PREVALENCE GLOBALE DU PORTAGE DE L’HELMINTHIASE INTESTINALE 

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MANIFESTATIONS CLINIQUES :

Elles sont absentes en cas de pauci-parasitisme. L’incubation dure environ 15 jours. Lorsqu’elle est symptomatique, elle se déroule en 2 phases [10] :
– Phase 1 : phase d’invasion : Elle est caractérisée par le syndrome de Loeffler qui se manifeste par une toux sèche, une dyspnée, une expectoration muqueuse et un état subfébrile.
– Phase 2 : La phase d’état : elle est due à la présence des vers adultes dans la lumière intestinale. Elle entraîne des douleurs abdominales, des nausées, des vomissements et diarrhée. Le rejet de vers adultes lors de vomissements peut alors apporter le diagnostic. On décrit chez l’enfant un «syndrome vermineux» fait surtout d’irritabilité.
Parfois, des complications peuvent être observées quand on a plusieurs centaines de parasites: l’occlusion intestinale ; l’appendicite aiguë ; la péritonite ascaridienne ; l’ascaridiose biliaire et pancréatique.

DIAGNOSTIC PARACLINIQUE

— L’hémogramme : montre une hyperleucocytose avec hyperéosinophilie (10 à 60 % des leucocytes) [13]. Son intérêt est limité par des réactions croisées avec d’autres parasitoses.
— Examen parasitologique : L’examen parasitologique est négatif à la phase d’invasion, mais positif à la phase d’état. Deux à trois mois après la contamination, les œufs apparaissent dans les selles et confirment facilement le diagnostic.

OXYUROSE

DEFINITION

L’oxyurose est une parasitose intestinale cosmopolite due à un némathelminthe, Enterobius vermicularis. Elle est favorisée par la vie en collectivité.

EPIDEMIOLOGIE

C’est une parasitose digestive cosmopolite, atteignant un milliard d’individus, très fréquente tant en zones tempérées qu’en zones tropicales. [10]

Morphologie :

L’oxyure adulte est un petit ver rond, blanc, filiforme et très mobile. Le mâle mesure 3 à 5mm de long sur 200μm de large avec une extrémité postérieure tronquée et recourbée, et un spicule permettant de différencier les 2 espèces. La femelle mesure 9 à 12 mm de long sur 500 μm de large et présente une queue effilée et pointue.
Les œufs, incolores et lisses, ont une forme ovalaire asymétrique. Ils mesurent 50 à 60μm de long sur 30 à 32μm de large. Dès la ponte, habituellement sur la marge anale, ces œufs sont infestants en moins de 6 heures (auto-infestation possible).

Cycle parasitaire :

Il y a deux modes de contamination : par auto infestation ou par primo infestation.
La dissolution de la coque de l’œuf peut se faire dans l’estomac avec libération de la larve. Elle se différencie en mâle et femelle au niveau de l’iléon et du caecum où on la retrouve adulte après 3 semaines. Après copulation, le mâle meurt et la femelle va migrer vers le rectum pour finalement traverser le sphincter anal où elle s’accroche et libère ses œufs (environ 10 000, surtout le soir et la nuit). Cela va déclencher un prurit important. Si l’enfant se gratte et porte les mains à la bouche, il y a auto infestation. Sinon il peut y avoir une contamination par l’eau, les aliments souillés et la transmission interhumaine par les vêtements, la literie ou les mains. Le cycle dure environ 40 jours. [12]

MANIFESTATIONS CLINIQUES

L’oxyurose est souvent asymptomatique. Le signe essentiel, si elle est symptomatique, est le prurit anal surtout le soir et la nuit. Des douleurs abdominales, une diarrhée dysentérique peuvent accompagner le prurit. On décrit des modifications du caractère (syndrome vermineux) chez les enfants : insomnies, peur, excitation, irritabilité, troubles du caractère, terreurs nocturnes. L’examen clinique peut montrer des lésions de grattage de la marge anale [14]. Parmi les complications, on retient : les vulvovaginites, infections urinaires, une appendicite subaiguë avec présence d’oxyures intra-luminaux.

DIAGNOSTIC BIOLOGIQUE

Le diagnostic macroscopique montre la présence de petits vers ronds blanchâtres piquetés dans les selles et quelques fois au niveau de la marge anale. Il peut être fait par le patient lui-même ou la mère d’un enfant atteint.[12]
Le diagnostic de certitude repose sur le Scotch test de GRAHAM : il va se faire avant les défécations, le matin et avant la toilette anale. Il faut écarter les plis radiés de l’anus et appliquer le ruban adhésif transparent dessus. Puis le coller sur une lame de verre pour être examiné au microscope. Les œufs sont incolores, asymétriques, ovalaires et mesurent 55 par 30 micromètres

Cycle parasitaire : L’homme est le principal réservoir de l’anguillule.

La femelle parthénogénétique enfouie dans la muqueuse duodénale, pond environ 40 œufs/j. Ces œufs éclosent directement dans l’intestin et donnent les larves rhabditoïdes (L1) très mobiles qui seront éliminées avec les selles. Ces larves rhabditoides vont dans le sol, eau, endroits humides. Le cycle peut alors se dérouler de trois façons :

Le cycle direct externe asexué :

Quand le milieu est défavorable (température inférieure à 20°C, hygrométrie insuffisante au niveau du sol) ; les larves rhabditoides (L1) se transforment en une larve strongyloïde (L2) ; puis en larve strongyloïde infestante (L3). L’homme se contamine par passage transcutané (pieds nus dans les sols humides pendant 3 à 5 minutes ou contamination dans les piscines publiques ou thermales car les larves strongiloides infestantes résistent à la chloration). Après ce passage transcutané, la larve strongyloïde infestante (L3) arrive au niveau sanguin et lymphatique, atteint le cœur droit et les poumons entre le 6eme ou 9eme jour. Puis il y a effraction de la paroi alvéolaire, remontée des bronches et de la trachée et arrive au niveau du carrefour aéro-digestif où les larves seront déglutis, gagnent l’œsophage, le duodénum où elles pénètrent la muqueuse et deviennent des adultes parthénogénétiques vers le 17eme jour.

Cycle externe sexué :

Quand le milieu est favorable (T = 25 – 30°C, hygrométrie bonne) ; les larves rabditoides (L1) dans le sol se transforment en formes adultes stercoraux rhabditoides libres. Ils s’accouplent et donnent naissance à des larves rhabditoides 2ème génération (L2 2ème génération) ; se transforment en larve strongiloide (L3). Ensuite, il y a passage transcutané chez l’homme puis rejoint le cycle précédent.

Cycle interne ou endogène d’auto-réinfection :

les femelles parthénogénétiques pondent des œufs qui vont éclore rapidement dans l’intestin. Ce cycle existe dans le cas de larves hyper-infectantes, de ralentissement du transit intestinal ou de déficit immunitaire.
Puis, transformation de l’œuf en larve rhabditoide. Transformation des larves rhabditoides en larve strongiloide infestante directement dans l’intestin sans maturation dans le milieu extérieur. Il s’effectue dans le tube digestif ou au niveau de la marge anale. La larve strongiloide infestante traverse la paroi entérale pour arriver au duodénum. Enfin, elles gagnent l’intestin au stade adulte. Ce cycle particulier explique la ténacité et la durée (jusqu’à 20 ans et plus) de cette parasitose et les formes malignes de la maladie.

MANIFESTATIONS CLINIQUES :

La symptomatologie clinique varie selon que le sujet infecté soit immunocompétent ou immunodéprimé.

Chez l’immunocompétent ou anguillulose commune

L’anguillulose est souvent asymptomatique dans 50 % des cas. Sa découverte est fortuite par la présence d’hyperéosinophilie.
Lorsqu’elle est symptomatique, elle évolue en 3 phases:

Phase d’invasion :

elle correspond au stade de pénétration cutanée et se traduit par une
dermatite d’inoculation avec sensation de brûlure ou de picotements puis par l’apparition d’une éruption érythémato-maculeuse prurigineuse qui persiste 24 à 48 heures.

Phase de migration larvaire:

La migration pulmonaire des larves irrite l’arbre trachéo-bronchique et provoque une toux irritative pouvant ramener les larves par expectoration ; une dyspnée avec parfois des signes généraux: fièvre, arthralgies et céphalées. Des crises d’asthme peuvent s’observer.

Phase d’état : Elle est définie par une triade constituée :

– de symptômes digestifs : douleurs abdominales, diarrhées, parfois nausées et vomissements ;
– de signes cutanés : principalement le larva currens qui est rare mais pathognomonique. Elle se marque par une dermite linéaire fugace par migration sous-cutanée erratique d’une larve : sillon serpigineux, érythémateux, prurigineux avançant de quelques centimètres par heure, localisé au niveau du bassin, des fesses, des cuisses et de l’abdomen. Les autres signes cutanés sont le prurit anal et l’éruption urticarienne.
– enfin des signes pulmonaires : toux irritative, douleurs thoraciques intermittentes, crises asthmatiformes.
Des signes généraux peuvent se rencontrer : asthénie, anorexie, amaigrissement. Cette symptomatologie peut persister durant de nombreuses années en se renouvelant à intervalles irréguliers.

Anguillulose chez l’immunodéprimé ou anguillulose maligne :

C’est une maladie gravissime, généralement mortelle dans 50 à 90 % des cas, suite à un désordre immunitaire [17]. Le tableau clinique associe : des douleurs abdominales intenses, diffuses, parfois avec vomissements et diarrhée profuse ; des pneumopathies alvéolaires ou interstitielles volontiers hémorragiques ; une fièvre constante ; des complications infectieuses multiples : bactériémies, chocs septiques, péritonites, méningites, endocardites ; des atteintes neurologiques : convulsions, méningites, encéphalite, coma.

DIAGNOSTIC PARACLINIQUE :

. L’examen parasitologique des selles fraiches permet de poser le diagnostic de certitude par la découverte de larves de Strongyloides stercoralis. Cependant, la faible ponte des femelles et l’irrégularité de l’élimination des larves exigent de répéter les examens et de pratiquer la méthode d’enrichissement-extraction de Baermann et Lee.
. Technique de coproculture sur boîte de Pétri : c’est la plus performante, mais demandant 2 à 7 jours.
. Autres examens : mis en évidence des œufs et larves dans le liquide d’aspiration duodénale, dans les crachats ou les prélèvements broncho alvéolaires et liquide céphalo-rachidien au cours des formes disséminées.[10]

Une phase d’invasion toujours asymptomatique.

Une phase d’état ou phase intestinale où l’expression clinique est fonction de la charge  parasitaire:

• Asymptomatique, forme la plus fréquente,
• Symptomatique ou trichocéphalose maladie, rencontré surtout chez l’enfant ou chez l’adulte immunodéprimé avec deux formes :
– la forme mineure : se caractérise par un syndrome dyspeptique avec nausées et flatulence, souvent associée à une constipation, amaigrissement et un « syndrome vermineux »,
– la forme majeure est la trichocéphalose massive infantile. Elle atteint les enfants de 2 à 7 ans et réalise plusieurs tableaux cliniques : entérite trichocéphalienne avec douleurs abdominales et diarrhée entraînant une déshydratation ; appendicite à trichocéphales ; rectocolite à trichocéphales réalisant un syndrome dysentérique. Cette rectocolite peut se compliquer d’hémorragies rectales profuses et de prolapsus rectal tapissé de filaments blancs (les vers adultes) fichés dans une muqueuse hémorragique. Cette forme sévère s’accompagne d’une anémie.

DIAGNOSTIC PARACLINIQUE

Le diagnostic est parasitologique par la présence d’œufs caractéristiques ; et aussi endoscopique par la mise en évidence des vers adultes au niveau du rectum et/ou du cæcum.

TRAITEMENT DES NEMATODOSES

TRAITEMENT DE MASSE

La chimiothérapie périodique de masse est axée sur la couche de population la plus exposée, notamment les enfants d’âge scolaire. Actuellement, l’antihelminthique à large spectre comme l’albendazole à la dose de 400 mg en prise unique chez l’adulte et de 200 mg chez l’enfant à partir de 2 ans est fréquemment utilisé [19].

MANIFESTATIONS CLINIQUES

Elle est souvent asymptomatique mais il peut être décrit des douleurs abdominales, des nausées et des troubles de l’appétit (anorexie ou boulimie). L’expulsion des anneaux de ténias est parfois rapportée par le patient ou les parents retrouvant dans le lit de leur enfant des anneaux. Il s’agit alors de T. saginata.
Dans de rares cas, la migration des larves de T. solium dans l’organisme peut provoquer des troubles neurologiques (épilepsie) ou oculaires. Il s’agit de la cysticercose humaine.

DIAGNOSTIC PARACLINIQUE

Le diagnostic de certitude repose sur la mise en évidence des anneaux de ténias ou encore des œufs de ténias (embryophores). Les anneaux sont retrouvés dans les selles. L’examen par transparence des anneaux murs permet de faire la distinction entre les deux espèces de ténias. Les œufs (embryophores) sont retrouvés dans les selles pour les deux espèces ou sur la marge anale (« scotch test ») uniquement pour T. saginata lorsque les anneaux remplis d’œufs sont rompus au moment du passage actif de l’anus.

TRAITEMENT

Les molécules de référence sont :
o NICLOSAMIDE (Tremedine®) 2 comprimés à jeun le matin à mâcher avec un peu d’eau puis deux autres comprimés 2 heures plus tard puis rester à jeun pendant 3 heures ou
o PRAZIQUANTEL (Biltricide®) en dose unique à 10mg/kg.

TRAITEMENT PREVENTIF DES HELMINTHIASES INTESTINALES

LUTTE POUR DIMINUER LA MORBIDITE

Le but est de diminuer la prévalence nationale des parasitoses intestinales.
Elle consiste d’une part, à dépister et à traiter spécifiquement les parasitoses intestinales. D’autre part, à donner un traitement de masse à visée prophylactique afin de diminuer la charge parasitaire chez les porteurs apparemment sains.
La population cible est représentée par les enfants d’âge scolaire, certaines catégories professionnelles comme celles qui favorisent le contact permanent avec les égouts, ainsi que les professions à vocation culinaire comme les cuisiniers, les gargotiers, les serveurs d’hôtel, qui s’occupent quotidiennement des aliments pour la collectivité [25].

LA COMMUNICATION POUR LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT

L’objectif est de promouvoir et renforcer les comportements favorables à la santé avec une entière participation, individuelle que de la collectivité. La communication pour le changement de comportement (CCC) ou l’information éducation communication (IEC) a une place importante dans la lutte contre les parasitoses.
Il est nécessaire de promouvoir tout projet pour :
• l’adduction d’eau saine ;
• la lutte contre le péril fécal, par l’utilisation des latrines et des fosses septiques ;
• la lutte contre l’utilisation des engrais humain et des boues des stations d’épuration pour les cultures maraîchères ;
• l’hygiène corporelle ;
• l’hygiène alimentaire qui consiste à éviter la consommation de viandes crues ou mal cuites, à bien laver les fruits et légumes qu’on doit consommer crus [20].

LUTTE CONTRE LES HOTES INTERMEDIAIRES Elle repose sur :

• l’utilisation de molluscicides ;
• le séchage des rizières et le désherbage des canaux d’irrigation pour la lutte contre la bilharziose intestinale ;
• le contrôle sanitaire des viandes de boucherie pour la lutte contre le taeniasis à Taenia saginata et à Taenia solium [25].

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Table des matières

PREMIERE PARTIE: RAPPELS
I- GENERALITES
II- NEMATODES
II.1- ASCARIDIOSE
II.1.1- DEFINITION
II.1.2- EPIDEMIOLOGIE
II.1.3- MANIFESTATIONS CLINIQUES
II.1.4- DIAGNOSTIC PARACLINIQUE
II.2- OXYUROSE
II.2.1- DEFINITION
II.2.2- EPIDEMIOLOGIE
II.2.3- MANIFESTATIONS CLINIQUES
II.2.4-DIAGNOSTIC BIOLOGIQUE
II.3- ANGUILLULOSE
II.3.1 – DEFINITION
II.3.2 – EPIDEMIOLOGIE
II.3.3 – MANIFESTATIONS CLINIQUES
II.3.4 – DIAGNOSTIC PARACLINIQUE
II.4- TRICHOCEPHALOSE
II.4.1- DEFINITION
II.4.2- EPIDEMIOLOGIE
II.4.3- MANIFESTATIONS CLINIQUES
II.4.4 – DIAGNOSTIC PARACLINIQUE
II.5- TRAITEMENT DES NEMATODOSES
II.5.1- TRAITEMENT DE MASSE
II.5.2- TRAITEMENT SPECIFIQUE
III- PLATHELMINTHES
III.1- TREMATODES : SCHISTOSOMIASE INTESTINALE
III.1.1 – DEFINITION
III.1.2 – EPIDEMIOLOGIE
III.1.3- DIAGNOSTIC
III.1.4- TRAITEMENT
III.2- LES CESTODES : TAENIASIS INTESTINAL
III.2.1- DEFINITION
III.2.2- EPIDEMIOLOGIE
III.2.3- MANIFESTATIONS CLINIQUES
III.2.4- DIAGNOSTIC PARACLINIQUE
III.2.5- TRAITEMENT
IV- TRAITEMENT PREVENTIF DES HELMINTHIASES INTESTINALES
IV.1- LUTTE POUR DIMINUER LA MORBIDITE
IV.2- LA COMMUNICATION POUR LE CHANGEMENT DE COMPORTEMENT
IV.3- LUTTE CONTRE LES HOTES INTERMEDIAIRES
DEUXIEME PARTIE : METHODES ET RESULTATS
I- CADRE D’ETUDE
II- II- MATERIELS ET METHODES
II.1- TYPE D’ETUDE
II.2- POPULATION D’ETUDE
II.3- PARAMETRES D’ETUDES
II.4- COLLECTE ET ANALYSE DES DONNEES
II.5- ANALYSE DES DONNEES
II.6- CRITERES DE POSITIVITE
II.7- LIMITES DE L’ETUDE
II.8- CONSIDERATIONS ETHIQUES
III- RESULTATS
III.1- DESCRIPTION DE LA POPULATION D’ETUDE
III.2- PREVALENCE GLOBALE DU PORTAGE DE L’HELMINTHIASE INTESTINALE
III.3- DESCRIPTION DES ESPECES PARASITAIRES OBSERVEES
III.4- VARIATIONS DE L’INFESTATION SELON LE GENRE
III.5- REPARTITION DES ESPECES REROUVEES SELON LA TRANCHE D’AGE
III.6- VARIATIONS DE L’INDICE D’INFESTATION SELON LES SIGNES CLINIQUES
III.7- VARIATIONS DE L’INFESTATION SELON LE LAVAGE DES MAINS
III.8- VARIATIONS DE L’INFESTATION SELON L’UTILISATION DE SAVON
III.9- VARIATIONS DE L’INFESTATION SELON L’UTILISATION DE LATRINES
TROISIEME PARTIE : DISCUSSION
I- DISCUSSION
I.1- ANALYSE EPIDEMIOLOGIQUE DE PREVALENCE
I.2- COMPARAISON DE LA PRESENTE ETUDE ET DES AUTRES PUBLICATIONS
I.3- ANALYSE EPIDEMIOLOGIQUE SELON LES ESPECES RETROUVEES
I.4- ANALYSE EPIDEMIOLOGIQUE SELON LE GENRE
I.5- ANALYSE EPIDEMIOLOGIQUE SELON LA TRANCHE D’AGE
I.6- ANALYSE SELON LES MANIFESTATIONS CLINIQUES PRESENTES PAR LES ENFANTS
I.7- ANALYSE EN FONCTION DU LAVAGE DES MAINS
I.8- ANALYSE SELON L’UTILISATION DE SAVON
I-9- ANALYSE SELON L’UTILISATION DES LATRINES
CONCLUSION 
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES

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