Présentation générale des importances et performances de chaque service au niveau des Unions

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Méthodes

Démarches communes aux hypothèses

La confrontation des idées a été le moyen fondamental et le mieux adapté pour le démarrage de la recherche. En effet, la formulation des hypothèses résultait surtout des débats sur les attentes du Projet en question.

Phase exploratoire

De nombreux individus ont fait l’objet de personnes ressources au cours de cette étude. Ils ont pris particulièrement part dans l’élaboration du protocole3 avant la descente sur terrain proprement dite. Ainsi, les sujets de discussion tournaient surtout autour de la restructuration des OP, l’Agriculture Contractuelle, et bien sûr le Projet AROPA et ses activités dans le Sud.
En outre, des recherches bibliographiques et sitographiques ont été menées pour compléter les informations obtenues (Annexe 2). Les centres de documentation exploités sont :
– Celui de l’AROPA Tsimbazaza, pour les informations sur le projet et toutes ses activités ;
– Le centre médiathèque de l’Ecole Supérieure des Sciences Agronomiques d’Antananarivo, pour la consultation des Mémoires de fin d’études pour l’obtention du diplôme d’Ingénieur ayant les thèmes similaires à celui du présent ouvrage ;
– Le Centre d’Information Technique et Economique (CITE) Ambatonakanga ; surtout pour les ouvrages concernant la restructuration des OP.
Le webographie constituait également de centre de documentation permettant de puiser les informations sur les tendances actuelles de l’agriculture contractuelle tant au niveau national qu’international.

Population cible et échantillonnage

Le choix des communes d’intervention dépend principalement du degré d’insécurité dans leurs environs. Les critères de définition de la population de référence sont comme suit :
– Unité d’échantillonnage: chaque Union en collaboration avec PAM pour la commercialisation de maïs;
– Elément : paysan membre de l’Union, genre féminin ou masculin, aboutissant jusqu’au terme final du contrat ;
– Critère de localisation : dans le District d’Amboasary Sud, zone à degré d’insécurité qui n’est pas très critique, zone accessible, avec existence d’au moins une Union paysanne ;
– Critère temporel : Union fondée au plus tard l’année 2012.
En général, la méthode de sélection de l’échantillonnage a été empirique. C’est un échantillonnage de convenance ou accidentel. Dans la majorité des cas, ce dernier ne peut être considéré représentatif d’aucune population mais peut quand même être vérifié par la méthode aléatoire stratifiée non professionnel, une des méthodes scientifiques d’échantillonnage.

Traitements et analyses communs aux hypothèses

Les analyses accompagnent les techniques de recoupement des informations sur la filière maïs dans le Sud de Madagascar ainsi que les données recueillies auprès des personnels administratifs de chaque zone d’étude sur l’évolution des activités des OP sur la filière maïs ou autres. Quant aux traitements, on distingue la comparaison et confrontation des données d’Union par Union, la transformation des variables en tableau matriciel et surtout en variables quantitatives.

Démarches spécifiques aux hypothèses

La démarche de vérification de chaque hypothèse suit des démarches spécifiques selon les objectifs fixés. Celle-ci dépend surtout des outilsde traitement et d’analyse employés.

Hypothèse 1 : ‘‘Le développement de l’activité contractuelle sur la filière maïs au niveau du District d’Amboasary atteste les profondes transformations des Organisations Paysannes dont leur dynamisme sur le plan technique et organisationnel’’.

La collecte d’informations a été faite auprès deseadersl de chaque Union. L’outil de mesure de qualité a permis le calcul et le traitement desdonnées de la corrélation obtenues du logiciel SPSS dans Excel. Ainsi, la capacité de fourniture de services des Unions a été évaluée selon leur mobilisation au niveau des organisations sur la filière maïs, ainsi qu’au niveau des autres activités. Ceci aboutit à la présentation graphiquevisuelle et synoptique des résultats.

Analyse de l’impact économique de l’activité au niveau des paysans

Après l’échantillonnage, des enquêtes ont été menées auprès des paysans contractants en ce qui concerne leurs activités rémunératrices, afinedles classer dans une nouvelle définition de typologie appropriée à l’étude. Ensuite, l’observation et l’analyse des critères de classification de chaque groupe conduisent à la conclusion de l’im pact de premier et de second niveau de l’activité contractuelle selon toujours chaque type d’exploitant. La conclusion provient du recoupement des informations sur les orientations des modes de vie des paysans après le payement de leur production.
L’outil de traitement est le logiciel Excel Stat avec les outils d’analyse : Classification Ascendante Hiérarchique ou CAH, K-means et AnalyseFactorielle Discriminante ou AFD.
– CAH et K-means : pour la classification des exploitants selon leurs activités et leurs productions,
– AFD : pour la confirmation du nombre de classe approprié et proche de la réalité dans l’étude.

Présentation des fonctionnements des Unions

L’analyse des données recueillies porte sur les indicateurs d’autonomie des unions. La démarche comprend l’observation et l’enquête auprèsdes membres de bureau des OP.

Etude économétrique

Les variables aident à expliquer la variation de la prendre les mesures prévisibles pour que celle – là année. L’outil utilisé est le logiciel Stata 8.
production de maïs des paysans afin de existe et soit toujours croissante chaque
– Le modèle économétrique cherché est linéaire, doncde la forme : yi = β0 + β1xi1 + β2xi2 + … + βk-1xik-1 + εi
Avec lequel :
o i = 1, 2, …, n observations,
o k = nombre de paramètres β à estimer,
o yi = observation i sur la variable dépendante quantitative continue y, ici la production de maïs de chaque exploitant,
o xij = observation i sur la variable explicative Xj,
o εi = erreur associée à l’observation i
o βi = Paramètres associés à la variablexij
Le critère de sélection du modèle est le coefficient de détermination R. Ce dernier informe sur le pourcentage de variations des valeurs de Y expliquées par les variations dans les valeurs des variables explicatives Xj, donc par le modèle spécifié (Rakotomalala, 2013).

Plan sociométrique de l’étude

Cette partie montre l’analyse de la situation organisationnelle de tout le système mis en place depuis la distribution de semence maïs aux paysans contractants jusqu’aux collectes de leurs productions (Annexe 7.1). Elle porte sur :
– L’analyse des rôles de tous les acteurs dans le sys tème (Annexe 7.2) et leurs importances surtout dans l’information – communicat ion ;
– L’étude de la possibilité de restructuration des organisations paysannes à partir de ces analyses ;
– L’étude de la pérennisation de la structure du typede modèle d’organisation de développement rural sous l’angle social.
Le traitement des données suit les étapes suivantes:
– Etablissement de l’organigramme formel mis en place dans le système,
– Classement des données, établissement de la sociomatrice selon les liens existants entre les acteurs ; traitement sous Excel ;
– Détermination du plan de communication réel mis enplace qui est l’organigramme informel dans le système ;
Ainsi, l’outil de base du traitement est le schéma montrant les relations et liaisons existantes entre les acteurs dans le système ; schéma utilisépour l’établissement de la sociomatrice. (Annexe 7.3). Ce schéma présente au total 94 acteurs dans le système d’organisation mis en place.

RESULTATS

Le contrat de commercialisation de maïs avec le PAM commençait l’année 2011 avec seulement trois OP. En trois ans, le nombre d’OP participantes passe de 3 à 16. La production varie selon les zones sources et dépend surtout duclimat du milieu en question (Annexe 8).

Bilan-diagnostic technico-organisationnel de l’activité

Pour une association active, chaque service doit être important pour que les paysans membres retirent de profits pour la conduite de leurs activités courantes (MAEP, 2004). L’hypothèse à vérifier est la suivante : ‘‘Le développement de l’activité contractuelle sur la filière maïs au niveau du District d’Amboasary atteste les profondes transformations des Organisations Paysannes dont leur dynamisme sur le plan technique et organisationnel’’.

Mesure de qualité des services offerts

Les Graphes 1 et 2 ci-dessous présentent l’importance et la performance des services au niveau des Unions sous l’organisation de la commercialisation de maïs, et aussi au niveau de leurs autres activités habituelles.

Aperçu des corrélations existantes entre les services

La corrélation entre les services induit aussi uneanalyse sur laquelle sera conclue quel groupe de services est le plus utilisé par les membres ; ce qui est montré par le Graphe 3 suivant.
Les groupes de services les plus utilisés par les paysans membres et qui ont beaucoup plus d’interrelation sont : le service de conseils et de proximités, la prise en charge des travaux, et les autres services offerts par les autres activités. La résolution des problèmes des OP n’a que peu d’interrelation avec tout le reste mais a beaucoup d’influence. Ainsi, la variation des services ayant le degré d’influence supérieur à 1 affecte le changement des autres restants.

Les services autres que le rapportage des activités sont fortement corrélés dans le système d’agriculture contractuel mis en place. Cependant, le partage de tâche, le transport et le stockage ont encore plus d’influence sur le reste.

Etude comparative

Le résultat présente deux points importants celui ed l’Union Hery Mitambatra de la Commune de Tsivory et celui de l’Union Mirailahatse de la Commune de Tanandava dans la Partie Ouest.

Bilan-diagnostic financier de l’activité

L’analyse financière est toujours ramenée à ses sources d’information, elle n’échappe pas à la présentation successive des documents comptables. Cette partie fait ainsi l’objet du diagnostic financier de l’activité de l’Union et aussi son impact réel au niveau des paysans(Hypothèse 2).

DISCUSSIONS

Chaque service comme composant fondamental de chaque système d’organisation

Toute organisation autour d’une activité agricole reflète la vie quotidienne des OP.
D’ailleurs, ces dernières sont bâties pour rendre s ervices à leurs membres (MAEP, 2004).

Les fondements de bases des activités des Unions

Suite à la vive reprise des activités des Unions en 2011, certains changements ont été perçus au niveau de leurs activités quotidiennes. De nombreux services se développent mais d’autres restent en veilleuse. En effet, l’intensité de performance des services qui sont surtout liés à l’activité de commercialisation de maïs et les filières similaires augmente. Ce sont : la publication d’information pour les membres, la capacité de prise en charge des travaux de l’Union, les services de conseils et de proximités offerts par l’Union. Ils constituent aussi les services qui ont le degré d’importance élevé pour esl paysans membres. Par ailleurs, l’explication dépend d’un autre paramètre particulier dont la date de fondement des associations au sein de chaque Union13 (MAEP, 2004). Celles de la Commune de Tsivory, Marotsiraka et Ebelo sont fondées avant l’année 2002, la période où œuvrait le Projet du Haut Bassin de Mandrare dans sa première phase. Ainsi, les Unions concernées devaient s’habituer plus à l’exécution des tâches à entreprendre pour f inir un calendrier agricole. La subvention et la prise en charge des salariés, la création d’autres activités en font partie. Ces services différencient l’Union Hery Mitambatra de Tsivory de toutes les Unions étudiées. Les situations politiques et l’insécurité des milieux mpêchent celles de Marotsiraka et d’Ebelo de suivre le rythme de cette Union.

L’extension des activités des unions

La mise en place de l’agriculture contractuelle dans le cadre de la filière maïs a induit l’offre d’autres types de services au niveau des Unions du District. En effet, en termes de mesures de qualités, les lignes suivantes montrent le degré d’importances et de performances décroissantes des services offerts généralement auniveau de ces 8 Unions, et ceux sous le système d’agriculture contractuelle :
– Importance : GRD1 = STOK > BNFC = TACH > TRSP > RAPAct,
– Performance : BNFC > GRD1 > STOK > TACH > RAPAct > TRSP.
Ainsi, le stockage, le gardiennage des sacs de maïs, et les organisations pour le partage des bénéfices des paysans constituent les services quisemblent êtres importants aux yeux des Unions et de leurs membres. En fait, leurs importances se justifient surtout par la gravité de l’insécurité où l’Organisation Paysanne est exposéedans son milieu. Vient après, le partage des tâches dans tout le système d’organisation. San s ce service, aucune activité ne pouvait avancer afin d’assurer la commercialisation jusqu’a ux termes de son contrat. Néanmoins, les membres de l’Union n’accordent pas plus d’importanc e à celui-ci du fait que ce sont surtout les membres de bureau qui s’arrangent selon leurs capacités et leurs compétences dans toute l’activité.

Les services les plus délaissés au sein d’une Union

Les organisations sur les moyens de transport de la production des paysans vers les magasins de stockage, et, la présentation des rapports d’activités pour les membres à la fin du calendrier prennent la queue en termes de classement lors de la mesure de qualité des services. En effet, la plupart des paysans reste moins actifs après qu’une activité se termine, et, qu’ils aient leurs parts d’intérêt. Pour le service de transport, normalement, les camions collecteurs de PAM devaient entrer jusqu’aux magasins de stockage de chaque zone d’intervention. Et pourtant, dès fois ceux-ci n’arrivaient pas dans les communes classées parmi les zones rouges et laissent aux paysans l’assurance d’une partie du tr ajet.
Ainsi, les situations diffèrent d’une Commune à une autre (Annexe 7). La capacité de fourniture de services des Unions dépend surtout de:
– L’enclavement,
– L’insécurité, et aussi,
– La compétence des membres de bureaux lors du partage des tâches dans toute l’organisation, donc leur leadership.

Les influences des types de services sur tout le système d’organisation

Généralement, de tous les services quotidiens offerts par les Unions, la résolution des problèmes des OP constitue celle ayant le plus haut degré d’influence contrairement à son degré d’interrelation avec les autres services. Ainsi, il a un effet actif sur tout le système et peut inhiber les autres types de tâche que l’Union entreprend. Si des problèmes persistent au niveau des OP, même la diffusion des informations isquer de connaitre ses failles, et les autres activités s’arrêteront.
Dans le cas de l’agriculture contractuelle mise en place, le stockage, le transport, le partage de tâche sont les services qui ont comme degré d’influence supérieure à 1. Ces services ont plus d’effet actif sur le système. A titre d’illustration, le partage de tâche détient le plus haut degré d’influence de tous les types de services offerts, donc toute imprudence sur cette tâche peut provoquer un énorme désordre dans le système, en occurrencel’ le non exécution de l’activité jusqu’à termes de son contrat. Ainsi, le gardiennag e, le partage des bénéfices, le rapportage des activités qui ont le degré d’influence inférieuà 1, n’ont qu’un effet passif sur celui-ci. Ces services ne dépendent pas beaucoup de la suitelogique de la chaine de valeur de la filière dans toutes ses organisations.

En outre, un service agit sur un autre ayant le degré d’influence inférieur au sien. Le résultat suit l’ordre décroissant suivant : TACH > TRSP > STOK > GRD1 > BNFC > RAPAct. De la sorte, le partage de tâche peut stimuler l’organisa tion sur le transport qui peut à son tour modifier toute circonstance sur le stockage etc. Sous un autre angle, le rapportage des activités, le partage des bénéfices et le gardiennage peuvent inhiber les trois autres services alors qu’ils possèdent les plus faibles degrés d’interrelation.

Impact de l’activité sur l’Union et ses membres

La réponse d’un diagnostic financier relève des diférents outils de l’analyse financière. Ce diagnostic est affaire de compréhension économiqueplutôt que technique. Il reflète ainsi le succès ou non de l’activité même sur la vie quotienned des paysans participants.

Diagnostic-pronostic financier de l’activité d’une Union : le cycle d’investissement et le cycle opérationnel stables

L’analyse de la rentabilité de l’activité se faisait durant les cinq premiers exercices. L’année 1 correspond au commencement de la commercialisation de maïs en 2011, et qui ne touchait que seulement trois Communes du District. Le prix du kilo de maïs grains était de 700 Ar ; et en 2012, 720 Ar avec 12 Unions participantes. L’année 2013, il montait à 850 Ar avec 16 Unions participantes au total. Les exercices 4 et 5 constituent des prévisions calculées suivant l’évolution de la situation dans le système. Au niveau de l’année 4, le prix du kilo de maïs est maintenu à 850 Ar, une hypothèse d’augmentation légère du prix est posée en 2015 : 900 Ar.
Le tableau 10 suivant montre le bilan de la situation de l’exercice de l’Union la première et la cinquième année de son fonctionnement. Celui-ci présente l’évolution des actifs et des passifs le long de l’activité par rapport à son éta initial.

Table des matières

INTRODUCTION
I. MATERIELS ET METHODES
I.1. Matériels
I.1.1. Justification du choix du thème
I.1.2. Justification du choix de la zone d’étude
I.1.3. Présentation de la zone d’étude
I.1.3.1. Critères de choix de la zone d’intervention
I.1.3.2. Présentation graphique de la zone d’étude
I.1.4. Présentation des 8 Unions
I.2. Méthodes
I.2.1. Démarches communes aux hypothèses
I.2.1.1. Phase exploratoire
I.2.1.2. Population cible et échantillonnage
I.2.1.3. Traitements et analyses communs aux hypothèses
I.2.2. Démarches spécifiques aux hypothèses
I.2.2.1. Hypothèse 1 : ‘‘Le développement de l’activité contractuelle sur la filière maïs au niveau du District d’Amboasary atteste les profondes transformations des Organisations Paysannes dont leur dynamisme sur le plan technique et organisationnel’’
a. Présentation générale des importances et performances de chaque service au niveau des Unions
b. Etude des corrélations existantes entre les services offerts par les Unions
c. Etude comparative des capacités des Unions
I.2.2.2. Hypothèse 2 : ‘‘Dans le cadre de la filière maïs, la maîtrise de marché sous le mode d’approche ‘Agriculture Contractuelle’ maximise les gains d’efficience des paysans contractants, ce qui motive ainsi leur dynamisme dans toutes leurs activités’’
a. Analyse financière de l’activité
b. Analyse de l’impact économique de l’activité au niveau des paysans
I.2.2.3. Hypothèse 3 : ‘‘Le bon fonctionnement et la pérennisation des activités des Organisations Paysannes requièrent une forte autonomie financière liée à une bonne gouvernance interne ainsi que l’intervention du pouvoir public de manière directe ou indirecte’’
a. Présentation des fonctionnements des Unions
b. Etude économétrique
c. Plan sociométrique de l’étude
II. RESULTATS
II.1. Bilan-diagnostic technico-organisationnel de l’activité
II.1.1. Mesure de qualité des services offerts
II.1.2. Aperçu des corrélations existantes entre les services
II.1.3. Etude comparative
II.2. Bilan-diagnostic financier de l’activité
II.2.1. Outils d’analyse de la rentabilité de l’activité
II.2.1.1. Compte de résultat de l’exercice
II.2.1.2. La structure financière
II.2.2. Aperçu de l’impact direct de l’activité au niveau des paysans
II.2.2.1. Typologie des exploitants
II.2.2.2. Etude d’impact de l’activité selon les classes des exploitants
II.3. Etat des lieux socio-économiques de l’activité
II.3.1. Fonctionnements des Unions
II.3.2. Analyse sur le plan économétrique
II.3.3. Diagnostic sociométrique
III. DISCUSSIONS – RECOMMANDATIONS
III.1. DISCUSSIONS
III.1.1. Chaque service comme composant fondamental de chaque système d’organisation
III.1.1.1. Les fondements de bases des activités des Unions
III.1.1.2. L’extension des activités des unions
III.1.1.3. Les services les plus délaissés au sein d’une Union
III.1.1.4. Les influences des types de services sur tout le système d’organisation
III.1.2. Impact de l’activité sur l’Union et ses membres
III.1.2.1. Diagnostic-pronostic financier de l’activité d’une Union : le cycle d’investissement et le cycle opérationnel stables
III.1.2.2. Caractérisation de l’impact direct de l’activité sur la vie quotidienne des paysans
III.1.3. Conditions de pérennisation de l’activité
III.1.3.1. La contribution de chaque paysan membre au fonctionnement des Unions
III.1.3.2. La signification du modèle d’approche économétrique
III.2. RECOMMANDATIONS
III.2.1. L’importance des appuis des autres entités
III.2.1. Le renforcement des capacités des paysans
III.2.2. La structure financière stable réclamant un statut juridique adéquat
III.2.1. Le rééquilibrage des composantes du système d’organisation des Unions
III.2.1. La considération des réseaux de relations existants du système social
III.2.2. L’importance de la stratégie de vulgarisation dans la mise en œuvre d’un processus de développement rural
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE

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