ELEVAGE BOVIN ET CARACTERISTIQUES
Effectifs
Le Sénégal, pays sahélien par excellence, a une vocation essentiellement agropastorale. Le cheptel y est riche et varié.
Les statistiques de la Direction de l’Elevage (DIREL) font état de 3 388 000 têtes de bovins alors que les petits ruminants font au moins 4 818 000 têtes sans compter les autres espèces animales (DIREL, 2003). Les données sur les effectifs du cheptel restent très approximatives. En effet, le dernier recensement du cheptel sénégalaisdate de 1974. Depuis cette date, les effectifs du cheptel font pour la plupart l’objet d’estimation. A cet égard, la DIREL précise que les estimations sont réalisées sur la base des effectifs vaccinés, auxquels il est affecté un taux de correction. Ce taux est représenté pour chaque espèce animale par un taux de croissance qui, souvent reste constant pendant plusieurs années. Ces données sur les effectifs du cheptel bien qu’approximatives, connaissent néanmoins une évolution sensible notamment sur les effectifs des bovins.
Evolution du cheptel
Compte tenu de l’importance des pertes économiques engendrées par les maladies animales du bétail, la politique de protection vaccinale est perçue comme une priorité et les campagnes annuelles de vaccination sont institutionnalisées depuis 1964. Les résultats de cette politique se sont traduits par une amélioration générale de la santé animale (disparition de lapeste bovine, contrôle de la péri pneumonie contagieuse bovine) et une augmentation considérable des effectifs bovins et des petits ruminants qui ont atteint en 1971 de nouveaux records avec respectivement 2 674 000 et 804 000 têtes.
Cependant, de 1973 à 1981, les systèmes d’élevage ont été durement affectés par la dégradation de l’environnement international, les difficultés d’accès aux financements extérieurs et les sécheresses successives. Les pertes enregistrées au cours de ces crises climatiques ont révélé les limites des options techniques, économiques et sociales de la décennie antérieure. En 1973, le pays a perdu près de 20 % du cheptel bovin ; 10 % des ovins et caprins (SONED,1999). A partir de 1982, la mise à contribution des projets d’appui à l’élevage a permis de maintenir une situation zoosanitaire satisfaisante même si les maladies detype enzootique comme laFièvre Aphteuse (FA), la Dermatose Nodulaire Contagieuse Bovine (DNCB), la trypanasomoseetc., ont continué à sévir.
Les effectifs animaux faisant l’objet d’immunisation et les traitements ont augmenté au fil des années. Cet accroissement du cheptel national consécutif à une bonne couverture sanitaire, est lié à la libéralisation de la médecine vétérinaire individuelle et, à l’instauration d’un programme de soinsvétérinaires de base avec l’appui d’auxiliaires du milieu éleveur (NDIAYE, 2003). Ainsi depuis 1992, le cheptel bovin a enregistré une nette évolution comme l’indique le tableau I de la page 11.
Les races exotiques
En dehors des races dites locales,il existe des races importées, qui sont généralement hautes de lait. Il s’agit des races Jerseyaise, Montbéliarde, Pakistanaise, Guzéra et Holstein.
Zones d’élevage et structures d’encadrement
Dans le cadre du schéma de développementdes productions animales, le Conseil Interministériel du 27 décembre 1971 avait défini cinq zones écologiques différentes dans leur vocation mais complémentaires où l’élevage bovin est effectué.
Dans chaque zone, le développement de l’élevage est confié à des sociétés ou projets de développement.
La zone sylvo-pastorale
Elle correspond au bassin du Ferlo (domaine septentrional du pays, se situant entre la vallée du fleuve Sénégal et le bassin arachidier). Cette zonecouvre près du tiers de la superficie du pays et concentre le quart du cheptel sénégalais. Elle demeure par excellence le domaine de l’élevageextensif, pratiqué par les Peuhls Diéris, par ses vastes aires de pâturage.
La Société de développement de l’Elevage dansla zone Sylvo-Pastorale (SO.D.E.S.P) avait mis en place depuis 1975 un projet de stratification de l’élevage bovin. Le projet consistait au naissage intensif au nord de la zone sylvo-pastorale où lapluviométrie est faible, au ré-élevage plus au sud où la pluviométrie est meilleure et, à l’embouche en zone péri-urbaine (Keur massar, Dakar).
Le projet a été dissout au mois de mai 1999. .Actuellement le Projet d’Appui à l’Elevage (P.AP.EL) y intervient pour la mise en valeur plus rationnelle des potentialités de production fourragère et animale, à travers la mise au point etletest de modèles d’Unités Pastorales (U.P).
La zone de la vallée du fleuve Sénégal
Elle s’étend de Saint-Louis à Bakel entre le fleuve Sénégal et la route reliant Saint-Louis et Bakel. C’est une zone surtout à vocation agricole. L’élevage bovin quant à lui,y est pratiqué par quelques familles Toucouleurs spécialisées dansle ré-élevage, l’embouche et la production laitière.
Avec l’installation des barrages, d’importants aménagements sont en cours pour une intégration très poussée de l’agriculture et de l’élevage. Les sous-produits agricoles pourront être utilisés davantage dans l’alimentation intensive du bétail. Des opérations pilotes d’amélioration génétique ont été menées dans le cadre du Projetde Développement Agricole dans le département de Matam (PRO.D.A.M).
La zone du Bassin arachidier
Cette zone constitue une grande partie du territoire national et s’étend dela région de Louga jusqu’à la région de Tambacounda. C’est une zone d’accueil où l’activitéprincipale est la culture de l’arachide avec d’autres types de culture (mil, maïs, coton), parallèlement à l’élevage bovin qui y est pratiqué par plusieurs ethnies. En effet, il y existe des quantités importantes desous-produits agricoles et agro-industriels permettant le ré-élevage et l’embouche paysanne des bovins pendant la morte saison.
Le P.AP.EL œuvre pour une intensification des productions animales et une intégration agriculture-élevage dans le Bassin arachidier, à travers la mise en place et la consolidation d’exploitations mixtes intensifiées (embouches bovine et ovine, production laitière).
La zone du sud (Casamance, Sénégal Oriental)
Elle regroupe les régions recevant plus de 1000 mm d’eau de pluies par an, correspondant aux limites administratives de la Casamance ainsi que du département de Kédougou. C’est le domaine de l’élevage semi extensif et sédentaire. Malgré la présence de glossines, l’élevage peut s’y développer car les races exploitées (Ndama, Djallonké) sont trypanotolérantes. L’association agriculture et élevage s’y prête.
La Société de Développement des Fibres Textiles (SO.DE.FI.TEX) tente dans la zone l’intensification des productions bovines (viande et lait) avec le développement des étables fumières.
La zone des Niayes
C’est la zone de maraîchage par excellence. Elle correspond au littoral atlantique du nord de la Presqu’île du Cap-vert, de Dakar à Saint-Louis.
Cette zone constitue un important centre de consommation ; enplus des principaux sousproduits agricoles et agro-industriels, elle bénéficie des potentialités techniques, financières ethumains nécessaires à l’intensification des productions animales. En effet, elle abrite des élevagesintensifs laitiers avec l’exploitation de races bovines exotiques.
Systèmes d’élevage
Les systèmes de production animale sont rarement spécialisés et restent dominés par les modes extensifs de conduite des troupeaux. La prise en compte de certains critères de différenciation comme la place relative de l’agriculture et de l’élevage dans l’économie nationale ainsi que les performances des productions agricoles et pastorales, les pratiques d’élevages etc.… permettent d’établir une typologie des systèmes de production (SONED, 1999). Ainsi au Sénégal, l’élevage étant bien une tradition dont les habitudes se préserventde génération en génération, la majorité des élevages est donc de type traditionnel c’est à dire extensif. L’élevage de type intensif est pratiqué par des fermes à haut potentiel.
A cet effet, POUYE (1998) définit, au Sénégal, trois catégories de systèmes d’élevage.
La première catégorie est formée par les systèmes pastoraux de la zone sylvo-pastorale (départements de Linguère et de Louga, sud des départements de Dagana, Podor, Matam et l’ouest du département de Bakel). Ils sont basés sur la valorisation des terresarides et sub-arides impropres à l’agriculture. On y rencontre des pasteurs nomadesvivant des produits de leur bétail. Ce système est caractérisé par une exploitation extensive des pâturages grâce à la mobilité des hommes et du bétail qui permet de minimiser les risques dus aux facteurs climatiques défavorables. A terme, ce système est condamné à disparaître du fait de l’extension des surfaces cultivées dans les zones lesplus favorables qui sont celles disposant de réserves fourragères etde l’eau en quantité suffisante pendant la saison sèche.
Les systèmes agricoles agropastoraux constituent la 2 ème catégorie. Ils exploitent le foncier à la fois par les cultures et les animaux qui participent ensemble à la formation du revenu des a gropasteurs de la région. Ces systèmes varient des formes d’intégration verticales et horizontales plus ou moins réussies, à la simple juxtaposition d’activités indépendantes, en passant par des rapports plus ou moins conflictuels pour l’accès aux ressources de base, en particulier le foncier et l’eau.
Selon BA (2001), cette forme récente d’élevage sédentaire accompagne les progrès de l’intensification de l’élevage et contribue à la stabilisation globale de la migration pastorale.
La dernière catégorie est formée par les systèmes agropastoraux périurbains. Ces systèmes très spéculatifs, se développent autour des centres urbains à la faveur d’une demande solvable enproduits animaux, maraîchers et arboricoles. Le taux de croissance urbaine du pays pourrait relancer ce système, qui est confronté à un nombre et un volume d’activités faibles (POUYE, 1998).
Les marchés à bétails
Selon CRAPELET (1966) lorsqu’il y a des transactions importantes, sur un même lieu physique on voit apparaître un marché avec formation des cours ; par définition un marché d’animaux vivants est un lieu de vente qui présente l’unité de lieu et l’unité de temps.
A présent les marchés présentent un aspect économique complexe puisqu’ils sont libres et concurrentiels. Au Sénégal les transactions de bétail se font à trois niveaux à savoir : le marché primaire, le marché secondaire et le marché terminal.
Le marché primaire
Le marché primaire aussi appelé « Louma » est organisé une fois dans la semaine dans beaucoup de localités à travers le pays. Il constitue le premier lieu de rencontre entre les producteurs et les Dioulas. Ces derniers conduisent les animaux achetés vers le marché secondaire. Du fait de l’enclavement des marchés primaires, le cheminement des petits ruminants est assuré surtout par des « charrettes ». Les bovins quant à eux sont acheminés sur pied.
Le marché secondaire
C’est un centre de regroupement et de tri des animaux destinés aux marchés terminaux de consommation. Le marché secondaire apparaît comme un passage obligé pour la vente d’animaux de qualité. A ce niveau, sont rencontrés des Groupements d’Intérêt Economique (GIE) qui recensent les emboucheurs intéressés pour le convoyage des animaux vers les marchés terminaux. Le transport est assuré par des camions loués.
Le marché terminal
Aussi, appelé marché de consommation, le marché terminal constitue le lieu d’approvisionnement des chevillards et des bouchers abattants. Une fois arrivée au marché terminal, l’usage veut que les Dioulas choisissent un tuteur ou bien intermédiaire qui sert de logeur et quiaide à la vente. Le tuteur peut percevoir entre 1.000 et 2.000 F CFA pour chaque transactionconclue (FADIGA, 1990 ).
Les foirails
Les foirails sont aussi appelés parcs. Ce sontde grands enclos où sont parqués les animaux juste avant l’acheminement final vers les abattoirs. Mais parfois à partir de foirails les animaux sont transportés vers d’autres marchés. Des foirails jusqu’aux abattoirs, le transport s’effectue exclusivement par camion pour les grands ruminants et à pied pour les petits ruminants.
Les rabatteurs
Contrairement aux « Téfankés », les rabatteurs ne bénéficient pas de reconnaissance publique. En effet, le rabatteur se présente auprèsdu client comme guide ou un aide de ce dernier. Il cherche à connaître d’avance le prix de l’animal auprès du vendeur sans que le client ne soit au courant. Ensuite, le rabatteur va à la recherche du client et le conduit de façon préférentielle auprès des commerçants de moutons. Il pousse le client à proposer un prix supérieur au prix réel de l’animal. La marge tirée des transactions entre le prix réel du mouton et le prix payé par le client,plus le service rendu au client, constituent la rémunération du rabatteur (FADIGA, 1990).
Productions bovines
L’élevage au Sénégal, de par sa diversité et son dynamisme, présente plusieurs créneaux dans les productions animales, dont les principaux sont la production avicole, la production de viande, les cuirs et peaux, et la production de lait. Ces dernières sont, pour une large part, tirées de l’espèce bovine (figure 4, page 28).
La production de viande
Selon GUEYE (2003), la production locale de viande a été estimée par la DIREL, à 115 028 tonnes en 2000, soit une progression de 4,8 % par rapport à 1999. La viande bovine, avec 52 395 tonnes, contribue pour 46 % à la fourniture de viande. Ce sont ensuite la viande des petits ruminants et la viande de volaille qui participent le plus à l’approvisionnement avec des parts respectives de 27 % et 20%. La viande porcine assure le complément avec 8 % soit 8 877 tonnes. L’ensemble de la production locale assure 97 % des besoins nationaux enviande, les importations ne représentant que 3 % de la fourniture totale de viande comme l’indique le tableau III de la page 25.
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Table des matières
INTRODUCTION
PREMIERE PARTIE : SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE DE LA SITUATION DE L’ELEVAGE BOVIN AU SENEGAL ET DE LA SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE
CHAPITRE 1 : GENERALITES SUR L’ELEVAGE BOVIN AU SENEGAL
1.1. BASES GEOGRAPHIQUES
1.1.1. Milieu physique
1.1.2. Milieu humain
1.2. ELEVAGE BOVIN ET CARACTERISTIQUES
1.2.1. Effectifs
1.2.2. Evolution du cheptel
1.2.3. Répartition du cheptel
1.2.4. Composition des troupeaux
1.2.5. Races bovines exploitées au Sénégal
1.2.5.1. Les races locales
1.2.5.2. Les races exotiques
1.2.6. Zones d’élevage et structures d’encadrement
1.2.7. Systèmes d’élevage
1.2.8. Situation zoosanitaire
1.3. IMPORTANCE DE L’ELEVAGE BOVIN AU SENEGAL
1.3.1. Importance économique
1.3.2. Importance sociale
1.4. EXPLOITATION DU CHEPTEL BOVIN
1.4.1. Commercialisation des bovins
1.4.1.1. Importations et exportations
1.4.1.2. Le commerce intérieur
1.4.1.2.1. Les infrastructures
1.4.1.2.1.1. Les marchés à bétails
1.4.1.2.1.2. Les foirails
1.4.1.2.2. Les acteurs de la filière
1.4.1.2.2.1 Les producteurs
1.4.1.2.2.2. Les commerçants ou « Dioulas »
1.4.1.2.2.3. Les courtiers ou « Téfankés »
1.4.1.2.2.4. Les rabatteurs
1.4.2. Productions bovines
1.4.2.1. La production de viande
1.4.2.2. La production laitière
1.4.2.3. Les cuirs et peaux
CHAPITRE 2 : CONTRAINTES LIEES AU DEVELOPPEMENT DE L’ELEVAGE BOVIN AU SENEGAL
2.1. CONTRAINTES INSTITUTIONNELLES
2.1.1. Le financement public
2.1.2. Le crédit
2.2. CONTRAINTES TECHNIQUES
2.2.1. Les contraintes alimentaires
2.2.2. Les contraintes génétiques
2.2.3. Les contraintes de formation et de commercialisation
2.2.4. Les contraintes pathologiques
CHAPITRE 3 : DOMINANTES PATHOLOGIQUES MAJEURES EN ELEVAGE BOVIN AU SENEGAL
3.1. MALADIES INFECTIEUSES
3.1.1. Rappels sur la peste bovine
3.1.1.1. Dates des principales épizooties de peste bovine
3.1.1.2. Classification et caractéristiques de l’agent causal
3.1.1.3. Epidémiologie
3.1.1.4. Diagnostic clinique et lésionnel
3.1.1.5. Diagnostic différentiel
3.1.1.6. Diagnostic biologique
3.1.1.7. Prophylaxie sanitaire
3.1.1.8. Prophylaxie médicale
3.1.1.9. Traitement
3.1.2. Péripneumonie contagieuse bovine
3.1.3. Fièvre de la vallée du Rift
3.1.4. Fièvre aphteuse
3.1.5. Dermatose nodulaire contagieuse bovine
3.2. MALADIES PARASITAIRES
3.2.1. Cysticercose
3.2.2. Fasciolose
3.2.3. Schistosomose
3.2.4. Les trypanasomoses
CHAPITRE 4 : SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE DES MALADIES ANIMALES
4.1. GENERALITES
4.1.1. Définitions
4.1.1.1. Le Suivi épidémiologique
4.1.1.2. Surveillance épidémiologique
4.1.1.2.1. Epidémiosurveillance
4.1.1.2.2. Epidémiovigilance
4.1.1.3. Prophylaxie et épidémiosurveillance
4.1.1.4. Réseau d’épidémiosurveillance
4.1.2. Objectifs généraux de l’épidémiosurveillance
4.2. ELEMENTS DE FONCTIONNEMENT D’UN RESEAU D’EPIDEMIOSURVEILLANCE
4.3. SITUATION DE LA SURVEILLANCE EPIDEMIOLOGIQUE AU SENEGAL
4.3.1. Situation actuelle de la peste bovine en Afrique
4.3.2. L’exemple du Sénégal
DEUXIEME PARTIE : PRESENTATION ET EVALUATION DU RESEAU D’EPIDEMIOSURVEILLANCE DE LA PESTE BOVINE (RESPB) AU SENEGAL
CHAPITRE 1 : PRESENTATION ET FONCTIONNEMENT DU RESPB
1.1. PRESENTATION DU RESPB
1.1.1. Définition et nature du RESPB
1.1.2. Objectifs du réseau
1.1.3. Organisation du réseau
1.1.3.1. Unité Centrale
1.1.3.2. Au niveau du terrain
1.1.3.2.1. Unités régionales (UR)
1.1.3.2.2. Unités départementales (UD)
1.1.3.2.3. Postes vétérinaires
1.1.4. Financement et moyens utilisés dans le réseau
1.1.4.1. Moyens humains
1.1.4.2. Moyens matériels
1.1.4.2.1. Consommables
1.1.4.2.2. Matériel de laboratoire
1.4.3. Logistique
1.2. DESCRIPTION DU FONCTIONNEMENT DU RESEAU
1.2.1. Modalités de collecte des données
1.2.1.1. Constitution de l’échantillon
1.2.1.1.1. Chez le bétail
1.2.1.1.2. Chez la faune
1.2.1.2. Définition de cas
1.2.1.3. Méthodes de surveillance
1.2.1.3.1. Chez le bétail
1.2.1.3.2. Chez la faune
1.2.2. Types d’informations recueillies
1.2.3. Standardisation des données
1.2.4. Transmission des données
1.2.5. Animation et coordination du réseau
1.2.5.1. Coordination du réseau
1.2.5.2. Animation
CHAPITRE 2: EVALUATION TECHNIQUE DU RESPB
2.1. OBJECTIFS DE L’EVALUATION DU RESPB
2.1.1. Objectif d’amélioration du fonctionnement du réseau
2.1.2. Objectif d’évaluation de la qualité de l’information produite par le réseau
2.2. METHODOLOGIE DE REALISATION DE L’EVALUATION
2.2.1. Matériel et méthodes
2.2.1.1. Méthode HACCP ou ADMPC
2.2.1.2. Méthode Delphi
2.3. MISE EN ŒUVRE DE L’EVALUATION
2.3.1. Mise en place sur le terrain
2.3.1.1. Phase préparatoire
2.3.1.2. Phase d’action d’enquête
2.4. TRAITEMENT ET STATISTIQUES DES DONNEES
2.5. AVANTAGES ET LIMITES DE LA DEMARCHE UTILISEE
CHAPITRE 3: RESULTATS ET DISCUSSION
3.1. ENQUETE DOCUMENTAIRE
3.1.1. Surveillance clinique
3.1.2. Surveillance sérologique
3.2. ENQUETES DE TERRAIN
3.2.1. Evaluation technique quantitative
3.2.1.1. Résultats de l’évaluation
3.2.1.2. Représentation synthétique des résultats
3.2.2. Evaluation technique qualitative
3.2.2.1. Objectifs
3.2.2.2. Echantillonnage
3.2.2.3. Animation et sensibilisation des acteurs
3.2.2.3.1. Animation technique
3.2.2.3.2. Sensibilisation des acteurs
3.2.2.4. Outils utilisés
3.2.2.5. Facteurs d’environnement
3.2.2.6. Recueil et circulation des données
3.2.2.6.1. Le recueil des donnéessur le terrain
3.2.2.6.2. La transmission des données au laboratoire d’analyses
3.2.2.6.3. La centralisation des données par l’Unité Centrale (UC)
3.2.2.7. Saisie, traitement et interprétation des données
3.2.2.8. Diffusion de l’information
CHAPITRE 4: PROPOSITIONS D’AMELIORATION
4.1. PROPOSITIONS D’ORDRE FONCTIONNEL
4.1.1. Echantillonnage
4.1.2. Animation et sensibilisation
4.1.3. Facteurs d’environnement
4.1.4. Recueil et circulation des données
4.1.5. Diffusion de l’information
4.2. PROPOSITIONS D’ORDRE REGLEMENTAIRE ET INSTITUTIONNEL
CONCLUSION
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
ANNEXES