PREVALENCE ESTIMEE DE LA DEPRESSION SAISONNIERE

HISTORIQUE

       Hippocrate, en 400 avant notre ère, établissait déjà un lien entre les humeurs et les saisons (7). Après lui, Arétée de Cappadoce, au 2ème siècle avant JC, recommandait aux « léthargiques » de se mettre le plus souvent possible au soleil : « les léthargiques doivent être exposés aux rayons du soleil, car leur maladie est due aux ténèbres » (8). En 1825, Esquirol décrit le cas d’un marchand belge, présentant des fluctuations significatives de l’humeur liées aux saisons : euphorique en été, déprimé dès l’automne, et une rémission obtenue après trois hivers passés plus au Sud et au soleil (7). En 1898, un navigateur, Fréderic Cook, fit traiter son équipage en faisant allumer un feu à ciel ouvert après avoir remarqué chez eux fatigue et déprime lors de tout un hiver passé en Antarctique (7). En 1920, Kraepelin observe qu’environ 5 % des patients maniaco-dépressifs présentent une recrudescence d’épisodes dépressifs au cours de l’hiver, et d’épisodes maniaques au cours de l’été. En 1984, Rosenthal et son équipe du NIHM (National Institute of Mental Health) (4) posèrent les bases de la dépression saisonnière telle qu’on la conçoit actuellement et montrèrent l’efficacité de la luminothérapie. Vingt-neuf patients dépressifs saisonniers, recrutés dans la presse, furent exposés à une lumière vive blanche qui permit une amélioration de leurs symptômes après 3 à 7 jours.

Prévalence de la dépression en France

          La dépression est une pathologie très fréquente et un important problème de santé publique. Elle toucherait aujourd’hui plus de 3 millions de personnes de 15 à 75 ans en France chaque année, dont près de 1,5 millions de personnes présenteraient des épisodes d’intensité sévère. Près de 8 millions de Français ont vécu ou vivront une dépression au cours de leur vie (1). La prévalence de la dépression est estimée entre 5 % et 12 % selon les sources et les outils de mesure utilisés (18). L’enquête Anadep (1), lancée par l’INPES en 2005, conçue dans le cadre du Plan Psychiatrie et Santé mentale 2005-2008, avait pour but d’établir une estimation du nombre de personnes affectées par cette maladie, de repérer des facteurs associés, et d’identifier la perception du grand public face à la dépression, permettant de proposer des actions de prévention adaptées. Dans cette enquête, 18 % des personnes interrogées ont déclaré avoir présenté un épisode dépressif caractérisé (EDC) au cours de leur vie. Pour la moitié d’entre elles il s’agissait d’épisodes sévères ; 59 % ne souffraient que d’un seul épisode au cours de leur vie (1). Dans le baromètre Santé 2005 concernant la dépression, 7,8 % des personnes ont présenté un EDC durant l’année précédant l’entretien (19). Les troubles dépressifs ont tendance à être récurrents : près d’une personne sur deux qui présente un épisode dépressif en a déjà présenté au moins un auparavant, tandis qu’environ une sur trois seulement en souffre pour la première fois. Près de deux épisodes sur trois sontrécurrents ou chroniques (19). En 2010, 2,8 % des personnes âgées de 15 à 75 ans ont subi dans les douze derniers mois un EDC sévère, 4,3 % un EDC d’intensité moyenne et 0,7 % un EDC léger (2). La proportion de personnes souffrant de symptômes dépressifs (sans EDC) sur une année s’élève à 18,8 % (19). L’étude Ecogen, première étude de grande ampleur réalisée en France, a décrit l’ensemble de la pratique du médecin généraliste français, analysant les motifs de consultation, les procédures engagées et les résultats de consultation. Les consultations liées à la dépression ont été incluses et analysées au cours d’un travail de thèse. Sur 20 781 consultations, 1 271 concernaient la dépression, soit une prévalence sur les 5 mois de l’étude évaluée à 6,17 %. Le taux d’incidence sur 5 mois était de 8.5 cas sur 1 000 personnes. L’incidence ramenée sur 12 mois était donc de 20.5 cas pour 1 000 personnes-années (20).

Consommations de soins et traitements

        L’épisode dépressif majeur est associé à la consommation de médicaments psychotropes, au soutien psychologique et à la psychothérapie. Selon les recommandations, cette dernière devrait représenter le traitement de base, particulièrement pour les dépressions peu sévères. Elle semble moins fréquemment proposée que les médicaments psychotropes par les médecins généralistes (1). En 2011 l’Assurance maladie a actualisé l’analyse menée en 2007, comparant la consommation et les dépenses de médicaments en Europe dans 7 pays européens (France, Allemagne, Italie, Pays-Bas, Espagne, Suisse, Royaume-Uni), sur la période 2006-2009. Si la France continuait d’occuper, ex-æquo avec l’Espagne, le second rang européen en termes de volumes consommés, l’écart avec les autres pays européens se réduisait de manière significative. La France se caractérisait par la plus faible évolution en volume des 7 pays européens observés, avec une croissance annuelle moyenne de + 0,5 % seulement entre 2006 et 2009. Pour les antidépresseurs, la France était le seul pays européen étudié à connaître une régression des volumes consommés : – 1 % par an en moyenne entre 2006 et 2009. Les 6 autres pays enregistraient, quant à eux, une croissance sensiblement plus élevée : + 6,3 % en Espagne, + 5,2 % en Allemagne, + 3,4 % aux Pays Bas et + 2,2 % en Suisse. Pour cette classe, la France passait du 1er au 3e rang des pays étudiés pour les volumes consommés par habitant (18).

Echelle de DEPISTAGE de Dépression Saisonnière : le Seasonal Pattern  Assessment Questionnaire ou SPAQ

        Le Seasonal Pattern Assessment Questionnaire ou SPAQ est un questionnaire de saisonnalité développé par Rosenthal et son équipe du NIHM en 1987 (36). Le SPAQ est une échelle d’auto-évaluation rétrospective ayant pour objectif premier de mesurer les variations saisonnières du comportement des individus, notamment la durée du sommeil, l’activité sociale, l’humeur (sensation de bien-être), le poids, l’appétit, et le niveau d’énergie. Bien que non développé initialement dans ce but, le SPAQ a depuis longtemps été utilisé comme outil de dépistage dans de nombreuses études épidémiologiques (9). Il a pour avantage d’avoir une durée d’administration brève. Il présente plusieurs échelles. L’une d’entre elles est constituée par les 6 items : sommeil, activité sociale, humeur, poids, appétit, niveau d’énergie, et correspond à l’index de saisonnalité. Ces items sont évalués de 0 à 4 en fonction de l’intensité des changements (0 : pas de changement, 1 : changement faible, 2 : changement modéré, 3 : changement marqué, 4 : changement extrêmement marqué) et donnent un score de saisonnalité global (SSG) allant de 0 à 24 (37). Les autres échelles du questionnaire évaluent :
– dans quels mois de l’année les individus se sentent le mieux ou le moins bien,
– la fluctuation du poids au cours de l’année,
– la durée du sommeil en fonction des saisons,
– la présence de modifications des préférences alimentaires selon les saisons,
– le ressenti du changement en fonction des saisons, s’il existe, comme un problème (souffrance ressentie allant de 0 : aucune, 1 : faible, 2 : modérée, 3 : marquée, 4 : sévère, à 5 : handicapante).
Le trouble affectif saisonnier est défini par un score de saisonnalité global supérieur ou égal à 11, traduisant des changements saisonniers à l’origine d’un épisode dont l’intensité est au moins modérée (souffrance ressentie supérieure ou égale à 2). Ces seuils sont ceux proposés par Kasper et al. en 1989 (12). Si un SSG supérieur ou égal à 11 est obtenu en hiver avec une souffrance ressentie supérieure ou égale à 2, et si les patients remplissent les critères diagnostiques d’un épisode dépressif caractérisé tels que définis par le DSM 5, alors il s’agit d’un trouble affectif saisonnier. Le sub-syndrome saisonnier est défini différemment en fonction des auteurs. Il peut s’agir de sujets qui présentent un SSG de 11 ou plus, associé à une souffrance ressentie de 0 ou 1 (aucune ou faible). Les sujets ayant un SSG de 9 ou 10 et une souffrance ressentie d’au moins 1 (faible) sont aussi considérés comme souffrant de sub-syndrome dépressif saisonnier (12). Cependant ces sujets ne répondent pas aux critères d’épisode dépressif caractérisé (38). Ce questionnaire est un outil de dépistage des troubles affectifs saisonniers. Il ne permet pas à lui seul de poser un diagnostic de dépression saisonnière (9). Cette échelle a fait l’objet de plusieurs études d’évaluation des propriétés psychométriques, pour juger de sa fiabilité et validité. Le SSG semble être la donnée la plus pertinente du SPAQ. Les items du score total ont globalement une bonne consistance interne et la corrélation testretest est généralement acceptable (37). La corrélation, stabilité ou fidélité test-retest consiste à administrer de nouveau le même test aux mêmes sujets après un certain intervalle de temps. Si l’on obtient les mêmes réponses (mesurées par de fortes corrélations) on conclura à la stabilité du test. La stabilité d’un test indique donc à quel point on peut généraliser les résultats au test à diverses occasions. Cette méthode risque cependant de faire naître plusieurs biais liés aux enquêtes en deux temps (effet d’interaction, d’histoire, de maturation, de mortalité …). Les différents auteurs retrouvaient :
– Une corrélation test-retest pour le SSG de 0.51, et pour le score de souffrance ressentie de 0.79 (Thompson et al., 1988) (39)
– La corrélation test-retest était retrouvée faible par Raheja et al. en 1996 (40)
– A 2 mois, la corrélation test-retest était bonne, égale à 0.76 (Young et al., 2003) (41)
Concernant le SPAQ, le coefficient de cohérence interne alpha de Cronbach du SSG était de :
– 0.82 (Magnusson et al., 1997). Cela montrait une bonne validité interne du SPAQ. Cela indique que le score de saisonnalité global est bien construit, et que les 6 items sont cohérents et agissent en synergie pour dépister la dépression saisonnière. La cohérence interne élevée du score de saisonnalité global dans un échantillon de population générale suggère que des variations saisonnières de l’humeur et du comportement ont tendance à exister en population générale, et que la dépression saisonnière est la forme la plus extrême de ces variations (42)
– 0.81, donc plutôt bon (Young et al., 2003) (41)
– 0.85 (Mersch et al., 2004) (9)
Le test non paramétrique Kappa de Cohen permet d’estimer, en prenant en compte le hasard, le taux d’accord ou de « concordance » entre deux ou plusieurs observateurs ou techniques (conformité de deux ou plusieurs informations qui se rapportent au même objet) lorsque les jugements sont qualitatifs. Ce coefficient permet d’évaluer la fiabilité d’un instrument de mesure, l’accord inter-observateurs, et l’accord intra-observateur. Le coefficient Kappa évaluant les diagnostics de dépression saisonnière et de sub-syndrome établis par le SPAQ en comparaison d’une évaluation par un psychiatre était de 0.44 (accord modéré) (Magnusson, 1996) (38). Pour la sensibilité et la spécificité, les auteurs retrouvaient des résultats différents :
– Magnusson retrouvait en associant dans un même groupe les dépressifs saisonniers et sub-syndromes saisonniers, une sensibilité de 94 % et une spécifité de 73 % (prévalence de dépression saisonnière à 19 %). Le SPAQ avait un faible pouvoir discriminant entre les dépressifs saisonniers et les sub-syndromes saisonniers ; les valeurs de sensibilité et de spécificité prises séparément pour chacun de ces deux groupes n’étaient pas satisfaisantes. Les évaluations cliniques retrouvaient cependant la même prévalence de dépression saisonnière que celle trouvée avec le SPAQ (38).
– Dans une étude prospective avec un suivi de 5 à 8 ans, Raheja et al. (1996) retrouvaient une sensibilité de 94 % initialement, et de 74 % au moment de la réévaluation 5 à 8 ans plus tard. La spécificité était de 46 % lors de la réévaluation (pas de donnée de spécificité initiale puisque le SPAQ a été testé sur une population de patients dépressifs saisonniers évalués par des cliniciens). Ils trouvaient une efficacité de 57 % à identifier les patients dépressifs saisonniers, confirmés par un suivi de 5 à 8 ans (40).
– Mersch et al. (2004) retrouvaient une bonne spécificité du SPAQ (94 %) mais une faible sensibilité (44 %). La capacité du SPAQ à correctement classifier les sujets était bonne (81 % de sujets correctement évalués) (9).
– Thompson et al. (2004) avaient une sensibilité de 38.1 % et une spécificité de 78.8 % (43).
– Steinhausen et al. en 2009 montraient une sensibilité à 38.5 % et une spécificité de 89.6 % (6).
– Thompson et al. en 1988 ont évalué la capacité du SPAQ à distinguer les dépressifs saisonniers des sujets sains dans une étude rétrospective. Ils retrouvaient des différences certaines entre les deux groupes. Les sujets bipolaires, constituant un troisième groupe, avaient des réponses intermédiaires. Tous les groupes présentaient des variations saisonnières en hiver dans leur humeur et comportement, suggérant ainsi que les patients dépressifs saisonniers pourraient souffrir d’une forme exagérée de variations saisonnières normales (39).
Au total, le SPAQ arriverait à bien distinguer les dépressifs saisonniers en population normale (11). Il aurait tendance à surestimer la prévalence de la dépression saisonnière mais il reste à l’heure actuelle le questionnaire le plus utilisé dans les études de prévalence de dépression saisonnière, grâce à sa rapidité et facilité d’administration, et parce que c’est celui qui a été le plus étudié. C’est un outil de dépistage et non de diagnostic : il ne peut se substituer à lui seul à une évaluation clinique. Il correspondrait plus au concept dimensionnel de dépression saisonnière, plutôt qu’au diagnostic. Sa limite tient au fait qu’il est fondé non pas sur les définitions catégorielles de trouble dépressif caractérisé, mais sur le concept de saisonnalité, qui est une variable continue (44).

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Table des matières

INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE – LE CONTEXTE
I Historique
II Définition – critères diagnostiques de la dépression saisonnière
III Pré-requis sur les classifications DSM 5 et CIM 10
A – Selon le DSM 5
1 – Trouble dépressif caractérisé
2 – Avec caractère saisonnier
B – Selon la CIM 10
1 – F 33 Trouble dépressif récurrent
2 – F 32 Episode dépressif
3 – Inclure sous F 33.0 et F 33.1 : Trouble dépressif saisonnier
IV La dépression en France en termes de prévalence, épidémiologie, recours aux soins et coût pour le système de soins
A – Prévalence de la dépression en France
B – Epidémiologie et facteurs de risque
C – Conséquences pour les patients au quotidien
D – Comorbidités associées
E – Connaissances de la population concernant la dépression
F – Recours aux soins et aux professionnels de santé
G – Consommations de soins et traitements
H – Coût/dépenses de santé
V Echelles d’évaluation psychométrique de dépression et de dépression saisonnière
A – Echelle de DEPISTAGE de Dépression de Beck : Beck Depression Inventory ou BDI
B – Echelle de DEPISTAGE de Dépression Saisonnière : le Seasonal Pattern Assessment Questionnaire ou SPAQ
C – Echelle de DEPISTAGE de la dépression saisonnière : le Seasonal Health Questionnaire ou SHQ
D – Echelle de DEPISTAGE de la dépression saisonnière : l’Inventory Seasonal Variation ou ISV
E – Echelle d’EVALUATION de la dépression saisonnière selon Hamilton : la Structured Interview Guide for the Hamilton depression rating scale, Seasonal Affective Disorders version ou SIGHSAD
VI Epidémiologie connue à l’échelle mondiale
A – Prévalence
B – Prévalence de la dépression saisonnière parmi les dépressifs
C – Facteurs de risque de dépression saisonnière
1 – Etre une femme – sexe ratio
2 – L’âge
3 – Effet de la latitude
4 – Rôle des facteurs génétiques
5 – Comorbidités psychiatriques
6 – Niveau d’éducation
7 – Statut marital
8 – Mois de naissance
VII Prévalence connue en France
VIII Etiologie et mécanismes physiopathologiques
A – Le rôle de la mélanopsine : diminution de la sensibilité rétinienne à la lumière
B – Le rôle de la mélatonine
C – Le rôle des rythmes circadiens – hypothèse du retard de phase
D – Le rôle des neurotransmetteurs : la sérotonine, la dopamine, la noradrénaline
E – Le rôle des facteurs génétiques
IX Traitement curatif
A – Luminothérapie
1 – Efficacité
2 – Modalités pratiques
3 – Autres indications que la dépression saisonnière
B – Antidépresseurs de deuxième génération (IRS)
C – Simulateur d’aube
D – Psychothérapies : les thérapies cognitivo-comportementales
E – Autres traitements étudiés
X Traitement préventif
A – La luminothérapie
B – Bupropion LP
C – Autres traitements préventifs
XI Conséquences au quotidien pour les patients et évolution
DEUXIEME PARTIE – L’ETUDE
I Matériel et Méthodes
A – Matériel
1 – Type d’étude
2 – Critères d’inclusion
B – Méthodes
1 – Méthodologie du recueil
2 – Questionnaire
3 – Critère de jugement principal
4 – Critères de jugement secondaires
5 – Données recueillies
6 – Analyses statistiques
II Résultats
A – Données générales
1 – Nombre de patients inclus – Flow Chart
2 – Période d’inclusion
B – Gestion des données manquantes : imputation des items manquants à la moyenne des autres items
1 – Pour le SSG
2 – Pour le BDI-13
3 – Pour la souffrance ressentie
C – Caractéristiques de la population d’étude
1 – Le sexe
2 – L’âge
3 – La catégorie socioprofessionnelle (selon la classification de l’INSEE)
4 – Le statut marital
5 – Le nombre d’enfants
6 – La commune d’habitation
7 – Les antécédents psychologiques/psychiatriques, de dépression, et d’hospitalisations en psychiatrie
8 – La prise de traitements psychotropes
9 – L’évaluation du motif de consultation
D – Résultats selon le SSG issu du SPAQ
E – Résultats selon le BDI-13
F – Observations complémentaires
G – Tableau de contingence, odds ratio et risque relatif
H – Corrélation entre le score de saisonnalité global et le BDI-13
I – Recherche d’un effet centre
J – Corrélation des facteurs sociodémographiques et du SSG
III Discussion
A – Critiques générales
1 – Matériel de l’étude
2 – Méthode de l’étude
3 – Biais de l’étude
B – Critiques des résultats
1 – Données manquantes
2 – Caractéristiques de l’échantillon
3 – Estimation de la prévalence de dépression saisonnière par le SPAQ
4 – Estimation de la prévalence de dépression par le BDI-13
5 – Corrélation des facteurs sociodémographiques au SSG
C – Critique du concept de dépression saisonnière
D – Forces et limites de ce travail
E – Utilisation en pratique courante de médecine générale
CONCLUSION
RESUME
ANNEXES

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