin. Elle est de type longiligne, haute sur pattes avec une hauteur augarrot de 0,4 à 0,6 m et un poids vif de moins de 75 kg. La tête est longue, les oreilles sont petites et horizontales, le corps ogival, la robe est blanche avec des taches noires plus ou moins grandes (DOUTRESSOULLE, 1947).

Caractéristiques nutritionnelle et Zootechnique

Alimentation

En Elevage traditionnel

En élevage traditionnel extensif (en divagation), les porcs se promènent partout à la recherche de nourriture. Cela se traduit par des animaux carencés parce que ne recevant aucune couverture alimentaire. Ils sont exposés à de nombreuses infections. Notons qu’avec l’immunité de prémunition ce genre de vie les rend beaucoup plus résistants. Les animaux parqués en enclos ou à l’attache reçoivent une ration non équilibrée. Il s’agit de sous-produits alimentaires, pour la plupart inutilisable par l’homme ; tel que :
– les déchets de cuisine ;
– les mangues ou autres fruits déclassés, surtout en basse Casamance ;
-de l’herbe surtoutpendant l’hivernage.
La distribution de l’alimentne suit pas une réglementation ou un rationnement.

En Elevage Semi Intensif

L’alimentation des animaux constitue déjà une préoccupation pour leur propriétaire. Il peut s’agir :
– d’aliments cultivés ;
– des restes de restauration collective, ou des aliments détériorés ou non vendus lors des marchés périodiques ;
-d’aliments concentrés, importés pour compléter la ration des porcs, mais qui, à cause du coût élevé, sont surtout destinés aux femelles allaitantes et aux plus jeunes porcs.

En Elevage Intensif

Dans ce système rationnel, une attention particulière est apportée à l’alimentation des porcs. Ils sont nourris d’aliment complet contenant tous les éléments nécessaires : les protéines, les vitamines et les sels minéraux (cas du CPASS).

Performance zootechnique

Les performances zootechniques de la race locale sont faibles (tableau II).
L’âge à la première mise bas varie entre13 et 16,5 mois pourun nombre de mises bas/an par truie de 1,81. La taille moyenne de la portée est de 7,5 porcelets mais la mortalité des porcelets est très élevée avant le sevrage. Les résultats de croissance, obtenus en station en nourrissant les porcelets de race locale à base de provende, ont confirmé les faibles potentialités génétiques de la race (tableau III).
En élevage semi-industriel, la durée de la lactation est de deux mois environ pour une portée de 8 à 9 (tableau IV). Le nombre de porcelets sevrés varie de 4,5 à 7,45 pour une productivité numérique annuelle au sevrage de 8,91 à 15, 5.

Facteur Alimentaire

La conduite de tout élevage est dominée par un impératif : l’alimentation.
L’alimentation est une opération qui doit être l’objet d’une attention constante, sans quoi l’élevage sera un échec pour celui qui l’entreprend. Quel que soit le potentiel génétique d’un animal, quel que soit son étatde santé, on ne pourra rien en retirer tant que l’alimentation ne lui permettra pas d’extérioriser son potentiel de production ( NDIAYE ,1974). C’est dire l’importance du facteur alimentaire qui apparaît comme révélateur du patrimoine génétique.
Les méthodes d’affouragement faisant appel aux pâturages, couvrent mal les besoins de l’animal. Actuellement il ne reste des pâturages pratiquement que l’herbe des bordures d’axes routiers, les produits de sarclage de cultures ainsi que les sousproduits de récoltes disponibles à certainespériodes de l’année. A cela, il s’ajoute que pour ceux qui essaient de faire un élevage en claustration, souvent bien nourrir reste synonyme de nourrir beaucoup. La notion de ration est inconnue ; les aliments sont distribués ad libitum.
Certes, il se pose toujours le problème du faible niveau de technicité de l’éleveur et celui des disponibilités en aliments du bétail. Mais il est possible d’utiliserjudicieusement des produits locaux comme base alimentaire, tirant ainsi profit de la fameuse symbiose et de l’état omnivore de l’espèce porcine. En contre partie, il faut veiller à bien choisir la fraction complémentaire à acheter de façon à valoriser au moindre coût les aliments sur place. SERRES (1977) recommande en milieu tropical la distribution à volonté d’une ration de base et celle d’un concentré complémentaireà dose fixe selon le procédé de LEHMANN distribution d’une ration de base etutilisation d’autres aliments disponibles pour compléter la ration.

Facteur Hygiénique

L’hygiène autant que l’alimentation doit attirer l’attention de l’éleveur. Il ne sert à rien d’avoir les animaux à l’abri des voleurs s’ils ne sont pas en même temps à l’abri des intempéries et des infections.
Les conditions hygiéniques de l’habitat sont souvent déplorables en période des pluies où l’urine et les fécès associés à l’eau de pluie constituent le ciment du logement. Elles dégagent des odeurs peu agréables et peuvent être à l’origine de toutes sortes de maladies car il crée, dans la porcherie, un véritable bouillon de culture.
A l’extérieur, le tempérament coprophage du porc va favoriser d’une part l’ingestion d’œufs de taenia rejetés par l’homme parasité induisant ainsi la cysticercose d’autre pars l’ingestion de vers de terre sera à l’origine de la strongylose respiratoire.

Facteur pathologique

Ce sont les maladies parasitaires et infectieuses qui occupent le devant de la scène et qui font payer un lourd tribut à l’élevage porcin.

Les maladies parasitaires

La cysticercose ou ladrerie du porc (Rushe) se développe dans les muscles striés de Cysticercus cellulosae, larve de Taenia solium, est la plus rencontrée et occasionne de nombreuses saisies aux abattoirs.
La strongylose respiratoire est une bronchite vermineuse est due à la présence de nématodes de la sous – famille des Métastrongylinae son hôte intermédiaire est un ver de terre. Elle représente un motif très courant de saisie.
En parasitologie externe, on rencontre des cas de teignes et de gales.

Les maladies infectieuses

Les maladies infectieuses ont des effets négatifs sur le développement en affectant le capital animal lui-même du fait de la mortalité. Leur impact sur le commerce intérieur et extérieur est aussitrès important surtout en raison des interdictions sanitaires lors des transactions commerciales. Ainsi ces maladies contribuent à créer le sous – développement. Les infections les plus fréquemment rencontrées sont :

Les Infections bactériennes

Les rapports de la Direction Générale de l’Elevage sont souvent muets sur cette rubrique. Mais pour nous, cela neveut pas dire que lecheptel est exempt de ces infections. Cela découlerait plutôt du manque de personnel suffisant et d’équipement dont souffrent les services de l’Elevage pour ces diagnostics. Ceci se voit confirmer lorsqu’on se rend dans certains centres et que des cas de diarrhées colibacillaires chez les jeunes porcelets, des cas de mammites vous sont révélés ou encore par les saisies effectuées au niveau des abattoirs pour tuberculose.
Les Infections virales c’est surtout marqué par des infections comme la fièvre aphteuse te la Peste Porcine.

Action sanitaire

Traitement

Il n’existe pas de traitement spécifique pour la PPA, mais on a constaté de manière traditionnelle l’utilisation d’une plante, le Moringa Oleifera localement appelé en wolof « NEBEDAYE» figure 12 dans le traitement de la PPA.les feuille son incorporées dans l’alimentation des porcs atteints de PPA. Cette plante renferme des protéines, du calcium, du magnésium, dupotassium, du fer, de la vit A et de la vit C.

Le porc domestique (Sus scrofa domesticus)

Il est très sensible à ce virus, et de faibles quantités de germes suffisent pour déclencher chez lui, des signes morbides graves, généralement mortels.

Espèces réservoirs

Les hôtes vertébrés originels sont les suidés sauvages d’Afrique, particulièrement le phacochère(Phacochoerus africanus) et le potamochère (Potamochoerus larvatus). Le virus a également été isolé chez le hylochère (Hylochoerus meinerzhageni) mais n’a pas été redémontré depuis (Heuschele et Coggins, 1965). En effet, l’hylochère a uneaire de distribution beaucoup plus faible que le phacochère, et l’espèce est inscrite comme espèce vulnérable par l’UICN, mais sa population ne semble pas diminuer. La distribution géographique restreinte de cette espèce et son écologie en fait unesource improbable de contamination pour les porcs domestiques. De même, la réceptivité des espèces qui utilisent les terriers de phacochères tel que le porc-épic (Hystrix spp.) ou la hyène (Crocutaet Hyaena spp.) n’a jamais été confirmée (Cox, 1963).

In vitro

Culture sur leucocytes de porcs

La multiplication du germe dans les leucocytes de porcs, connue depuis MALMQUIST (cité par LUCAS (A) , 1967), se caractérise par deux phénomènes spécifiques.

L’effet cytopathogène

L’infection virale se traduit au niveaucellulaire par une modification du cytoplasme, et un déplacement du noyau qui se trouve en position excentrée (LUCAS.1967. La coloration de Giemsa montre une inclusion cytoplasmique arrondie de 5 µm environ dans chaque cellule. Ces inclusions contiennentdes enveloppes virales et des particules incomplètes paracristallines. (BRESSE ( S.S).1966)
On remarque aussi des modifications de la chromatine qui présente des grains de plus en plus volumineux, par phénomène d’agglomération.Ces grains vont se localiser le long de la membrane nucléaire, entraînant un gonflement et une vacuolisation du cytoplasme.

La réaction d’hémadsorption

Outre les modifications structurales, certaines cellules acquièrent le pouvoir de retenir à leur périphérie des hématies de porcs, qui forment alors une couronne très dense et de teinte rosée. C’est la réaction d’hémadsorption visible même à faible grossissement. (LUCAS et al.1967).
Ces deux propriétés, sont utilisées comme méthodes de diagnostic au laboratoire.

Autres systèmes de culture cellulaire

D’autres systèmes de culture sont employés, notamment ceux qui utilisent les cellules de moelle osseuse du porc et de reins, de macrophages alvéolaires de monocytes sanguins, de cellules endothéliales, ou alors les cellules VERO, BHK1.
Le virus se multiplie également dans huit lignées cellulaires issues des arthropodes, mais il n’y provoque pas d’effet cytopathogène, et de plus, il disparaît au bout d’un certain nombre de passages.

Pouvoir pathogène et immunogène

Pathogénie

Le mécanisme d’action de virus est bien connu aujourd’hui.
L’agent pathogène pénètre dans l’organisme par les voies nasale, buccale, et transcutanée, à l’occasion d’une piqûre de tiques porteuses. De là, le virus gagne les amygdales, la muqueuse rétro pharyngienne, et les ganglions lymphatiques correspondants qui sont les lieux de la première multiplication.
Le virus gagne ensuite le sang, où on observe une virémie primaire, suivie d’une généralisation qui s’accompagne d’une fièvre intense, premier signe clinique de la maladie.
Il est ensuite retrouvé dans les cellules du système réticulo-endothélial (S.R.E.). Il s’y multiplie activement au niveau de l’endothélium des petits vaisseaux créant des lésions à l’origine d’hémorragies, d’exsudation séreuse, d’œdème et d’engorgement et des tissus.
La caractéristique majeure de la P.P.A. reste néanmoins la lymphopénie consécutive à une destruction massive des lymphocytes (BLOOD (1976)).

Immunologie

Bien que de nombreuses constatations aient été établies, les connaissances en immunologie sont à ce jourimparfaites. L’on sait tout de même que, les porcs qui survivent à l’infection naturelle, ou à l’inoculation d’une souche partiellement atténuée, résistent généralement aux infections dues aux virus virulents homologues, mais aussi à celles liées à des agents pathogènes hétérologues. Ces porcs résistants sont généralement porteurs du virus (STONE, HESS1967).Le mécanisme de cette protection n’a pas encore été élucidé, bien qu’on sache que les anticorps neutralisants n’y participent pas (DE BOER et al. 1972).Par contre, les anticorps précipitants ont été décelés chezces animaux. Il existe d’autres anticorps : fixant lecomplément, fluorescents, inhibant l’hémadsorption, mais leur rôle est mal connu.
Leur montée s’accompagne d’une hypergammaglobulinémie. (PAN et al. 1970).
Les porcs qui résistent à l’infection naturelle semblent conserver la capacité de former des anticorps neutralisants, et de développer l’hypersensibilité retardée envers d’autres virus (DE BOER.1967). Les travaux de HESS (1985) sur les divers paramètres de l’immunité cellulaire et humorale chez les porcs infectés de P.P.A. chronique, ont montré qu’il existait une lymphocytose accompagnée d’une forte augmentation de cellule T et B, de 7 à 28 jours après l’infection. Pour qui l’altération la plus significative est l’accroissementdes lymphocytose ‘’nul’’. Ces résultats laissent penser que les porcs atteints de P.P.A. chronique conservent leur capacité de réponse cellulaire et humorale pendant l’infection.
Certains auteurs comme WARDLEY (1980),décrivent une lymphopénie B plutôt que celle de lymphocytes T. D’autres par contre, ont trouvé exactement le contraire
La réponse des porcs infectés aux agentsmitogènes diminue quand il s’agit de germes virulents, et augmente quand il s’agit de germes atténués pour certains auteurs. D’autres prouvent le contraire (SALIKI (1985)).
Toutes les différences et contradictions observées selon qu’on consulte un auteur ou un autre sont vraisemblablement liées aux conditions d’expérimentation variables (différentes souches de virus, virulence variable, âge des animaux variables).
On retiendra en conclusion que l’immunologie de la P.P.A. reste obscure et qu’on ne peut que se contenter d’hypothèses, compte tenu de l’état actuel des connaissances.

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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : GENERALITES SUR L’ELEVAGE  PORCIN AU SENEGAL ET LA PESTE  PORCINE AFRICAINE 
Chapitre I : GENERALITES SUR L’ELEVAGE PORCIN AU SENEGAL 
I-1: Répartition et cheptelporcin au Sénégal
I-2 : Importance de l’élevage porcin
I-2-1 : Importance socio-culturelle
I-2-2 : Importance économique
I-3 : Principales races exploitées
I-3-1 : Race locale
I-3-2: – Race importée
I-3-3 : Produits de croisement
I-4 : Système de production
I-4-1 : – Elevage traditionnel
I-4-2 : Elevage moderne
I-4-2-1 : Elevage semi intensif
I-4-2-2 : Elevage intensif
I-6 : Caractéristiques nutritionnelle et Zootechnique
I-5-1 : Alimentation
I-5-1-1 : En Elevage traditionnel
I-5-1-2 : En Elevage Semi Intensif
I-5-1-3 : En Elevage Intensif
I-5-2 : Performance zootechnique
I-6 : Facteurslimitants
I-6-1 : Facteur Alimentaire
I-6-2 : Facteur Hygiénique
I-6-3 : Facteur pathologique
I.6.3.1. Les maladiesparasitaires
I.6.3.2. Les maladiesinfectieuses
I-7 : Action sanitaire
I-7-1: Traitement
I-7-2 : Prévention
Chapitre II : LA PESTE PORCINE AFRICAINE 
II-1 : Généralité de la PPA
II-1-1 : Définition et synonyme
II-1-2 : Espèces affectées
II-1-2 .1 : Le porc domestique (Sus scrofa domesticus)
II-1-2 .2 : Espèces réservoirs
II-1-3: Agent causal
II-1-3-1 : Propriété physique et chimique
II-1-3-1-1 : Données morphologiques
II-1-3-1-2.1 Aux agents physiques et aux conditions dumilieu
II-1-3-1-2.1.1. Le pH
II-1-3-1-2.1.2. La température
II-1-3-1-2.1.3. L’environnement
II-1-3-1-2.2 Aux agents chimiques
II-1-3-1-2.3- Aux conditions de préparation des  denrées alimentaires d’origine animale
II-1-3-2 : Culture du virus
II-1-3-2 .1 In vivo
II-1-3-2 .2 In ovo
II-1-3-2 .3 In vitro
II-1-3-2 .3.1– Culture sur leucocytes de porcs
II-1-3-2 .3.2 Autres systèmes de culture cellulaire
II-1-3-3 : Pouvoir pathogène et immunogène
II-1-3-3 -1– Pathogénie
II-1-3-3 -2– Immunologie
II-1-4 : Symptômeet lésions
II-1-4.1- Forme clinique
II-1-4.1.1- Forme aigue
II-1-4.1.2 – Forme subaigue
II-1-4.2 – Lésions
II-1-5 : Epidémiologie
II-1-5-1 : Epidémiologie Analytique
II-1-5-1-1 : Les Sources du virus
II-1-5-1 .1.1 : Les animaux porteurs et excréteursde virus
II-1-5-1 .1.2.- Les vecteurs de la maladie
II-1-5-1 .1.2.1- Les vecteurs animés
II-1-5-1 .1.2.2 Les vecteursinanimés
II-1-5-2 Epidémiologie synthétique
II-1-5-2-1– Cycle Epidémiologique de la PPA
II-1-5-2.2– Chez les suidés sauvages
II-1-5-2.3– Chez les porcs domestiques
II-1-6 : Diagnostic
II-1-6 .1. Diagnostic épidémio-clinique
II-1-6 .2. Diagnostic différentiel
II-1-6 .3. Diagnostic expérimental
II-1-7 : Prophylaxie
II-1-7-1 : Prophylaxie sanitaire
II-1-7-2 : Prophylaxie médicale
II-2 : Historique et situation de la maladie en Afrique ou répartition géographique
II-2-1 : Historique
II-2-2 : Répartition géographique
II-2-3 : Situation d’enzootie
DEUXIEME PARTIE : PREVALENCE SEROLOGIQUE DE LA  PESTE PORCINE AFRICAINE DANS LES REGIONS DE FATICK, KOLDA  ET ZIGUINCHOR 
CHAPITRE I- MATERIELET METHODES 
I.1- Objectifs de l’étude
I.2- Zones d’études
I.2.1. Fatick
I.2.2. Kolda
I.2.3. Ziguinchor
I.3- Matériel
I.3.1- Sur leterrain
I.3.1.1- Matérielbiologique
I.3.1.2- Matériel non biologique
I.3.2- Au laboratoire
I.3.2.1- MatérielClassique
I.1.2.2- Matérielspécifique
I.4- Méthodes
I.4.1- Sur leterrain
I.4.2. Choix des animauxou élevage
I.2.1.2- Prélèvements
I.4.1.2.1- Prélèvement de sang dans du tube sec
I.4.1.2.2- Sur papier buvard
I.4.1.2.3- Prélèvements d’organe
I.4.2- Au laboratoire
II. RESULTATS
II.1- Résultats
II.1.1- Sur le terrain
II.1.2- Au laboratoire
Conclusion
III.- Discussion
III.1. Matériel et méthodes
III.2. Caractéristiques de l’élevage de porcs au Sénégal
III.2.1. Situation géographique et année de démarrage de l’élevage porcin
III.2.2. Cheptel et races deporc exploitées
III.2.3. Systèmes d’élevage de porcs
III.2.4. Protocole de prélèvements
III.3. Les résultats
III.3.1- Résultats par Région d’étude
III.3.1.1 : Cas de la Casamance
III.3.1.2 : Cas de la région de Fatick
III.3.1.3- Possibilité de contacte et de transmission de la PPA entre Porc et les réservoirs sauvage
III.3.1.4- O. sonrai, rôle dansle cycledomestique
CONCLUSION 
Références Bibliographique
ANNEXES

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