Tรฉlรฉcharger le fichier pdf d’un mรฉmoire de fin d’รฉtudes
Filiรจres CMOS
Ces avancรฉes technologiques ont รฉgalement permis aux technologies CMOS, qui combinent ร la fois des transistors NMOS et PMOS, d’รฉvoluer fortement au point d’en faire la technologie la plus utilisรฉe dans les circuits intรฉgrรฉs.
Les premiรจres technologies CMOS ont รฉtรฉ introduites par WANLASS et SAH [6] en 1963. Les trois principales structures de la technologie CMOS sont reprรฉsentรฉes sur la Figure 5.
Les premiers circuits CMOS ont รฉtรฉ dรฉveloppรฉs afin d’รชtre compatible avec les processus technologiques mis en place pour les transistors PMOS et les filiรจres NMOS. Par consรฉquent le transistor canal N รฉtait formรฉ dans un caisson P (p-tub) dans un substrat de type N (Figure 5a). Une autre approche est de rรฉaliser le transistor canal P dans un caisson N (n-tub) [7] (Figure 5b). La Figure 5c, montre une approche qui utilise deux cais sons N et P sรฉparรฉs et implantรฉs dans un substrat รฉpitaxiรฉ peu dopรฉ. Cette mรฉthode est appelรฉe ยซย twin-tubย ยป
[8] est peut-รชtre utilisรฉe sur des substrats peu dopรฉs N [8, 9] ou P [10]. Le procรฉdรฉ de fabrication correspondant est prรฉsentรฉ en Annexe 1.
Il est ร noter que la topologie de base des portes CMOS fait apparaรฎtre 4 couches NPNP traduisant l’existence d’un thyristor parasite. L’immunitรฉ au dรฉclenchement de ce thyristor a รฉtรฉ traitรฉ par des solutions de conception liรฉes ร la topologie des masques et au procรฉdรฉ de fabrication.
Sur ces bases, les filiรจres CMOS ont ensuite รฉvoluรฉ afin d’augmenter la densitรฉ d’intรฉgration tout en minimisant le risque de dรฉclenchement (latch-up) du thyristor parasite.
Nous avons reprรฉsentรฉ sur la Figure 6 plusieurs procรฉdรฉs technologiques CMOS pour diffรฉrentes longueurs de grilles [11].
Jusqu’ร une longueur de grille minimale de 0,8๏ ๏ญm, le procรฉdรฉ CMOS peut รชtre rรฉalisรฉ comme illustrรฉ sur la Figure 6a. Un seul dopage de grille (de type N+), un caisson N pour le PMOS et des sources et drains sans extensions LDD conviennent pour cette longueur de grille. Pour supprimer le latch-up, des substrats P+, avec des รฉpitaxies P, sont utilisรฉs. Pour l’isolation des caissons, le procรฉdรฉ LOCOS est suffisant pour parvenir ร la densitรฉ d’intรฉgration requise. Le nombre total de masques n’est que de 5. Pour des longueurs de grille de 0,8๏ ๏ญm et plus faibles, il est prรฉfรฉrable d’utiliser un caisson P pour le transistor NMOS, afin de maintenir le contrรดle de la tension de seuil de ces dispositifs (Figure 6b) [12]. A partir de 0,5๏ ๏ญm, il est prรฉfรฉrable de doper le polysilicium de grille de type N pour les transistors NMOS et de type P pour les transistors PMOS afin de garantir la symรฉtrie des tensions de seuil (Figure 6b) . Les dopages de chaque grille s’effectue nt en mรชme temps que la rรฉalisation des sources et drains de chaque type. En dessous de 0,35๏ ๏ญm, la rรฉalisation de jonctions LDD est indispensable pour assurer un effet de canal court acceptable [12, 13], un bon contrรดle des longueurs de grille et une fiabilitรฉ des composants adรฉquate (Figure 6c) [14]. De plus pour des raisons de densitรฉs d’intรฉgration, le LOCOS est remplacรฉ par des tranchรฉes d’isolation STI (Figure 6c) [15, 16]. Pour ce processus technologique le nombre de masques est passรฉ ร 9. La derniรจre structure (Figure 6d) montre un procรฉdรฉ CMOS intรฉgrable dans un procรฉdรฉ BiCMOS. Ici, le substrat P+/P- est remplacรฉ par des couches enterrรฉes N+ et P+ dans le but de fournir un collecteur pour le transistor NPN tout en maintenant la suppression du latch-up.
Afin d’augmenter la densitรฉ d’intรฉgration, les technologies actuelles utilisent plusieurs niveaux d’interconnexions mรฉtalliques. Par exemple, la technologie CMOS 0,35๏ ๏ญm, illustrรฉe sur la Figure 7, utilise cinq niveaux de mรฉtallisation ce qui augmente d’autant le nombre de niveaux de masques. Nous pouvons noter que pour la mรชme fonctionnalitรฉ basรฉe sur un transistor MOS canal N et un transistor MOS canal P, l’augmentation de la densitรฉ d’intรฉgration a conduit ร utiliser des procรฉdรฉs technologiques de plus en plus sophistiquรฉs et ร augmenter considรฉrablement le nombre de niveaux de masques. Ainsi l’amรฉlioration des performances de ces filiรจres technologiques est clairement liรฉe ร un effort de dรฉveloppement technologique.
Filiรจre bipolaire
Les filiรจres bipolaires ont permis la rรฉalisation de portes logiques de type ECL ou TTL. Le composant de base des filiรจres bipolaires est le transistor NPN (Figure 8). Les technologies bipolaires permettent en outre de rรฉaliser d’autres composants actifs tels que des transistors PNP latรฉraux et verticaux (Figures 9a et 9b) ou des JFET (Figure 9c) et des composants passifs comme des diodes, Zener et Schottky (Figure 9d), des rรฉsistances (Figure 9e) et des condensateurs.
Un des points clรฉ des technologies bipolaires concerne l’isolation entre les diffรฉrents transistors. Les techniques utilisรฉes sont fondamentales dans la rรฉussite de l’intรฉgration et conditionnent la densitรฉ, la consommation (courants de fuite) et les performances dynamiques (capacitรฉs parasites) des fonctions rรฉalisรฉes. Les diffรฉrents types d’isolations sont l’isolation par jonction diรฉlectrique (trรจs peu utilisรฉe) et mixte c’est-ร -dire par diรฉlectrique et par jonction. Les premiรจres technologies bipolaires s’appuyaient sur des technologies simples oรน รฉmetteur, base et collecteur รฉtaient rรฉalisรฉs en surface par des implantations ioniques. La Figure 10 montre la rรฉalisation d’un transistor NPN vertical avec isolation mixte.
Le substrat de dรฉpart est de type P peu dopรฉ. Aprรจs l’implantation de la couche enterrรฉe N+ une รฉpitaxie N est rรฉalisรฉe (Figure 10a). Ensuit e on fait croรฎtre une couche d’oxyde (SiO 2) et l’on dรฉpose du nitrure (Si3N4). La couche de nitrure empรชche l’oxydation du silicium en dessous et l’oxyde protรจge des dรฉfauts induits par les รฉtapes d’oxydation ร haute tempรฉrature. De la rรฉsine est dรฉposรฉe est gravรฉe suivant le masque reprรฉsentรฉ sur la Figure 10b. La rรฉsine sert de masque lors de la gravure de l’oxyde et du nitrure jusqu’ร environ la moitiรฉ de l’รฉpitaxie. L’implantation ionique de bore rรฉalise le stop-channel (Figure 10c). Le stop-channel permet de surdoper le substrat P sous l’oxyde d’isolation et empรชche l’inversion du substrat peu dopรฉ qui pourrait ainsi court-circuiter les couches enterrรฉes. La rรฉsine est enlevรฉe et les plaquettes sont oxydรฉes ce qui fait que la couche รฉpitaxiale est convertie en SiO2 ร part celle se trouvant sous le nitrure (Figure 10d). Ces รฉtapes comportant de longs cycles thermiques sont faites avant la fabrication de la partie active des transistors pour pouvoir conserver des jonctions peu profondes. Aprรจs l’attaque du nitrure, la base est rรฉalisรฉe en implantant du bore (Figure 10d). Les trous de contacts de base, d’รฉmetteur et de collecteur sont rรฉalisรฉs ร l’aide du mรชme masque (Figure 10e). Ensuite, un masque de rรฉsine protรจge la rรฉgion de base afin d’implanter les รฉmetteurs et collecteurs avec de l’arsenic ร basse รฉnergie (Figure 10f). Enfin, une couche de nitrure est dรฉposรฉe puis gravรฉe avant de dรฉposer le mรฉtal qui est ensuite gravรฉ (Figure 11).
La rรฉduction des dimensions des filiรจres bipolaires s’est opรฉrรฉe notamment grรขce ร la rรฉalisation des collecteurs enterrรฉs et au dรฉveloppement des รฉmetteurs en polysilicium (Figure 12) [11, 20].
Filiรจre BiCMOS
La technologie BiCMOS intรจgre ร la fois les filiรจres CMOS et bipolaire. Il est ร noter que la premiรจre association MOS bipolaire a รฉtรฉ rรฉalisรฉe en 1969 [21]. L’intรฉrรชt du BiCMOS rรฉside dans le fait qu’il combine les ava ntages du CMOS (haute intรฉgration et faible consommation) et du bipolaire (transconductance et vitesse de commutation รฉlevรฉes) moyennant cependant une complexitรฉ technologique accrue. Selon le composant que l’on voudra favoriser, la technologie de dรฉpart peut-รชtre soit CMOS ร laquelle on ajoute des dispositifs bipolaires soit des transistors bipolaires complรฉmentaires (NPN et PNP rapides) complรฉtรฉs par des portes CMOS. La premiรจre approche est plutรดt celle des applications numรฉriques, la seconde, celle des applications analogiques et mixtes.
La base du dรฉveloppement du BiCMOS consiste ร combiner ร la fois les effets MOS en surface et bipolaire en volume sans sacrifier aucune des performances de chacun.
La Figure 13 reprรฉsente un exemple de fabrication d’une technologie BiCMOS comprenant un CMOS rรฉalisรฉ en caisson avec grilles dopรฉes N et P, et un bipolaire ร รฉmetteur simple autoalignรฉ. Le substrat de dรฉpart est de type P. Tout d’abord on rรฉalise les couches enterrรฉes N+ et P+ par implantation ionique d’arsenic et de bore puis en faisant croรฎtre une couche รฉpitaxiale non dopรฉe. Ensuite, on rรฉalise un oxyde de champ, dรฉlimitรฉ ร l’aide d’une photolithographie, et un contact traversant jusqu’au collecteur enterrรฉ. Deux masques supplรฉmentaires permettent la rรฉalisation des caissons N et P du CMOS et du collecteur N du bipolaire.
On fait croรฎtre l’oxyde de grille qui est enlevรฉ de la partie bipolaire avant de dรฉposer une fine couche de polysilicium matรฉrialisant l’รฉlectrode de grille des MOS et l’รฉmetteur du transistor bipolaire. Habituellement, cette fine couche dรฉposรฉe sur l’oxyde de grille permet de protรฉger l’interface oxyde/polysilicium [22]. La structure ร ce stade de fabrication est reprรฉsentรฉe sur la Figure 13a. Ensuite, une implantation peu profonde de bore permet de rรฉaliser la base intrinsรจque du NPN. Une couche de polysilicium รฉpais est dรฉposรฉe pour complรฉter les grilles des CMOS et l’รฉmetteur du NPN. Deux masques sont utilisรฉs pour doper le polysilicium des grilles N+ et P+ des CMOS et de l’รฉmetteur N+. Le polysilicium est ensuite gravรฉ suivant les motifs voulus. Les espaceurs diรฉlectriques sont formรฉs le long des grilles du CMOS et des รฉmetteurs du NPN. Le dispositif ร ce stade est reprรฉsentรฉ sur la Figure 13b. Deux masques sont utilisรฉs pour implanter de l’arsenic, ou de l’antimoine, et du bore pour former les sources et drains des transistors CMOS, et les contacts de base extrinsรจque du bipolaire (Figure 13c). Un film diรฉlectrique est dรฉposรฉ et les contacts sont ouverts. Les connections mรฉtalliques sont formรฉs, en dรฉposant du tungstรจne, et en appliquant un procรฉdรฉ de planarisation mรฉchanico-chimique. Enfin, le mรฉtal est dรฉposรฉ et les lignes sont formรฉes ร l’aide d’un autre masque. La structure complรจte de ce BiCMOS est illustrรฉe sur la Figure 13d. Le nombre total de masques est de 16 et augmente de 2 pour chaque niveau de mรฉtal supplรฉmentaire.
Evolution des technologies de composants de puissance
La technologie double diffusรฉe pour les transistors MOS de puissance
Dans le domaine des dispositifs de puissance, l’introduction de la technologie dite ยซย double diffusรฉeย ยป, permettant la rรฉalisation des structures MOS de puissance verticales VDMOS et latรฉrales LDMOS, a constituรฉ l’รฉtape dรฉcisive dans l’รฉvolution enregistrรฉe ces derniรจres annรฉes. Il est ร noter, que ce processus de fabrication dรฉcoule directement du principe d’autoalignement par rapport ร une grille en silicium polycristallin dรฉveloppรฉ pour les technologies MOS des circuits intรฉgrรฉs.
Le transistor VDMOS de puissance, prรฉsentรฉ sur la Figure 19, a une structure verticale. Le courant y circule verticalement. Le drain est localisรฉ sur la face arriรจre de la plaquette, la grille et la source sont, quant ร eux, sur la face supรฉrieure. Le principe de rรฉalisation de ce transistor est basรฉ sur lโutilisation du processus de double diffusion de type P et N pour rรฉaliser, ร partir d’une plaquette de silicium รฉpitaxiรฉe N- sur un substrat N+, les zones de substrat de source, et de canal. Le processus technologique, reprรฉsentรฉ sur la Figure 20, dรฉbute par la rรฉalisation d’une zone P+ jouant le rรดle de substrat, puis dโun oxyde mince, suivi dโun dรฉpรดt dโune couche de polysilicium qui constitue la grille. Aprรจs gravure de cette grille, une zone P de canal autoalignรฉe est dรฉfinie par implantation ionique. Aprรจs une รฉtape de masquage, les zones N+ de source sont diffusรฉes en utilisant aussi la grille comme bord de masquage. Pour terminer, la structure est mรฉtallisรฉe, les zones de contact sont gravรฉes, et lโensemble est passivรฉ.
|
Table des matiรจres
INTRODUCTION GENERALE
I. EVOLUTION DES FILIERES TECHNOLOGIQUES DES CIRCUITS INTEGRES ET DES DISPOSITIFS DE PUISSANCE
I.1. EVOLUTION DES STRUCTURES ET DES FILIERES TECHNOLOGIQUES DES CIRCUITS INTEGRES
I.1.1. Filiรจres NMOS
I.1.2. Filiรจres CMOS
I.1.3. Filiรจre bipolaire
I.1.4. Filiรจre BiCMOS
I.1.5. Grandes tendances de l’รฉvolution des circuits intรฉgrรฉs
I.2. EVOLUTION DES TECHNOLOGIES DE COMPOSANTS DE PUISSANCE
I.2.1. La technologie double diffusรฉe pour les transistors MOS de puissance
I.2.2. Le dรฉveloppement des IGBT
I.2.3. Apport des technologies des circuits intรฉgrรฉs au dรฉveloppement des composants de puissance
I.3. EVOLUTION DES FONCTIONS DE PUISSANCE INTEGREES
I.3.1. Circuits intรฉgrรฉs de puissance
I.3.2. Intรฉgration fonctionnelle
I.3.2.1. Les associations bipolaires-bipolaires pour des dispositifs plus complexes que le thyristor ou le triac
I.3.2.2. Evolution vers les associations MOS-bipolaires
I.3.2.3. Exemple d’intรฉgration de fonctions spรฉcifiques
I.3.3. Prolongement de l’intรฉgration fonctionnelle
I.3.4. Apport des technologies des circuits intรฉgrรฉs au dรฉveloppement des fonctions de puissance intรฉgrรฉes
I.4. CONTRAINTES DE LA FILIERE TECHNOLOGIQUE ADAPTEE A L’INTEGRATION FONCTIONNELLE
II. PRESENTATION ET OPTIMISATION DE LA FILIERE TECHNOLOGIQUE FLEXIBLE
II.1. OBJECTIFS DE LA FILIERE
II.2. OPTIMISATION DES ETAPES DE BASE (FILIERE IGBT AUTOALIGNE)
II.2.1. Enchaรฎnement des รฉtapes de base
II.2.2. Description et optimisation des รฉtapes de base
II.2.2.1. Terminaison de jonction
II.2.2.2. Anode P+ face arriรจre
II.2.2.3. Grille en polysilicium
II.2.2.3.1. Oxyde de grille
II.2.2.3.2. Dopage du polysilicium
II.2.2.4. Rรฉalisation des caissons P
II.2.2.5. Rรฉalisation des caissons P+
II.2.2.6. Rรฉalisation des rรฉgions N+
II.3. ยซย STRUCTUREย ยป DE LA FILIERE COMPLETE
II.4. OPTIMISATION DES ETAPES D’IMPLANTATION IONIQUE A TRAVERS LES REGIONS DE GRILLE POUR MATERIALISER LES CANAUX PREFORMES
II.4.1. Simulations bidimensionnelles
II.4.1.1. Transistors PMOS ร canaux prรฉformรฉs
II.4.1.2. Transistors NMOS ร canaux prรฉformรฉs
II.5. VALIDATION EXPERIMENTALE
II.5.1. Conception des dispositifs MOS
II.5.2. Description du processus technologique
II.5.2.1. Oxydation de masquage
II.5.2.2. Court-circuit P+
II.5.2.3. Oxydation de grille
II.5.2.4. Dรฉpรดt de polysilicium
II.5.2.5. Dopage du polysilicium
II.5.2.6. Rรฉalisation des caissons P des NMOS et des rรฉgions de sources et drains des PMOS
II.5.2.7. Redistribution du P et du P+
II.5.2.8. Rรฉalisation des rรฉgions N+ en dehors des rรฉgions P dรฉjร ouvertes
II.5.2.9. Rรฉalisation des cathodes N+
II.5.2.10. Redistribution du N+
II.5.2.11. Rรฉalisation des canaux prรฉformรฉs N
II.5.2.12. Rรฉalisation des canaux prรฉformรฉs P
II.5.2.13. Redistribution des canaux prรฉformรฉs
II.5.2.14. Dรฉpรดt de nitrure
II.5.2.15. Ouverture des contacts et mรฉtallisation
II.5.3. Rรฉsultats expรฉrimentaux
II.5.3.1. Caractรฉrisation physique
II.5.3.1.1. Transistors MOS ร enrichissement
II.5.3.1.2. Transistors MOS ร canaux prรฉformรฉs
II.5.3.2. Caractรฉrisation รฉlectrique
II.5.3.2.1. Transistors MOS ร enrichissement
II.5.3.2.2. Transistors MOS ร canaux prรฉformรฉs
II.6. OPTIMISATION DES ETAPES SPECIFIQUES
II.6.1. Cathode N+ face arriรจre et diode antiparallรจle
II.6.2. Anode semi-transparente
II.6.3. Caissons traversant pour pรฉriphรฉrie
II.6.3.1. Rรฉalisation des tranchรฉes profondes
II.6.3.2. Remplissage des tranchรฉes de polysilicium fortement dopรฉ bore
II.6.3.3. Diffusion du bore contenu dans le polysilicium
III. VALIDATION DE LA FILIERE TECHNOLOGIQUE
III.1.RECAPITULATION DES ETAPES TECHNOLOGIQUES DU PROCESSUS DE FABRICATION
III.2.CHOIX, CONCEPTION ET VALIDATION EXPERIMENTALE DES VEHICULES DE TESTS.
III.2.1. Transistors MOS
III.2.1.1. Conception
III.2.1.2. Validation expรฉrimentale
III.2.1.2.1. Transistor MOS ร enrichissement
III.2.1.2.2. Transistors MOS ร canaux prรฉformรฉs
III.2.2. Cellules tests
III.2.2.1. Conception des structures
III.2.2.2. Validation expรฉrimentale
III.2.2.2.1. Diodes Zener
III.2.2.2.2. Transistors bipolaires
III.2.3. IGBT
III.2.3.1. Conception
III.2.3.2. Validation expรฉrimentale
III.2.3.3. Caractรฉristique dynamique
III.2.4. IGBT ร canal prรฉformรฉ
III.2.4.1. Conception
III.2.4.2. Validation expรฉrimentale
III.2.5. EST (Emitter Switched Thyristor)
III.2.5.1. Conception
III.2.5.2. Validation expรฉrimentale
III.2.6. Thyristor-MOS autoamorรงable et blocable
III.2.6.1. Conception
III.2.6.2. Validation expรฉrimentale
III.2.7. Capteurs de tension d’anode
III.2.7.1. Conception de la structure
III.2.7.2. Validation expรฉrimentale
III.2.8. Thyristor dual et fonction micro-disjoncteur
III.2.8.1. Thyristor dual
III.2.8.2. Rappel du principe de fonctionnement
III.2.8.3. Dispositif thyristor dual avec suppression du courant de fuite
III.2.8.3.1. Rappel du principe de fonctionnement
III.2.8.3.2. Conception du dispositif avec blocage de la fuite
III.2.8.3.3. Validation expรฉrimentale
III.2.8.4. Micro-disjoncteur
III.2.8.4.1. Rappel du principe de fonctionnement
III.2.8.4.2. Conception du micro-disjoncteur ร IGBT
III.2.8.4.3. Validation expรฉrimentale
III.3.TERMINAISON DE JONCTION SYMETRIQUE EN TENSION
CONCLUSION GENERALE
ANNEXE 1
Tรฉlรฉcharger le rapport complet